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Arrêt maladie, allocations chômage… ça se passe comment quand on est freelance ?

Qui dit freelance dit droits différents d’un salarié. Comment cela se passe-t-il en cas de chômage ou d’arrêt maladie ? Club Freelance fait le point avec vous sur ces deux problématiques.

Freelance & Arrêt Maladie

La protection sociale des freelances était jusqu’au 31 décembre 2017 assurée par le RSI (régime social des indépendants). Il couvrait les indépendants face au risque de maladie, en cas de maternité ainsi que pour le versement de la retraite de base de ces assurés (sauf pour les professions libérales). Début 2018, conformément aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, le RSI a été abandonné. Quels sont donc les conséquences de ce changement pour les freelances ?

médicament maladie freelance
Depuis le 1er Janvier 2018 donc, la protection sociale des travailleurs indépendants est adossée au régime général de sécurité sociale. Les prestations auxquelles ont droit les freelances vont au fil du temps se rapprocher de celles des salariés.
Les remboursements des frais de santé, les bases de calculs de la retraite sont par exemple identiques pour ces deux statuts. Avec la réforme du RSI, ces rapprochements devraient être prolongés notamment dans le domaine de la maternité.

Les travailleurs indépendants relèvent maintenant de la CPAM pour l’assurance maladie/maternité; de la Carsat pour la retraite de base et de l’Ursaff pour leurs cotisations sociales personnelles. Ils peuvent ainsi bénéficier de l’efficacité et de la rapidité du système des salariés. Ils gardent tout de même les spécificités liées à leur statut. En effet, les barèmes et les cotisations restent différents de ceux des salariés. Ils garderont également l’avantage du régime des retraites complémentaires (RCI).

Le passage au RSI

Le passage du RSI au régime général de sécurité sociale devrait également faciliter le passage du statut de salarié au statut de freelance. Lors de ce changement de statut, l’ancien salarié n’aura plus besoin de faire de nouvelles démarches (ce que nécessitait avant le RSI) puisque son assurance maladie restera gérée par sa CPAM et la validation de ses périodes de travail pour sa retraite par sa caisse d’assurance vieillesse.
Ainsi, si les freelances sont désormais rattachés au régime général de sécurité sociale, ils continuent de bénéficier d’une fiscalité particulière. Cette réforme leur apporte donc surtout une offre plus performante, plus réactive et plus adaptée.
Les évolutions du à la suppression du RSI seront totalement effectives en 2020.

Freelance & Chômage

Jusqu’à maintenant, un travailleur indépendant ne peut toucher le chômage dans la mesure où il ne cotise pas, à la différence d’un salarié. Aucun statut n’offre pour l’instant la possibilité aux freelances indépendants de toucher des indemnités chômage. C’est à cela qu’a voulu remédier Emmanuel Macron. Dès sa campagne électorale, il avait promis, en même temps que la suppression du RSI, l’accès à une indemnité chômage pour les freelances. Si la réforme n’est aujourd’hui pas encore effective, elle est actuellement en discussion.

Une réforme pour protéger les freelances

Le but de cette réforme est d’une part de protéger les travailleurs indépendants face au risque de liquidation de leur entreprise mais aussi de rapprocher le régime des salariés et le régime des non-salariés. La réforme vise également à favoriser l’entreprenariat en accordant plus de sécurité au statut et en répondant aux défis de la conjoncture économique.

Les contours de cette réforme sont assez durs à délimiter. Tout d’abord, la population des travailleurs indépendants représente une partie difficile à assurer contre le risque de chômage de par son hétérogénéité. En effet, les travailleurs indépendants n’ont pas tous le même degré d’exposition au risque de chômage et les inégalités de revenus de ces professionnels sont plus élevés que celles des salariés. La réforme contre le risque de chômage devrait donc selon l’IGA et l’IGF « distinguer différents sous-ensemble au sein des travailleurs indépendants selon leur capacité contributives, leur besoin de protection ou encore le type de risque contre lequel ils souhaitent se couvrir. » D’autre part, la notion de perte volontaire d’emploi est plus difficile à déterminer chez un indépendant que chez un salarié puisqu’il gère sa propre activité.

La réforme prévoit tout d’abord une allocation de 800 euros par mois en cas de liquidation judiciaire, et ce sur une durée de 6 mois. Et l’indépendant doit pouvoir justifier d’un bénéfice annuel proche de 10 000 euros. Cette mesure vise donc essentiellement les agriculteurs, commerçants et micro-entrepreneurs et non les professions libérales.

Comment bien s’assurer ?

En attendant l’application effective de ces réformes, quelles sont les solutions existantes qui s’offrent aux freelances ? Pour se couvrir face aux risques, les freelances doivent pour le moment cotiser auprès d’organismes privés :

La prévoyance

La prévoyance individuelle permet à l’assuré freelance de se protéger lui et sa famille, en minimisant les conséquences financières que peuvent provoquer un accident ou une maladie. En souscrivant à un contrat de prévoyance, les indépendants bénéficient d’une déduction des cotisations sur leurs revenus. Cette mesure de la loi Madelin vise notamment à améliorer la protection sociale des freelances.

La mutuelle (complémentaire santé)

Pour pouvoir bénéficier d’une mutuelle, le travailleur indépendant doit y souscrire lui-même, car il ne peut bénéficier d’une complémentaire santé d’entreprise. Pour le freelance, cela permet ainsi une meilleure prise en charge des soins, notamment soins dentaires et optiques.
Otherwise propose par exemple différentes formules de complémentaire santé. Découvrez l’offre spéciale Club Freelance : Pour toute souscription d’un contrat complémentaire Otherwise, 2 mois sont offerts.

L’assurance Responsabilité Civile professionnelle (ou RC pro) :

Cette assurance permet de couvrir le travailleur indépendant en cas de dégâts matériels ou immatériels. Cette assurance est obligatoire seulement pour les professions réglementées. Elle est cependant fortement recommandée pour les professions non réglementées. D’autant qu’y souscrire est souvent gage de professionnalisme et peut servir d’argument commercial pour les freelances.

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Aides pour freelance : découvrez celles auxquelles vous pouvez prétendre

Exerçant à leur compte une activité économique, les freelances sont des travailleurs indépendants qui perçoivent les fruits de leur activité. Mais ils en supportent aussi les risques. Ainsi, chaque travailleur indépendant qui décide de se lancer dans un projet en freelance peut prétendre à certaines aides. Elles sont en effet conçues pour favoriser la création d’entreprise. Tout dépendra de la situation personnelle et professionnelle du freelance. Au cours de son activité, il pourra aussi prétendre à certaines aides sociales. Notamment sous conditions de ressources. Zoom sur ces aides pour freelance.

1. Aides pour freelance : l’ACCRE, une aide les chômeurs et les jeunes

Qu’est-ce que l’ACCRE ?

L’Accre est un dispositif mis en place afin d’encourager la création d’entreprise. Il s’agit en effet d’un allègement du taux des charges sociales ; associé à un accompagnement durant les premières années de l’activité entrepreneuriale. Sur 3 ans, l’exonération des charges sociales est partielle et progressive.

Lire Tous les frais à prévoir pour devenir freelance.

Quelles sont les conditions pour bénéficier de l’ACCRE ?

Lorsqu’il démarre une activité, le micro-entrepreneur peut demander à bénéficier du dispositif d’aide au chômeur créateur ou repreneur d’entreprise (Accre) pour bénéficier de cotisations sociales réduites. Pour cela, il doit remplir certaines conditions ; en sachant qu’à compter du 1er janvier 2019 ; cette aide à la création d’entreprise sera ouverte à tous les autoentrepreneurs. Il doit être au choix :

  • demandeur d’emploi et bénéficier à ce titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) ou bien de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP)
  • demandeur d’emploi non indemnisé et être inscrit à Pôle emploi depuis au moins 6 mois depuis les 18 derniers mois
  • âgé de 18 à 25 ans maximum, âgé de moins de 30 ans dans le cas d’un handicap reconnu, ou âgé de moins de 30 ans et ne remplissant pas les conditions d’activité pour être indemnisé par Pôle emploi
  • avoir le statut de salarié licencié d’une entreprise en procédure de sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire et désireux de reprendre une entreprise en tout ou partie
  • être une personne physique reprenant ou créant une société dans un quartier prioritaire de la politique de la ville
  • être une personne physique sans emploi et ayant conclu un contrat d’appui au projet d’entreprise
  • bénéficier du complément de libre choix d’activité
  • bénéficier de la prestation partagée d’éducation de l’enfant
  • dans tous les cas, il doit obligatoirement créer ou reprendre une activité sous la forme d’une entreprise individuelle ou d’une société et en exercer le contrôle, ou bien être autoentrepreneur.

Comment faire une demande d’ACCRE ?

Si vous vous trouvez dans une des situations visées plus haut, vous pouvez alors prétendre à bénéficier de cette exonération partielle des cotisations sociales.
Pour faire la demande d’ACCRE, vous devrez remplir et envoyer un formulaire de demande (Cerfa 13584*02) ; au plus tôt en même temps que la création d’entreprise et au plus tard 45 jours après le début de l’activité ; à votre Centre de formalités des entreprises (CFE). Vous devrez y joindre le justificatif prouvant que vous êtes éligibles à l’ACCRE. Comptez 1 mois pour obtenir une réponse de l’URSSAF. Sachez que le silence vaut acceptation dans le cas où vous n’obtenez aucune réponse dans le mois qui suit la réception du formulaire.
Télécharger le formulaire Cerfa 13584*02

2. Aides pour freelance : l’ARCE pour la création ou la reprise d’une entreprise

L’ARCE, ou aide à la reprise ou à la création d’entreprise, est une aide financière versée sous forme de capital. Pour y prétendre, vous devez remplir les conditions suivantes, vous devez :

  • Être éligible à l’ACCRE ;
  • Ne pas avoir choisi de maintenir l’ARE (ou aide au retour à l’emploi) dans le cadre de votre activité entrepreneuriale ;
  • Ne pas bénéficier de l’aide différentielle de reclassement.

Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez alors bénéficier de l’ARCE. Cette aide est versée en deux fois. La moitié à la notification de l’acceptation de la demande et la seconde moitié 6 mois plus tard. Son montant est égal à 45 % des sommes restantes à verser au titre des droits à indemnisation.

3. Aides pour freelance : congé pour création d’entreprise, une aide dédiée aux salariés

Cette aide est dédiée à tous les salariés qui souhaitent créer ou reprendre une activité, en tant que freelance ou pas. Pour en bénéficier, vous devez justifier d’un minimum de 2 ans d’ancienneté dans l’entreprise. Tous les salariés sont concernés, y compris ceux exerçant des responsabilités de direction dans l’entreprise.
En l’absence de toute convention ou accord de branche dans l’entreprise, la durée de cet avantage est fixée à 1 an. Elle peut être rallongée d’une année supplémentaire.

Comment demander à bénéficier d’un congé pour création d’entreprise ?

Dans le silence de l’accord applicable ou de la convention d’entreprise, le principe est que le salarié doit adresser sa demande de congé à son employeur par courrier recommandé. Il doit pouvoir justifier de la date de la demande. A noter que ce courrier doit être obligatoirement envoyé au minimum 2 mois avant le jour de départ en congé souhaité.

Quelle est la situation du salarié durant le congé ?

Le principe en la matière est que ce congé ne donne pas lieu à rémunération. Le salarié bénéficie d’un report de tous les congés non pris.

4. Aides pour freelance : la prime d’activité, une aide sous conditions de ressources

Sous certaines conditions, les travailleurs non-salariés tels que les freelances peuvent bénéficier du bénéfice de la prime d’activité depuis le 1er janvier 2016.
Il s’agit d’une aide financière dont la demande s’effectue auprès de la Caisse d’allocations familiales. Son objectif est d’apporter une aide financière aux travailleurs disposant de faibles ressources. Les salariés et les travailleurs indépendants peuvent y prétendre, sous certaines conditions. Ainsi, le chiffre d’affaires issu de l’activité indépendante doit être inférieur à certains plafonds. Pour les professions libérales et artisans, le chiffre d’affaires du dernier trimestre doit être inférieur à 8300 euros.

Comment faire la demande de prime d’activité ?

Pour faire une demande de prime d’activité, vous devez vous adresser à la Caisse d’allocations familiales dont vous dépendez. La demande se fait directement en ligne.
Faire une demande de prestation en ligne

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Micro-entreprise et SASU, quel statut choisir en freelance ?

Au moment de créer son entreprise, plusieurs questions se posent, notamment celle du choix de statut juridique. Les travailleurs indépendants choisissent le plus souvent les statuts de la micro-entreprise ou de la SASU. Quel statut choisir en freelance ?

Comment s’y retrouver en tant que freelance ? Comment bien choisir en fonction de votre projet entrepreneurial ? Zoom sur ces statuts pour freelances, pour vous aider à faire votre choix en connaissance de cause.

Petit aperçu de la micro-entreprise et de la SASU

La SASU, ou société par actions simplifiées unipersonnelle, a connu une progression importante ces dernières années. Le dirigeant de cette société a le statut d’assimilé-salarié et relève à ce titre de la CPAM (régime général des salariés).
En outre, dans le cas d’une absence de revenus, le dirigeant est exonéré de cotisations sociales. Sa responsabilité est limitée au montant de ses apports professionnels. Les statuts de la société doivent être rédigés avec soin et les formalités administratives sont assez lourdes. La SASU est plutôt recommandée pour les personnes dont le projet est à forte envergure. Il pourra s’agir de faire évoluer une micro-entreprise si cette dernière connaît un véritable succès.

De son côté, le régime de la micro-entreprise (anciennement régime auto-entrepreneur jusqu’en 2015) est une entreprise individuelle dont la forme diffère de la SASU. Très simple à créer et à gérer, le paiement des cotisations sociales est tout autant facilité. Pour fonctionner, le coût est très faible. Si la question du seuil du chiffre d’affaires était problématique jusqu’à fin 2016, elle ne l’est désormais plus vraiment. En effet, si ce seuil était fixé au préalable à 33 200 euros, il est désormais porté à 70 000 euros pour les prestations de service et les professions libérales relevant des BIC et des BNC. Ce type de régime est particulièrement recommandé pour les personnes qui désirent tester une activité entrepreneuriale sans prendre de risques financiers importants, ou bien les personnes qui souhaitent choisir une activité individuelle en guise de complément financier à une activité principale.

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Quel statut choisir en freelance : les différences entre SASU et micro-entreprise

Tableau comparatif : les principales différences entre les deux statuts pour comprendre quel statut choisir en freelance :

SASUMicro-entreprise

La SASU est une société marquée par la césure entre la structure, personne juridique, et son dirigeant, personne physique. La principale conséquence de ce constat est que
la responsabilité du dirigeant est limitée à ses apports dans la société. Il ne peut pas être tenu indéfiniment de la dette sur son patrimoine personnel.
Dans une micro-entreprise, la société et son dirigeant ne forment qu’une seule et même personne. De ce fait, la responsabilité du dirigeant est illimitée sur son patrimoine personnel.

Le président de la structure bénéficie du régime général de la sécurité sociale. Il a donc une couverture sociale plus avantageuse, identique à celle des salariés. Il en va de même concernant la retraite. Il peut également recevoir l’ARE (allocation d’aide au retour à l’emploi).
L’auto-entrepreneur est un travailleur indépendant, non salarié. Il bénéficie d’une faible couverture sociale. Il est soumis à la CIPAV pour les professions non-réglementées ou au régime général depuis la disparition du RSI le 1er janvier 2018. Il ne peut pas percevoir l’ARE mais cotise à l’assurance chômage.
La SASU est tenue trimestriellement du paiement de charges en fonction des salaires versés par l’entreprise. Si son dirigeant ne verse aucun revenu, il sera exempté de charge.
L’auto-entrepreneur a le choix entre payer mensuellement ou trimestriellement ses charges. Ces dernières sont calculées en fonction du chiffre d’affaires perçu. Sous certaines conditions, il peut bénéficier de l’ACCRE durant les 3 premières années, ce qui diminue pour beaucoup les cotisations sociales à verser.

Créer une SASU implique des frais. Le coût de publication de l’avis de constitution se situe en règle générale aux alentours de 200 euros hors taxes. Comptez ensuite les frais de greffe, pour un montant de 45 euros et les frais en lien avec la déclaration des bénéfices pour 25 euros par déclaration.
Pour créer une micro-entreprise, c’est entièrement gratuit. L’investissement de départ est donc nul ou bien très faible.

Une SASU est libre d’exercer toutes les activités souhaitées, exceptées quelques-unes comme un débit de tabac ou bien quelques professions libérales réglementées.

L’auto-entrepreneur n’est pas entièrement libre de choisir le type d’activité exercée. Par exemple, sont exclues les activités agricoles attachées au régime social de la MSA. Il pourra s’agir d’entretien de jardins ou d’activité de paysagiste par exemple.

Les obligations comptables de la SASU sont strictes. Elle doit tenir une comptabilité retraçant rigoureusement les mouvements de son patrimoine. Elle réalise un inventaire une
fois par an au minimum, afin d’établir les comptes annuels au moment de la clôture de l’exercice social. Elle doit enfin conserver ses pièces justificatives durant 10 ans.
De son côté, l’auto-entrepreneur doit juste tenir un livre des recettes et bien conserver les pièces justificatives.
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Freelance informatique / tech Quotidien de freelance

Pérenniser vos collaborations de freelance IT : nos 3 conseils

Nos recommandations pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

Se lancer comme freelance est pour beaucoup la concrétisation d’un projet longuement mûri. Si ce statut n’assure effectivement pas la sécurité de l’emploi, il existe néanmoins plusieurs méthodes pour pérenniser vos collaborations de freelance et vous assurer une récurrence des missions avec des clients fidélisés et ravis de votre travail. Club Freelance vous propose un tour d’horizon des bonnes pratiques pour entretenir votre portefeuille de clients.

Devenez un freelance informatique indispensable

Pour pérenniser vos collaborations de freelance, il est important de devenir irremplaçable, il suffit juste de s’en tenir à une certaine méthodologie, en plus de réaliser son travail en temps et en heure. Tout d’abord, il est important de respecter vos engagements comme convenus à la signature. Apportez ensuite une valeur ajoutée à votre travail de freelance informatique. Cela signifie que vous pouvez tout à fait injecter un peu de votre touche personnelle pour vous démarquer.
Devenir indispensables signifie aussi que dès l’entretien de début de collaboration, vous veillerez à vous démarquer, sans en faire trop. Votre entretien ne doit pas être un simple échange questions/réponses, mais bien une réelle discussion entre professionnels. Il faut bien avoir à l’esprit que la personne avec laquelle vous travaillerez n’est pas votre employeur. Vous collaborez ensemble, dans un objectif commun. Tout ce qui peut apporter une véritable touche personnalisée et qui n’est pas proposé par tous les autres freelances est à mettre en avant. Cela pourra pousser vos clients à collaborer avec vous sur du long terme.
Enfin, pour devenir indispensables, les compétences de freelance seules ne suffisent pas toujours. Il est en effet primordial de trouver le bon positionnement entre professionnalisme, rigueur et proximité. Vous affirmerez ainsi votre personnalité, montrerez que vous avez du charisme tout en donnant une impression de confiance.

Instaurez une communication saine

pérenniser vos collaborations de freelance

La communication saine entre un freelance et son client est primordial pour assurer une collaboration longue et gagnant-gagnant et ainsi pérenniser vos collaborations de freelance. Alors, comment faire ?

  • Prenez régulièrement des nouvelles, sans bien sûr que ça en devienne harcelant.
  • Montrez votre intérêt pour l’entreprise et ses projets. En règle générale, les freelances qui montrent leur intérêt pour le travail du client ont plus de chance de collaborer sur du long terme.
  • N’hésitez pas à demander des retours sur votre travail et à être force de propositions. Cela est très apprécié.
  • N’ayez pas peur de clarifier certains non-dits ou autres malentendus. Si vous n’osez pas en discuter par peur de perdre votre client, cela risquerait de peser lourd sur votre moral et donc forcément sur la qualité de votre travail.
  • Anticipez votre prochaine mission. Pour cela, vous pouvez poser des questions sur les futurs projets en prévision. Vous montrez par-là votre intérêt et votre motivation.

Gardez contact avec vos clients pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

pérenniser vos collaborations de freelance avec le contact sur les réseaux sociaux

Une fois qu’une mission s’est terminée, et si vous en avez reçu des retours positifs, vous pouvez tout à fait garder contact avec vos clients. Cela passe bien sûr par une présence active sur les différents réseaux sociaux. Il s’agit de plateformes indispensables aujourd’hui pour toute stratégie de fidélisation.
Vous pouvez les inviter à rentrer en contact sur votre profil Linkedin par exemple et suivre leur activité sur Twitter.
Pensez à bien mettre à jour vos différents profils et ajoutez-y des contenus frais issus de votre veille de freelance informatique. Vous pouvez aussi y publier des offres promotionnelles par exemple, comme des réductions. Si vous êtes assez visibles, vos clients se rappelleront forcément de vous et de vos qualités professionnelles de freelance informatique.
Il y a fort à parier qu’ils referont appel à vos services, surtout si vous leur proposez des remises en fonction du volume de travail demandé.

Une fois que vous avez trouvé vos clients, la phase de pérennisation est cruciale. Sur Club Freelance, vous pourrez trouver de nombreuses missions correspondants à vos domaines d’expertise et ainsi débuter votre stratégie de fidélisation, en suivant nos recommandations.

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Freelance informatique / tech Portage salarial

Les avantages et inconvénients du portage salarial pour le travailleur indépendant

Quels sont les avantages et inconvénients du portage salarial ?

Apparu dans les années 1980, le portage salarial a le vent en poupe. Offrant aux indépendants une réelle sécurité, il permet de pallier à la dichotomie existant entre le statut d’indépendant et celui de salarié. Cependant, à côté des nombreuses qualités que propose le portage salarial, il existe des inconvénients qu’il est important de prendre en compte avant de se lancer. Vous êtes freelance et vous souhaitez en connaitre les avantages et inconvénients du le portage salarial ? Club Freelance vous éclaire.*

QU’EST-CE QUE LE PORTAGE SALARIAL ?

Il s’agit d’une organisation du travail au travers de laquelle se tisse un lien tripartite. Le professionnel autonome – autrement appelé « le porté » – confie à une société de portage la gestion administrative et la facture de ses missions, effectuées auprès d’un client, ou entreprise utilisatrice.
Le salarié indépendant et la société de portage signent un contrat de travail – parfois nommé « convention d’adhésion ». En échange de cela, le porté s’acquitte des cotisations sociales et rend des comptes sur son activité. Quels sont les avantages et inconvénients du portage salarial ?

LES AVANTAGES DU PORTAGE SALARIAL

Pour le porteur de projet, le portage salarial est souvent une aubaine. Il lui permet en effet de bénéficier d’une assurance chômage, d’une protection sociale complète mais aussi d’une liberté d’organisation digne d’un indépendant, sans oublier un parcours de formation et un choix des missions.

Un filet de sécurité

Le consultant en portage salarial bénéficie d’un statut hybride. Il profite d’avantages sociaux normalement réservés aux seuls salariés. Le portage salarial est en ce sens un véritable filet de sécurité pour la personne qui désire se lancer.

Le salarié porté jouit ainsi :

  • de l’assurance chômage
  • de congés payés
  • des cotisations retraite
  • de la mutuelle d’entreprise
  • d’une prévoyance permettant de prévenir les risques en lien avec ses déplacements professionnels
  • de cotisations retraite
  • d’une assurance responsabilité civile professionnelle.

Une liberté et un réseau étendu

avantages et les inconvénients du le portage salarial

En plus de ce filet de sécurité, le consultant en portage salarial bénéficie des avantages de l’indépendant tout en bénéficiant d’un réseau de consultants. A savoir, une liberté d’agenda, un choix total des missions et la liberté de fixer ses honoraires librement. Mais aussi des offres de missions et des formations. Il peut ainsi exprimer comme il le souhaite ses aspirations entrepreneuriales et développer plus facilement son réseau. En qualité de travailleur autonome et responsable, le consultant en portage salarial peut tout à fait travailler du lieu qu’il souhaite, ce qui constitue un avantage non négligeable.

Une simplicité administrative

Un troisième avantage est que vous réduisez les risques liés à votre activité. Vous n’avez pas besoin de créer votre structure juridique pour exercer à votre propre compte. En effet, il est prévu qu’à la signature de votre première mission vous débutiez votre activité indépendante.
Il s’agit également d’un avantage puisque si l’activité connaît des difficultés qui débouchent sur une cessation nette, le salarié porté doit tout simplement mettre un terme à sa relation professionnelle avec la société de portage. Les démarches sont donc grandement facilitées.

Enfin, le salarié porté reçoit un salaire tous les mois, versé par la société de portage salarial. Le porté salarial n’a donc pas à tenir une gestion administrative complexe. C’est la société qui se charge de la grande majorité des démarches, et notamment de la gestion des factures et de la déclaration des charges en lien avec l’activité. Il s’agit donc d’un gain de temps précieux, réinvesti dans un projet personnel, dans une formation ou tout simplement dans la réalisation des missions.
Alors, le porté salarial n’est-il finalement tenu d’aucune démarche ? Pas vraiment. La seule qui lui incombe est la déclaration de ses frais professionnels et du nombre d’heures travaillées. Ces informations doivent être retranscrites dans un compte rendu mensuel d’activité. Avantages et inconvénients du portage salarial : maintenant que vous connaissez les points positifs, découvrons les points d’attention à connaitre.

LES INCONVENIENTS DU PORTAGE SALARIAL

Alors le portage salarial est-il finalement idyllique ? Non. Bien que la loi du 25 juin 2008 sur la modernisation du marché du travail ait permis de sécuriser en partie le portage salarial, il demeure néanmoins quelques zones d’ombre. Il présente ainsi quelques inconvénients et contraintes que nous allons analyser maintenant.

Un flou sur la nature du contrat

Dans un premier temps, la question de savoir quelle est la nature du contrat liant la société de portage et le porté n’a toujours pas trouvé de réponse nette et tranchée. En ce sens, le portage salarial est toujours en attente d’aménagements légaux.

Des frais de gestion

Dans un second temps, si le salarié qui est porté bénéficie d’avantages sociaux et d’un réseau important, cela n’est pas sans nécessiter une contrepartie financière. Il doit en effet débourser des frais de gestion qui sont directement ponctionnés sur son chiffre d’affaires et qui s’élèvent à environ 10 %. Cette somme peut s’avérer conséquente.

Des contraintes de tarifs

Dans un troisième temps, la société de portage salarial a un droit de regard sur les tarifs pratiqués par ses salariés portés. Ainsi, la réglementation du portage salarial fixe le tarif journalier négocié à un minimum de 300 euros. Cela peut être assez restrictif pour l’entrepreneur qui souhaite se lancer et tester son activité.

Le statut de la micro entreprise : une concurrente de taille

Dans un quatrième et dernier temps, le portage salarial est fortement concurrencé par le statut de la micro entreprise, telle qu’elle a été repensée ces derniers temps. En effet, en plus de proposer une gestion très simplifiée, la micro entreprise permet de créer sa propre identité et d’évoluer vers d’autres formes juridiques si le projet se développe très bien – par exemple la SASU, ou société par actions simplifiées unipersonnelles. En plus, les cotisations sociales de la micro entreprise sont plus faibles que celles du salarié porté.
Le portage salarial apparaît comme une solution pour les travailleurs non-salariés qui désirent bénéficier de certaines garanties (assurance chômage et protection sociale entre autres) tout en restant indépendants. La contrepartie est le paiement de frais de gestion conséquents. De plus en plus d’indépendants se tournent ainsi vers le régime de la micro-entreprise.

Votre choix est fait ? Il ne vous reste plus qu’à trouver votre première mission!
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Lire également : Freelance au quotidien : Les 3 avantages d’un projet personnel

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Freelance au quotidien : Conseils d’un consultant freelance après 15 mois de freelancing

Pourquoi devenir Freelance ? Qu’est-ce que le quotidien en tant que freelance a de mieux ? Comment trouver ses premiers clients ? Quels sont les conseils d’un consultant en freelance ?

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté que faire entre deux missions freelance.

Dans cette sixième vidéo, Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent les conseils d’un consultant freelance ; Frédéric Bonomo Chef de Projet Data, après 15 mois de freelancing. 

Dominique Dufour : Quelle est selon toi la première qualité pour être freelance ?

Frédéric Bonomo : Je pense que c’est essentiellement une question de tempérament. Il faut avoir une face commerciale pour essayer d’aller gagner de nouveaux contrats. Mais aussi pour faire soi-même son propre suivi de mission, assurer également le côté administratif avec notamment la facturation. Il faut également avoir un côté entrepreneur pour essayer de se vendre ; pour essayer de conquérir de nouveaux marchés et de penser aussi à son évolution de carrière en termes de compétences.

DF : Pourquoi es-tu devenu freelance ?

FB : Il y a deux ans je tournais un peu en rond et je voulais sortir de cette zone de confort dans laquelle je m’étais installé en client final. Je voulais également découvrir de nouveaux horizons, apprendre de nouvelles choses et aussi grandir professionnellement. C’est donc naturellement que je me suis tourné vers les sociétés de services. Je sentais que je pouvais gérer cette partie commerciale, administrative par moi-même. Je souhaitais aussi me lancer dans l’entreprenariat c’est donc pourquoi je me suis lancé en Freelance. J’avais dans mon cercle, dans mon réseau, un certain nombre de personnes qui étaient déjà passées freelance qui m’ont aidé, conseillé et qui m’ont permis de me lancer à mon propre compte.

DF : Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton quotidien de freelance ?

FB : Ce qui me plait le plus dans mon quotidien de freelance c’est la diversité en termes de missions. Quand on a la possibilité de travailler dans des secteurs d’activité différents sachant que très souvent les besoins sont extrêmement urgents et ce qui permet donc d’avoir des opportunités en terme de carrière, de poste, qu’on aurait peut être pas forcément en Cdi ou des process de recrutement, de sélection sont beaucoup plus lourd et ou on va vous demander une réactivité et beaucoup d’application en termes de travail. Mais vous aurez beaucoup de possibilité en terme d’évolution de carrière. Ce qui est fondamental c’est que c’est a vous de gérer votre propre carrière et de gérer votre propre employabilité.

DF : Quels conseils pour un futur freelance ?

FB : Le premier des conseils que je donnerai pour toute personne qui souhaite se lancer serait de bien définir la zone géographique où vous souhaitez évoluer. Mon deuxième conseil serait de bien réfléchir au poste idéal que vous aimeriez occuper et mon troisième conseil serait de bien définir votre Taux Journalier Moyen (TJM).

DF : Comment as-tu trouvé tes premiers clients ?

FB : Sur mes 15 mois d’activité en temps que Freelance j’ai eu 3 différents clients que j’ai tous trouvé via mon réseau. La force principale d’un freelance est donc son réseau. Mon conseil serait donc : Cultivez votre réseau ! Informez les gens de ce que vous faites, de ce que vous recherchez puisque derrière, cela vous permettra de trouvez plus facilement des missions.

DF : Quel est ton statut ? Comment gères-tu l’administratif ?

FB : J’ai opté pour la forme juridique SASU et je me fait accompagner d’un expert-comptable qui me suis régulièrement et à qui j’envoie mes factures et tous mes documents financiers. Il dresse le bilan en fin d’année et fait tout le travail financier pour moi.

DF : Penses-tu que les entreprises savent travailler avec des freelances ?

FB : Chez certains prospects j’ai pu voir que le statut de freelance était un peu difficile à envisager , surtout sur certaines expériences un peu négatives qu’ils ont pu avoir avec certaines personnes qui sont peut-être partie un peu précipitamment. Donc j’insiste sur le fait qu’en tant que freelance vous avez aussi une responsabilité par rapport à toute la communauté des freelances et il est primordial de partir en bons termes avec vos clients. Ne les laissez pas en plan et soyez pro jusqu’au bout même s’il peu parfois y avoir des difficultés en terme de relationnel ou de communication.

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/
 

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Freelance au quotidien : Que faire entre deux missions ?

Votre mission de freelance informatique actuelle va bientôt se terminer et votre prochaine mission freelance n’est que dans quelques jours ou quelques semaines ? Que faire entre deux missions freelance ?

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté les 3 avantages d’un projet personnel quand on est freelance.
Dans cette cinquième vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent 4 conseils qui vont vous aider à tirer le meilleur parti des temps que vous avez entre deux missions freelance. 

#1 : Prendre quelques jours de vacances entre deux missions freelance

Ce premier conseil est tout simple. Quand on est freelance informatique on est toujours un peu réticent à le faire, de peur de rater une belle mission. Votre précédente mission a peut-être été longue et épuisante, la prochaine le sera peut-être aussi. Il est donc important de vraiment vous reposer et de recharger vos batteries. Ce répit vous permettra d’être dans des conditions optimales pour commencer votre prochaine mission freelance.

#2 : Analyser la mission freelance écoulée

Listez les choses que vous avez apprises, regardez les points de blocage, les difficultés que vous avez rencontrées. Essayez de faire en sorte de vous améliorer lors de votre prochaine mission freelance.

#3 : Profiter de ce temps libre pour se former et s’auto-former

Mettez à profit ces quelques jours ou semaines de répit pour consulter des MOOC ou des plateformes de formations en ligne. En tant que freelance informatique, de nombreuses solutions existent pour continuer à se former.
Il est également possible de participer à quelques meetups intéressants. Ils existent aujourd’hui partout en France sur des sujets variés tels que les langages informatiques que vous connaissez, ou encore les technologies qui vous intéressent. Ils peuvent être une bonne occasion de sortir pour y apprendre de nouvelles choses et faire le plein de nouveaux contacts freelances.

#4 : Mettre à jour ses profils sur les réseaux sociaux

Après une mission de deux, trois, six mois ou même un an il est important de mettre à jour son profil de freelance informatique sur les réseaux sociaux. Cela vous permettra de rester visible auprès de votre réseau.

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

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Freelance au quotidien : Les 3 avantages d’un projet personnel

Lorsque l’on travaille en tant que freelance certaines missions peuvent parfois être très prenantes. Se lancer en parallèle sur un projet personnel et le mener à bien présente de nombreux avantages.
Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté 5 conseils pour être visible sur les réseaux sociaux.
Dans cette quatrième vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent les 3 avantages d’un projet personnel quand on est freelance . 

# 1 : Se faire du bien avec un projet personnel

Travailler sur un projet peut faire du bien. En effet, il peut être un bon moyen de sortir de la mission freelance en cours, qui peut parfois être très prenante.

#2 : Acquérir de nouvelles compétences

Avoir un projet permet également d’avoir l’opportunité d’acquérir de nouvelles compétences ou de renforcer celles que l’on a déjà. Par exemple, travailler sur un projet personnel mettant en scène un nouveau langage informatique va vous permettre de l’acquérir.

#3 : Avoir de nouvelles sources de revenus

Un projet peut également déboucher sur de nouvelles sources de revenus.
Sa réalisation demande du temps. Pour cela organisez-vous pour définir le périmètre et les moments que vous avez à consacrer à ce projet. Mais surtout allez au bout de ce projet pour ne pas passer à côté des trois avantages que présente un projet personnel !

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

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Freelance au quotidien : 5 conseils pour être visible sur les réseaux sociaux

Lorsque l’on est freelance un aspect qui est indispensable est d’être connu et de se faire connaitre. Il est devenu essentiel pour chacun d’être actif afin d’être visible sur les réseaux sociaux, de toucher un maximum de ses pairs mais également futurs recruteurs ou clients potentiels.

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté comment effectuer le bilan des 6 premiers mois de l’année.

Dans cette troisième vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent 5 conseils pour être visible sur les réseaux sociaux.

Conseil n°1 : Mettre ses profils à jour sur les réseaux sociaux

Quel que soit le réseau social sur lequel vous êtes présent, il est important d’avoir une photo de profil à jour ainsi qu’une description claire qui explique l’expertise que vous pouvez offrir à de potentiels clients.

Conseil n°2 : Alimenter vos profils

Avoir un profil actif envoie un signal fort à votre réseau. C’est un très bon moyen de rester visible. Pour cela, n’hésitez pas à partager des conseils, astuces ou encore articles qui vous intéressent et qui peuvent potentiellement intéresser vos contacts.

Conseil n°3 : Ajouter les personnes que vous rencontrez à vos réseaux sociaux

Plus votre réseau sur les réseaux sociaux est grand, plus vous serez visible. Ajoutez les personnes que vous rencontrez sur LinkedIn sur Twitter et vos autres réseaux sociaux vous permettra d’agrandir votre communauté et donc d’être plus visible.

Conseil n°4 : Participer aux conversations qui se déroulent sur les réseaux sociaux

Chaque jour des experts de votre domaine partagent des astuces, des conseils, posent des questions et sont écoutés par des clients qui rentrent également dans ces conversations. Y participer peut-être un bon moyen d’être visible par ces personnes-là.

Conseil n°5 : Soyez organisés !

Lorsque vous travaillez sur une mission vous n’avez parfois ni le temps ni l’envie d’alimenter vos réseaux sociaux. Or, comme mentionné précédemment c’est indispensable pour augmenter sa visibilité. Pour ce faire, organisez-vous avec un calendrier, un agenda ou quelques rappels afin de rester actif sur les réseaux. Plus vous serez présent sur ces réseaux sociaux, plus vous serez visible !

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013). Ancien journaliste, Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.


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Freelance au quotidien : Faites le bilan de vos 6 premiers mois de l’année

Lorsqu’on est freelance informatique, il est important de savoir se situer dans son activité et de faire le bilan. Quand on est à son compte il peut être difficile de savoir où l’on en est dans son projet professionnel quand on gère tous les aspect de la vie de freelance. Ce mois-ci, avec Dominique Dufour, nous vous proposons de voir la démarche d’analyse personnelle que vous pouvez effectuer après les 6 premiers mois de votre année de freelance.

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté les solutions pour se former quand on est freelance.

Aujourd’hui, nous vous présentons les étapes et questions à vous poser pour dresser le bilan de votre activité après 6 mois. 

Réaliser un bilan de son activité de freelance informatique permet d’analyser ce qui a été fait et de tirer des conclusions sur ce qui a été bien fait et ce qui peut être amélioré. Cela permet également de mieux se projeter sur les 6 prochains mois de l’année. Faire ce bilan peut en effet être utile pour mieux voir ce qui peut être fait et ainsi avancer dans son activité de freelance informatique.
Voici quelques questions essentielles à se poser pour faire son bilan :

#1 Bilan de la relation que j’entretiens avec mes clients actuels. Est-elle bonne, moyenne… ?

Rappelez-vous que fidéliser un client est crucial. Il est en effet plus facile de travailler avec un client existant plutôt que d’en trouver un nouveau. La fidélisation de vos clients passe bien évidemment par des livrables de qualité mais aussi par l’entretien de cette relation. Vous pouvez par exemple donner des nouvelles de votre activité par le biais d’une newsletter ou leur transmettre des nouvelles qui peuvent les intéresser. En restant proche de vos clients actuels, ils penseront plus facilement à vous pour une prochaine mission freelance.

#2 Bilan des nouveaux clients. Avez-vous eu de nouveaux clients sur ces 6 derniers mois ? Si oui, combien et comment les avez-vous eus ?

Bouche-à-oreille, anciens clients, missions sur Club Freelance … Analysez d’où vient votre business, les canaux par lesquels vous gagnez votre vie de freelance. Voyez comment vous pouvez les améliorer, et les rendre encore plus efficaces. Si certains de vos clients proviennent du bouche à oreille, cela veut dire qu’il faut entretenir votre réseau et le nourrir en permanence de façon à ce qu’il vous apporte de l’activité.

#3 Êtes-vous bien organisé ?

Comment êtes-vous côté organisation ? Débordé ? Peut mieux faire ? Travailler c’est bien, mais vous devez aussi arriver à vous ménager des moments pour décompresser, voir vos amis, votre famille, voyager… Il s’agit souvent seulement d’une question d’organisation. Ménagez-vous des temps off, histoire de recharger les batteries et de repartir sur de bons pieds dans votre activité de freelance.

#4 Qu’allez-vous faire les 6 prochains mois ?

Allez-vous vous former sur un nouveau langage ? Travailler sur un projet personnel ? Être freelance informatique c’est se renouveler en permanence. Il en va de votre survie et de votre succès de freelance. Il est donc important de vous poser des questions sur ce que vous allez faire prochainement.
Se poser ces 4 questions deux fois par an et dresser un plan d’action pour chacune d’entre elles permet de se situer dans son activité de freelance informatque et de savoir où l’on en est de son projet professionnel.

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste, Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

Vous aimeriez aborder un sujet particulier dans les prochaines vidéos ? N’hésitez pas à nous en faire part !