Voici quelques Experts CyberSec françaisà suivre pour enrichir vos compétences en cybersécurité.
La cybersécurité est aujourd’hui plus que jamais au cœur des préoccupations des entreprises, grandes et petites. Dans cet article, nous vous présentons une sélection de Experts CyberSec français à suivre. Chacun d’eux joue un rôle clé pour renforcer la sécurité des systèmes d’information, anticiper les menaces et accompagner les entreprises dans leur transformation numérique.
Experts CyberSec à suivre
Découvrez ces professionnels passionnés qui façonnent l’avenir de la cybersécurité.
Julien Metayer, alias « Kermit », est un expert en pentesting et redteaming. De plus, il est formateur en cybersécurité, ce qui lui permet de partager ses connaissances avec les autres professionnels du secteur. Il est également le fondateur de Digital Team et d’OZINT.EU, deux plateformes qui aident les utilisateurs à maîtriser l’OSINT et la cybersécurité offensive. En outre, Julien occupe le poste de réserviste cyber pour le ministère de l’Intérieur, ce qui renforce encore son expertise. Ses interventions sont toujours pertinentes, et il partage régulièrement des informations sur ses réseaux sociaux.
Raphael Marichez : un leader visionnaire
Raphael Marichez est, quant à lui, le Chief Security Officer chez Palo Alto Networks, où il aide les entreprises à sécuriser leurs infrastructures. Il adopte une approche innovante de la cybersécurité, alliant stratégie et technologie. En plus de son rôle professionnel, Raphael est membre actif du CESIN, un réseau de responsables sécurité. Il participe aussi à des initiatives telles que Time for the Planet, qui visent à allier cybersécurité et développement durable. Son expertise va bien au-delà des aspects techniques, puisqu’il intègre également des enjeux sociaux et environnementaux dans ses réflexions.
Tristan Manzano : le hacker au grand cœur
Tristan Manzano est un consultant en cybersécurité et co-fondateur de Security Data Network. Avec plusieurs certifications prestigieuses, comme l’OSCP et l’OSWP, il est reconnu pour sa spécialisation en pentesting, en analyse SOC et en sécurité des réseaux. Auparavant, Tristan a travaillé chez Login Sécurité, où il a acquis une solide expérience. Aujourd’hui, il aide les entreprises à sécuriser leurs systèmes. En plus de ses compétences techniques, Tristan est un passionné de cybersécurité, ce qui se reflète dans ses nombreuses interventions publiques et ses formations.
Baptiste Robert : le chercheur qui veille sur notre vie privée
Baptiste Robert, fondateur de Predicta Lab, est un spécialiste de l’OSINT et de la protection de la vie privée. Avant de fonder sa société, il a dirigé fsociety, une entreprise de recherche en cybersécurité. Baptiste se distingue par la découverte de vulnérabilités critiques dans des applications populaires et des systèmes gouvernementaux. Il partage ses résultats avec la communauté par le biais de conférences et de publications sur Medium et Twitter. Grâce à ses travaux, il a permis à de nombreuses entreprises d’améliorer la sécurité de leurs systèmes.
Marc-Antoine Ledieu : l’expert juridique en cybersécurité
Marc-Antoine Ledieu est un avocat spécialisé dans la cybersécurité et les réglementations. Il accompagne les entreprises pour les aider à se conformer aux normes telles que NIS2, DORA, et LPM. Par ailleurs, il est également un conférencier recherché. Marc-Antoine sensibilise les professionnels aux enjeux juridiques de la cybersécurité, et il réussit à rendre des concepts parfois complexes accessibles et compréhensibles pour un large public. Il est donc une ressource précieuse pour ceux qui souhaitent comprendre l’aspect juridique de la cybersécurité.
Alexandre Blanc : Stratégies de Croissance Technologique
Actuellement basé à Québec, Canada, Alexandre Blanc est un expert reconnu en cybersécurité, avec une approche stratégique pour résoudre des problèmes complexes en connectant les besoins business, technologies et sécurité. Son expertise s’étend à Linux, Network Security, et plusieurs autres domaines, et il accompagne des entreprises dans leurs projets technologiques. Grâce à son expérience de Top Voice, il gère des pages LinkedIn et conseille des entreprises sur les stratégies de croissance naturelles pour soutenir leur développement. Actuellement freelance, il aide également les entreprises à réduire les coûts liés au cloud et à minimiser les risques pour des workflows critiques.
Conclusion: Experts CyberSec à suivre
Suivre ces experts est une excellente manière de rester à jour sur les dernières tendances en cybersécurité. Leurs conseils et leurs analyses sont une véritable mine d’or pour améliorer vos compétences. En outre, leur vision enrichit votre compréhension des enjeux actuels. Si vous connaissez d’autres CyberSec experts à suivre, n’hésitez pas à les partager avec nous, car la cybersécurité est un domaine où le partage d’informations est crucial pour progresser.
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L’infrastructure informatique comprend les hardware, software et le réseau, c’est-à-dire les composants nécessaires pour faire fonctionner et gérer les environnements informatiques d’une entreprise.
L’infrastructure informatique peut être déployée dans un système de cloud computing ou dans la structure d’une organisation elle-même.
Outre les hardware, software et la mise en réseau, l’infrastructure informatique comprend le système d’exploitation et le stockage des données.
En outre, les produits d’infrastructure informatique peuvent être disponibles sous forme d’applications logicielles ou de solutions en ligne proposées par des fournisseurs de services.
Découvrez dans notre article, quels sont les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.
Pourquoi l’infrastructure informatique est importante
Dans l’infrastructure informatique, les composants technologiques mentionnés ci-dessus contribuent à la fois aux fonctions commerciales et les pilotent.
Avec l’évolution rapide de la technologie moderne et la nature concurrentielle des entreprises, les responsables informatiques doivent s’assurer que leur infrastructure informatique est bien conçue pour apporter des modifications rapidement sans affecter la continuité des activités.
Par conséquent, correctement mise en réseau, l’optimisation de la technologie peut améliorer la communication, augmenter l’efficacité et augmenter la productivité.
En d’autres termes, une infrastructure informatique flexible, fiable et sécurisée peut aider une entreprise à atteindre ses objectifs et lui procurer un avantage concurrentiel sur le marché. À l’inverse, une infrastructure informatique mal mise en œuvre entraîne des problèmes de connectivité. Mais aussi de productivité et de sécurité, tels que des pannes et des violations du système.
Ainsi, une infrastructure correctement mise en place peut être un facteur clé de la rentabilité d’une entreprise.
Mais quels sont les avantages des composants de l’infrastructure informatique, de leurs fonctions et des métiers de ce secteur ?
Avant tout, une infrastructure informatique correctement mise en œuvre permet à une entreprise de :
Offrir une expérience client positive en assurant un accès ininterrompu à son site Web.
Développer des solutions rapides sur le marché.
Collectez des données en temps réel pour prendre des décisions rapides.
Améliorer la productivité des employés
Métiers de l’infrastructure informatique :l’Ingénieur VoIP.
« VoIP (Voice Over Internet Protocol) est une technologie qui permet la transmission de la voix sur des réseaux IP compatibles. Par exemple, c’est la technologie utilisée par le service de communication Skype qui permet à des millions de personnes de passer des appels via WhatsApp chaque jour.«
En conséquence, le rôle d’un ingénieur VoIP est de gérer la mise en œuvre au sein de l’organisation.
Comment fonctionnent les composants de l’infrastructure informatique ?
Pour commencer, les composants de l’infrastructure informatique sont constitués d’éléments interdépendants. Les Hardware et Software représentent les deux principaux groupes de composants de l’infrastructure informatique. Les deux sont complémentaires. En effet, les Hardware utilisent des Software, par exemple un système d’exploitation, pour fonctionner.
De même, un système d’exploitation gère les Hardware et les ressources systèmes. Les systèmes d’exploitation établissent également des connexions entre les Software et les ressources physiques, à l’aide de composants réseau.
Pour continuer, voyons plus en détail quels sont les composants de l’infrastructure informatique.
2. Composants de l’infrastructure informatique : Software
Les composants desSoftware incluent les :
CMS (systèmes de gestion de contenu)
CRM (Gestion de la Relation Client)
ERP (planification des ressources d’entreprise)
Systèmes d’exploitation
Serveurs Web
3. Composants de l’infrastructure informatique : Installations
Les installations ou l’équipement physique fournissent l’espace pour les serveurs, les centres de données et le matériel réseau. Ils incluent également le câblage réseau dans les bureaux pour connecter les différents composants d’une infrastructure informatique.
4. Composants de l’infrastructure informatique : Réseaux
L’interconnexion entre les composants du réseau permet les opérations, la gestion et la communication du réseau entre les systèmes internes et externes.
La connexion Internet, les outils d’activation, le pare-feu et la sécurité, ainsi que le matériel, c’est-à-dire les routeurs, les commutateurs et les câbles, sont essentiels au fonctionnement d’un réseau.
Métiers de l’infrastructure informatique : l’Ingénieur réseau Cisco.
« Près de la moitié des entreprises utilisent aujourd’hui les solutions Cisco. Cisco Systems, ou Cisco, est une société informatique américaine spécialisée dans la fabrication et la vente d’équipements réseaux (routeurs, commutateurs Ethernet mais aussi serveurs, etc.).«
Mais quel est le rôle de l’Ingénieur réseau Cisco ? Lisez notre fiche métier pour en savoir plus sur ses missions, ses compétences et son salaire.
Combien de types d’infrastructures informatiques existe-t-il ?
1. Infrastructure informatique traditionnelle
Pour commencer, les composants (le centre de données, le stockage des données, les Hardware et les serveurs) de l’infrastructure informatique traditionnelle sont entièrement gérés en interne.
De plus, une infrastructure informatique traditionnelle est composée des composants habituels des Hardware et Software : installations, centres de données, ordinateurs de bureau matériels réseau et solutions logicielles d’application d’entreprise. Généralement, cette configuration d’infrastructure nécessite plus d’énergie, d’espace physique et de budget que les autres types d’infrastructure. L’infrastructure traditionnelle est généralement installée sur site pour un usage exclusif d’entreprise ou privé.
Métiers de l’infrastructure informatique : l’Ingénieur Système Linux.
« Comme les grandes entreprises exploitent aujourd’hui de plus en plus d’ordinateurs avec Linux, le nombre d’ingénieurs système Linux augmente. L’ingénieur système Linux est un maillon essentiel au sein des entreprises qui assure le bon fonctionnement d’un réseau Linux. L’ingénieur aide également à coordonner l’équipe informatique. Il optimise les opérations du réseau et assure la communication entre les différents systèmes informatiques.«
Comme son nom l’indique, l’infrastructure informatique du cloud computing fait référence aux composants et aux ressources nécessaires au cloud computing.
Les utilisateurs finaux peuvent donc accéder à l’infrastructure via Internet. Ceci avec la possibilité d’utiliser des ressources informatiques sans installation sur site, grâce à la virtualisation.
La virtualisation relie des serveurs physiques gérés par un fournisseur de services dans un ou plusieurs emplacements géographiques. Il classe et extrait ensuite les ressources, telles que le stockage. Ceci pour les rendre accessibles aux utilisateurs pratiquement partout où il y a une connexion Internet.
Il est également possible de créer un cloud privé à l’aide de ressources dédiées. Ou un cloud public en « louant » l’infrastructure cloud à un fournisseur de cloud.
Étant donné que l’infrastructure cloud est souvent publique, elle est généralement appelée cloud public.
De plus, en intégrant la portabilité, l’orchestration et la gestion de la charge de travail sur plusieurs clouds à différents niveaux, il est également possible de créer un cloud hybride.
Enfin, une infrastructure informatique hyperconvergée permet de gérer à partir d’une seule interface les ressources informatiques de mise en réseau et de stockage
De plus, le traitement logiciel associé au stockage des données permet de gérer les charges de travail les plus innovantes. Ceci avec des architectures évolutives sur des Hardware standard de l’industrie
Métiers de l’infrastructure informatique : Ingénieur SRE.
« Alors que de plus en plus d’organisations adoptent le cloud computing et que la demande de services numériques augmente, les pratiques d’ingénierie de la fiabilité des sites (SRE) sont devenues impératives. Ces pratiques aident les organisations à respecter les accords de niveau de service (SLA). Ceci pour la disponibilité, les performances, l’expérience utilisateur et les KPI commerciaux.«
Composants de l’infrastructure informatique et profils de poste : bonnes pratiques
Après avoir discuté des composants de l’infrastructure informatique, de leurs fonctions et de certains des métiers de l’infrastructure informatique, il est temps de parler des meilleures pratiques.
Pour clarifier, pour une bonne et efficace gestion de l’infrastructure informatique, il est essentiel de suivre quelques bonnes pratiques de base. C’est-à-dire que ces pratiques garantissent une vision globale de tous les aspects à prendre en compte pour une gestion réussie de l’infrastructure informatique.
Rassembler des connaissances
Créer des normes fondées sur ces connaissances
Mettre en œuvre les normes avec cohérence
Maintenir la cohérence lors de la gestion du changement
Tout d’abord, pertinence et autorité sont les deux mots clés à garder à l’esprit lors de la collecte de connaissances. Trop peu d’informations peuvent entraîner des configurations critiques manquantes, tandis que trop d’informations peuvent vous paralyser.
À ce stade, il est crucial de choisir où se concentrer en tenant compte des besoins de l’organisation. Par conséquent, la pertinence est de mise, pour ne pas perdre de temps avec des documents inutiles et interminables, et pour vous assurer de recueillir les bonnes informations, vérifiez les sources.
Une fois que vous avez défini les besoins de l’organisation et rassemblé toutes les informations dont vous avez besoin pour mettre en œuvre les configurations, faites-en des normes. Mais n’oubliez jamais de mettre à jour ces normes à mesure que l’organisation évolue au fil des ans. Des exemples de cette bonne pratique sont l’augmentation des normes de sécurité, la clarification continue des configurations, la mise à niveau des anciennes commandes, etc.
Métiers de l’infrastructure informatique : Analyste SOC.
« Le rôle de l’analyste SOC (Security Operation Center) est de surveiller les systèmes informatiques d’une entreprise. Il doit détecter toutes les activités suspectes et malveillantes sur les réseaux informatiques, qu’elles viennent de l’intérieur ou de l’extérieur.«
Certes, avoir des configurations propres et cohérentes est extrêmement important pour un ingénieur. Avec des systèmes tels que Cisco CLI, cela peut prendre un certain temps pour comprendre les intentions du code. Ainsi, l’étiquetage, les notes d’observations lorsque cela est nécessaire et l’utilisation de descriptions avec des informations pertinentes facilitent le travail des techniciens lors de la résolution de problèmes.
4. Maintenir la cohérence lors de la gestion du changement
Les processus de gestion des changements peuvent parfois sembler accablants pour le personnel informatique, mais ils peuvent être très utiles lorsqu’ils sont utilisés pour l’examen de la configuration proposée, la mise en œuvre sur les appareils applicables et la mise à jour de la documentation pour s’assurer que le travail est effectué.
Par conséquent, le maintien de la cohérence en période de changement est essentiel pour garantir que le travail est effectué sans perte d’informations organisationnelles essentielles.
Métiers de l’infrastructure informatique : Consultant RPA.
« Technologie en plein essor, la RPA (Robotic Process Automation) favorise une productivité accrue grâce à l’automatisation des processus métier. La clé : éliminer les tâches fastidieuses, rationaliser les opérations et réduire les coûts.«
Découvrez dans notre fiche métier les missions, le salaire et les compétences de l’Ingénieur en Robotique et du Consultant RPA. Un profil très recherché dans le monde du travail d’aujourd’hui, notamment dans les entreprises de services numériques.
5. Documenter fortement
Il est en quelque sorte courant que la documentation soit un aspect dans lequel les services informatiques internes sont généralement quelque peu déficients. Même si vous avez l’impression d’écrire la documentation pour vous tout seul, car personne ne la lira jamais, votre documentation est en fait votre carte de visite. Cependant, il est important qu’elle soit claire et facile à comprendre.
En résumé, l’objectif de l’infrastructure informatique est de rendre le business possible et cela se fait mieux avec des composants qui sont configurés, gérés et entretenus de manière propre et cohérente, en suivant les meilleures pratiques affinées avec l’expérience et documentées de manière claire et complète.
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Près de la moitié des entreprises utilisent aujourd’hui les solutions Cisco. Cisco Systems, ou Cisco est une société informatique américaine spécialisée dans la production et vente de matériel réseau (routeurs, commutateurs éthernet et serveurs).
Toutes les solutions Cisco utilisent le système d’exploitation propriétaire IOS (Internetwork Operating System). Créée en 1984, l’entreprise est au cœur des réseaux depuis les débuts d’Internet. Elle a notamment été la première à commercialiser des routeurs multi-protocoles. Aujourd’hui, la société propose des solutions de VoIP, de sécurité et de stockage en réseau, des téléphones IP, des logiciels, des switchs, des routeurs…
Cisco Systems propose par ailleurs de nombreuses certifications qui sont très appréciées au sein des entreprises. La société est ainsi un acteur incontournable sur le marché informatique à la fois pour les PME et les grands groupes.
Mais quel est le rôle de l’ingénieur réseaux Cisco ? Découvrez dans cette fiche métier, les missions, les compétences, la formation, le salaire de CDI ou encore le tjm de freelance de ce professionnel.
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1. Le métier d’ingénieur réseaux Cisco
L’ingénieur réseaux Cisco a pour mission d’apporter son expertise sur les solutions Cisco au sein d’une entreprise. Ce professionnel a différents niveaux d’intervention. En effet il intervient pendant l’élaboration de l’architecture du réseau, pendant le déploiement de celui-ci ainsi que pendant son exploitation. Il intervient également dans l’analyse du réseau et le diagnostic des problèmes liés à ce dernier. Pour faciliter l’exploitation du réseau, il produit également de la documentation liée par exemple aux designs d’architecture ou aux plans de migration.
Ce professionnel met en œuvre, gère et améliore tous les réseaux de communication Cisco au sein d’une entreprise. Il veille également à la parfaite adaptation du matériel et des logiciels, à leur efficacité, ainsi qu’à leur constante évolution. Pour cela, il procède régulièrement à l’installation de nouveaux outils performants (serveurs antivirus…).
Il s’agit ainsi d’un métier très polyvalent avec des missions variées et diversifiées. C’est un métier de contact et d’expertise qui offre de réelles perspectives d’emploi et d’évolution de carrière dû au secteur qui est très porteur.
2. Compétences requises
Expertise en réseaux Cisco
L’ingénieur réseaux Cisco est un expert de l’administration des réseaux Cisco. Il est souvent demandé à ces professionnels d’avoir une ou plusieurs certifications Cisco. Il doit également avoir de bonnes connaissances des protocoles réseaux et de télécommunication ainsi que des technologies télécoms et Internet.
Bonnes connaissances informatiques
L’ingénieur réseaux Cisco doit posséder de larges connaissances dans le domaine informatique. Il doit maîtriser les outils d’administration, de gestion et les logiciels d’infrastructure comme les systèmes d’exploitation ou les serveurs de messagerie. Il doit également savoir travailler avec des bases de données. L’ingénieur réseaux Cisco doit enfin avoir une large culture scientifique et mettre en permanence à jour ses connaissances suivant l’évolution du secteur.
Adaptabilité et polyvalence
L’ingénieur réseaux Cisco doit être polyvalent et capable d’assister tous types d’utilisateurs. Il doit également avoir de bonnes capacités d’adaptation pour faire face à ses interlocuteurs et aux évolutions technologiques. Le contact avec différents partenaires nécessite de la part de l’ingénieur réseaux Cisco de posséder de très bonnes capacités relationnelles. Ce professionnel doit également être rigoureux, organisé et méthodique et maîtriser parfaitement l’anglais professionnel.Au vu des risques liés aux éventuels cas de panne ou incidents techniques, il est également important que ce professionnel ait de bonnes capacités de résistance au stress.
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3. Salaire en CDI et tjm de freelance
Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un ingénieur réseaux Cisco se situe généralement entre 400 et 600 euros. Son salaire de CDI est quant à lui de 40 000 € par an en moyenne. Le montant du tjm de freelance ou son salaire en CDI peut évoluer en fonction des caractéristiques de la mission et du niveau d’expérience du professionnel.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.
4. Formation d‘ingénieur réseaux Cisco
Pour devenir ingénieur réseaux Cisco, un niveau Bac + 5 est généralement requis. La voie principale d’accès à ce métier est donc de passer par une école d’ingénieur et d’obtenir un diplôme d’ingénieur spécialisé en télécoms. Pour ce faire deux options existent. La première est de passer un concours d’entrée en école d’ingénieur juste après un bac spécialisé dans les matières scientifiques. La deuxième option est de suivre deux ans de classe préparatoire scientifique pour ensuite passer le concours d’entrée dans les écoles d’ingénieur et intégrer une de ces écoles pour une durée de 3 ans.
Il est également possible de se former en suivant une formation proposée par une école spécialisée ou de suivre un master professionnel informatique avec une spécialité au sein d’une université.
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Tout comme Windows ou macOS, Linux est un système d’exploitation. Il se différencie par sa nature Open Source qui en fait un système d’exploitation gratuit et accessible à tous. C’est-à-dire que n’importe quel utilisateur peut exécuter, modifier et partager le code de Linux. Sa nature Open Source est un gros avantage par rapport aux systèmes d’exploitation classiques qui sont verrouillés, propriétaires et non modifiables. Linux a également l’avantage d’être plus sécurisé et de présenter moins de failles de sécurité. De plus en plus de grosses entreprises utilisent des ordinateurs fonctionnant sous Linux. Le métier d’ingénieur Système Linux est ainsi l’un des métiers IT qui a actuellement le vent en poupe.
Ce professionnel est un maillon indispensable au sein des entreprises pour assurer le bon fonctionnement d’un système réseau sous Linux, coordonner une équipe, optimiser le fonctionnement d’un réseau et assurer la communication dans les systèmes d’information.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI de l’Ingénieur système Linux, les compétences requises, le salaire et la formation de ce professionnel de l’IT.
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1. Le métier d’ingénieur système Linux
Les missions d’un d’ingénieur système Linux s’articulent autour de deux grands axes : les activités de projet « build » et les activités de production « run ».
1.1. Les activités de projet « build »
L’ingénieur système Linux est tout d’abord en charge de ce que l’on appelle les activités de projet ou « build ». C’est-à-dire tout ce qui concerne la veille technologique, le conseil, l’expertise et l’innovation. Ce professionnel a pour mission de conseiller les DSI sur l’utilisation et la configuration des solutions techniques sous Linux. Ce professionnel s’occupe également de prendre en charge l’implémentation de nouvelles solutions sous ce système d’exploitation. Il contribue également aux phases de validation technique et doit mettre en œuvre des moyens pour garantir la haute disponibilité du service. Ce professionnel doit également assurer une veille technologique active pour connaître toutes les évolutions de Linux et garantir l’optimisation des ressources systèmes. Il doit tout simplement procéder à l’amélioration continue du système d’exploitation.
Ce professionnel est dans un second temps chargé d’intervenir sur les activités de production. C’est ce que l’on appelle le « run », c’est-à-dire la maintenance du système d’exploitation, l’administration et le maintien en condition opérationnelle du système. L’ingénieur doit s’assurer que l’ensemble du système est fonctionnel et utilisable. Il doit également assurer l’administration courante ainsi que mesurer et optimiser les performances du système. De plus il assure la maintenance préventive, corrective et évolutive des systèmes Linux de l’entreprise dans laquelle il travaille. Mais il est également chargé de la gestion des incidents sur le système avec pour mission d’assurer le diagnostic et la réparation des éventuels dysfonctionnements. L’ingénieur système Linux s’occupe également de tester le système, de garantir sa sécurité et sa fiabilité et de gérer la partie support des utilisateurs.
En étant ingénieur système Linux il est possible de se spécialiser sur les activités de projet ou de production. Mais généralement ces professionnels interviennent sur les 2 types d’activités. Il faut noter qu’un bon ingénieur système Linux saura autant travailler sur des activités de projet que de production.
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2. Compétences requises
2.1. Une très bonne maîtrise technique
L’ingénieur système Linux doit avoir une très bonne connaissance du système d’exploitation Linux. Ainsi qu’une expertise sur les logiciels de l’infrastructure technique. Il doit avoir une maîtrise pointue des couches systèmes Linux ainsi qu’une bonne connaissance des processus d’installation Linux. Il doit par ailleurs bien souvent maîtriser des langages de programmation, notamment Python et aussi bien connaitre le Scripting (Patch ou PowerShell). Ce professionnel doit aussi avoir de bonnes connaissances des bases de données et des normes de sécurité.
Ce professionnel doit être rigoureux, organisé et méthodique car ses missions requièrent le respect des process et règles de qualité. Il doit avoir de grandes capacités d’anticipation, de prise d’initiative, de curiosité technique et d’adaptabilité. De manière à assurer une veille technologique efficace et pour s’adapter rapidement aux nouvelles évolutions technologiques. De plus il est important que ce professionnel ait de bonnes capacités d’analyse, de résistance au stress et de réactivité pour faire face aux pannes ou incidents techniques. Il est également nécessaire qu’il soit polyvalent et qu’il dispose de bonnes qualités relationnelles. Car son métier nécessite de savoir entretenir de bons rapports avec les utilisateurs.
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3. Salaire de l’Ingénieur système Linux
Selon la formation et le niveau d’expérience, le taux journalier moyen se situe entre 400 et 800 euros. Son salaire moyen se situe ainsi entre 30 000 et 60 000 euros par an.
Pour devenir ingénieur système Linux vous devez avoir un niveau Bac + 5. C’est-à-dire qu’il faut généralement être titulaire d’un diplôme d’ingénieur ou de master spécialisé en informatique.
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En plein essor, le RPA (Robotic Process Automation) est une technologie favorisant les gains de productivité d’une entreprise à travers l’automatisation des processus métiers. A la clef : élimination des tâches fastidieuses, rationalisation des opérations et réduction des coûts.
Découvrez dans cette fiche métier le rôle, les missions, le salaire et les compétences requises d’un Consultant RPA, profil très recherché par les entreprises, notamment par les ESN (Entreprises de services du numérique).
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1. Consultant RPA : le métier
Son rôle consiste à prendre en charge la conception technique de la robotisation des processus métiers dans son intégralité.
1.1. Définition de la stratégie RPA
La première partie du travail d’un consultant RPA consiste à définir la stratégie en étroite collaboration avec le client ou la DSI, afin d’adopter une démarche de planification d’un chantier robotique. Cette première étape est accompagnée d’une réalisation de diagnostic pour identifier les potentiels de robotisation possibles ainsi que d’un POC (Proof of concept).
Une fois la stratégie définie, le Consultant RPA débute le paramétrage des outils et le déploiement de l’ensemble des actions d’automatisation pour chaque processus. Il s’attèle ainsi au développement des règles dans le respect des contraintes définies par le protocole RPA.
1.3. Tests et présentation des robots aux équipes
Enfin, le Consultant RPA s’occupe des tests unitaires à effectuer et valide les spécifications fonctionnelles mises en place. Il participe également à l’élaboration du manuel utilisateur pour la mise en œuvre opérationnelle des robots et de la présentation des robots aux équipes.
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2. Consultant RPA : compétences requises
2.1. Solides connaissances en sécurité logicielle
Doté d’un background IT, ce consultant possède une appétence pour les systèmes d’information et l’automatisation et/ou robotisation. Il maîtrise des outils tels que RPA UI Path, Pega ou Blue Prism.
2.2. Maîtrise des méthodes « Agile »
L’exercice du métier de Consultant RPA nécessite de connaître les approches de gestion de projet agiles (Scrum, Kaban) & Cycle en V. Cette méthode recommande de se fixer des objectifs à court terme, et pousse donc le projet a se diviser en plusieurs sous-projets. Une fois l’objectif atteint, on passe au suivant jusqu’à l’accomplissement de l’objectif final. Il s’agit d’une méthode de travail agile.
2.3. Rigueur et curiosité
En tant que consultant RPA, vous travaillerez en étroite collaboration avec vos clients pour comprendre leurs besoins, résoudre leurs problèmes et optimiser leurs processus métier. Votre rigueur vous permettra de fournir des résultats précis et de haute qualité, tandis que votre curiosité vous permettra de rester à jour avec les dernières tendances et technologies, ce qui vous aidera à proposer des solutions innovantes et efficaces.
Enfin, n’oubliez pas que la communication est également une compétence clé pour un consultant RPA. Il est important de pouvoir expliquer clairement les concepts techniques aux clients et aux parties prenantes non techniques. Mais il est aussi important de collaborer efficacement avec les équipes internes et de gérer les attentes des clients.
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3. Salaire
Le taux journalier moyen d’un Consultant RPA se situe généralement entre 400 et 800 €.
En général, un consultant RPA junior en CDI peut s’attendre à gagner entre 35 000 et 50 000 euros par an. Avec une expérience plus avancée et une expertise approfondie, le salaire en CDI peut augmenter et atteindre généralement entre 50 000 et 80 000 euros par an pour un consultant RPA senior.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
4. Formation
Pour accéder à ce métier, il est recommandé d’avoir un Bac +5. C’est-à-dire de poursuivre des études supérieures en informatique à l’université ou en école d’ingénieur. C’est en effet le parcours généralement suivi par ce type de profil.
Garant du bon fonctionnement et de la qualité des réseaux d’une organisation (téléphonie mobile, fibre optique, internet…), l’Ingénieur Réseaux/Télécom a pour objectif de définir les besoins et l’architecture des réseaux de télécommunication dont il est en charge.
Découvrez dans cette fiche métier, les missions, les compétences ou encore le salaire en CDI et le tjm de freelance de celui qu’on appelle également Administrateur Réseaux, Ingénieur Réseaux & Sécurité, ou encore Responsable du Système d’Information Télécoms (SIT).
Ingénieur Réseaux/Télécom : le métier
Quelles sont ses missions ?
Gestion de projet et mise en place du réseau
L’Ingénieur Réseaux/Télécom commence son travail en identifiant et analysant les besoins en réseaux de l’organisation avant d’entamer la supervision de l’installation et le paramétrage des équipements et logiciels. Cette première étape de son travail se fait nécessairement à la suite d’une étude de choix techniques et d’optimisation des coûts, notamment de la téléphonie (VoIP, visioconférence, etc.). Ensuite, commence la mise en place des interconnexions entre les différents réseaux de l’entreprise tout en prenant en compte les exigences utilisateurs liés à la performance, telle que la puissance, la rapidité ou encore la stabilité.
Organisation de l’administration des réseaux
Ce professionnel supervise l’installation des équipements (switch, routeurs…) et logiciels d’administration des réseaux. L’Ingénieur Réseaux/Télécom met en place les tableaux de bord et de suivi des performances et de la qualité du réseau, en plus d’assurer la mise en œuvre des montées de versions.
Support aux utilisateurs, maintenance réseaux et veille technologique
Le troisième volet du rôle de l’Ingénieur Réseaux/Télécom est d’aider les administrateurs réseaux en cas de panne ou de difficultés. Face à un dysfonctionnement, il devra auditer les réseaux et proposer des solutions pour assurer le maintien opérationnel du réseau.
Il est possible que ce professionnel soit soumis à des astreintes ou permanences durant lesquelles il assure la maintenance du réseau. Il doit également mener une veille technologique. De manière à anticiper les évolutions d’optimisation du réseau. Puis proposer des investissements informatiques pour garantir la sécurité, la fiabilité et les performances des équipements.
Ingénieur Réseaux/Télécom : les compétences requises
Expertise en réseaux
Pour exercer, l’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un expert de l’administration des réseaux et systèmes tels que les routeurs ou firewall. De bonnes connaissances des protocoles réseaux et de télécommunication (TCP/IP, Ethernet, LAN…) mais également des technologies télécoms et Internet (DNS, SSH, FTP, etc.) sont indispensables.
Bonnes connaissances informatiques
Bien sûr, des connaissances plus larges dans le domaine de l’informatique font partie des bases à connaître. En effet, un Ingénieur Réseaux/Télécoms doit être capable de maîtriser les logiciels d’infrastructure comme les systèmes d’exploitation ou les serveurs de messageries. Oracle, SQLServer… Il doit également être familier des bases de données.
Adaptabilité et curiosité
L’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un agent polyvalent susceptible d’assister différents types d’utilisateurs. Il doit ainsi s’adapter rapidement à ses interlocuteurs et aux évolutions technologiques. Au vu des risques liés aux éventuelles cas de panne, une résistance au stress est également nécessaire.
Salaire en CDI et tjm de freelance
Le salaire moyen de ce professionnel en CDI est de 60 000 € annuel brut. Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un Ingénieur Réseaux/Télécom se situe quant à lui généralement entre 400 et 700 €. Salaire en CDI et tjm de freelance dépendent entre autre de son ancienneté et de sa localisation.
Formation
Pour devenir Ingénieur Réseaux/Télécom, l’idéal est de posséder un diplôme niveau bac +5 (Master) spécialisé en informatique, réseaux et télécommunications. En effet, ces profils sont généralement issus d’une école d’ingénieur. Certaines certifications professionnelles aux outils (tels que CISCO) peuvent être exigées.
La VoIP (Voice Over Internet Protocol) est une technologie qui permet de transmettre la voix sur des réseaux compatibles IP. C’est par exemple la technologie utilisée par le service de communication Skype ou qui permet à des millions de personnes de passer chaque jour des appels via Whatsapp.
La VoIP représente une alternative à la téléphonie classique, et comporte de nombreux avantages, c’est pourquoi les entreprises sont de plus en plus nombreuses à se tourner vers cette technologie. Le rôle d’un Ingénieur VoIP est d’en gérer le déploiement au sein de l’organisation.
Découvrez les missions, les compétences, la formation, le tjm de freelance et le salaire en CDI de l’Ingénieur VoIP dans notre fiche métier.
Ingénieur VoIP : le métier
Quel est le rôle d’un Ingénieur VoIP?
À la pointe de la technologie des réseaux, l’Ingénieur VoIP a pour rôle principal de gérer les appels voix sur les réseaux IP filaires ou non, privés ou publics, et sur Internet.
Etat des lieux et analyse
La première mission de l’Ingénieur VoIP consiste à faire un état des lieux suivi d’une analyse du réseau déjà existant au sein de l’organisation. Pour ensuite présenter une analyse d’impact d’intégration de nouveaux réseaux qui permettront la convergence des données et les passerelles voix.
Configuration et optimisation
La deuxième partie de son travail consiste à entamer la configuration et l’optimisation de la VoIP afin de permettre la mise en fonction des centre d’appels, salles de conférences et des autres problématiques de mobilité.
Surveillance et dépannage des passerelles réseau voix sur IP
Ce professionnel opère une surveillance permanente sur les passerelles réseau voix sur IP. En effet, l’objectif est d’intervenir sur les éventuelles pannes ou dysfonctionnements. De plus, pour assurer la qualité et la sécurité du réseau, le suivi rigoureux et les audits réguliers sont des parties très importantes de sa fonction.
Ingénieur VoIP : compétences requises
Connaissances techniques propres au support télécoms VoIP
Pour que l’Ingénieur VoIP puisse mener à bien le projet sur lequel il travaille, il lui est indispensable de maîtriser le protocole SIP et les codecs. Il doit également avoir une bonne connaissance des environnements SIP (Proxu/Registrar/SBC) ; opérateurs (Centrex/Trunk) ; passerelle Patton ; BroadWorks et FreeSwitch, en plus des outils de production.
Rigueur et organisation
Face à la complexité de cette fonction, le poste d’Ingénieur VoIP requiert une rigueur et une organisation exemplaire dans l’application des protocoles. Au sein d’une entreprise, le déploiement VoIP est un projet important qui demande une configuration parfaitement maîtrisée.
Curieux et pédagogue
Ce professionnel doit systématique être à la pointe de son métier pour suivre les évolutions les plus récentes et les appliquer à ses projets. Il se doit également d’être pédagogue avec le reste des équipes en raison de la technicité de son travail.
Salaire en CDI et tjm de freelance
Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un Ingénieur VoIP se situe généralement entre 500 et 1000 €. Outre le tjm de freelance ce professionnel en CDI peut avoir un salaire de 5 000 euros bruts par mois. Salaire en CDI et tjm de freelance dépendent entre autre de son ancienneté et de sa localisation.
Formation
Une formation de niveau Bac +5 dans le domaine des réseaux et des télécommunications avec une spécialisation en sécurité des systèmes d’information et de l’architecture des réseaux est généralement requise pour exercer ce métier.
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L’analyste SOC (Security Operation Center), a pour rôle de surveiller les systèmes d’information d’une entreprise. Il doit détecter toutes activités suspectes et malveillantes sur les réseaux informatiques, qu’elles proviennent de l’interne ou de l’externe.
Dans un monde où les cyberattaques sont de plus en plus présentes, son rôle est devenu essentiel.
Le métier d’Analyste SOC : quel est son rôle ?
Faire de la prévention en matière de cybersécurité
En amont de son intervention, l’analyste SOC doit faire de la prévention aux risques. Il doit jouer un rôle d’évangélisateur au sein de l’organisation : communiquer auprès des employés en matière de cyber-risques et donner aux utilisateurs les bonnes pratiques en termes de sécurité des SI.
Interpréter et traiter les alertes
Quand l’analyste SOC détecte une faille dans la sécurité, ou une activité malveillante, il doit en analyser la source et les impacts. Suite à ce travail d’enquête poussée, il doit ainsi mettre en œuvre le plan d’action le plus efficace et rapide pour résoudre le problème. Il doit ensuite mettre en place des mécanismes pour éviter une nouvelle menace.
Faire de la veille
Le monde de la cybersécurité évolue à vitesse grand V et de nouvelles menaces naissent tous les jours. L’analyste doit effectuer beaucoup de veille sur toutes les menaces et les vulnérabilités qui existent, ainsi que sur les nouveaux moyens de s’en protéger. L’objectif ? Mieux anticiper et mieux répondre aux menaces sur le long terme.
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Analyste SOC : compétences requises
Expertise en sécuritédes SI
Pour pouvoir gérer les menaces et trouver les failles du système d’information d’une entreprise, l’analyste SOC doit connaître et savoir utiliser des serveurs et outils de sécurité tels que Proxy, Fireworks, les antivirus, les VPN…
Maîtrise globale des outils et langages informatiques
Quand il doit résoudre les failles de sécurité dans les systèmes d’information, il doit souvent mobiliser des compétences techniques très larges. Maîtriser Linux, Unix ou Windows ainsi que les langages de programmation sur lesquels se base le SI de l’entreprise est bien souvent indispensable. Toutes les entreprises n’utilisent pas les mêmes langages informatiques ou le même système de sécurité. Lors de sa prise de poste, l’analyste SOC doit donc s’adapter rapidement aux différents langages, et être capable de tous les utiliser.
Sens de la communication et du travail en équipe
L’analyste est en contact permanent avec les utilisateurs et travaille de manière transverse avec l’ensemble des départements de l’entreprise. Il doit ainsi faire preuve de compétences relationnelles telles que la faculté à collaborer et partager des compétences.
Contexte
L’analyste SOC est l’un des métiers les plus recherchés dans le domaine de la cybersécurité. Son rôle est en effet indispensable pour le bon fonctionnement des systèmes d’information. Surtout dans un contexte où les attaques sont de plus en plus nombreuses.
Les données informatiques s’accroissent de manière exponentielle, et leur conservation devient de plus en plus difficile. L’Ingénieur Stockage et Sauvegarde a pour rôle de gérer cette problématique pour le compte d’une entreprise. Son profil est de plus en plus recherché sur le marché du travail.
Avant de parler de ses missions ou des compétences requises pour exercer, différencions le stockage de la sauvegarde :
Le stockage est un moyen de garder des données en sécurité dans des serveurs en local ou en ligne. Grâce aux architectures de stockage existantes, il est possible d’accumuler autant de données que l’on souhaite en fonction de la volumétrie disponible sur le serveur ou l’abonnement choisi. La sauvegarde relève quant à elle de la sécurisation et de la pérennisation de ces données.
Le métier d’Ingénieur stockage et sauvegarde
Sa principale mission est de développer et gérer les systèmes hardware et software d’une organisation. Pour cela, il est souvent à la tête d’une équipe de techniciens qu’il est chargé de coordonner.
Ce professionnel évolue souvent dans un environnement challengeant. Il doit constamment rechercher de nouvelles solutions aux besoins exponentiels de conservation de données. Il doit par ailleurs faire face aux problèmes de pérennité des données ainsi qu’à leurs accès.
Compétences requises
Compétences techniques
Pour accéder un tel poste, il est impératif de faire preuve de bonnes compétences et/ou connaissances en systèmes tels que Microsoft Azure, VMware, Hyper-V, NetApp… Il faut être également très à l’aise avec les différents outils informatiques utilisés par l’entreprise.
Flexibilité
La flexibilité est une compétence impérativement requise chez un Ingénieur stockage et sauvegarde. En effet, il doit être en capacité de solutionner les problèmes en temps réel, de jour comme de nuit ; en semaine ou le week-end.
Faire preuve de responsabilité et de rigueur
Etant donné le niveau de responsabilité du poste, ce métier nécessite beaucoup de rigueur car les données sont considérées comme vitales pour une entreprise.
Salaire
Variable en fonction de la société, de la région et du niveau d’expérience de l’ingénieur, les taux journaliers moyens se situent généralement entre 400 et 900 €.
Formation de l’Ingénieur stockage et sauvegarde
La formation conseillée est généralement un Bac +4/5 en école d’ingénieur ou dans la filière informatique, avec une spécialité stockage et sauvegarde des données.
Pentester est un métier issu du domaine de la sécurité informatique. Son nom vient de « penetration test ». Le rôle principal d’un pentester est de veiller à la sécurité des réseaux d’information et des applications (back end d’un site, des applications, …) face aux cyberattaques.
Pentester : le métier
Quel est le rôle d’un pentester ?
Contrôler la fiabilité des sites web
Comme son nom l’indique, le pentester effectue des tests avec des intrusions contrôlées dans les systèmes informatiques de l’entreprise. L’objectif est de trouver de possibles vulnérabilités.
Résoudre les failles
Après l’étape des tests, le pentester foit trouver et mettre en place des solutions pour résoudre les failles qu’il a pu identifier. Il devra alors renforcer et optimiser la sécurité des applications.
Donner des conseils
Le pentester a également un rôle de conseiller. Il doit anticiper les menaces, mettre en place des bonnes pratiques et préconiser certains outils de protection plus performants. Il doit également être en veille sur toutes les cybermenaces qu’on peut trouver actuellement pour pouvoir anticiper les possibles failles à venir.
Pentester : compétences requises
Maîtriser la programmation
Le pentester doit avoir une grande maîtrise technique et connaître les langages de programmation et programmation web, la cryptographie, les systèmes de codage, l’audit de sécurité réseau, Python, C/C++, Java et PHP.
Etre pédagogue
Il doit exprimer aux concepteurs des sites où se trouvent les failles, il doit donc se montrer pédagogue et bien communiquer avec les développeurs et équipes techniques. Il doit savoir expliquer clairement les problèmes pour les gérer au mieux.
Savoir exécuter rapidement ses tests
Lorsqu’une intrusion se manifeste ou qu’un problème de sécurité est repéré dans un système informatique, il faut vite le régler. Car un système mal protégé peut s’avérer dévastateur pour l’entreprise. Il doit donc faire preuve de réactivité et de sang-froid.
Contexte
Un pentester peut évoluer vers un poste de responsable des intrusions ou tout autre poste à responsabolités dans le domaine de la cybersécurité. Son métier est important dans le domaine de l’IT car les cyberattaques sont de plus en plus récurrentes dans notre société.
Salaire
Le taux journalier moyen se situe généralement entre 300 et 600 €.
Formation
Pour devenir pentester, le mieux est d’avoir un diplôme d’ingénieur ou un master en informatique avec une spécialité dans la cybersécurité.