Vous vous demandez sûrement quel monde nous attend après le Covid-19 ? Bien que tout ne soit pas encore rentré dans l’ordre, les entreprises reprennent leurs activités tout en adoptant de nouvelles décisions pour mieux gérer l’après crise. Club Freelance a sélectionné pour vous les derniers articles à lire sur l’après Covid-19 pour décideurs IT.
La crise a permis aux DSI d’être mieux préparés aux défis futurs, à condition d’en tirer les leçons
Cisco a récemment réalisé une enquête auprès des DSI pour mettre en lumière leurs stratégies, leurs forces mais aussi leurs faiblesses face à cette crise inédite.
L’après Covid-19 pour décideurs IT : « Après-Covid-19 : vers un renforcement numérique de l’industrie 4.0 »
Bien que le contexte actuel reste incertain, il est indispensable d’anticiper et d’ajuster les roadmaps de l’industrie 4.0 dès aujourd’hui.
Cette tribune de Janick Villaneau, directeur Industrie 4.0 chez Scalian, nous explique pourquoi l’utilisation massive des outils numériques est essentielle à la gestion de l’après-covid-19.
L’après Covid-19 pour décideurs IT : Suite au Covid-19, les entreprises musclent leurs infrastructures
Face à la crise sanitaire, les entreprises ont été forcées à renforcer dans l’urgence leurs infrastructures. Ceci pour assurer la continuité de leur activité dans les meilleures conditions possibles.
Au sommaire de ce dossier publié par Le Monde Informatique, 8 mini articles d’acteurs IT qui nous expliquent quel ont été les plans d’action déployés pour muscler les infrastructures.
Covid-19 : le Groupe hospitalier Bretagne Sud gère la crise en mode projet
Dans cet article, Saber Aloui -DSI du Groupe hospitalier Bretagne Sud- nous raconte comment la crise a constitué une leçon d’organisation et de management au sein du groupe.
Le SRE signifie « Site Reliability Engineer ». Le métier est parfois traduit en français comme « Ingénieur en qualité opérationnelle » ou « Ingénieur de fiabilité de site ». C’est une fonction de plus en plus convoitée au sein des départements IT.
Le métier de SRE découle d’une approche de gestion des systèmes de production créée chez Google en 2003. Il découle également plus largement de l’approche DevOps. La fonction se fonde ainsi sur la mise en œuvre d’une synergie entre le développement et les opérations. Cette synergie vise à accélérer la création et le déploiement d’applications.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du SRE (Site Reliability Engineer), les compétences principales, le salaire et la formation de ce professionnel de l’informatique.
Vous êtes Site Reliability Engineer à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions SRE directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI Minquest.
1. Le métier de SRE : quel est le rôle d’un Ingénieur en fiabilité des sites ?
1.1. Analyser le cahier des charges du projet
La première mission d’un SRE est d’analyser les problèmes et les fails de sécurité d’une application. Il doit comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas sur une application, afin de l’optimiser.
1.2. Travailler en collaboration avec les développeurs et les commerciaux
Le SRE va devoir s’entretenir avec les développeurs et commerciaux pour bénéficier de leurs retours et réussir ses missions. L’avis des deux côtés est ainsi important. A la fois pour comprendre les ressentis extérieurs et ce que les utilisateurs reprochent en terme de sécurité/fiabilité. Il faut aussi comprendre ce que les développeurs ont fait, et donc pouvoir analyser plus rapidement les problèmes.
1.3. Créer de l’automatisation
Afin de gagner de temps et de l’efficacité, l’ingénieur en fiabilité des sites devra être capable de mettre en place des automatisations pour les tâches récurrentes, notamment grâce à des algorithmes.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique ? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.
2. SRE : compétences requises
2.1. Être à l’aise en programmation
Le SRE devra être capable d’écrire et de programmer tous types d’application, et devra être à l’aise avec beaucoup de langages classiques tels que JavaScript, Java, .NET. Mais aussi des langages plus récent comme, Node.js ou bien Golang.
2.2.Traduire un langage commercial en langage technique
Quand le SRE reçoit le cahier des charges, il doit être en capacité de comprendre la finalité commerciale du client et d’ensuite mettre en place les moyens technique pour résoudre le problème.
2.3. Comprendre tous les points de vue
L’ingénieur en fiabilité des sites devra se mettre à la place des développeurs, mais aussi des utilisateurs du site ou de l’application pour comprendre quels peuvent être leurs freins par rapport au système de sécurité.
En général un SRE est avant tout un développeur, et il aura en plus, des connaissances en infrastructure opérationnelle et problèmes de performances.
Vous êtes freelance informatique à la recherche de missions IT pour consultant SRE ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.
4. Salaire du SRE
Le taux journalier moyen d’un SRE se situe généralement entre 550 et 750€.
Pour devenir Ingénieur en fiabilité des sites, le mieux est d’avoir une formation en informatique et plus particulièrement en langage et programmation.
6. Téléchargez votre fiche métier SRE :
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Vous êtes développeurs ou le développement web vous intéresse ?
Ça tombe bien, nous avons sélectionné pour vous 4 articles à lire pour rester au courant de l’actualité du secteur.
Avec autant de travail à distance, les logiciels low code et no code gagnent du terrain
Dorénavant bien adaptées aux start-up disruptives, le mouvement du « no code » est en plein essor et pourrait faire ses preuves au sein ses entreprises très dispersées.
#BlackLivesMatter : GitHub va abandonner les termes “slave” et “master”
Sous l’impulsion du mouvement Black Lives Matter, nombreuses sont les entreprises qui ont décidés d’apporter du changement. Après que Google ait décidé de repousse le lancement d’Android 11 et Sony la sortie de la PlayStation 5, c’est au tour de Github d’agir.
De l’importance d’éco-concevoir les apps pour les développeurs
Bien qu’elles aient un fort impact environnemental, peu nombreux sont les concepteurs qui se préoccupent de l’importance de l’éco-conception des applications.
Navigateurs : Google répond aux développeurs sur la compatibilité de Chrome
En réponse à une enquête de Mozilla Developer, Google s’exprime et détaille ses travaux pour améliorer la compatibilité de Chrome avec les technologies du web.
Les DSI jouent un rôle clé dans le développement de leur organisation. L’apparition du Covid-19 a mis en lumière leur importance.
Le rôle de DSI, Directeur des Systèmes d’Informations (DSI), est clé dans le développement de leur organisation. Si l’importance de celui-ci a longtemps été ignoré par de nombreux collaborateurs, l’apparition du Covid-19 a rebattu les cartes.
Afin de limiter l’impact de la crise économique et contrer les problématiques imprévues, les entreprises ont dû faire preuve de beaucoup d’ingéniosité et d’une grande réactivité. Un grand nombre d’entre elles se sont donc réorganisées autour du télétravail. Et elles ont identifié de nouveaux moyens pour maintenir l’activité. Ceci tout en optimisant les coûts ainsi que de nouvelles sources de revenus adaptées au contexte. Cela a remis en question de nombreux sujets au sein des organisations. Les départements informatiques, piliers de cette adaptation, se retrouvent souvent largement mis en valeur.
Vous l’aurez compris, cette période de crise aura bien sollicité les services informatiques des entreprises. Aussi, au vu se de sa responsabilité dans la conception et la mise en œuvre de la stratégie digitale, le rôle du DSI gagne un intérêt croissant auprès de toute l’organisation et continue d’évoluer de manière fondamentale.
Le rôle de DSI, de « sauveur » à « dirigeant »
La pandémie a surpris bon nombre d’entreprises, forçant leurs responsables informatiques à adapter l’infrastructure au travail à distance et aux nouvelles réglementations en matière de sécurité. C’est la première des trois étapes que les DSI ont dû mettre en place pour traverser la crise.
Si la plupart des sociétés ont su anticiper très rapidement cette dernière, nombreuses sont celles qui ont rencontré de grosses difficultés et peinent encore à adapter leur fonctionnement. On constate néanmoins que le rééquilibrage de l’organisation a généralement été opéré par – ou en lien avec – les DSI. En étroite collaboration avec les autres responsables stratégiques ils ont dû passer au peigne fin chaque ressource disponible : des outils numériques aux ressources humaines. Les Directeurs des Systèmes d’Informations ont également dû faire preuve d’agilité et de créativité. Ceci pour faire émerger les solutions permettant de pallier la réduction des budgets et la suspension d’activité.
Une fois ces premières mesures prises, la deuxième étape pour les DSI consiste à renforcer et diffuser ces nouvelles règles. Mais aussi les protocoles et méthodes de travail à adopter. Pour favoriser au maximum la bonne transmission de ces informations, ils développent des programmes et outils de formation en ligne. Ceci souvent en collaboration avec le service des Ressources Humaines. Mais l’intervention des DSI va plus loin que la simple adaptation de l’organisation de travail. Ils sont notamment également sollicités pour superviser la fin du confinement et faciliter le retour des équipes au bureau.
Un rôle plus important pour aller de l’avant
L’urgence sanitaire aura été une belle leçon pour toutes les personnes ayant négligé jusqu’alors l’importance de la DSI. Le paradigme traditionnel visant à se concentrer essentiellement sur la stratégie commerciale évolue et les DSI ont désormais leur mot à dire concernant l’organisation globale de l’entreprise. Un facteur décisif notamment dans la définition de nouvelles stratégies commerciales.
Il s’agit-là de la troisième et dernière étape du rôle-clé du DSI en situation de crise. Le coronavirus n’aura donc finalement fait qu’accélérer une tendance déjà bien perceptible… Les responsables informatiques sont désormais aux commandes.
Cybersécurité et pandémie, extension du domaine de la lutte
Les attaquants profitent de la crise du Covid-19 pour exploiter les vulnérabilités récentes et anciennes sur des assets numériques très divers, en croissance constante.
Quelles vont être les principales tendances en matière de cybersécurité pour la deuxième moitié de 2020 ?
Il y a quelques semaines on aurait surement évoqué le l’explosion du traffic sur les solutions SaaS, et les conséquences en matière de sécurité pour les plateformes comme Office 365, Dropbox, Gmail, Google Drive ou One Drive. Mais tout a changé depuis quelques semaines car de nombreux nouveaux défis se présentent pour les entreprises.
Articles Cybersécurité à lire : Cybersécurité et intelligence artificielle
Objets connectés, cloud, reconnaissance faciale, etc., les innovations technologiques ont permis d’accomplir d’énormes progrès dans les systèmes informatiques et les réseaux, notamment pour les armées. Mais elles constituent également de nouvelles formes de menaces. Dans ce contexte, l’intelligence artificielle s’impose d’abord comme une solution viable et pérenne, mais pourrait également devenir une source de problèmes.
Articles Cybersécurité à lire : La cybersécurité de la CIA mise au pilori
Un rapport d’évaluation de la CIA, sur la fuite d’informations sans précédent et les outils de hacking qui ont frappé l’agence de renseignement américaine en 2016, montre d’importantes failles en matière de protection et de cybersécurité chez cette dernière.
Fiche métier - Developpeur Back End : missions, compétences, formation et salaires
Le SEO, ou référencement naturel, est devenu un point clé pour générer du trafic de qualité sur son site web. Les utilisateurs étant de plus en plus impatients, 91% des clics se font sur la première page du moteur de recherche. Il est donc essentiel pour une entreprise d’être présente sur celle-ci afin de maximiser sa visibilité.
L’objectif d’un expert SEO est donc de tout mettre en oeuvre pour optimiser la visibilité web d’une marque sur internet.
Expert SEO : le métier
Quel est le rôle d’un expert SEO
Réalisation d’un audit L’expert SEO est souvent sollicité par une entreprise pour remettre à plat sa stratégie de référencement. Sa première mission est donc d’analyser l’état actuel du site (méta données, mots clés…), la cible, les retombées (taux de clics, taux de rebond…), ainsi que les sites web des concurrents.
Prescription de la stratégie Une fois la phase d’analyse effectuée, l’expert SEO va pouvoir définir son plan d’action, et établir la stratégie à mettre en place pour optimiser la visibilité du site en fonction du secteur d’activité. Définir les mots clés les plus efficaces, optimiser les liens internes et externes mais également réorganiser les pages du site en fonction du positionnement et des objectifs du site web.
Implémentation et suivi, mesure de la performance Il doit ensuite coordonner la mise en place des actions, en lien avec les équipes techniques. L’expert SEO doit par ailleurs manager les équipes SEO si elles existent, ou les équipes chargées du contenu. Il doit mettre en place des bonnes pratiques, et faire un suivi pour s’assurer de leur application. Il doit enfin analyser si les mesures mises en place ont été bénéfiques et voir si d’autres optimisations sont nécessaires par la suite.
Expert SEO : Compétences requises
Connaissance des outils SEO et langages internet L’expert SEO doit avoir des connaissances techniques pointues : il doit savoir utiliser les outils SEO de base tels que Google Analytics ou Semrush et des outils parfois plus spécifiques. Ces outils lui servent dans la phase d’analyse de l’état actuel du site et pour mesurer les résultats des actions mises en place. Il est par ailleurs souvent utile d’avoir des connaissances en langages HTML, CSS ou encore Javascript.
Esprit analytique et rigueur L’expert SEO doit être parfaitement à l’aise avec les chiffres et maîtriser les (nombreux) KPIs essentiels à son activité. Il doit également être organisé et faire preuve d »une grande rigueur : hiérarchiser les tâches à accomplir, et se construire un plan d’action précis. Le SEO étant une discipline qui évolue très vite, il doit mettre à jour ses connaissances très régulièrement, notamment sur les algorithmes des moteurs de recherche.
Capacités relationnelles L’expert SEO doit être un bon communicant. Il doit souvent travailler en lien avec plusieurs équipes et relayer les informations. L’expert SEO doit connaître parfaitement le domaine d’activité de l’entreprise. Ceci pour être en mesure d’analyser en profondeur le site internet en question et celui des concurrents. Il doit savoir se mettre dans la peau du public cible pour appliquer une stratégie contenus et SEO adaptée.
Contexte
Les métiers du référencement web sont de plus en plus présents car des milliers de sites web sont créés chaque jour, et les entreprises se livrent de véritables batailles de visibilité. Les experts SEO peuvent travailler en agence, au sein d’un département marketing d’une entreprise, ou intervenir en tant que consultants indépendants.
Salaire
Le taux journalier moyen d’un expert SEO freelance se situe entre 250 et 600€. Il diffère selon son niveau d’expérience et de technicité.
Formation
Pour devenir expert SEO, il est souvent recommandé de faire une formation Bac+3 à Bac+5. Il est possible de débuter par une licence pro (par exemple référenceur ou rédacteur Web). Puis d’effectuer un master en communication digitale, multimédia et e-commerce.
La concurrence est forte et il est souvent nécessaire de bénéficier de plusieurs années d’expérience.
IA post COVID-19 : les 4 articles à lire sur l'intelligence artificielle
Qu’en est-il de l’intelligence artificielle suite à la crise du Covid-19 ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles sur de ces dernières semaines sur l’IA post Covid-19.
IA post Covid-19 : L’intelligence artificielle et la mobilité s’invitent dans l’ERP
Les systèmes informatiques et solutions de gestion ERP ont connu ces dernières années de profondes transformations et évolutions. Dans ce contexte, les sujets liés à la mobilité et à l’intelligence artificielle sont passés de simples concepts à une réalité opérationnelle concrète. Ainsi, les grandes plateformes et infrastructures intègrent aujourd’hui l’IA dans leurs environnements, avec par exemple Watson sur IBM I.
Comme notre cerveau, l’intelligence artificielle a besoin de sommeil
Une équipe de chercheurs américains vient de découvrir que les réseaux de neurones artificiels ont besoin de repos, tout comme le cerveau humain a besoin de sommeil. Ceci permet d’éviter l’instabilité provoquée par une activité ininterrompue de l’IA…
IA post Covid-19 : vers un nouveau modèle de coopération entre les humains et l’IA
A quoi pourrait ressembler notre travail lorsque la crise sanitaire du Covid-19 sera derrière nous ? Grâce à l’IA, la façon dont les tâches sont aujourd’hui réalisées ne dépendrait plus uniquement des humains, les plus répétitives étant effectuées par des collaborateurs virtuels.
Data science, le boom de l’intelligence artificielle et du cloud computing, découvrez le top des compétences IT à maîtriser pour faire décoller sa carrière.
Se renouveler ou mourir : une véritable devise dans le monde de l’informatique et de la technologie ! Devenir un freelance polyvalent n’est pas toujours une mince affaire. Voici le top des compétences IT à maîtriser pour faire décoller sa carrière dans la tech.
En tant que professionnel de l’IT, vous devez constamment rester à l’affût des dernières évolutions sur votre domaine d’expertise pour adapter ou compléter votre champ de compétences. Monter en compétences est primordiale. L’objectif : rester à jour et faire les bons choix pour continuer à faire progresser votre carrière.
Mais ce n’est pas une mince affaire, car l’évolution rapide
et généralisée des outils IT peut rendre difficile vos décisions en termes d’upskilling,
c’est-à-dire de mise à niveau ou de perfectionnement.
L’essor de la data science, le boom de l’intelligence artificielle et la progression exponentielle du cloud computing dictent plus que jamais le rythme de la demande en termes de compétences IT.
Alors, par où commencer ? Vous êtes un professionnel de l’IT qui souhaite donner un élan à sa carrière en ajoutant à son CV des compétences de freelances recherchées par les recruteurs. Cette liste du top des compétences IT à maitriser devrait donc être un bon point de départ.
Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.
Top des compétences IT à maîtriser
Python
Parmi les compétences IT indispensable il y a la maîtrise de Python Ce langage de programmation ne date pas d’hier : il a été créé dès la fin des années 1980 ! D’après la plateforme de formation en ligne O’Reilly, Python est le langage leader au sein de la communauté des développeurs.
Propulsé sur le devant de la scène par la variété de ses applications dans les domaines de la data science et du machine learning ; Python est un langage souvent apprécié des développeurs, en raison de sa lisibilité et de sa rapidité d’implémentation.
SQL
SQL est un langage utilisé pour gérer des datas stockées dans un système de gestion de base de données relationnelles.(Structured Query Language)
Les développeurs et administrateurs de bases de données utilisent ce langage pour réaliser des actions comme insérer, extraire ou supprimer des datas. Grâce à sa structure et à sa portabilité, SQL permet de traiter rapidement de larges quantités de données.
Il est par ailleurs exploité par certains des systèmes de gestion de bases de données les plus utilisés ; comme MySQL d’Oracle et SQL Server de Microsoft. Les développeurs SQL sont donc des profils extrêmement recherchés.
Java
Autre langage de programmation en vogue : Java, qui vient de fêter ses 25 ans. Ce langage open-source a gagné ses lettres de noblesses grâce à sa portabilité ; « write once, run anywhere » ; et fait toujours partie du top 3 des langages de programmation les plus utilisés.
Il y a constamment des mises à jour et améliorations de Java. Il recouvre désormais un vaste écosystème d’outils qui vont du framework Spring aux environnements de développement intégré (EDI) comme Eclipse ou NetBeans. Découvrir la fiche métier : Développeur Java.
AWS & Microsoft Azure
Amazon Web Services (AWS) et Microsoft Azure sont les deux plateformes de cloud actuellement leaders. Tandis qu’AWS détient une solide première position, Azure a fait récemment de grandes avancées.
Maîtriser l’un de ces deux environnements cloud peut s’avérer un véritable propulseur de carrière dans l’IT. Et d’autant plus au vu de l’importance grandissante du cloud dans le monde de l’entreprise post-covid19…
Scalabilité. Rapidité et facilité de développement. Sécurité. Voici quelques uns des avantages de la « containérisation ». Et en matière de plateformes de containérisation, Docker est sans doute LA référence.
Maîtriser Docker est devenu un véritable atout pour les développeurs et équipes IT tournées vers l’avenir. Les conteneurs permettent aux développeurs de créer des applications dans un environnement isolé afin de réaliser tous les tests nécessaires avant le déploiement. De quoi éviter de nombreux dysfonctionnements et révolutionner le monde de la virtualisation traditionnelle.
Besoin de conseils pour lancer ou développer votre activité de consultant indépendant dans la tech ou l’IT ? Besoin de commencer une nouvelle mission en CDI ou freelance ? Rejoignez Mindquest et faites-vous accompagner par notre équipe d’experts.
Vous êtes intéressé par les actualités blockchain ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles de ces dernières semaines pour vous aider dans votre veille stratégique !
COVID-19 : une technologie aux nombreux atouts en période de crise
Selon, Julien Furlanetto, manager chez Wavestone, les technologies Blockchain doivent davantage s’inviter dans les réflexions sur les actions à mener pour gérer la crise économique et financière liée à la pandémie de coronavirus. Il dessine, dans cette tribune, plusieurs scénarios.
L’écosystème Blockchain dépassera 20 milliards en 2025
Peut-on imaginer le monde de demain sans cet écosystème ? Cette question n’aurait tout simplement eu aucun sens, il y a 10 ans. Les projets, les solutions se multiplient ; la valeur de l’écosystème qu’ils forment, devrait dépasser les 20 milliards de dollars en 2025.
La Société Générale diffuse la blockchain dans ses activités de marché
Sa plate-forme Forge, qui vient de tester la première émission obligataire réglée en monnaie digitale banque centrale, espère passer à une phase commerciale.
Tencent va investir 70 milliards $ dans les nouvelles technologies comme la blockchain
Durant les 5 prochaines années, le géant chinois prévoit d’investir 70 milliards de dollars pour développer une infrastructure dédiée aux nouvelles technologies comme l’IA et la blockchain.
Le développeur blockchain est le représentant d’une discipline relativement nouvelle que les entreprises recherchent de plus en plus.
D’après Blockchain France, la blockchain est « une technologie de stockage et de transmission d’informations, transparente, sécurisée, et fonctionnant sans organe central de contrôle ». Elle permet de crypter des chaînes d’informations indépendantes les unes des autres et inaltérables, ouvrant la voie à un web décentralisé. Les champs d’exploitation de la blockchain sont immenses et concernent tous les secteurs d’activité.
Les développeurs ou ingénieurs blockchain doivent faire évoluer leurs compétences au gré des évolutions des technologies du futur sur lesquels ils travaillent.
Le métier de Développeur Blockchain
Programmer Comme tous développeurs freelances, celui qui s’est spécialisé dans le blockchain doit développer des logiciels, sites, applications… Il doit également créer de nouvelles fonctionnalités, toutes basées sur une blockchain, qu’elle soit publique ou privée. Les projets sont diverses en raison des très nombreuses applications possibles de la blockchain.
Faire des tests Lorsque de nouvelles fonctionnalités sont mises en place, le développeur blockchain doit créer et gérer les tests unitaires, d’acceptation, d’intégration et de performance. La méthode la plus connu pour les tests ce fait avec la plateforme CI/CD.
Manager des projets Le développeur freelance blockchain a souvent des tâches de gestion de projet. Il peut gérer les phases de pré-production et production d’un logiciel et analyser les données numériques de ses projets.
Développeur Blockchain : compétences requises
Des connaissances techniques sur le domaine d’application Pour devenir développeur freelance blockchain, il faut souvent avoir des compétences bien spécifiques en informatique. Par exemple en cryptomonnaies. Il s’agit de devises électroniques, ou virtuelles, qui s’échangent de pair à pair sur un système informatique décentralisé, tenu à jour en permanence et (réputé) inviolable.
Une bonne compréhension des bases de donnéeset des languages de programmation Le développeur freelance blockchain doit maîtriser les bases de données. MySQL et NoSQL sont les deux plus utilisées dans le domaine. Un développeur blockchain doit également souvent savoir utiliser les langages de programmation tels que C++, JavaScript, JAVA, Python, HTML, CSS, AngularJS, C# et PHP.
La curiosité et la faculté à se tenir informé des innovations technologiques La technologie blockchain évolue très vite et les professionnels spécialistes sont peu nombreux. Ils doivent donc réaliser une veille technologique continue pour se tenir au courant des dernières évolution. Mais également pour assurer leur montée permanente en compétences sur le sujet. Ainsi, les développeurs blockchain sont souvent des passionnés qui aiment partager avec leur communauté.
Contexte
Les développeurs blockchain sont de plus en plus recherchés, en particulier par les grands groupes qui lancent des projets basés sur ces nouvelles technologies pour appliquer le principe des smart contracts à leur activité. Il existe bien évidemment également de nombreuses startups à forte croissance et entreprises de technologies qui basent entièrement leurs produits ou services sur la blockchain.
Salaire
Le taux journalier moyen d’un développeur freelance blockchain dépend très largement du niveau d’expérience, des projets réalisés, et de la spécialisation du profil, mais il se situe généralement entre 500 et 1000€. Les profils sont rares et les salaires sont donc généralement plus élevés que pour d’autres types de développeurs.
Formation
Pour devenir développeur freelance blockchain, il faut souvent avoir un diplôme d’ingénieurie ou d’informatique. Il existe désormais des formations spécialisées sur la blockchain, mais beaucoup de professionnels se forment par ailleurs en autodidacte, en travaillant directement sur les projets ou en lien avec la communauté.
