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Arrêt maladie, allocations chômage… ça se passe comment quand on est freelance ?

Qui dit freelance dit droits différents d’un salarié. Comment cela se passe-t-il en cas de chômage ou d’arrêt maladie ? Club Freelance fait le point avec vous sur ces deux problématiques.

Freelance & Arrêt Maladie

La protection sociale des freelances était jusqu’au 31 décembre 2017 assurée par le RSI (régime social des indépendants). Il couvrait les indépendants face au risque de maladie, en cas de maternité ainsi que pour le versement de la retraite de base de ces assurés (sauf pour les professions libérales). Début 2018, conformément aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, le RSI a été abandonné. Quels sont donc les conséquences de ce changement pour les freelances ?

médicament maladie freelance
Depuis le 1er Janvier 2018 donc, la protection sociale des travailleurs indépendants est adossée au régime général de sécurité sociale. Les prestations auxquelles ont droit les freelances vont au fil du temps se rapprocher de celles des salariés.
Les remboursements des frais de santé, les bases de calculs de la retraite sont par exemple identiques pour ces deux statuts. Avec la réforme du RSI, ces rapprochements devraient être prolongés notamment dans le domaine de la maternité.

Les travailleurs indépendants relèvent maintenant de la CPAM pour l’assurance maladie/maternité; de la Carsat pour la retraite de base et de l’Ursaff pour leurs cotisations sociales personnelles. Ils peuvent ainsi bénéficier de l’efficacité et de la rapidité du système des salariés. Ils gardent tout de même les spécificités liées à leur statut. En effet, les barèmes et les cotisations restent différents de ceux des salariés. Ils garderont également l’avantage du régime des retraites complémentaires (RCI).

Le passage au RSI

Le passage du RSI au régime général de sécurité sociale devrait également faciliter le passage du statut de salarié au statut de freelance. Lors de ce changement de statut, l’ancien salarié n’aura plus besoin de faire de nouvelles démarches (ce que nécessitait avant le RSI) puisque son assurance maladie restera gérée par sa CPAM et la validation de ses périodes de travail pour sa retraite par sa caisse d’assurance vieillesse.
Ainsi, si les freelances sont désormais rattachés au régime général de sécurité sociale, ils continuent de bénéficier d’une fiscalité particulière. Cette réforme leur apporte donc surtout une offre plus performante, plus réactive et plus adaptée.
Les évolutions du à la suppression du RSI seront totalement effectives en 2020.

Freelance & Chômage

Jusqu’à maintenant, un travailleur indépendant ne peut toucher le chômage dans la mesure où il ne cotise pas, à la différence d’un salarié. Aucun statut n’offre pour l’instant la possibilité aux freelances indépendants de toucher des indemnités chômage. C’est à cela qu’a voulu remédier Emmanuel Macron. Dès sa campagne électorale, il avait promis, en même temps que la suppression du RSI, l’accès à une indemnité chômage pour les freelances. Si la réforme n’est aujourd’hui pas encore effective, elle est actuellement en discussion.

Une réforme pour protéger les freelances

Le but de cette réforme est d’une part de protéger les travailleurs indépendants face au risque de liquidation de leur entreprise mais aussi de rapprocher le régime des salariés et le régime des non-salariés. La réforme vise également à favoriser l’entreprenariat en accordant plus de sécurité au statut et en répondant aux défis de la conjoncture économique.

Les contours de cette réforme sont assez durs à délimiter. Tout d’abord, la population des travailleurs indépendants représente une partie difficile à assurer contre le risque de chômage de par son hétérogénéité. En effet, les travailleurs indépendants n’ont pas tous le même degré d’exposition au risque de chômage et les inégalités de revenus de ces professionnels sont plus élevés que celles des salariés. La réforme contre le risque de chômage devrait donc selon l’IGA et l’IGF « distinguer différents sous-ensemble au sein des travailleurs indépendants selon leur capacité contributives, leur besoin de protection ou encore le type de risque contre lequel ils souhaitent se couvrir. » D’autre part, la notion de perte volontaire d’emploi est plus difficile à déterminer chez un indépendant que chez un salarié puisqu’il gère sa propre activité.

La réforme prévoit tout d’abord une allocation de 800 euros par mois en cas de liquidation judiciaire, et ce sur une durée de 6 mois. Et l’indépendant doit pouvoir justifier d’un bénéfice annuel proche de 10 000 euros. Cette mesure vise donc essentiellement les agriculteurs, commerçants et micro-entrepreneurs et non les professions libérales.

Comment bien s’assurer ?

En attendant l’application effective de ces réformes, quelles sont les solutions existantes qui s’offrent aux freelances ? Pour se couvrir face aux risques, les freelances doivent pour le moment cotiser auprès d’organismes privés :

La prévoyance

La prévoyance individuelle permet à l’assuré freelance de se protéger lui et sa famille, en minimisant les conséquences financières que peuvent provoquer un accident ou une maladie. En souscrivant à un contrat de prévoyance, les indépendants bénéficient d’une déduction des cotisations sur leurs revenus. Cette mesure de la loi Madelin vise notamment à améliorer la protection sociale des freelances.

La mutuelle (complémentaire santé)

Pour pouvoir bénéficier d’une mutuelle, le travailleur indépendant doit y souscrire lui-même, car il ne peut bénéficier d’une complémentaire santé d’entreprise. Pour le freelance, cela permet ainsi une meilleure prise en charge des soins, notamment soins dentaires et optiques.
Otherwise propose par exemple différentes formules de complémentaire santé. Découvrez l’offre spéciale Club Freelance : Pour toute souscription d’un contrat complémentaire Otherwise, 2 mois sont offerts.

L’assurance Responsabilité Civile professionnelle (ou RC pro) :

Cette assurance permet de couvrir le travailleur indépendant en cas de dégâts matériels ou immatériels. Cette assurance est obligatoire seulement pour les professions réglementées. Elle est cependant fortement recommandée pour les professions non réglementées. D’autant qu’y souscrire est souvent gage de professionnalisme et peut servir d’argument commercial pour les freelances.

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Développement Fiches métiers

Développeur Python : fiche métier

De plus en plus de grosses entreprises utilisent des ordinateurs fonctionnant sous Linux. Or le langage Python est très développé sur ces ordinateurs-là. C’est pourquoi le développeur Python est de plus en plus recherché. Alliant une partie d’analyse et de création, ils doivent faire preuve de rigueur et de collaboration pour mener leurs missions à terme.

Le métier de développeur Python

Analyse des besoins du client
Pour répondre au mieux à la demande de son client, le développeur freelance Python devra suivre scrupuleusement le cahier des charges fourni. Il devra ainsi proposer la solution la plus adaptée parmi les possibilités existantes.

Création de projets web
Le développeur freelance Python a d’abord la responsabilité de la conception de l’architecture des logiciels comme les modules ERP, et du codage d’algorithme. Dans le cadre de la création de ses projets, il assure également les tests techniques, le suivi et la maintenance de l’application. Il doit également produire une documentation complète de ses applications, à la fois technique et fonctionnelle. Il participe enfin au design et à l’intégration de nouvelles fonctionnalités dans l’application qu’il développe.

Coordination avec la base de données
Pour que les avancées du projet circulent au mieux, le développeur Python doit communiquer avec la base de données afin de stocker et requêter en continu les informations. De cette manière, les personnes travaillant sur le projet peuvent être tenues informées en temps réel.

Compétences requises

Compétences techniques
Le développeur freelance Python doit avoir un niveau relativement avancé du langage de programmation Python, ainsi que des environnements comme PostgresSQL, MySql ou encore Oracle.

Patience, rigueur et curiosité
Que ce soit dans le suivi du cahier des charges ou dans la rédaction de la documentation, le développeur Python doit faire preuve de rigueur pour être le plus précis possible. Patience aussi car le développeur peut rencontrer de nombreux bugs lors de la programmation de son application. Il doit également avoir un esprit curieux pour être au courant des évolutions des technologies qui l’entourent et ainsi maintenir le niveau de ses compétences techniques.

Bonne communication
Dans le cadre de ses projets, le développeur Python collabore avec plusieurs personnes de son équipe. Il doit donc être bon communicant et être à l’écoute pour croiser au mieux les informations. Il doit également avoir le sens du travail d’équipe.

Contexte

Le langage Python est créé en 1991. Certains grands comptes l’utilisent, comme Google, Pinterest ou encore Instagram. La communauté utilisatrice de ce langage est assez diverse. Beaucoup l’utilisent en maths et sciences. Les data scientists l’apprécient particulièrement en gestion de bases de données. Son offre large de packages disponibles facilitent en effet la gestion de données.

Carrières et Salaire

Les développeurs freelances Python sont généralement recrutés par des entreprises qui utilisent la plateforme Linux.
Concernant sa rémunération, cela dépend de son niveau d’expertise. Le développeur Python possède une spécialisation de plus, par rapport à un développeur classique. Par conséquent, il gagne un peu plus. Selon que le développeur freelance est plus ou moins expérimenté, le TJM varie entre 400 et 600 euros.

Formation du développeur Python

Pour débuter en tant que développeur Python, il est nécessaire d’avoir un bac+2 ou +3, en informatique. Les formations approfondies en JavaScript, HTML, Symfony2, Pyhton 3 et autre sont bien évidemment un plus.

Téléchargez votre fiche : 

Fiche métier Développeur Python

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Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !


Découvrez notre fiche métier : Développeur PHP

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Freelance informatique / tech Se financer

Aides pour freelance : découvrez celles auxquelles vous pouvez prétendre

Exerçant à leur compte une activité économique, les freelances sont des travailleurs indépendants qui perçoivent les fruits de leur activité. Mais ils en supportent aussi les risques. Ainsi, chaque travailleur indépendant qui décide de se lancer dans un projet en freelance peut prétendre à certaines aides. Elles sont en effet conçues pour favoriser la création d’entreprise. Tout dépendra de la situation personnelle et professionnelle du freelance. Au cours de son activité, il pourra aussi prétendre à certaines aides sociales. Notamment sous conditions de ressources. Zoom sur ces aides pour freelance.

1. Aides pour freelance : l’ACCRE, une aide les chômeurs et les jeunes

Qu’est-ce que l’ACCRE ?

L’Accre est un dispositif mis en place afin d’encourager la création d’entreprise. Il s’agit en effet d’un allègement du taux des charges sociales ; associé à un accompagnement durant les premières années de l’activité entrepreneuriale. Sur 3 ans, l’exonération des charges sociales est partielle et progressive.

Lire Tous les frais à prévoir pour devenir freelance.

Quelles sont les conditions pour bénéficier de l’ACCRE ?

Lorsqu’il démarre une activité, le micro-entrepreneur peut demander à bénéficier du dispositif d’aide au chômeur créateur ou repreneur d’entreprise (Accre) pour bénéficier de cotisations sociales réduites. Pour cela, il doit remplir certaines conditions ; en sachant qu’à compter du 1er janvier 2019 ; cette aide à la création d’entreprise sera ouverte à tous les autoentrepreneurs. Il doit être au choix :

  • demandeur d’emploi et bénéficier à ce titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) ou bien de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP)
  • demandeur d’emploi non indemnisé et être inscrit à Pôle emploi depuis au moins 6 mois depuis les 18 derniers mois
  • âgé de 18 à 25 ans maximum, âgé de moins de 30 ans dans le cas d’un handicap reconnu, ou âgé de moins de 30 ans et ne remplissant pas les conditions d’activité pour être indemnisé par Pôle emploi
  • avoir le statut de salarié licencié d’une entreprise en procédure de sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire et désireux de reprendre une entreprise en tout ou partie
  • être une personne physique reprenant ou créant une société dans un quartier prioritaire de la politique de la ville
  • être une personne physique sans emploi et ayant conclu un contrat d’appui au projet d’entreprise
  • bénéficier du complément de libre choix d’activité
  • bénéficier de la prestation partagée d’éducation de l’enfant
  • dans tous les cas, il doit obligatoirement créer ou reprendre une activité sous la forme d’une entreprise individuelle ou d’une société et en exercer le contrôle, ou bien être autoentrepreneur.

Comment faire une demande d’ACCRE ?

Si vous vous trouvez dans une des situations visées plus haut, vous pouvez alors prétendre à bénéficier de cette exonération partielle des cotisations sociales.
Pour faire la demande d’ACCRE, vous devrez remplir et envoyer un formulaire de demande (Cerfa 13584*02) ; au plus tôt en même temps que la création d’entreprise et au plus tard 45 jours après le début de l’activité ; à votre Centre de formalités des entreprises (CFE). Vous devrez y joindre le justificatif prouvant que vous êtes éligibles à l’ACCRE. Comptez 1 mois pour obtenir une réponse de l’URSSAF. Sachez que le silence vaut acceptation dans le cas où vous n’obtenez aucune réponse dans le mois qui suit la réception du formulaire.
Télécharger le formulaire Cerfa 13584*02

2. Aides pour freelance : l’ARCE pour la création ou la reprise d’une entreprise

L’ARCE, ou aide à la reprise ou à la création d’entreprise, est une aide financière versée sous forme de capital. Pour y prétendre, vous devez remplir les conditions suivantes, vous devez :

  • Être éligible à l’ACCRE ;
  • Ne pas avoir choisi de maintenir l’ARE (ou aide au retour à l’emploi) dans le cadre de votre activité entrepreneuriale ;
  • Ne pas bénéficier de l’aide différentielle de reclassement.

Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez alors bénéficier de l’ARCE. Cette aide est versée en deux fois. La moitié à la notification de l’acceptation de la demande et la seconde moitié 6 mois plus tard. Son montant est égal à 45 % des sommes restantes à verser au titre des droits à indemnisation.

3. Aides pour freelance : congé pour création d’entreprise, une aide dédiée aux salariés

Cette aide est dédiée à tous les salariés qui souhaitent créer ou reprendre une activité, en tant que freelance ou pas. Pour en bénéficier, vous devez justifier d’un minimum de 2 ans d’ancienneté dans l’entreprise. Tous les salariés sont concernés, y compris ceux exerçant des responsabilités de direction dans l’entreprise.
En l’absence de toute convention ou accord de branche dans l’entreprise, la durée de cet avantage est fixée à 1 an. Elle peut être rallongée d’une année supplémentaire.

Comment demander à bénéficier d’un congé pour création d’entreprise ?

Dans le silence de l’accord applicable ou de la convention d’entreprise, le principe est que le salarié doit adresser sa demande de congé à son employeur par courrier recommandé. Il doit pouvoir justifier de la date de la demande. A noter que ce courrier doit être obligatoirement envoyé au minimum 2 mois avant le jour de départ en congé souhaité.

Quelle est la situation du salarié durant le congé ?

Le principe en la matière est que ce congé ne donne pas lieu à rémunération. Le salarié bénéficie d’un report de tous les congés non pris.

4. Aides pour freelance : la prime d’activité, une aide sous conditions de ressources

Sous certaines conditions, les travailleurs non-salariés tels que les freelances peuvent bénéficier du bénéfice de la prime d’activité depuis le 1er janvier 2016.
Il s’agit d’une aide financière dont la demande s’effectue auprès de la Caisse d’allocations familiales. Son objectif est d’apporter une aide financière aux travailleurs disposant de faibles ressources. Les salariés et les travailleurs indépendants peuvent y prétendre, sous certaines conditions. Ainsi, le chiffre d’affaires issu de l’activité indépendante doit être inférieur à certains plafonds. Pour les professions libérales et artisans, le chiffre d’affaires du dernier trimestre doit être inférieur à 8300 euros.

Comment faire la demande de prime d’activité ?

Pour faire une demande de prime d’activité, vous devez vous adresser à la Caisse d’allocations familiales dont vous dépendez. La demande se fait directement en ligne.
Faire une demande de prestation en ligne

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Développement Fiches métiers

Développeur SQL : Fiche métier

Le développeur SQL est un expert des bases de données. Son rôle principal est de concevoir et de déployer une ou plusieurs bases de données au sein de la structure dans laquelle il évolue. Il est donc le garant de la cohérence et de l’accessibilité permanente des informations. Il gère également les projets de développement liés au système d’information de l’entreprise qui requièrent le déploiement de bases de données.

Le métier de développeur SQL : quel est son rôle ?

Développement de base de données

Le développeur SQL dispose d’un cahier des charges établie par sa hiérarchie et qu’il doit strictement respecter. Il s’apprête ensuite à la définition des paramètres de la base de données et installe les différents logiciels et progiciels en lien avec celle-ci. Il s’occupe également d’implanter les données sur les supports physiques. Pour cela, il travaille en étroite collaboration avec l’administrateur réseau qui distribue les autorisations d’accès aux utilisateurs.

Mise à disposition de base de données

Une fois la base de données développée, le développeur SQL est le garant de la qualité des données et des disponibilités de celle-ci. Pour veiller à cela, il dispose d’outils de supervision. Il met également en place des programmes de tests fonctionnels et techniques. Il fait appliquer des règles de sécurité qu’il aura élaboré au préalable pour les utilisateurs. La maintenance de la base de données est aussi de son ressort.

Travail en équipe

Développer une base de données implique bien entendu de travailler avec de nombreux acteurs qui prennent part au système d’information d’une structure. Ses principaux interlocuteurs sont le chef de projet et l’architecte de base de données. Il doit également tenir compte des demandes et des spécificités des clients (interne ou externe) pour lesquels il travaille. En particulier au sujet de la taille de la base.


Découvrez aussi notre fiche métier : Développeur full-stack !


Compétences requises

Compétences techniques

Le respect du cahier des charges doit être rigoureux pour pouvoir présenter la base de données la plus optimale possible. Ainsi, il doit avoir une vision globale des systèmes d’informations de la structure où il évolue.

Communication et ouverture d’esprit

Outre les compétences techniques, il se doit d’être à l’écoute. En effet, il doit tenir compte de l’environnement de l’entreprise ; composer avec les différents acteurs avec qui il travaille et prendre en compte les besoins et les demandes des différents utilisateurs.

Maintenance rigoureuse

En temps que responsable de la base de données, il doit être constamment disponible pour toute demande ou problème qui pourrait survenir. La méthode et la rigueur sont des compétences requises.

Contexte

Le développeur SQL peut soit travailler au service informatique d’une entreprise ou dans une SSII pour des clients. Gérer les projets de développements du système d’information de l’entreprise constitue sa principale activité.

Carrières et Salaire

Après plusieurs années d’expériences, le développeur SQL peut s’orienter vers des métiers de chef de projet, responsable du service informatique voire DSI. Le TJM d’un développeur SQL est de 450e en moyenne.


Découvrez aussi notre fiche métier : Développeur JavaScript !


Formation Développeur SQL

Pour accéder à ce type de poste, il est nécessaire d’avoir au moins étudié pendant 3 ans l’informatique de gestion et ensuite monter dans la hiérarchie. Néanmoins, un master en ingénierie civile en informatique ou en sciences informatiques a l’université peut compléter le premier diplôme.

Téléchargez dès à présent votre fiche métier :

Développeur SQL : Fiche métier

Découvrez également nos fiches métiers : Consultant en qualification logicielleResponsable d’applications IT et Développeur Java !


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Devenir freelance Freelance informatique / tech

Micro-entreprise et SASU, quel statut choisir en freelance ?

Au moment de créer son entreprise, plusieurs questions se posent, notamment celle du choix de statut juridique. Les travailleurs indépendants choisissent le plus souvent les statuts de la micro-entreprise ou de la SASU. Quel statut choisir en freelance ?

Comment s’y retrouver en tant que freelance ? Comment bien choisir en fonction de votre projet entrepreneurial ? Zoom sur ces statuts pour freelances, pour vous aider à faire votre choix en connaissance de cause.

Petit aperçu de la micro-entreprise et de la SASU

La SASU, ou société par actions simplifiées unipersonnelle, a connu une progression importante ces dernières années. Le dirigeant de cette société a le statut d’assimilé-salarié et relève à ce titre de la CPAM (régime général des salariés).
En outre, dans le cas d’une absence de revenus, le dirigeant est exonéré de cotisations sociales. Sa responsabilité est limitée au montant de ses apports professionnels. Les statuts de la société doivent être rédigés avec soin et les formalités administratives sont assez lourdes. La SASU est plutôt recommandée pour les personnes dont le projet est à forte envergure. Il pourra s’agir de faire évoluer une micro-entreprise si cette dernière connaît un véritable succès.

De son côté, le régime de la micro-entreprise (anciennement régime auto-entrepreneur jusqu’en 2015) est une entreprise individuelle dont la forme diffère de la SASU. Très simple à créer et à gérer, le paiement des cotisations sociales est tout autant facilité. Pour fonctionner, le coût est très faible. Si la question du seuil du chiffre d’affaires était problématique jusqu’à fin 2016, elle ne l’est désormais plus vraiment. En effet, si ce seuil était fixé au préalable à 33 200 euros, il est désormais porté à 70 000 euros pour les prestations de service et les professions libérales relevant des BIC et des BNC. Ce type de régime est particulièrement recommandé pour les personnes qui désirent tester une activité entrepreneuriale sans prendre de risques financiers importants, ou bien les personnes qui souhaitent choisir une activité individuelle en guise de complément financier à une activité principale.

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Quel statut choisir en freelance : les différences entre SASU et micro-entreprise

Tableau comparatif : les principales différences entre les deux statuts pour comprendre quel statut choisir en freelance :

SASUMicro-entreprise

La SASU est une société marquée par la césure entre la structure, personne juridique, et son dirigeant, personne physique. La principale conséquence de ce constat est que
la responsabilité du dirigeant est limitée à ses apports dans la société. Il ne peut pas être tenu indéfiniment de la dette sur son patrimoine personnel.
Dans une micro-entreprise, la société et son dirigeant ne forment qu’une seule et même personne. De ce fait, la responsabilité du dirigeant est illimitée sur son patrimoine personnel.

Le président de la structure bénéficie du régime général de la sécurité sociale. Il a donc une couverture sociale plus avantageuse, identique à celle des salariés. Il en va de même concernant la retraite. Il peut également recevoir l’ARE (allocation d’aide au retour à l’emploi).
L’auto-entrepreneur est un travailleur indépendant, non salarié. Il bénéficie d’une faible couverture sociale. Il est soumis à la CIPAV pour les professions non-réglementées ou au régime général depuis la disparition du RSI le 1er janvier 2018. Il ne peut pas percevoir l’ARE mais cotise à l’assurance chômage.
La SASU est tenue trimestriellement du paiement de charges en fonction des salaires versés par l’entreprise. Si son dirigeant ne verse aucun revenu, il sera exempté de charge.
L’auto-entrepreneur a le choix entre payer mensuellement ou trimestriellement ses charges. Ces dernières sont calculées en fonction du chiffre d’affaires perçu. Sous certaines conditions, il peut bénéficier de l’ACCRE durant les 3 premières années, ce qui diminue pour beaucoup les cotisations sociales à verser.

Créer une SASU implique des frais. Le coût de publication de l’avis de constitution se situe en règle générale aux alentours de 200 euros hors taxes. Comptez ensuite les frais de greffe, pour un montant de 45 euros et les frais en lien avec la déclaration des bénéfices pour 25 euros par déclaration.
Pour créer une micro-entreprise, c’est entièrement gratuit. L’investissement de départ est donc nul ou bien très faible.

Une SASU est libre d’exercer toutes les activités souhaitées, exceptées quelques-unes comme un débit de tabac ou bien quelques professions libérales réglementées.

L’auto-entrepreneur n’est pas entièrement libre de choisir le type d’activité exercée. Par exemple, sont exclues les activités agricoles attachées au régime social de la MSA. Il pourra s’agir d’entretien de jardins ou d’activité de paysagiste par exemple.

Les obligations comptables de la SASU sont strictes. Elle doit tenir une comptabilité retraçant rigoureusement les mouvements de son patrimoine. Elle réalise un inventaire une
fois par an au minimum, afin d’établir les comptes annuels au moment de la clôture de l’exercice social. Elle doit enfin conserver ses pièces justificatives durant 10 ans.
De son côté, l’auto-entrepreneur doit juste tenir un livre des recettes et bien conserver les pièces justificatives.
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Freelance informatique / tech Quotidien de freelance

Pérenniser vos collaborations de freelance IT : nos 3 conseils

Nos recommandations pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

Se lancer comme freelance est pour beaucoup la concrétisation d’un projet longuement mûri. Si ce statut n’assure effectivement pas la sécurité de l’emploi, il existe néanmoins plusieurs méthodes pour pérenniser vos collaborations de freelance et vous assurer une récurrence des missions avec des clients fidélisés et ravis de votre travail. Club Freelance vous propose un tour d’horizon des bonnes pratiques pour entretenir votre portefeuille de clients.

Devenez un freelance informatique indispensable

Pour pérenniser vos collaborations de freelance, il est important de devenir irremplaçable, il suffit juste de s’en tenir à une certaine méthodologie, en plus de réaliser son travail en temps et en heure. Tout d’abord, il est important de respecter vos engagements comme convenus à la signature. Apportez ensuite une valeur ajoutée à votre travail de freelance informatique. Cela signifie que vous pouvez tout à fait injecter un peu de votre touche personnelle pour vous démarquer.
Devenir indispensables signifie aussi que dès l’entretien de début de collaboration, vous veillerez à vous démarquer, sans en faire trop. Votre entretien ne doit pas être un simple échange questions/réponses, mais bien une réelle discussion entre professionnels. Il faut bien avoir à l’esprit que la personne avec laquelle vous travaillerez n’est pas votre employeur. Vous collaborez ensemble, dans un objectif commun. Tout ce qui peut apporter une véritable touche personnalisée et qui n’est pas proposé par tous les autres freelances est à mettre en avant. Cela pourra pousser vos clients à collaborer avec vous sur du long terme.
Enfin, pour devenir indispensables, les compétences de freelance seules ne suffisent pas toujours. Il est en effet primordial de trouver le bon positionnement entre professionnalisme, rigueur et proximité. Vous affirmerez ainsi votre personnalité, montrerez que vous avez du charisme tout en donnant une impression de confiance.

Instaurez une communication saine

pérenniser vos collaborations de freelance

La communication saine entre un freelance et son client est primordial pour assurer une collaboration longue et gagnant-gagnant et ainsi pérenniser vos collaborations de freelance. Alors, comment faire ?

  • Prenez régulièrement des nouvelles, sans bien sûr que ça en devienne harcelant.
  • Montrez votre intérêt pour l’entreprise et ses projets. En règle générale, les freelances qui montrent leur intérêt pour le travail du client ont plus de chance de collaborer sur du long terme.
  • N’hésitez pas à demander des retours sur votre travail et à être force de propositions. Cela est très apprécié.
  • N’ayez pas peur de clarifier certains non-dits ou autres malentendus. Si vous n’osez pas en discuter par peur de perdre votre client, cela risquerait de peser lourd sur votre moral et donc forcément sur la qualité de votre travail.
  • Anticipez votre prochaine mission. Pour cela, vous pouvez poser des questions sur les futurs projets en prévision. Vous montrez par-là votre intérêt et votre motivation.

Gardez contact avec vos clients pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

pérenniser vos collaborations de freelance avec le contact sur les réseaux sociaux

Une fois qu’une mission s’est terminée, et si vous en avez reçu des retours positifs, vous pouvez tout à fait garder contact avec vos clients. Cela passe bien sûr par une présence active sur les différents réseaux sociaux. Il s’agit de plateformes indispensables aujourd’hui pour toute stratégie de fidélisation.
Vous pouvez les inviter à rentrer en contact sur votre profil Linkedin par exemple et suivre leur activité sur Twitter.
Pensez à bien mettre à jour vos différents profils et ajoutez-y des contenus frais issus de votre veille de freelance informatique. Vous pouvez aussi y publier des offres promotionnelles par exemple, comme des réductions. Si vous êtes assez visibles, vos clients se rappelleront forcément de vous et de vos qualités professionnelles de freelance informatique.
Il y a fort à parier qu’ils referont appel à vos services, surtout si vous leur proposez des remises en fonction du volume de travail demandé.

Une fois que vous avez trouvé vos clients, la phase de pérennisation est cruciale. Sur Club Freelance, vous pourrez trouver de nombreuses missions correspondants à vos domaines d’expertise et ainsi débuter votre stratégie de fidélisation, en suivant nos recommandations.

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Fiches métiers Infra

Responsable de parc informatique : Fiche métier

Le responsable de parc informatique s’assure du bon fonctionnement du parc informatique de l’entreprise pour laquelle il travaille. Sa mission principale est donc de veiller à ce que les postes de travail soit opérationnels et disponibles à n’importe quel instant pour ses utilisateurs. Il tient un rôle de superviseur et s’occupe également de la maintenance du matériel.

Le métier de responsable de parc informatique

Nature du travail :

Définition de la vision directrice de l’entreprise en matière de parc informatique
Le responsable de parc informatique a pour première mission de conseiller la direction de l’entreprise dans l’élaboration du plan d’équipement informatique tant au niveau matériel qu’au niveau logiciel. Pour cela, il va analyser les besoins des utilisateurs et définir les règles d’accès à l’information. Ces besoins seront traduits dans un cahier des charges. Avec la direction informatique, il élabore ensuite une politique de maintenance.

Installation et maintenance du parc informatique
Lors de l’installation, il met en place l’architecture du réseau local et établit des connexions aux réseaux externes. Il s’assure que le matériel informatique fonctionne correctement de même que les périphériques et logiciels installés. Une fois qu’il a procédé à cette étape, il garantit la sécurité du matériel et des données sur l’ensemble du réseau. Les potentielles menaces qui pèsent dans ce secteur font de la sécurité informatique un enjeu de plus en plus important. Des procédures de maintenance préventive et curative sont ensuite prises.

Support et assistance aux utilisateurs
Le responsable de parc informatique met à disposition des utilisateurs un support technique afin de collecter et de traiter tout type de problème rencontré. S’il le faut, il intervient directement ou envoie un technicien afin de résoudre le problème survenu. Il organise également des sessions de formations ponctuelles pour les utilisateurs. Enfin, son activité peut s’étendre au pilotage d’un service informatique. C’est-à-dire qu’il peut être amené à encadrer une équipe composée d’administrateurs et de techniciens micro et réseaux.

Compétences requises

Compétences techniques
Il doit posséder de solides connaissances globales en informatique. De plus il doit savoir différencier les différents systèmes d’exploitations ou encore les nombreux éditeurs de logiciels. Il doit donc maîtriser l’architecture système et réseaux. Il doit également bien connaitre l’entreprise et ses différents métiers pour répondre aux besoins de la façon la plus adéquate avec un plan d’équipement informatique adapté. L’anglais doit être également maîtriser car primordial dans l’environnement informatique.

Aptitudes professionnelles
La rapidité et l’autonomie sont essentielles. Le responsable de parc informatique devra parfois lui-même intervenir lors d’un incident. Ainsi, il doit être réactif dans sa capacité à trouver une solution efficace en cas de problème. Par conséquent, la disponibilité est également une qualité requise. Le sens de l’organisation et des priorités doivent aussi faire partie de sa panoplie, de sorte à intervenir de façon pertinente.

Aisance relationnelle et pédagogie
Quotidiennement au contact avec des utilisateurs, ce poste exige d’avoir d’excellentes qualités relationnelles. Il faut être pédagogue pour former les utilisateurs qui ne maitrisent pas le vocabulaire technique informatique pour pouvoir leur expliquer les raisons d’un panne par exemple.

Contexte

Depuis que les nouvelles technologies n’ont cessé de se développer ces 15 dernières années, le poste de responsable de parc informatique a beaucoup évolué. Le niveau de formation et d’expérience pour ce poste s’est parallèlement accru. La fonction support et assistance se doit d’être efficace et réactive. Les interventions sont facilités grâce aux outils de réparations à distance. Le métier nécessite de plus en plus de compétences liées au service client.

Carrières et Salaire

Le poste de responsable de parc informatique est très variable en fonction de la structure dans laquelle il évolue. D’un rôle de poste à forte responsabilités dans les petites entreprises avec une gestion du budget, il peut se situer davantage dans le support aux utilisateurs dans les plus grandes structures.
Une expérience de deux à cinq ans dans le support technique ou la maintenance est nécessaire pour ce type de poste. Le TJM se situe entre 400e et 500e.

Formation Responsable de Parc Informatique

Selon les responsabilités que requiert le poste, il est nécessaire d’avoir au minimum un diplôme de Bac +2/3 issu d’un BTS ou d’une licence pro en informatique. Autrement pour les postes à responsabilités plus élevées, un diplôme de bac +4/5 en informatique issus d’un IUP informatique, d’un master ou encore d’une école d’ingénieurs est demandé.

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ERP & SAP Fiches métiers

Consultant ERP : Fiche métier

Le consultant ERP possède un rôle très complet puisque les « Enterprise Resource Plannings » sont des applications informatiques de centralisation, de gestion et de coordination de l’ensemble des activités des entreprises : RH, comptabilité, finance, production… Le consultant va orienter ses clients dans le choix des ERP en analysant ses besoins et en y répondant de la meilleure des manières.


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1. Le métier de Consultant ERP

1.1 Paramétrage de l’application

Dans un premier temps, le consultant ERP étudie les besoins de l’entreprise en fonction de la demande et du budget de celle-ci. Il cherche à guider son client vers la solution la plus adaptée au mode de fonctionnement de son entreprise et à ses futurs utilisateurs. Il procède à la rédaction d’un cahier des charges fonctionnel pour paramétrer l’ERP. Celui-ci s’accompagne par la formation d’un dossier de paramétrage. L’installation du logiciel peut ainsi se faire, une fois que les étapes précédentes ont été mises en place.

1.2. Maintenance

Le consultant ERP est aussi en charge de la maintenance des logiciels ERP et veille à son bon fonctionnement. Pour cela, il effectue la phase de recette qui consiste à développer le projet en s’assurant formellement que le produit est conforme aux spécifications formulées. La recette fonctionnelle valide les fonctionnalités exprimées dans le cahier des charges, la recette technique s’assure que les caractéristiques techniques du produit livré sont bien conformes. Il s’occupe également de la phase de test et des jeux d’essai et intervient quand des problèmes surviennent.

1.3 Formation des utilisateurs

La formation des utilisateurs est aussi une des missions essentielles du consultant ERP. Pour cela, il synthétise les différentes informations pour pouvoir les enseigner aux futurs utilisateurs et à recours à différents moyens pour les former : documents, conférences… Le consultant ERP est donc un excellent communiquant.


Envie d’en savoir plus sur l’ERP ? Découvrez notre dossier spécial : ERP, les avantages et les inconvénients de SAP !


2. Compétences requises

2.1. Compétences techniques

Un consultant ERP se doit d’avoir une compréhension parfaite des progiciels pour pouvoir retranscrire au mieux les besoins de ses clients en solutions adaptées. La polyvalence est de rigueur. Il est nécessaire également d’avoir une bonne connaissance des systèmes d’information. Mais également de maîtriser le secteur d’activité dans lequel l’ERP sera déployé. Savoir parler et écrire anglais est très recommandé.

2.2. Pédagogie et sens de l’écoute

De par son rôle de conseiller et d’intervenant, le consultant doit posséder de véritables compétences relationnelles. De plus il doit posséder des compétences de persuasion pour pouvoir traiter auprès des clients. La diplomatie est un atout essentiel. La formation qu’il délivre auprès des utilisateurs nécessite également des qualités d’orateur et d’être à l’écoute pour pouvoir répondre à leurs questions.

2.3. Esprit de synthèse

Un esprit de synthèse est nécessaire pour l’ensemble des missions à sa tâche. En effet, lors de l’élaboration du cahier des charges et d’une solution personnalisée pour son client, le consultant dispose de nombreuses ressources. Cependant il doit traduire la demande du client de la façon la plus efficace possible. Il doit être également précis lorsqu’il forme les futurs utilisateurs à l’ERP implémenté.


Découvrez également notre fiche métier Consultant SAP ainsi que notre fiche métier développeur informatique Développeur J2EE / .Net.


3. Contexte

Le métier de consultant ERP fait face à une pénurie sur le marché du travail. Ce type de profil est donc très recherché par les entreprises. Il est nécessaire d’avoir une facilité d’adaptation du fait des différents secteurs d’entreprises qu’il côtoie. La variété des missions est grande. Il existe 2 types de profils ERP : ceux tantôt fonctionnels (plutôt axés sur la rédaction du cahier des charges et la relation client) et ceux tantôt techniques (plutôt axés sur le paramétrage).


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4. Carrières et Salaire

L’insertion professionnelle des consultants ERP est bonne puisqu’ils sont très recherchés. Pour un consultant, son objectif sera de passer d’un profil technique vers un profil plus fonctionnel. La transition se fait environ en 5 ans. Il cherchera par la suite à orienter sa carrière vers les systèmes d’information. Le TJM (Taux Journalier Moyen) évolue beaucoup en fonction de l’expérience et du secteur d’activité de l’entreprise dans laquelle il évolue. Le tjm d’un consultant ERP est situé entre 600 et 800 euros.


Pour en savoir plus découvrez nos articles Comment mettre en place un ERP efficace en 6 étapes et Comment choisir le bon ERP pour votre entreprise !


5. Formation du consultant ERP

Un bac +5 avec une licence en informatique complétée par un master d’un grande école ou par un diplôme universitaire avec une formation Consultant fonctionnel ERP sont nécessaires. Un BTS informatique est aussi une voie possible qui mène vers un profil plus technique. Le consultant ERP est souvent caractérisé par la spécialité progicielle qu’il incarne : SAP, Oracle, SI

6. Téléchargez votre fiche métier Consultant ERP :

Consultant ERP

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Fiches métiers Project Management

Consultant MOA : Fiche métier

Le consultant maîtrise d’ouvrage a un rôle clé au sein d’un projet informatique puisque sa fonction est de faire le lien entre les équipes métier et la maitrise d’œuvre en charge de la réalisation technique du projet. Il intervient aussi bien en amont que pendant la mise en œuvre de celui-ci et veille au respect de son bon déroulement.

Le métier de consultant MOA

 

Nature du travail 

Analyse des besoins des utilisateurs en amont
Dans un premier temps, le consultant MOA sera chargé de recueillir et d’analyser les besoins des équipes métiers pour de nouveaux projets. Il veillera à ce que les demandes soient cohérentes et priorisera les projets. Il élaborera ensuite les différents coûts engendrés par les projets. Des dossiers seront établis détaillant les projets et présentés devant les comités de projets. Enfin, il pourra se charger de rédiger le cahier des charges.

Mise en œuvre du projet
Le consultant MOA veille à la cohérence du projet entre les différents experts en analysant la faisabilité technique de celui-ci. L’animation de réunions avec les équipes métiers lui permet de mieux gérer les différents impacts organisationnels. Il se charge d’élaborer le planning du projet et de piloter son interface avec la MOE. Il peut donc suivre l’avancement de celui-ci et rectifier les éventuels problèmes qui surviendront. Son rôle de coordinateur est essentiel à sa bonne réalisation et à son bon suivi. Il veille ainsi au respect de la qualité, du coût et des délais.

Mise en place de la conduite du changement
Une fois les nouveaux applicatifs mis en place auprès des utilisateurs, il assure le support fonctionnel de ces derniers. Dans un second temps, son rôle sera plus axé sur l’humain avec des transferts de compétences au sein des équipes à réaliser et un rôle de formateur lui sera attribué. Il terminera par établir le reporting du projet auprès du directeur de la MOA.

Compétences requises

Compétences techniques indispensables
Du fait de son rôle central dans un projet, le consultant MOA se doit d’avoir des connaissances générales en informatiques. Savoir utiliser les progiciels ERP, logiciels CRM ou en outils de BI sont des atouts supplémentaires. Il maitrise la méthodologie et le domaine fonctionnel dans lequel il évolue, il est parfaitement renseigné sur les différentes activités de l’entreprise et les fonctions des différents collaborateurs.

Organisation, sens des priorités et rigueur
Etre consultant MOA implique de posséder des compétences en gestion de projet : rédaction du cahier des charges, respect des délais, des coûts, de la qualité délivrée du projet. C’est le consultant qui va organiser et établir la cartographie des processus mis en place. Il est nécessaire de savoir maitriser les outils bureautiques et de PMO par conséquent. Ces compétences managériales sont aussi prépondérantes à échelle humaine.

Capacités relationnelles
En effet, un consultant AMOA possède des qualités relationnelles car il collabore avec une multitudes d’acteurs différents prenant part au projet. C’est lui qui dirige les réunions, tel un vrai chef d’orchestre. Cela signifie qu’il sera amener à gérer aussi des intérêts divergents entre ceux techniques, ceux des métiers et ceux financiers. Il doit faire preuve de diplomatie. Sa capacité à vulgariser des sujets techniques complexes est donc essentielle.

Contexte du métier de Consultant MOA

En fonction du secteur d’activité ou de la taille de l’entreprise dans laquelle il évolue, le consultant AMOA, les compétences demandées évolueront entre la mobilisation de compétences plutôt technique, de la gestion de projet voire de la stratégie des métiers.

Carrières et Salaire

L’insertion professionnelle des consultants MOA est bonne car ce poste est généralement proposé aux jeunes diplômés. Ainsi, par la suite les consultants MOA confirmés (après 5 années d’expérience) se verront proposés des fonctions de chef de projet, directeur de projets ou responsables MOA. Le TJM (Taux Journalier Moyen) d’un consultant MOA évolue beaucoup en fonction de son expérience et du secteur d’activité de l’entreprise dans laquelle il évolue. Il est situé entre 450 et 600 euros.

Formation du consultant MOA

Un bac +5 de formation universitaire avec un master 2 en gestion ou en management de projet, un diplômes d’école supérieure de commerce ou d’ingénieurs ou encore un IEP sont nécessaire pour devenir consultant MOA. La double compétence étant appréciée en entreprise, une expérience professionnelle dans les technologies des systèmes d’informations pour compléter la formation est recommandée.

Découvrez également notre fiche métier : Chef de Projet MOE

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Data & Business Intelligence Fiches métiers

Consultant Business Intelligence : Fiche métier

Le métier de consultant Business Intelligence est un métier en vogue. Très recherchée, cette fonction a pour principal objectif d’aider à la prise de décision en entreprise grâce à l’informatique. Aussi appelé consultant décisionnel le poste est devenu indispensable au bon fonctionnement de nombreuses entreprises.

Il est important de noter que le consultant BI va faire tout un travail d’analyse de la situation de l’entreprise afin d’y trouver des solutions.

Le métier de Consultant Business Intelligence

Nature du travail

Analyser les besoins du client
Dès son arrivé le Consultant Business Intelligence devra s’entretenir avec son client afin de comprendre au mieux les besoins de l’entreprise. Après ce premier entretien, le Consultant BI devra effectuer un cahier des charges en fonction du secteur d’activité de l’entreprise mais aussi en fonction des besoins qu’il aura, au préalable, définis avec son client.
Cette phase d’analyse est primordiale, en effet son but est d’améliorer la productivité de l’entreprise et des outils.
Un fois cette analyse faite, il devra réaliser la conception de l’architecture de l’entrepôt des données. Il devra ainsi décider de l’architecture du datawarehouse qu’il souhaite mettre en place.

Reporting et comptabilité
Le consultant BI n’est pas seulement porteur de solutions. Il est aussi capable d’effectuer des reportings ainsi que de la consolidation statuaire. Cette étape est importante, une fois qu’il aura analyser les besoins de l’entreprise, il devra effectuer un reporting auprès de son client afin de lui présenter son plan d’action.
Le consultant BI doit aussi être capable d’estimer les coûts des opérations qu’il va mettre en place. Il est important que ses propositions soient chiffrées afin que le client ait une vue d’ensemble sur le projet du consultant BI.

Mise en place du plan d’action
Une fois son cahier des charges effectué, son reporting présenté et sa comptabilité réalisée, le consultant BI va mettre en place son plan d’action. Pour cela, en suivant son cahier des charges il va tout d’abord hiérarchiser les phases d’implantation de son projet. Il devra donc établir les besoins communs ainsi que le dimension d’urgence du besoin.

Vérification et formation
Une fois que sont plan d’action est mis en place, la phase de vérification arrive. Il est très important en tant que consultant BI de s’assurer du bon fonctionnement des outils mis en place. Il devra bien évidemment tester au maximum ses outils et mettre en place un plan d’action type en cas de dysfonctionnement.
Parallèlement, le consultant BI doit impérativement former les équipes qui susceptibles de toucher aux outils mis en place.

Compétences requises

Compétences techniques
Le consultant BI doit bien évidemment être formé sur plusieurs outils informatiques qu’il devra maitriser afin d’accomplir sa mission dans les meilleures conditions.
Tout d’abord il est import qu’il ai des connaissances très larges en informatique, incluant la base de donnée, les CRM et ERP ainsi que l’architecture des systèmes.
En plus il devra avoir des connaissances plus spécifiques en Business Intelligence et Big data. La maitrise du langage SQL mais aussi celle de l’outil Informatica et Datastage semble être primordiale.

Capacité relationnelle et esprit d’analyse
Tout au long de sa mission, le consultant BI devra dans un premier temps fixer avec son client les besoins de l’entreprise. Pour cela il aura aussi besoin d’avoir un esprit d’analyse assez poussé mais aussi un esprit synthétique afin de synthétiser au maximum les nombreux besoins du client.
Dans un second temps, lors du développement des outils, le consultant BI sera en étroite relation avec les développeurs et devra donc manager une équipe et donner des directives.
Enfin, une fois les outils déployés, il devra former les futurs acteurs susceptible d’utiliser les nouveux outils mis en place

Maîtrise de l’anglais
Il peut être demandé au consultant BI de pratiquer l’anglais durant sa mission. En effet certains logiciels étant développés en anglais, il sera important que le consultant maitrise cette langue.

Contexte

Le consultant BI travaillera en étroite relation avec la direction générale de l’entreprise ainsi qu’avec l’équipe informatique. Aussi, lors de la fin du déploiement de ses outils, il devra former les équipes à l’utilisation de ses outils.
Le secteur d’activité peut varier et le type d’entreprise aussi. En effet, un consultant BI pourra tout à fait travailler pour une grande structure comme pour une petite.

Carrières et Salaire

Le métier de consultant BI est aujourd’hui un métier très convoité ! En effet de plus en plus de personnes s’orientent vers ce métier. Ce poste est très généralement effectuer par des jeunes diplômés ou encore des jeunes cadres. En effet, même si il faut de l’expérience, ce métier permettra plus tard de passer Chef, Directeur ou Responsable de projet BI .
Le Tarif Journalier Moyen (TJM) d’un consultant BI se trouve autour de 584 euros.

Formation

Pour devenir consultant BI, il est nécessaire d’avoir un Bac+5 en management de projet (informatique, télécoms, statistiques ou encore mathématiques). Un diplôme d’école d’ingénieur sera aussi apprécié.

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