Quels sont les risques juridiques quand on fait appel à un freelance IT : Tribune
Délit de marchandage, requalification du contrat de travail, prêt de main d’œuvre illicite… certains risques juridiques sont parfois évoqués concernant le recours à des consultants informatiques indépendants. Mais dans les faits, ces risques sont-ils réels pour les entreprises ? Manuela Delfort-Garampon, cofondatrice de Club Freelance, nous livre ses réponses sur risques juridiques quand on fait appel à un freelance.
Cet article a initialement été publié sur le site infoDSI et tous les sites du groupe ITRNews
Risques juridiques quand on fait appel à un freelance : un sujet largement méconnu
Le recours à des consultants informatiques externes est une pratique largement plébiscitée par les entreprises. Que ce soit pour intégrer des compétences spécifiques, accélérer le déploiement d’une solution ou encore renforcer temporairement les équipes IT. Grâce à sa très grande souplesse, cette approche permet à la DSI d’être plus réactive et agile. Elle est également plus efficace pour mener à bien ses missions.
Mais les entreprises n’ont pas toujours une vision claire des risques qui entrent en jeu. On parle d’ailleurs souvent par abus de langage du « recrutement de freelance » alors que par définition on ne recrute pas un freelance, on fait simplement…
ESN ou consultants indépendants : mêmes risques ?
Les entreprises courent-elles ces risques de manière égale si elles se tournent vers une ESN (entreprise de services du numérique, anciennement appelées SSII) ou si elles font appel à des consultants IT indépendants ? La réponse est non.
Côté ESN, les contrats de prestation de services impliquent la fourniture d’un ou plusieurs consultants pour réaliser les missions demandées. Or cette mise à disposition de compétences peut parfois se transformer en prêt pur et simple de personnel au profit de l’utilisateur final, avec une marge pour le prestataire. On parle alors de « prêt de main d’œuvre illicite », qui peut se transformer en « délit de marchandage », lorsqu’il crée un préjudice au consultant détaché ou que les conventions collectives ne sont plus appliquées.
Il faut bien comprendre que ces risques de prêt de main d’œuvre illicite et le délit de marchandage sont exclusivement liés aux contrats de prestations des ESN, car il faut que les consultants informatiques soient salariés. Il ne peut pas y avoir de prêt illicite de main d’œuvre ou de délit de marchandage avec des freelances.
La technologie mobile connaît un développement exponentiel dans notre société, c’est pourquoi le métier de développeur suscite un intérêt croissant.
Concurrent de l’iOS d’Apple, Android est le système d’exploitation mobile de Google, et s’applique à une multitude de smartphones, tablettes et autres objets connectés. Nombreux sont donc les développeurs qui font le choix de travailler sur Android.
Mais quelles sont les qualités et les compétences requises pour se positionner sur ces offres d’emploi en plein essor ? Comment devenir Développeur freelance Android ? Quel niveau de rémunération attendre sur ce type de poste ? Les réponses dans notre fiche métier.
Développeur Android : le métier
Le rôle du Développeur freelance Android consiste à développer des applications pour tous les appareils qui fonctionnent sous ce système d’exploitation mobile, comme cela peut être fait sur iOS.
La rédaction du cahier des charges
La première étape du travail du Développeur Android consiste à analyser le cahier des charges du client et de définir la solution technique la plus appropriée. Il s’agit d’une partie essentielle pour débuter un projet. En effet, elle permet de comprendre les objectifs du projet et de déterminer le plan de développement à mettre en place.
Le développement de l’application et les phases de test
Arrive ensuite l’étape de programmation de l’application dans le respect des règles et contraintes du cahier des charges. C’est également dans cette seconde partie de son travail qu’il va réaliser des séries de tests pour vérifier que les fonctionnalités répondent bien au cahier des charges et qu’elles répondront bien aux besoins de l’utilisateur final.
Soumission de l’application et suivi technique
Dans le cas où le projet consiste à développer une application, une fois la programmation terminée, le Développeur Android est amené à soumettre son projet à Google Play, le magasin d’applications créé par Google, et à corriger les éventuels bugs que l’application peut rencontrer par la suite. Il doit également veiller à documenter son travail pour assurer une bonne transmission des informations aux autres membres de l’équipe informatique.
Développeur Android : compétences requises
Avoir de solides connaissances en environnement mobile
Avant même de parler des compétences propres au système d’exploitation de Google, le Développeur freelance Android doit connaître tous les enjeux du web mobile. Il doit savoir manier les langages informatiques Java et Kotlin et avoir des connaissances dans d’autres langages de programmation tels que C++ et Native Development Kit.
Être à l’affût des mises à jour Android
Un bon Développeur freelance Android se doit d’être toujours à jour sur l’évolution des technologies mobiles et plus particulièrement sur les mises à jour du système d’exploitation Android pour maintenir son niveau de performance et proposer des solutions toujours adaptées.
Maîtriser l’anglais
La maîtrise de l’anglais est souvent requise et permet au développeur de comprendre les différents langages de programmation.
Salaire
Le taux journalier moyen d’un Développeur freelance Android se situe généralement entre 300 et 800 €. Il varie énormément selon le niveau d’expérience et d’expertise technique.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
Formation
Il n’existe pas de formation type pour devenir Développeur Android. Une formation en informatique de niveau Bac +2 (BTS SIO ou DUT Informatique) ou un Bac +5 (Master ou équivalent en Ingénierie Informatique) est souvent utile pour acquérir des bases sur les principaux langages informatiques. Néanmoins, il est possible de devenir Développeur Android de façon autodidacte.
65 % des entreprises déclarent que la migration vers le cloud est une priorité absolue, mais pensent à externaliser les services dû au manque de compétences internes
65 % des entreprises indiquant que la migration vers le cloud est une priorité absolue selon Next Pathway.
Spécialisée dans la migration automatisée, la nouvelle étude de la société Next Pathway montre que la plupart des entreprises en sont aux premières étapes de la migration même si cela peut prendre plusieurs mois ou années.
Confinement ou déconfinement, dans un contexte d’incertitudes, un ERP agile devient le meilleur allié
Trop long, coûteux, incertain… les petites et moyennes structures peinent à se lancer dans un projet d’ERP. Mais ça, c’était avant : la nouvelle génération d’ERP cloud permet une mise en route rapide et un déploiement par étapes.
Qu’est-ce que le risque de la requalification en contrat de travail ? Dans quels cas est-elle applicable ? Et comment s’en prémunir ?
Le marché du travail est en pleine mutation et les entreprises sont de plus en plus nombreuses à faire appel à des freelances informatiques, en particulier dans le monde de la technologie et de l’IT. Le cadre légal du contrat de prestation de service, qui régit les prestations en freelance, prend donc de plus en plus d’importance au sein des entreprises. Découvrez ce qu’est la requalification en contrat de travail.
Dans quelle mesure un contrat de prestation de service diffère-t-il d’un contrat de travail liant un salarié à son employeur ?
Il faut savoir que dans certains cas, une décision juridique peut imposer la requalification d’une prestation de service en un contrat de travail. Et donc obliger une entreprise à embaucher un prestataire externe en CDI.
Qu’est-ce que la requalification de contrat ? Dans quels cas est-elle applicable ? Et comment s’en prémunir ? Nos éléments de réponse dans cet article.
Tout savoir sur le contrat de travail
Il n’existe aucune définition légale du contrat de travail
dans le code du travail. La qualification du contrat de travail relève donc de
l’appréciation souveraine des juges qui s’appuient sur 3 critères
cumulatifs :
L’existence d’une prestation de travail :
qu’elle soit matérielle, intellectuelle ou encore artistique, la prestation de
travail doit se faire au profit d’un employeur et être effective.
La rémunération : il s’agit d’une somme
d’agent qui est versée au salarié en contrepartie de son travail. Si le
travailleur n’est pas rémunéré, on parle alors de travail bénévole.
L’existence d’un lien de subordination :
c’est le critère déterminant d’un contrat de travail. Il s’agit du fait qu’un
salarié se conforme aux instructions de l’employeur dans le but de réaliser le
travail confié.
L’existence d’un contrat de travail ne dépend ni de la volonté des parties ni de la qualification donnée à la prestation mais plutôt des conditions dans lesquelles le prestataire exerce son activité.
Par conséquent : certains freelances informatiques, intérimaires ou autres prestataires externes peuvent être considérés comme des salariés au regard de la loi à partir du moment où il existe des preuves justifiant ces caractéristiques.
Dans quel cas peut-il y avoir une requalification de contrat en contrat de travail avec consultant informatique indépendant ?
La requalification d’un travailleur informatique indépendant repose finalement sur un critère : le lien de subordination.
Le travailleur indépendant aura beau avoir postulé sur une offre initialement proposée en CDI ; bénéficié d’une rémunération mensuelle de la part de l’entreprise ou encore exercé des horaires réguliers sur le site… Tous ces critères ne sont pas suffisants pour qu’un juge puisse décider ou non d’imposer la requalification du contrat.
Pour ce faire, le juge aura ainsi besoin de s’appuyer sur une preuve justifiant que l’employeur a fixé les conditions de travail de manière unilatérale. C’est-à-dire sans la participation du travailleur, l’obligeant ainsi en s’y conformer.
Quels sont les conséquences d’une requalification en contrat de travail pour l’employeur ?
Le risque de requalification pèse sur l’entreprise employeur plutôt sur le travailleur indépendant.
Sur le plan civil, l’entreprise devra assumer les impacts de cette requalification et pourra donc être condamnée à plusieurs versements financiers tels que les rappels de salaires, les primes et toute autre indemnité correspondant à un poste de salarié à part entière. Et ce à compter depuis le début de la collaboration.
Des sanctions existent aussi sur le plan pénal. En effet, l’entreprise pourra être soumise à des sanctions pour travail dissimulé (Article L 8221-5 du code de Travail) :
Jusqu’à 5 d’emprisonnement et 75 000 € d’amende si le travail dissimulé concerne un mineur ou une personne vulnérable ou dépendante
Jusqu’à 225 000 € d’amende pour les personnes morales
Ainsi que plusieurs peines complémentaires possibles telles que : l’interdiction d’exercer, l’exclusion des marchés, l’interdiction des droits civiques, civils et de famille ou encore l’affichage.
Comment une entreprise peut-elle se prémunir du risque de requalification en contrat de travail ?
Toute entreprise collaborant avec des travailleurs indépendants peut facilement prendre des mesures simples pour éviter de se retrouver confrontée à un cas de requalification en contrat de travail. Voici ainsi quelques conseils :
1. Assurez-vous que le freelance soit bien immatriculé
Un bon réflexe à adopter avant même de débuter la mission avec un travailleur indépendant est la vérification de son immatriculation auprès du RCS. Si c’est le cas, il bénéficie alors d’une présomption de non-salariat.
2. Soyez rigoureux dans la rédaction du contrat
Pièce maîtresse de votre relation avec votre consultant IT, la rédaction du contrat doit se faire avec une attention particulière. Faites ainsi en sorte d’être clair et précis dans les missions, les compétences requises et les conditions d’activité.
3. Veillez à respecter l’autonomie du travailleur
Tout au long de la mission, il est de votre devoir de vous assurer que le travailleur indépendant remplit son rôle en toute indépendance.
Vous pouvez ainsi vous poser les questions suivantes : est-il libre dans la gestion et le suivi de sa prestation ? A-t-il des horaires fixés ? Vous devez rester attentif à ces questions afin d’être sûr que son rôle ne s’assimile pas à celui de l’un de vos salariés.
4. Restez vigilant à la fin de la mission
La fin de la relation contractuelle des deux parties est le moment clé du potentiel risque de requalification. En effet, c’est à ce moment-là que le freelance informatique voit sa mission se terminer sans bénéficier d’indemnités de rupture comme c’est le cas pour les salariés en interne.
5. Prêtez attention à la durée de la mission proposée
Plus la mission est longue, plus le risque que le travailleur indépendant s’apparente à un salarié s’accroît. Pour cela, prenez soin d’établir une durée de mission en adéquation avec l’ampleur de votre projet informatique. Quite ainsi à renouveler une mission si besoin.
6. Prenez des mesures de dissociation vis à vis des salariés
Pour prévenir le risque de requalification en contrat de travail, vous pouvez également décider de prendre un maximum de mesures pour dissocier votre freelance informatique du reste de vos équipes. Quelques exemples concrets : il est recommandé de lui attribuer une adresse email complètement différente ou un badge d’accès « invité » s’il travaille en régie ou est amené à se rendre dans vos locaux.
Faire appel à des freelances : se faire accompagner pour prévenir tous les risques juridiques
Quoi qu’il en soit, le risque n’est jamais nul. Et si faire appel à un freelance informatique constitue une solution particulièrement souple et simple pour les entreprises, vous devez tout de même vous informer et prendre des précautions pour ne pas tomber sous le coup de la loi.
Heureusement, il existe des acteurs spécialisés qui peuvent vous accompagner non seulement dans la recherche de vos consultants indépendants, mais également dans la contractualisation et tout au long de la mission. Rien de mieux pour vous assurer que vous restez dans les clous et que vous ne courez aucun risque d’un point de vue légal.
Vous êtes à la recherche de consultants Tech & IT pour des missions freelances ou des postes en CDI ? Chez Mindquest nous vous aidons à trouver le meilleur talent qui correspond parfaitement à vos besoins ! Alors, n’attendez plus, rejoignez Mindquest !
L’interface web d’un site web ou d’une application reflète l’image de la marque. Elle constitue bien souvent le premier point de contact d’un visiteur avec le produit d’une entreprise. Le design doit donc être optimisé au maximum. Il doit également rendre le parcours utilisateur simple afin de transformer ce visiteur en client. L’identité graphique doit aussi être cohérente avec le positionnement marketing.
L’objectif du webdesigner est donc de séduire les visiteurs et utilisateurs avec des interfaces web harmonieuses, ergonomiques et responsives.
Webdesigner : le métier
Quel est le rôle d’un webdesigner
Analyser les besoins et objectifs En fonction du positionnement et de la cible de l’entreprise, le webdesigner va établir les besoins en termes de communication. Mais également l’objectif du site. C’est-à-dire si celui-ci sera un site vitrine, un site e-commerce… Il va également analyser la concurrence et faire des veilles sur les nouvelles tendances graphiques. De sorte à être toujours au courant des dernières tendances. Il va également hiérarchiser les informations qui seront présentes sur le site (onglets, articles, fonctionnalités…).
Mettre en oeuvre les actions à mener Après avoir effectué son analyse, le webdesigner va s’occuper de l’arborescence du site et réaliser une charte graphique. Cela lui permettra de pouvoir créer tous les visuels et illustrations, puis les maquettes. Il devra également vérifier que toutes les contraintes définies lors du début du projet sont respectées. Il pourra également vérifier que tout ce qu’il a imaginé est faisable techniquement et logistiquement. Par exemple, en termes de codage et de conduite du projet, dans le cadre des échéances qui ont été fixées.
Gérer le suivi et les mises à jour
Après la livraison du site, le webdesigner devra gérer le suivi, mais également faire les mises à jour du site. (Ajout d’un nouvel onglet, changement de charte graphique, évolution d’une fonctionnalité…).
Webdesigner : Compétences requises
Connaissances en informatique (outils d’intégration et graphiques) Le webdesigner a besoin de savoir utiliser les outils graphiques tels que ceux de la suite Adobe, afin de créer les visuels du site, ainsi que les maquettes. Il doit également être capable d’intégrer des contenus sur le site web en passant par exemple sur des plateformes de gestion de contenu comme WordPress ou Drupal.
Compréhension de la logique utilisateur / client Bien que le métier de webdesigner soit un métier très artistique, c’est avant tout un métier marketing. Le webdesigner doit connaître parfaitement les parcours utilisateurs, savoir ce que les utilisateurs vont noter dans la barre de recherche et sur quelle page ils vont tomber.
Curiosité, rigueur et organisation Le webdesigner doit s’intéresser aux nouvelles tendances, faire de la veille en fonction des différents secteurs d’activités. Il doit par ailleurs savoir hiérarchiser les tâches, avoir conscience des priorités et également respecter les délais impartis.
Créativité
Il ne faut pas oublier que l’objectif central du webdesigner est de créer un site web harmonieux. Il va donc devoir créer des visuels en s’inspirant des tendances et en recherchant l’esthétisme, mais surtout en faisant quelque chose d’assez nouveau, l’objectif n’étant pas de copier ce que font les autres.
Contexte
Avec l’essor des applications et des sites web, le webdesigner a vu son rôle gagner en importance au cours des dernières décennies. Le webdesigner doit être en contact permanent avec l’équipe marketing et communication afin que les projets soient menés en corrélation avec les objectifs d’identité de marque et de marketing digital.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
Salaire
Le taux journalier moyen d’un webdesigner se situe généralement entre 200 et 500€ selon l’expérience et le niveau de spécialisation.
Formation
Pour devenir webdesigner, il faut avoir des compétences en communication, graphisme, web et intégration, il est donc souvent recommandé de faire une formation de type Bac+3 à Bac+5 en conception multimédia ou en design web. Il existe aujourd’hui de nombreux cursus spécialisés sur ce métier.
Emploi dans la tech, Club Freelance a sélectionné pour vous les derniers articles les plus pertinents pour vous aider dans votre veille stratégique.
Les jeunes diplômés, les premiers sacrifiés du recrutement dans la tech durant la pandémie
Ave 41 % d’offres en moins pour jeunes diplômés et un recul de 37 % des recrutements pour les fonctions informatique selon l’APEC, les jeunes diplômés en informatique sont les premiers impactés par la crise sanitaire.
Emploi dans la tech : la French Tech poursuit ses recrutements malgré la crise
Avec la crise du Covid-19, certaines start-up ont certes dû adapter leurs plans, sans pour autant couper court aux recrutements. Financé et soutenu, l’écosystème technologique cherche toujours à gonfler ses rangs pour accompagner sa croissance.
Le rôle capital des femmes dans l’avenir de la cybersécurité
L’année 2020 marquera certainement un tournant du côté de la cybersécurité, car les entreprises et les administrations françaises ont pris conscience de l’enjeu.
Recherche d’emploi : ils choisissent le numérique et ils ont raison
Certains secteurs ne connaissent pas la crise, ou presque. Parmi eux, l’emploi dans la tech et le digital demeure une valeur sûre. La preuve avec Fanny, qui a signé son CDI au lendemain de son stage de fin d’études.
Mindquest, tout savoir sur notre nouvelle marque de recrutement IT
Nous vous l’annoncions récemment : toute l’équipe Club Freelance est fière de lancer en début 2021, la marque Mindquest ! Cette dernière concrétise notre offre de recrutement IT en CDI et nos ambitions de développement en Europe.
Mais pourquoi avoir décidé de lancer une nouvelle marque ? Pourquoi avoir choisi ce nom ? Quels messages souhaitons-nous faire passer à travers le logo ? En bref, quelle est l’histoire qui se cache derrière cette nouvelle marque ? Nous vous dévoilons les dessous de la création de Mindquest !
Mindquest : L’histoire et la vision
En 2014, Thomas Delfort, ancien DSI de grandes multinationales et Manuela Garampon, spécialiste du recrutement de profils IT mettaient en commun leurs expertises et s’associaient pour créer Club Freelance, entreprise de mise en relation entre freelances informatiques et grandes entreprises.
L’idée ?
Proposer un service différent de ce qui existait déjà sur le marché ; en mettant la relation humaine au cœur du modèle, avec une forte valeur ajoutée sur la partie accompagnement et conseil. Ainsi le constat de base était que : faire « matcher » des Hommes ne peut se faire que par d’autres Hommes. Le digital a toujours été clé dans nos process internes. Cependant, notre clé voûte sera toujours d’utiliser le digital pour être au service de l’Humain et non l’inverse. A la grande différence des acteurs type plateformes. De la même manière, nous avons toujours cherché à créer des communautés de candidats, et non de simples bases de données.
L’entreprise a connu une forte croissance dès ses débuts. Portée par la démocratisation du freelancing et le dynamisme du secteur IT. 🚀 Les équipes ont grandi petit à petit. De nouveaux bureaux se sont ouverts, et l’organisation s’est structurée avec succès, notamment avec l’ouverture du Sourcing Hub à Barcelone.
Étendre son offre
Jusqu’ici focalisée sur le marché français, l’entreprise a amorcé un tournant fort en 2020. Elle a étendu son offre de service en proposant désormais le recrutement de profils IT en pré-embauche et en CDI.
Cet
élargissement de notre offre de service va de pair avec la vision des
cofondateurs, elle-même nourrie par les insights quotidiens que collectent nos
équipes auprès de nos clients et candidats : l’avenir du travail de demain,
c’est l’hybridation salariat / travail indépendant. Les deux types de statuts
sont voués à cohabiter et ne s’opposeront plus. Les parcours
professionnels seront marqués par des périodes d’alternance entre freelancing
et CDI, et les entreprises devront apprendre à recruter et manager des équipes
« hybrides ».
La marque Mindquest naît ainsi pour symboliser cette vision. Elle reprécise le positionnement de l’entreprise, qui affirme ainsi du même coup son ambition européenne.
Pour en savoir plus sur notre vision, nous vous invitons à lire notre Manifesto !
Alors, vous serez sans doute d’accord avec nous… Proposer un service de recrutement en CDI sous le nom « Club Freelance », cela peut créer quelques confusions ! 😅 Nous avons donc assez vite pris conscience de la nécessité de créer une nouvelle marque pour cette offre complémentaire de recrutement.
Mais pourquoi « Mindquest » ?
Nous voulions un nom de marque qui reflète un positionnement résolument tourné vers l’avenir, et en accord avec notre vision.
« Minquest » c’est l’association de deux mots qui représentent ainsi pour nous la vision et les valeurs de notre service.
« Mind » fait référence au savoir, aux
connaissances, aux compétences qui sont bien évidemment au cœur de notre
recherche de profils dans notre métier de recruteurs, mais « Mind »
fait également référence à l’état d’esprit, à l’expérience, et à tous les
éléments de savoir-être qui font bien souvent la différence entre les
candidats. Un mot qui symbolise donc bien notre approche holistique du métier
de recruteur, et qui recouvre hard skills et soft skills.
« Quest » renvoie à l’idée de quête, de recherche perpétuelle, qui fait bien évidemment écho à notre quotidien de recruteurs. Mais pas seulement. Notre conception des carrières dans l’IT est très liée à la notion de parcours et d’itinéraire, de voyage. Une idée que l’on retrouve dans les expressions career path ou professional journey en anglais. Nous pensons ainsi que le secret du succès réside dans la capacité de chaque individu à se construire un itinéraire, à s’orienter en prenant les bonnes décisions. La réussite professionnelle est donc une quête qui nécessite de s’adapter et de relever de nombreux défis.
Le logo & l’identité graphique
L’identité visuelle de Mindquest se veut à l’image de notre service : moderne, sobre et élégante mais humaine et chaleureuse.
Le logo
Nous avons donc privilégié les couleurs noir, blanc et rouge – pour garder au passage un lien avec les couleurs de Club Freelance.
Un logo à l’image de la marque Mindquest : moderne, sobre et élégante mais humaine et chaleureuse.
Le logo s’est construit autour de la notion de connexion entre les mots « mind » et « quest ». Notre métier de recruteurs est de mettre en contact, et la connexion est au cœur de notre domaine d’expertise : la technologie et l’informatique.
Si vous ne voyez pas le symbole de connexion, regardez ci-dessous :
Le logo Mindquest illustre la connexion entre « mind » et « quest ».
Le pictogramme
Notre logo est agrémenté d’un pictogramme. Il reprend ce symbole de connexion et le transpose à deux personnages, reflétant l’aspect humain de notre service.
Le pictogramme accompagnant le logo de Mindquest symbolise l’aspect humain des services Club Freelance & Mindquest.
Les ressources Mindquest
Nous avons récemment officiellement lancé le site Mindquest mais en réalité nous travaillons depuis un petit moment déjà sur un Hub de contenus à destination des professionnels de l’IT : Mindquest Connect.
Vous y trouverez des articles sur l’actu IT, des ressources & conseils en recrutement ou gestion de carrière, des tribunes, des guides par métier ou domaine d’expertise, et même une nouvelle de science fiction sur les nouvelles technologies découpée en plusieurs chapitres. En bref, la base de lancement parfaite pour faire décoller votre carrière IT !
Voilà, vous savez désormais tout sur le pourquoi du comment de la création de Mindquest. Nous avons hâte de vous accompagner dans la recherche de vos nouveaux talents ou dans l’identification de vos prochains défis professionnels !
Vous souhaitez suivre les actualités de la marque Mindquest ?Rendez-vous sur la page LinkedIn et sur notre site web!
Vous pouvez aussi vous inscrire à notre Newsletter en anglais et à notre newsletter pour Consultants IT et pour Décideurs IT, pour recevoir chaque semaine un récap de l’actu IT et tous nos derniers contenus.
Enfin, si vous recherchez des talents IT ou bien des opportunités de carrières en CDI, alors nous vous attendons sur fr.mindquest.io.
Club Freelance lance la marque Mindquest pour étendre son activité en recrutement & gestion de carrière dans l’IT en CDI et freelance, à l'international.
Club Freelance lance la marque Mindquest. Elle complète son offre pour proposer un accompagnement global en recrutement & gestion de carrière dans l’IT, en CDI, pré-embauche et freelance. Ce développement concrétise d’une part une vision unique de l’hybridation des politiques de recrutement et des carrières ; et d’autre part les ambitions européennes de l’entreprise.
COMMUNIQUE DE PRESSE : lancement de la marque Mindquest
Paris, le 17 décembre 2020 – L’équipe de Club Freelance, société de sourcing de consultants indépendants dans la technologie et l’informatique ; annonce le lancement d’une nouvelle marque, Mindquest, dédiée au recrutement de professionnels de l’IT en CDI.
Mindquest est également la bannière sous laquelle Club Freelance va continuer à étendre l’ensemble de ses activités à l’international. Notamment avec l’ouverture de nouveaux bureaux en Europe, après Londres et Barcelone, prévue à partir de 2021.
L’entreprise adopte une position qui va à l’encontre de
certains discours actuels qui prônent l’avènement du freelancing comme le
modèle dominant du monde du travail de demain.
« Il peut paraître étonnant de voir une entreprise spécialisée dans le freelancing se tourner aujourd’hui vers le CDI », commente Thomas Delfort, cofondateur & CEO de Club Freelance, et ex-DSI de grandes entreprises, « Mais cette évolution de notre offre répond à une réalité très concrète. Nous avons en effet de plus en plus de sollicitations de la part de nos entreprises clientes pour identifier des profils techniques, non plus uniquement en freelance mais aussi en CDI, pour pérenniser leurs équipes, ou internaliser et sécuriser les meilleurs profils dans le contexte de la guerre des talents. De la même manière, des freelances nous expriment régulièrement le souhait de (re)passer en CDI, pour des raisons souvent très pragmatiques : besoin de plus de stabilité pour fonder une famille, projet de souscrire un prêt immobilier, envie de manager des équipes… »
Une connaissance pointue du secteur de l’IT
Cette stratégie de développement se fonde sur une
connaissance pointue de l’offre et de la demande en matière de compétences IT,
alimentée par des échanges directs et quotidiens avec des milliers de
professionnels et recruteurs du monde de l’informatique. Des échanges permis
par le positionnement singulier de Club Freelance, qui va à rebours de la
« plateformisation » actuelle du monde du recrutement : si
l’entreprise est fortement digitalisée et s’appuie sur des outils avancés de
sourcing digital (utilisant notamment une IA propriétaire), la grande valeur
ajoutée du service réside dans l’expertise, l’accompagnement humain et les
conseils personnalisés des équipes Club Freelance à destination des clients et
des candidats.
Hybridation
des politiques de recrutement et des carrières IT
Pour Club Freelance, la disparition des silos entre les deux statuts n’est pas un ajustement ponctuel du marché, mais bien une tendance de fond poussée par deux facteurs principaux :
L’accélération technologique dans les dynamiques concurrentielles
L’évolution de plus en plus rapide des environnements technologiques, le rythme des innovations et la nécessité d’être toujours à la pointe exigent une réactivité et une agilité qui ne sont plus compatibles avec une vision cloisonnée des statuts freelance et CDI.
Au sein des départements IT, la tendance est à la constitution d’équipes composées à la fois de freelances et de CDI pour répondre aux besoins croissants d’agilité et faire face à la guerre des talents dans la technologie et l’informatique. Les candidats accordent quant à eux davantage d’importance à l’attractivité des projets et des équipes plutôt qu’à un statut, et sont de plus en plus favorables à l’idée d’alterner périodes de freelancing et périodes de CDI.
La flexibilisation des équipes IT en entreprise etdes carrières
Il n’y a donc plus d’un côté les CDI, et de l’autre les
freelances, mais de plus en plus une hybridation des deux. Les équipes de Club Freelance constatent
ainsi une demande croissante d’accompagnement pour intégrer cette hybridation,
en recrutant les meilleures ressources d’une part, et en faisant les meilleurs
choix de carrière d’autre part.
« Avec
Mindquest, nous élargissons
notre offre afin de répondre aux nouveaux enjeux de cette hybridation du
recrutement IT. Notre ambition est de devenir de véritables conseillers
en stratégies talents pour les entreprises, avec la capacité à les accompagner
sur l’ensemble de leurs challenges humains dans l’IT : un seul partenaire,
capable d’interagir avec les opérationnels, les RH et les achats. Et nous
souhaitons devenir de véritables accompagnateurs de carrières pour les
professionnels de la technologie et de l’informatique, qui évoluent dans un
environnement toujours plus complexe », commente Manuela Delfort, cofondatrice et COO
de Club Freelance.
Mindquest : un développement à l’international
Mindquest devient également la marque internationale de Club
Freelance. L’entreprise ambitionne de se développer dans de nouveaux pays
européens à partir de 2021. Pour simplifier ce développement, Mindquest sera
l’unique marque à l’étranger et regroupera les activités de placement de
freelances et de recrutement en CDI.
« Nous sommes convaincus que l’avenir est au décloisonnement du recrutement IT : en termes de statut, mais aussi en termes d’internationalisation. En nous développant à l’international, nous nous donnons les moyens d’accompagner nos clients sur l’entièreté de leurs besoins CDI / freelance, dans toutes leurs filiales en Europe, etd’accompagner les candidats dans leurs carrières sur plusieurs pays », conclut Thomas Delfort.
A propos de Club Freelance
Club Freelance est une société de sourcing de consultants indépendants dans la technologie et l’informatique. Notre mission est d’une part d’aider nos entreprises clientes à attirer et fidéliser les meilleurs talents pour répondre à leurs besoins stratégiques, et d’autre part d’accompagner nos consultants dans leur carrière en les aidant à trouver les missions les plus adaptées à leur profil et leurs aspirations. Nous accordons une grande place à l’humain et nouons des relations de long terme avec nos clients et nos consultants.
Quelques chiffres clefs :
Date de création : 2014 Effectifs : 30 personnes, basées à Paris, Londres et Barcelone Chiffre d’affaires prévisionnel pour 2020 : 21 millions d’euros Objectif de chiffre d’affaires pour 2021 : 25 millions d’euros Nombre de profils dans la base de données : 64 000
En tant que freelance informatique, vous devez régulièrement rechercher des missions et vous souhaitez sans doute décrocher les meilleures missions possibles. Que vous soyez un nouveau freelance ou un consultant indépendant expérimenté, trouver une mission peut s’avérer un calvaire ou au contraire un jeu d’enfant selon votre méthodologie.
Alors comment mettre en place une stratégie de recherche efficace en 2021 ? Quelles sont les différentes étapes à respecter ? Où trouver les meilleures missions IT en freelance ?
Découvrez dans cet article comment trouver les missions de freelance informatique à la hauteur de vos ambitions.
1. Décrocher les meilleures missions : définissez vos critères de recherchepour
Avant même de débuter votre recherche, assurez-vous de bien définir quel type de mission IT vous recherchez. Plus votre idée sera claire, plus vous aurez de chance de trouver la mission « parfaite ». Bien sûr, il faudra garder à l’esprit qu’il est impératif de conserver une marge de flexibilité pour ne pas passer à côté d’une potentielle mission de freelance informatique intéressante mais qui ne répond pas à 100% de vos critères de recherche.
Type de projet, type d’entreprise, secteur d’activité, mode de travail, stack technique… listez un maximum de critères de recherche. Sans oublier le fameux TJM (taux journalier moyen), en vous assurant de vous fixer des objectifs ambitieux mais atteignables.
Il est normal que cette étape vous prenne plus de temps si vous vous lancez en freelance. Mais notez bien que même si vous êtes un consultant expérimenté, cette grille de critères ne doit pas être figée, elle doit être réévaluée de manière régulière pour réadapter vos critères de recherche aux objectifs que vous vous fixez. Cette étape aidera à décrocher les meilleures missions.
2. Soignez votre profil pour décrocher les meilleures missions
Une fois que vous avez une idée claire du type de mission que vous recherchez, rendez votre profil attractif et travaillez votre visibilité. Commencez par vérifier que votre CV est clair et adapté au poste que vous visez. Votre profil LinkedIn est également un élément à ne pas négliger : contrôlez les informations et complétez-les avec un maximum d’informations sur votre parcours et votre expérience. Cette étape est indispensable avant même de commencer à vous positionner sur les offres vacantes.
Pour décrocher les meilleures missions de freelance informatique, il faut maximiser vos chances de taper dans l’œil d’un recruteur. Pour ceci, assurez-vous de faire figurer un maximum d’éléments concrets dans votre dossier de candidature. Portfolio, profil Github, références ou courts témoignages d’anciens employeurs sont autant d’éléments qui peuvent vous permettre de vous démarquer des autres candidats.
En tant que freelance informatique, vous devez mettre en avant vos “hard skills” ou compétences techniques, en mentionnant vos différentes certifications et formations. Mais n’oubliez pas que les “soft skills” et autres compétences relationnelles sont également des éléments qui peuvent faire pencher la balance en votre faveur aux yeux du recruteur.
3. Partez à la chasse de missions IT
Bien que la plupart
d’entre-elles soient généralistes, le nombre de plateformes proposant des
missions en freelance ne cesse de s’accroître et cela ne facilite pas la tâches
des candidats. Au contraire. En tant que
consultant IT, nous vous recommandons de vous inscrire sur une communauté de
talents spécialisée dans la tech et l’informatique. Cela doublera vos chances
de trouver une mission correspondant à vos critères.
Une fois inscrit sur la
plateforme, vous pouvez consultez les offres, postuler aux missions qui vous
intéressent mais également vous créer des alertes personnalisées pour recevoir
les offres adaptées à votre recherche dès leur publication. Sachez que la
plupart des employeurs recherchent dans l’urgence, votre réactivité peut donc être
un facteur capital dans votre recherche de mission IT en freelance.
4. Sollicitez votre réseau
Quand vous êtes à la
recherche d’une nouvelle mission IT, n’hésitez pas à en parler autour de vous.
Vos anciens clients ou collaborateurs, tout comme vos pairs, pourront être
susceptibles de vous recommander sur certains projets. Vous l’aurez compris,
ces recommandations reposent sur la construction d’une réputation solide auprès
de l’ensemble de votre réseau.
Vous pouvez également
asseoir votre expertise auprès de ces contacts à travers le partage et la
création de contenu sur les réseaux sociaux. Twitter et LinkedIn sont
d’ailleurs des réseaux sociaux très utiles pour les professionnels de
l’informatique qui souhaitent échanger du contenu de qualité, entrer en contact
avec de potentiels clients et relayer une éventuelle recherche de mission,
auprès d’un large public.
5. Faites-vous accompagner
Se faire accompagner par
une agence de placement de consultants IT ? Il s’agit sans doute de l’un des
moyens les plus efficaces pour trouver une mission cohérente avec votre
ambition dans un laps de temps le plus court possible. Mais encore faut-il
choisir le bon partenaire. Les critères à prendre en compte : le volume et
l’intérêt des missions proposées sur votre domaine d’expertise, leur
connaissance du marché des freelances IT et l’accompagnement qu’elles offrent
au-delà de la mise en relation candidat-entreprise.
Pour apporter un maximum de valeur à cet accompagnement, chez Club Freelance nous proposons un accompagnement humain complet : conseils sur votre CV, préparation des entretiens, négociation du meilleur TJM possible, prise en charge des formalités administratives, suivi tout au long de la mission, et mise à disposition de ressources pour vous aider à gérer votre activité.
En plein essor, le RPA (Robotic Process Automation) est une technologie favorisant les gains de productivité d’une entreprise à travers l’automatisation des processus métiers. A la clef : élimination des tâches fastidieuses, rationalisation des opérations et réduction des coûts.
Découvrez dans cette fiche métier le rôle, les missions, le salaire et les compétences requises d’un Consultant RPA, profil très recherché par les entreprises, notamment par les ESN (Entreprises de services du numérique).
Vous êtes freelance informatique à la recherche de nouvelle opportunités de missions IT ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions freelance directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI Minquest.
1. Consultant RPA : le métier
Son rôle consiste à prendre en charge la conception technique de la robotisation des processus métiers dans son intégralité.
1.1. Définition de la stratégie RPA
La première partie du travail d’un consultant RPA consiste à définir la stratégie en étroite collaboration avec le client ou la DSI, afin d’adopter une démarche de planification d’un chantier robotique. Cette première étape est accompagnée d’une réalisation de diagnostic pour identifier les potentiels de robotisation possibles ainsi que d’un POC (Proof of concept).
Une fois la stratégie définie, le Consultant RPA débute le paramétrage des outils et le déploiement de l’ensemble des actions d’automatisation pour chaque processus. Il s’attèle ainsi au développement des règles dans le respect des contraintes définies par le protocole RPA.
1.3. Tests et présentation des robots aux équipes
Enfin, le Consultant RPA s’occupe des tests unitaires à effectuer et valide les spécifications fonctionnelles mises en place. Il participe également à l’élaboration du manuel utilisateur pour la mise en œuvre opérationnelle des robots et de la présentation des robots aux équipes.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique ? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.
2. Consultant RPA : compétences requises
2.1. Solides connaissances en sécurité logicielle
Doté d’un background IT, ce consultant possède une appétence pour les systèmes d’information et l’automatisation et/ou robotisation. Il maîtrise des outils tels que RPA UI Path, Pega ou Blue Prism.
2.2. Maîtrise des méthodes « Agile »
L’exercice du métier de Consultant RPA nécessite de connaître les approches de gestion de projet agiles (Scrum, Kaban) & Cycle en V. Cette méthode recommande de se fixer des objectifs à court terme, et pousse donc le projet a se diviser en plusieurs sous-projets. Une fois l’objectif atteint, on passe au suivant jusqu’à l’accomplissement de l’objectif final. Il s’agit d’une méthode de travail agile.
2.3. Rigueur et curiosité
En tant que consultant RPA, vous travaillerez en étroite collaboration avec vos clients pour comprendre leurs besoins, résoudre leurs problèmes et optimiser leurs processus métier. Votre rigueur vous permettra de fournir des résultats précis et de haute qualité, tandis que votre curiosité vous permettra de rester à jour avec les dernières tendances et technologies, ce qui vous aidera à proposer des solutions innovantes et efficaces.
Enfin, n’oubliez pas que la communication est également une compétence clé pour un consultant RPA. Il est important de pouvoir expliquer clairement les concepts techniques aux clients et aux parties prenantes non techniques. Mais il est aussi important de collaborer efficacement avec les équipes internes et de gérer les attentes des clients.
Vous êtes expert freelance à la recherche de missions IT ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.
3. Salaire
Le taux journalier moyen d’un Consultant RPA se situe généralement entre 400 et 800 €.
En général, un consultant RPA junior en CDI peut s’attendre à gagner entre 35 000 et 50 000 euros par an. Avec une expérience plus avancée et une expertise approfondie, le salaire en CDI peut augmenter et atteindre généralement entre 50 000 et 80 000 euros par an pour un consultant RPA senior.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
4. Formation
Pour accéder à ce métier, il est recommandé d’avoir un Bac +5. C’est-à-dire de poursuivre des études supérieures en informatique à l’université ou en école d’ingénieur. C’est en effet le parcours généralement suivi par ce type de profil.
