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Développeur Back-End : Fiche métier

Fiche métier - Developpeur Back End
Fiche métier - Developpeur Back End : missions, compétences, formation et salaires

Pour mieux comprendre son rôle notamment par rapport à celui du Développeur Front-End, petite piqûre de rappel pour différencier le front-end du back-end.

Imaginez que vous ayez pour projet l’ouverture d’une boutique. Son bon fonctionnement repose sur deux parties : la boutique qui est l’espace de vente où vous recevez votre client, et l’arrière-boutique qui est l’espace inaccessible au client dont l’activité est essentiel pour faire tourner le magasin. Imaginez maintenant que cette boutique est votre site internet. Grossièrement, le front-end est l’équivalent de la partie visible de votre boutique, tandis que la back-end correspondrait à la partie invisible qui fait tourner le site.

Bien que l’essor des développeurs Fullstack (front + back) vienne bousculer la segmentation de rôles, le développeur Back-End travaille essentiellement sur le côté serveur (l’arrière-boutique) alors que le développeur Front-End va plutôt agir sur le côté client (le magasin)

Le métier de Développeur Back-End

Généralement rattaché à un Chef de Projet Technique ou un Tech Lead, le Développeur freelance Back-End est en charge de la partie « invisible » des applications web d’une organisation soit tout ce qui communique entre la base de donnée et le navigateur.

Son travail consiste à développer et faire évoluer les fonctionnalités techniques d’une application web. Ceci en agissant principalement sur l’architecture du serveur, l’administration de la base donnée et la communication des ces derniers avec l’application.

A titre d’exemple, le développeur Back-End mettra en place la structure et écrira le code qui mettra à jour vos informations sur un site lorsque vous soumettez un formulaire d’inscription.

Selon le contexte, ce travail peut se faire à partir d’une solution déjà existante de type framework ou CMS, ou à partir de zéro.

Les développeurs Back-End travaillent souvent en lien avec les métiers, pour répondre le plus efficacement posssible aux problématiques business et assurer la scalabilité et la sécurité des applications.

Compétences requises

Maîtrise des langages de programmation
Friand de coding, le Développeur freelance Back-End se concentre sur les langages de programmation et de scripting. Il doit avoir une bonne connaissance du fonctionnement aussi bien d’un serveur que d’un navigateur web. Il doit connaître les différents framewords back-end (Laravel, Ruby on Rail, J2E, etc.) et bien sûr, savoir exploiter les langages de programmation comme : PHP, Ruby, Python, .Net, Node.JS, C# ou encore SQL.
Avec l’avènement de cloud, il est également recommander de savoir paramétrer des services tels que Amazon Web Services, Microsoft Azure ou Google Cloud Platform.

Passion du domaine et pratique de l’anglais
Ce métier demande un intérêt proche de la passion. En effet il doit quotidiennement faire une veille technologique pour se tenir informer de l’évolution des nouveaux standards de langage afin de s’y adapter.
La pratique de l’anglais est nécessaire car la plupart des ressources et l’exécution des tâches peuvent être en anglais.

Faire preuve d’autonomie et de rigueur
Ce poste exige une rigueur et une autonomie incontestables. En plus de son devoir d’instaurer un dialogue efficace et pédagogue avec ses collaborateurs, le Développeur freelance Back-End se doit de respecter les délais qui lui sont imposés.

Contexte

Les Développeurs Back-End sont des experts que l’on peut retrouver au sein d’agences digitales, PME et grandes entreprises. A l’instar de ces salariés, de plus en plus de développeurs font le choix d’exercer cette fonction en freelance. En effet ce statut leur offre de nombreux avantages.

Salaire

Les taux journaliers moyens de ce développeur freelance se situent entre 200 et 600€. Ils sont variable en fonction de la société, de la région et du niveau d’expérience du développeur.

Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !

Formation

Pour devenir Développeur freelance Back-End, plusieurs itinéraires sont envisageables. Il peut être issu d’une formation informatique type BTS ou DUT (Services Informatiques aux Organisations ou Systèmes Numériques par exemple). Ou d’un Master Développement Web ou encore d’une école d’ingénieur. Il peut également pratiquer sans formation au préalable, un grand nombre d’entre eux sont autodidactes.

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Fiches métiers Infra

SRE (Site Reliability Engineer) : Fiche métier

SRE "Site Reliability Engineer" : Fiche métier

Le SRE signifie « Site Reliability Engineer ». Le métier est parfois traduit en français comme « Ingénieur en qualité opérationnelle » ou « Ingénieur de fiabilité de site ». C’est une fonction de plus en plus convoitée au sein des départements IT.

Le métier de SRE découle d’une approche de gestion des systèmes de production créée chez Google en 2003. Il découle également plus largement de l’approche DevOps. La fonction se fonde ainsi sur la mise en œuvre d’une synergie entre le développement et les opérations. Cette synergie vise à accélérer la création et le déploiement d’applications.

Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du SRE (Site Reliability Engineer), les compétences principales, le salaire et la formation de ce professionnel de l’informatique.

Vous êtes Site Reliability Engineer à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions SRE directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI Minquest.

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1. Le métier de SRE : quel est le rôle d’un Ingénieur en fiabilité des sites ?

1.1. Analyser le cahier des charges du projet

La première mission d’un SRE est d’analyser les problèmes et les fails de sécurité d’une application. Il doit comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas sur une application, afin de l’optimiser.

1.2. Travailler en collaboration avec les développeurs et les commerciaux

Le SRE va devoir s’entretenir avec les développeurs et commerciaux pour bénéficier de leurs retours et réussir ses missions. L’avis des deux côtés est ainsi important. A la fois pour comprendre les ressentis extérieurs et ce que les utilisateurs reprochent en terme de sécurité/fiabilité. Il faut aussi comprendre ce que les développeurs ont fait, et donc pouvoir analyser plus rapidement les problèmes.

1.3. Créer de l’automatisation

Afin de gagner de temps et de l’efficacité, l’ingénieur en fiabilité des sites devra être capable de mettre en place des automatisations pour les tâches récurrentes, notamment grâce à des algorithmes.

Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique ? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.

2. SRE : compétences requises

2.1. Être à l’aise en programmation

Le SRE devra être capable d’écrire et de programmer tous types d’application, et devra être à l’aise avec beaucoup de langages classiques tels que JavaScript, Java, .NET. Mais aussi des langages plus récent comme, Node.js ou bien Golang.

2.2.Traduire un langage commercial en langage technique

Quand le SRE reçoit le cahier des charges, il doit être en capacité de comprendre la finalité commerciale du client et d’ensuite mettre en place les moyens technique pour résoudre le problème.

2.3. Comprendre tous les points de vue

L’ingénieur en fiabilité des sites devra se mettre à la place des développeurs, mais aussi des utilisateurs du site ou de l’application pour comprendre quels peuvent être leurs freins par rapport au système de sécurité.

Découvrez aussi nos fiches métiers : Ingénieur en Robotique, Développeur Blockchain et Technicien Helpdesk !

3. Contexte

En général un SRE est avant tout un développeur, et il aura en plus, des connaissances en infrastructure opérationnelle et problèmes de performances.

Vous êtes freelance informatique à la recherche de missions IT pour consultant SRE ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.

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4. Salaire du SRE

Le taux journalier moyen d’un SRE se situe généralement entre 550 et 750€.

Découvrez également nos fiches métiers : Consultant en qualification logicielle, Responsable d’applications IT et Directeur des systèmes d’information !

5. Formation du SRE

Pour devenir Ingénieur en fiabilité des sites, le mieux est d’avoir une formation en informatique et plus particulièrement en langage et programmation.

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SRE (Site Reliability Engineer)

Vous recherchez des opportunités de missions informatiques dans la Tech et l’IT en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de SRE (Site Reliability Engineer) en consultant nos offres de missions freelances et CDI disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :

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Digital Fiches métiers

Expert SEO : Fiche métier

Fiche métier - Developpeur Back End
Fiche métier - Developpeur Back End : missions, compétences, formation et salaires

Le SEO, ou référencement naturel, est devenu un point clé pour générer du trafic de qualité sur son site web. Les utilisateurs étant de plus en plus impatients, 91% des clics se font sur la première page du moteur de recherche. Il est donc essentiel pour une entreprise d’être présente sur celle-ci afin de maximiser sa visibilité.

L’objectif d’un expert SEO est donc de tout mettre en oeuvre pour optimiser la visibilité web d’une marque sur internet.

Expert SEO : le métier

Quel est le rôle d’un expert SEO

Réalisation d’un audit
L’expert SEO est souvent sollicité par une entreprise pour remettre à plat sa stratégie de référencement. Sa première mission est donc d’analyser l’état actuel du site (méta données, mots clés…), la cible, les retombées (taux de clics, taux de rebond…), ainsi que les sites web des concurrents.

Prescription de la stratégie
Une fois la phase d’analyse effectuée, l’expert SEO va pouvoir définir son plan d’action, et établir la stratégie à mettre en place pour optimiser la visibilité du site en fonction du secteur d’activité. Définir les mots clés les plus efficaces, optimiser les liens internes et externes mais également réorganiser les pages du site en fonction du positionnement et des objectifs du site web.

Implémentation et suivi, mesure de la performance
Il doit ensuite coordonner la mise en place des actions, en lien avec les équipes techniques. L’expert SEO doit par ailleurs manager les équipes SEO si elles existent, ou les équipes chargées du contenu. Il doit mettre en place des bonnes pratiques, et faire un suivi pour s’assurer de leur application. Il doit enfin analyser si les mesures mises en place ont été bénéfiques et voir si d’autres optimisations sont nécessaires par la suite.

Expert SEO : Compétences requises

Connaissance des outils SEO et langages internet
L’expert SEO doit avoir des connaissances techniques pointues : il doit savoir utiliser les outils SEO de base tels que Google Analytics ou Semrush et des outils parfois plus spécifiques. Ces outils lui servent dans la phase d’analyse de l’état actuel du site et pour mesurer les résultats des actions mises en place. Il est par ailleurs souvent utile d’avoir des connaissances en langages HTML, CSS ou encore Javascript.

Esprit analytique et rigueur
L’expert SEO doit être parfaitement à l’aise avec les chiffres et maîtriser les (nombreux) KPIs essentiels à son activité. Il doit également être organisé et faire preuve d »une grande rigueur : hiérarchiser les tâches à accomplir, et se construire un plan d’action précis. Le SEO étant une discipline qui évolue très vite, il doit mettre à jour ses connaissances très régulièrement, notamment sur les algorithmes des moteurs de recherche.

Capacités relationnelles
L’expert SEO doit être un bon communicant. Il doit souvent travailler en lien avec plusieurs équipes et relayer les informations. L’expert SEO doit connaître parfaitement le domaine d’activité de l’entreprise. Ceci pour être en mesure d’analyser en profondeur le site internet en question et celui des concurrents. Il doit savoir se mettre dans la peau du public cible pour appliquer une stratégie contenus et SEO adaptée.

Contexte

Les métiers du référencement web sont de plus en plus présents car des milliers de sites web sont créés chaque jour, et les entreprises se livrent de véritables batailles de visibilité. Les experts SEO peuvent travailler en agence, au sein d’un département marketing d’une entreprise, ou intervenir en tant que consultants indépendants.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un expert SEO freelance se situe entre 250 et 600€. Il diffère selon son niveau d’expérience et de technicité.

Formation

Pour devenir expert SEO, il est souvent recommandé de faire une formation Bac+3 à Bac+5. Il est possible de débuter par une licence pro (par exemple référenceur ou rédacteur Web). Puis d’effectuer un master en communication digitale, multimédia et e-commerce.

La concurrence est forte et il est souvent nécessaire de bénéficier de plusieurs années d’expérience.

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Découvrez notre fiche métier : Consultant en transformation digitale

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Développement Fiches métiers

Développeur Blockchain : Fiche métier

développeur blockchain fiche métier

Le développeur blockchain est le représentant d’une discipline relativement nouvelle que les entreprises recherchent de plus en plus.

D’après Blockchain France, la blockchain est « une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle ». Elle permet de crypter des chaînes d’informations indépendantes les unes des autres et inaltérables, ouvrant la voie à un web décentralisé. Les champs d’exploitation de la blockchain sont immenses et concernent tous les secteurs d’activité.

Les développeurs ou ingénieurs blockchain doivent faire évoluer leurs compétences au gré des évolutions des technologies du futur sur lesquels ils travaillent.

Le métier de Développeur Blockchain

Programmer
Comme tous développeurs freelances, celui qui s’est spécialisé dans le blockchain doit développer des logiciels, sites, applications… Il doit également créer de nouvelles fonctionnalités, toutes basées sur une blockchain, qu’elle soit publique ou privée. Les projets sont diverses en raison des très nombreuses applications possibles de la blockchain.

Faire des tests
Lorsque de nouvelles fonctionnalités sont mises en place, le développeur blockchain doit créer et gérer les tests unitaires, d’acceptation, d’intégration et de performance. La méthode la plus connu pour les tests ce fait avec la plateforme CI/CD.

Manager des projets
Le développeur freelance blockchain a souvent des tâches de gestion de projet. Il peut gérer les phases de pré-production et production d’un logiciel et analyser les données numériques de ses projets.

Développeur Blockchain : compétences requises

Des connaissances techniques sur le domaine d’application
Pour devenir développeur freelance blockchain, il faut souvent avoir des compétences bien spécifiques en informatique. Par exemple en cryptomonnaies. Il s’agit de devises électroniques, ou virtuelles, qui s’échangent de pair à pair sur un système informatique décentralisé, tenu à jour en permanence et (réputé) inviolable.

Une bonne compréhension des bases de données et des languages de programmation
Le développeur freelance blockchain doit maîtriser les bases de données. MySQL et NoSQL sont les deux plus utilisées dans le domaine. Un développeur blockchain doit également souvent savoir utiliser les langages de programmation tels que C++, JavaScript, JAVA, Python, HTML, CSS, AngularJS, C# et PHP.

La curiosité et la faculté à se tenir informé des innovations technologiques
La technologie blockchain évolue très vite et les professionnels spécialistes sont peu nombreux. Ils doivent donc réaliser une veille technologique continue pour se tenir au courant des dernières évolution. Mais également pour assurer leur montée permanente en compétences sur le sujet. Ainsi, les développeurs blockchain sont souvent des passionnés qui aiment partager avec leur communauté.

Contexte

Les développeurs blockchain sont de plus en plus recherchés, en particulier par les grands groupes qui lancent des projets basés sur ces nouvelles technologies pour appliquer le principe des smart contracts à leur activité. Il existe bien évidemment également de nombreuses startups à forte croissance et entreprises de technologies qui basent entièrement leurs produits ou services sur la blockchain.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un développeur freelance blockchain dépend très largement du niveau d’expérience, des projets réalisés, et de la spécialisation du profil, mais il se situe généralement entre 500 et 1000€. Les profils sont rares et les salaires sont donc généralement plus élevés que pour d’autres types de développeurs.

Formation

Pour devenir développeur freelance blockchain, il faut souvent avoir un diplôme d’ingénieurie ou d’informatique. Il existe désormais des formations spécialisées sur la blockchain, mais beaucoup de professionnels se forment par ailleurs en autodidacte, en travaillant directement sur les projets ou en lien avec la communauté.

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Découvrez notre fiche métier : Développeur Android

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Développement Fiches métiers

Développeur Ruby : Fiche métier

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Dans le domaine du développement web, il existe de nombreuses spécialités et langages comme Swift, Node.js, React.js ou encore Ruby. Le développeur Ruby est un spécialiste de ce langage.

Ruby est un langage de programmation libre. Il est orienté objet et multi-paradigme. Relativement peu de développeurs font le choix de se spécialiser sur ce langage, bien qu’il ait une syntaxe facile à appréhender et agréable à utiliser. Pourtant c’est un langage apprécié dans les startups et entreprises du digital, comme Airbnb, Hulu ou bien Groupon.

Le métier de développeur Ruby

Analyser le cahier des charges du projet
La première mission de ce professionnel est de comprendre les besoins de son client, qu’il soit interne ou externe, et de mettre en œuvre les solutions de programmation les plus adaptées au regard du budget et du timing du projet.

Développer des applications et fonctionnalités adaptées
En utilisant le langage de programmation Ruby et le framework open source Ruby on Rails, le développeur a pour mission de coder et concevoir des applications web qui respectent le cahier de charge établi par le chef de projet web, ou responsable IT.

Gérer les tests et assurer le suivi des projets
Tout au long de la phase de code, le développeur Ruby doit assurer les tests. Une fois les solutions mises en place, il doit veiller à ce que tout fonctionne correctement. Il doit également parfois former son client ou les équipes internes aux nouveaux systèmes installés.

Développeur Ruby : compétences requises

Maîtrise du langage Ruby
Le développeur freelance Ruby doit maîtriser ce language de programmation sur le bout des doigts, ainsi que le framework open source Ruby on rails. Il est par ailleurs utile de maîtriser d’autres langages web : HTML, CSS, Javascript…

Capacité à s’auto-former
Le langage Ruby évolue régulièrement, il faut donc que le développeur soit toujours au courant des nouvelles fonctionnalités et qu’il soit capable de les utiliser. Cela requiert un travail fondamental de veille et d’auto-formation.

Polyvalence
Ce professionnel doit souvent être capable de travailler sur le web, sur des applications mobiles, sur des jeux vidéo… Il doit donc avoir des connaissances dans tous ces domaines en plus de ses connaissances techniques de programmation.

Rapidité d’exécution
En cas de problème sur une application web ou mobile, celui-ci doit être géré rapidement. Le développeur freelance Ruby doit donc savoir analyser d’où vient le dysfonctionnement et trouver la solution dans des délais les plus courts possibles.

Contexte

La spécialité Ruby est assez rare pour un développeur freelance, il s’agit donc d’un profil assez recherché par les entreprises. Ce professionnel peut travailler en agence web, chez le client ou bien en freelance.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un développeur freelance Ruby se situe généralement entre 300 et 550 €.

Formation

Il n’existe pas de formation type pour ce métier. Une formation en informatique (bac +2 à bac +5, école d’ingénieur…) est souvent utile pour acquérir des bases sur les principaux langages informatiques. Il est ensuite possible de se spécialiser sur Ruby grâce à des formations spécifiques. Il existe d’ailleurs de nombreuses ressources en ligne permettant aux professionnels de s’auto-former.

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Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !

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Digital Fiches métiers

IT Vendor Manager : Fiche métier

IT Vendor Manager : Fiche métier

Le métier d’IT Vendor Manager est encore relativement nouveau mais se développe de plus en plus au sein des départements IT des grandes entreprises. Il s’inscrit dans une tendance de fond : celle de l’externalisation sur les fonctions technologiques et informatiques. De plus en plus d’entreprises décident en effet de faire appel à des prestataires externes plutôt que de réaliser en interne certains développements ou certaines prestations.

L’IT Vendor Manager intervient par exemple lorsqu’une entreprise choisit un nouveau logiciel de gestion, se lance dans le renouvellement de son matériel informatique ou décide de faire appel à un prestataire de services IT. Il dirige le processus de sélection des fournisseurs, détermine lequel offre le rapport qualité-prix optimal pour l’entreprise, et gère l’ensemble de la relation avec le prestataire choisi.

Quel est le rôle de l’IT Vendor Manager

Bien définir les besoins de l’entreprise en matière d’équipements et de services IT
Pour réaliser sa mission au mieux, l’IT Vendor Manager doit établir une bonne communication entre toutes les parties prenantes. En particulier en interne avec les équipes IT et les métiers qui seront utilisateurs des solutions et matériels informatiques en question. Il doit faire preuve d’écoute et d’analyse pour bien définir les besoins.

Gérer la relation avec les fournisseurs
L’IT Vendor Manager a un rôle de négociateur et de médiateur. Il est en contact constant avec les fournisseurs IT de l’entreprise. Il doit assurer le suivi des prestations, évaluer la qualité du service et travailler à l’optimisation des services externalisés.

Gérer les aspects administratifs et financiers
C’est lui qui va avoir en charge la partie administrative et financière du contrat avec les fournisseurs. Il devra s’assurer du respect des engagements de service et négocier des pénalités en cas de leur non respect.

IT Vendor Manager : Compétences requises

Avoir un bon relationnel
Pour que les opérations se déroulent correctement, il doit faire preuve de transparence et de diplomatie en interne et en externe, afin que la communication soit claire auprès de toutes les parties prenantes.

Avoir des compétences techniques en IT
Pour réussir à communiquer le mieux possible, il doit comprendre tous les tenants et aboutissants de l’objet du contrat. Il doit donc avoir des connaissances en matière de logiciels, matériels informatiques et services IT, et des connaissances pointues sur les usages métiers.

Etre organisé et rigoureux
L’IT Vendor Manager doit savoir piloter les actions liées à l’exécution d’un contrat et doit donc avoir des compétences liées à la gestion de projet. Il doit également faire preuve d’une grande rigueur et aimer les chiffres pour garantir la gestion administrative et financière.

Découvrez aussi nos fiches métiers : Développeur Angular.js, Ingénieur système Linux et Consultant en transformation digitale !

Contexte

Ce professionnel peut évoluer au sein de la DSI d’une entreprise dans n’importe quel secteur. Mais on le retrouve surtout dans les domaines des technologies de l’information, de sociétés de services et de l’administration publique.

Salaire

Le salaire d’un IT Vendor Manager varie énormément. Par exemple selon l’ampleur et la complexité des projets à gérer et le profil de l’entreprise. Le taux journalier moyen peut varier entre 450 et 900 € environ.

Formation

Pour accéder à ce métier, il est recommandé de posséder un Bac +5. Très souvent avec un master en informatique, en commerce ou en ingénierie. Ce métier étant encore relativement peu courant il n’existe pas actuellement de parcours tout tracé ou de formations académiques spécifiques.

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fiche métier vendor manager

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Data & Business Intelligence Fiches métiers Project Management

Business Analyst IT : Fiche métier

Business Analyste IT fiche métier
Business Analyst IT : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le métier de Business Analyst IT vise à faire le pont entre les diverses directions opérationnelles et la Direction des Systèmes d’Information (DSI). Sa mission principale ? Assurer l’adéquation du Système d’Informations d’une entreprise avec ses objectifs stratégiques. Il doit donc analyser les besoins métiers et les traduire en objectifs techniques.

La principale différence entre un Business Analyst classique et un Business Analyst IT repose ainsi sur le fait que ce dernier ne délègue pas la partie opérationnelle du projet.

Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Business Analyst IT, les compétences principales, le salaire et la formation de ce professionnel de l’informatique.

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1. Le métier de Business Analyst IT : quel est son rôle ?

1.1. Analyser les problèmes informatiques

Il va tout d’abord déceler les sources de perte de temps, d’énergie ou bien d’argent dans les systèmes informatique de l’entreprise. Il va donc commencer par analyser l’ensemble des process, outils et usages, pour identifier les points d’amélioration.

1.2. Elaborer une stratégie

Après avoir effectué son analyse, le Business Analyst IT va définir un plan d’action et ensuite poser les bases du projet. Le projet peut ainsi avoir pour but d’améliorer la production, les ventes, la gestion de la relation client, la circulation de l’information ou encore la logistique. Ses champs d’actions sont donc extrêmement larges !

1.3. Mettre en place la stratégie

A la différence du Business Analyst classique, il va être en charge du projet jusque dans sa partie opérationnelle. C’est-à-dire qu’après avoir défini la stratégie il sera en relation avec les équipes de développement pour gérer directement l’implantation des nouveaux systèmes informatiques ou l’optimisation des systèmes existants.

2. Compétences requises du Business Analyst IT

2.1. Analyse et prise de décision

Afin d’élaborer la meilleure stratégie possible, ce consultant indépendant doit analyser les systèmes informatiques jusque dans leurs moindres détails et ainsi déterminer de quelle façon ils peuvent être améliorés. En outre, dans certains cas, il doit analyser les différentes options en vue de remplacer le système existant.

2.2. Capacité à s’adapter

Un consultant en Business Analyse IT évolue souvent au cours de sa carrière dans divers secteurs d’activités. Il doit donc rapidement prendre connaissance du marché, du fonctionnement de l’entreprise, et prendre en main les systèmes informatiques utilisés. Il doit avoir une connaissance technique de ces systèmes, mais il doit également comprendre comment les équipes s’en servent.

2.3. Capacité à réaliser une veille technique et stratégique

Pour élaborer les meilleurs stratégies possibles, il s’assure de s’informer en continu des actualités sur les systèmes informatiques.

2.4. Maîtrise du langage informatique

Faisant partie de l’équipe de développement, il doit souvent maîtriser des langages de programmation comme SQL, Java, NET, C++, Python…

Vous souhaitez en savoir plus sur le Big Data et la Business Intelligence ? Découvrez notre dossier spécial sur les différences entre la Business Intelligence et le Big Data.

3. Contexte

Un Business Analyst IT peut évoluer dans n’importe quel secteur d’activité, au sein d’entreprises variées tant que le système d’information est suffisamment important. Il est généralement intégré à la DSI.

Ces talents IT peuvent donc être recrutés par divers employeurs tels que des entreprises technologiques, des entreprises de services financiers, des cabinets de conseil en management, des entreprises de toutes les industries et des organisations gouvernementales.

Les opportunités d’emploi pour les BA en informatique existent ainsi dans un large éventail de secteurs et dépendent des besoins spécifiques de chaque entreprise ou organisation.

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4. Salaire du Business Analyst IT

Le taux journalier moyen du Business Analyst IT se situe entre 400 et 700 €, selon l’expérience et le type de profil.

En général, le salaire annuel de ce talent IT en CDI peut se situer dans une fourchette allant de 40 000 € à 80 000 € ou plus. Les professionnels expérimentés, possédant des compétences spécialisées ou travaillant pour des entreprises de grande envergure, peuvent généralement s’attendre à des salaires plus élevés.

Découvrez nos fiches métiers : Coach Agile, Analyste SOC et Data Scientist.

5. Formation Business Analyst IT

Pour accéder à ce métier, il est recommandé d’avoir un Bac +5. Un master en Economie/Business/Management ou en Sciences informatiques.

De nombreux organismes proposent également des cours et des certifications spécifiques à l’analyse commerciale et aux compétences en informatique. Par exemple, l’International Institute of Business Analysis (IIBA) propose la certification CCBA (Certification of Capability in Business Analysis) et la certification CBAP (Certified Business Analysis Professional) qui sont reconnues dans l’industrie. D’autres certifications telles que PMI-PBA (Professional in Business Analysis) et AgileBA (Agile Business Analysis) peuvent également être utiles.

Acquérir de l’expérience pratique est essentiel pour devenir un de ces experts freelance compétents. Cela peut ainsi se faire par le biais de stages et de projets académiques. Mais auss de missions professionnelles ou en travaillant sur des initiatives internes de votre entreprise. La participation à des projets informatiques et à des équipes interfonctionnelles vous permettra également de développer des compétences pratiques en analyse commerciale.

6. Téléchargez votre fiche métier Business Analyst IT :

Business Analyst IT

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Développement Fiches métiers

Développeur Mobile : Fiche Métier

développeur mobile fiche métier
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Un Développeur Mobile a pour rôle de développer des applications pour mobiles, smartphones et tablettes en tenant compte des spécificités d’affichage sur les différents supports. Si l’entreprise dispose déjà d’un site internet sa mission sera d’adapter celui-ci aux dimensions d’un mobile. Dans le cas contraire, son rôle peut être de créer un site ou une application sans base – « from scratch ».

Le métier de Développeur Mobile requiert de bonnes bases d’UI (User Interface) et UX (User Experience). En effet il doit s’assurer que tout soit adapté aux tailles des écrans et à la navigation sur mobile. C’est-à-dire : le contenu, la taille de la police, la typographie, les couleurs, les liens hypertextes, les formulaires de contact, les moyens de paiement…

Développeur Mobile : ses missions

Analyse du cahier des charges et choix de la solution technique

L’une des premières tâches du Développeur freelance Mobile est d’analyser le cahier des charges élaboré en relation avec les différents chefs de projets (technique et fonctionnel). Une fois cette analyse réalisée, il doit déterminer la solution technique adaptée. Et enfin définir l’architecture du projet quelle que soit l’interface.

Codage et intégration

Une fois la solution technique définie, il passe à la programmation. Cette étape est cruciale. Puis le Développeur freelance Mobile a pour rôle de coder intégralement l’application. Si l’application existe déjà, il apportera les modifications correspondantes aux nouveaux besoins du client. C’est aussi à ce moment-là qu’il doit intégrer l’ensemble des contenus fournis par son client (textes, images…).

Phases de test et maintenance évolutive

Une fois l’application codée, c’est à lui de réaliser une phase de recette et de test. Ceci lui permettra d’identifier toutes les anomalies à corriger avant la mise en ligne de l’application. Enfin, une fois l’application corrigée et validée, il reste souvent actif sur le projet. Son rôle évolue vers la maintenance et la proposition d’améliorations.

Développeur Mobile : Compétences requises

Connaissance des écosystèmes de développement mobile

Un développeur mobile doit avoir une excellente connaissance des écosystèmes de développement propres à Apple et Google. Mais aussi connaître les différents outils de développement mobile qui existent en plus de connaître parfaitement les enjeux du mobile.

Maîtrise des langages de programmation

La bonne connaissance des langages de programmation est essentielle. Un Développeur Mobile doit maîtriser les différents langages de programmations classiques mais aussi les langages qui permettent de travailler sur d’autres environnements (Windows Phone …).

Rigueur et curiosité

La rigueur, la curiosité et la créativité sont des softs skills essentielles pour un Développeur freelance Mobile. En effet, c’est un métier qui nécessite rigueur et précision où il est recommandé de faire régulièrement une veille pointue des nouvelles technologies et des évolutions digitales.

Contexte

Les smartphones et les tablettes n’ont jamais été aussi nombreux et l’Internet des Objets, en plein essor, ne fait que multiplier les possibilités d’objets connectés et mobiles. Conséquence : il est désormais nécessaire pour une entreprise ou une marque d’être présent sur les appareils mobiles. Ce métier est donc un métier qui a un bel avenir devant lui d’autant plus que la demande d’applications dédiées ou de sites mobiles explose.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un Développeur freelance Mobile se situe généralement entre 200 et 600 € selon le niveau d’expertise et d’expérience.

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Formation

Pour devenir Développeur Mobile, il est souvent recommandé de faire une formation Bac+3 à Bac+5, que ce soit à l’Université, en École d’informatique ou encore en École d’ingénieur. Après avoir obtenu un diplôme, il est fortement conseillé de développer ses compétences en pratiquant. Certains développeurs apprennent sur le tas où en se formant en ligne.

Les possibilités d’évolution sont multiples : chef d’équipe, chef de projet mobile, chef de projet technique ou encore directeur de projet mobile… On devient généralement développeur d’applications mobiles après avoir développé des sites web ou des logiciels.

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Découvrez notre fiche métier : Développeur Swift

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Ingénieur en Robotique : Fiche métier

Fiche Métier Ingénieur Robotique
Ingénieur en Robotique : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le secteur de la robotique connaît une croissance fulgurante, avec des revenus qui s’élèvent à plus de 100 milliards de dollars. L’ingénieur en robotique peut être amené à travailler sur tous types de robots, avec tous types de fonctionnalités et vocations. Il intervient généralement sur des étapes spécifiques de la conception ou de l’optimisation d’un robot. Ses missions vont donc de la recherche à la création, jusqu’à la maintenance des robots qu’il a conçus. Mécanique, mathématiques, informatique… la robotique recouvre de larges domaines d’expertise !

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1. Ingénieur en robotique : quel est son rôle ?

1.1. Définir la faisabilité d’un projet et ses contraintes

Quand l’Ingénieur en robotique travaille à la conception d’un robot, il commence à prendre connaissance des spécificités requises et des tâches à réaliser. Il élabore ensuite des propositions techniques et définit les méthodes de conception pouvant être utilisées. Pour ce faire il réalise ce qu’on appelle un dossier technique ou cahier des charge.

1.2. Réaliser un premier prototype et analyser les résultats

Ce prototype lui permet de participer à l’élaboration et à la mise en œuvre d’essais et de tests de validation. Ensuite, une fois les tests et essais réalisés, il analyse les résultats et détermine les points d’amélioration à apporter au produit ou au procédé.

1.3. Assurer un suivi

Il se doit d’assurer un suivi tout le long du process et une fois le robot conçu, il en assure bien souvent l’assistance technique et peut travailler sur des projets d’optimisation.

Découvrez aussi nos fiches métiers Solutions Architect et Consultant SAP FI CO.

2. Ingénieur en robotique : Compétences requises

2.1. Polyvalence et bonnes connaissances

Un Ingénieur en robotique doit faire preuve d’une grande maîtrise technique et notamment avoir de bonnes connaissances scientifiques : mathématiques, informatique, mécanique électrotechnique…  Tout en étant évidemment très à l’aise avec les différents outils informatiques et de programmation spécifiques à la robotique.

2.3. Rigueur

C’est un métier qui nécessite beaucoup de rigueur, la moindre petite erreur pouvant souvent avoir de fortes répercussions. Cette rigueur se traduit également par ses connaissances, qu’il doit actualiser régulièrement en se tenant au courant des évolutions technologiques.

2.3. Esprit d’analyse et créativité

Il doit avoir un bon esprit d’analyse et être créatif. En effet, ce sont des softs skills qui lui permettront de trouver la solution adéquate lorsqu’un problème se présente.

3. Contexte

Aujourd’hui, un Ingénieur en Robotique peut travailler dans un centre de recherche (public ou privé), dans de petites entreprises spécialisées en robotique, dans des PME ou des start-up innovantes.
Ainsi il existe de nombreux débouchés dans des secteurs très variés : automobile, médecine, aéronautique…

4. Salaire

Le taux journalier moyen d’un Ingénieur en Robotique dépend beaucoup du niveau d’expérience et d’expertise, mais se situe généralement entre 500 et 1000 €.

5. Formation

Pour devenir Ingénieur en Robotique, l’idéal est de posséder un diplôme d’ingénieur avec une spécialisation en automatique, robotique, mécatronique ou encore électronique. Vous pouvez aussi accéder à ce métier avec un master ou un doctorat spécialisé.

Pour ce qui est des évolutions, il peut évoluer vers la gestion de projets ou le management d’équipe.

6. Téléchargez votre fiche métier :

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ERP & SAP Fiches métiers

Consultant Salesforce : Fiche métier

Fiche Métier - Consultant Salesforce
Consultant Salesforce : métier, missions, salaire, formation, compétences

Salesforce est une plateforme CRM (Customer Relationship Management) permettant aux entreprises d’optimiser leurs interactions avec leurs clients. Le consultant Salesforce est donc au cœur de la relation client et est un spécialiste de la solution informatique Salesforce. Son rôle est de conseiller les entreprises sur la stratégie à mettre en place et de réaliser des études consommateurs dans le but d’orienter les décisions de ses clients.

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1. Le métier de Consultant Salesforce : quel est son rôle ?

1.1. Définir les besoins des utilisateurs et rédiger le cahier des charges

Le cœur de ce métier est la relation client. En effet le consultant recueille les besoins des entreprises et leur propose différents outils Salesforce en fonction de leurs besoins et objectifs. Une fois les informations collectées, il rédige alors un cahier des charges décrivant les besoins et les solutions qui peuvent être apportées.

1.2. Piloter le développement de l’outil Salesforce

Une fois les besoins collectés et le cahier des charges rédigé, il est alors en charge de paramétrer les différents outils et d’en piloter le développement. Finalement, tout au long du projet, il doit accompagner le client et l’aider à optimiser sa stratégie.

1.3. Former les utilisateurs

L’une des missions clefs de ce consultant est la formation des utilisateurs. En effet, une fois les outils installés, il apprend aux utilisateurs à en tirer parti et les aide à avoir une bonne prise en main de la plateforme en général.

2. Consultant Salesforce : compétences requises

2.1. Maîtrise de l’outil de CRM Salesforce

Afin de déployer la solution chez un client, il doit connaître parfaitement la plateforme Salesforce et avoir une bonne compréhension des différents outils disponibles.

2.2. Esprit d’analyse et rigueur

Il est important que le consultant Salesforce possède un bon esprit d’analyse et une organisation rigoureuse. De ce fait, il sera capable de traiter des bases de données pour en extraire des analyses pertinentes. Ceci pour améliorer ainsi la stratégie de relation client en place.

2.3. Des connaissances dans le marketing et la vente

Pour pouvoir comprendre les besoins de son client, il est souvent très utile pour le consultant Salesforce de connaître et maîtriser les enjeux de la relation avec les clients et les prospects. Avoir une vision à 360° des processus de l’entreprise et du contexte du marché est en effet souvent très utile.

Vous souhaitez en savoir plus sur l’ERP ? Découvrez notre dossier spécial sur l’ERP et les avantages et les inconvénients de SAP.

3. Contexte

Un consultant Salesforce peut évoluer au sein de structures très variées. Il peut en effet s’agir de cabinets de conseils spécialisés en SI, ou d’entreprises qui utilisent cette solution, tous secteurs confondus.

D’autre part, cet expert IT travaille avec diverses parties prenantes, notamment les clients/utilisateurs finaux, les équipes internes de l’organisation, les administrateurs Salesforce, les équipes de développement et les partenaires Salesforce. La collaboration varie également en fonction du projet et des besoins spécifiques de l’organisation.

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4. Salaire du Consultant Salesforce

La rémunération d’un consultant Salesforce peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment l’expérience, le niveau de compétence, l’emplacement géographique, la taille de l’entreprise etc.

Le taux journalier moyen d’un Consultant Salesforce se situe généralement entre 300 et 800€.

Quant au salaire pour cet expert en CDI, voici un aperçu de la fourchette de salaires auque il peut s’attendre :

  • Junior : le salaire d’un consultant Salesforce junior peut varier entre 30 000 € et 50 000 € par an.
  • Intermédiaire : pour un consultant avec une expérience intermédiaire, le salaire peut se situer entre 50 000 € et 80 000 € par an.
  • Senior : les consultants Salesforce seniors ayant une expérience étendue et une expertise approfondie peuvent s’attendre à un salaire allant de 80 000 € à 120 000 € par an. Mais le montant peut aussi être plus élévé en fonction des responsabilités et du niveau de gestion.

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5. Formation du Consultant Salesforce

Pour accéder à ce métier, il faut un Bac +5. Les diplômés d’écoles de commerce ou d’ingénieurs sont habituellement très appréciés des employeurs. Il est également possible d’accéder à ce métier avec un master professionnel spécialisé en Relation client et Marketing, ou en Sciences du management. Pour se spécialiser sur le CRM Salesforce, il peut donc choisir de suivre une formation spécifique dispensée par Salesforce ou par d’autres organismes de formation. 

Le consultant Salesforce peut ensuite évoluer en manager d’une équipe de consultants. Il peut également évoluer et se spécialiser sur une autre solution de gestion de relation client.

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