En 2020, les femmes peinent encore à se faire une place dans l’industrie des technologies de l’information. Mais nombreuses sont les initiatives et les organisations qui s’efforcent à résoudre ce problème pour favoriser la présence des femmes dans la Tech.
Nous avons sélectionné dans cette revue de presse les articles les plus récents sur le sujet.
Femmes dans la Tech : 4 points à retenir du rapport Accenture
Aujourd’hui, le secteur de la Tech est victime d’un déficit de profils qualifiés. Selon la récente enquête américaine réalisée par Accenture et Girls Who Wode, le recrutement de femmes dans ce secteur serait la solution à ce problème. Une ambition contrariée qui permettrait d’atteindre les objectifs commerciaux des entreprises IT.
Comment avoir des femmes dans la tech ? « Il faut fixer des quotas dans l’entreprise » répond-on chez Sanofi
Est-il vrai que le secteur de l’informatique manque de talents féminins ? Faut-il remédier à cela ? Comment s’y prendre ? Ce sont les questions auxquelles Isabelle Vitali ; directrice du centre d’innovation digitale de Sanofi ; répond lors de l’événement sur l’égalité organisé par le magazine Marie-Claire, le 1er octobre 2020.
Avec les Descodeuses, un cursus pour des têtes de la « tech » au féminin
De plus en plus d’organisations émergent avec pour but de favoriser la mixité dans le monde informatique. L’association Descodeuses en fait partie. Basée en Île-de-France, l’association sensibilise et forme les femmes des quartiers populaires au développement web.
Women and Tech: How 2020 spotlights the digital divide
Gender based digital divide proves women — despite being frequent digital users, are at a disadvantage towards regular tasks and virtual ways of tackling this context. From attaining e-commerce aptitudes and opening to innovative assets such as virtual currency to acknowledging cybercrime situations, every field of our self-development online, shows the need of specific digital literacy policies to balance inequalities.
Les chiffres le montrent, les femmes sont sous-représentées dans la plupart des fonctions de l’IT. Pourtant, les entreprises sont demandeuses des talents féminins et de leurs compétences sur des postes techniques et de leadership. Alors, femmes & métiers de l’IT : Comment rendre aux femmes la place qu’elles méritent dans l’IT ? Comment les convaincre de faire preuve de plus d’ambition ?
Cet article a initialement été publié sur le site de La Tribune
Selon les différentes études menées sur le sujet, la proportion de femmes dans les métiers de l’informatique oscille entre 10 et 30 %. Le Gartner estime cette proportion à 31% à l’échelle mondiale (2018) ; en France, d’après les chiffres de l’Apec (2015), elles sont 20% ; et une étude GISWS montre qu’elles représentent 11% du personnel dans la cybersécurité.
Qui plus est, plus on monte dans la hiérarchie ou sur les fonctions de leadership, moins les femmes sont nombreuses. Seulement 13% de femmes à la fonction de DSI selon l’étude 2018 « CIO Survey » du Gartner.
Qu’il exerce au sein d’une société utilisatrice ou de services en ingénierie informatique, le Chef de Projet SI est chargé de piloter un ou plusieurs projets informatiques de sa phase de conception à son déploiement.
Expert en informatique, il peut être connu sous de nombreuses appellations. Project Leader ou Responsable SI, son rôle peut être celui d’un Responsable de Domaine ou encore Chef de Projet Applicatif. Découvrez ses missions, ses compétences, son tjm de freelance et son salaire en CDI dans notre fiche métier.
Chef de Projet SI : le métier
Quelles sont ses missions ?
Le rôle du Chef de Projet SI consiste à mettre en place et piloter les systèmes d’information de l’organisation. Tout en optimisant sa performance et en assurant sa sécurité.
Construction du cahier des charges
Une grande partie du travail de Chef de Projet SI se fait en amont du pilotage du projet. En effet, l’une de ses première mission consiste à identifier précisément les besoins de l’organisation. Cette mission s’effectue par le biais d’études afin d’élaborer le cahier des charges. C’est à ce stade qu’il travaille sur l’estimation du temps, du budget et autres ressources à consacrer à la réalisation du projet.
Ces planifications sont primordiales à la réussite de la mission du Chef de Projet SI.
Pilotage et coordination du projet
Le Chef de Projet SI doit ensuite mener à bien la conception et le développement du projet informatique dont il a la charge. Il doit piloter l’équipe ou l’ensemble des parties prenantes. Il doit également s’assurer que les deadlines fixées sont bien respectées et coordonner l’avancement du projet .
En plus de ces tâches, il est également de sa responsabilité de communiquer sur l’avancement du projet : objectifs, livrables, délais de livraison etc. Il est également amené à organiser et animer des comités de pilotage auprès des décideurs de l’entreprise.
Intégration et suivi
Le Chef de Projet SI participe ensuite à la mise en place ainsi qu’à l’intégration des solutions après avoir exécutés plusieurs tests. Même après de nombreux tests, plusieurs vagues de contrôles sont généralement nécessaires. Le Chef de Projet SI doit relever les dysfonctionnements afin d’y apporter des solutions et des améliorations en continu.
Chef de Projet SI : compétences requises
Solides connaissances en informatique
Le Chef de Projet SI doit être doté de bonnes connaissances en informatique. Sa connaissance des systèmes d’information de l’entreprise pour laquelle il travaille doit être parfaite. En effet, il doit souvent maîtriser les outils de développement, ainsi que les différents langages informatiques concernés par son projet.
Enfin, la conceptualisation et la modélisation des systèmes d’information ne doivent par ailleurs avoir aucun secret lui.
Rigueur et organisation
Parmi ses nombreuses missions, plusieurs d’entre elles sont d’ordre organisationnelles. Il sait utiliser des outils et méthodes de travail qui vont lui permettre de suivre l’avancement de son travail de manière minutieuse. De plus, il fait preuve d’une grande rigueur.
Le sens du relationnel
Un Chef de Projet SI se doit d’avoir d’un très bon sens relationnel. Que ce soit avec ses équipes ou avec les décideurs, il est en perpétuel discussion avec les autres acteurs du projet ou de l’organisation. Pour cela, il doit faire preuve de pédagogie afin de s’adapter à chacun de ses interlocuteurs.
Le taux journalier moyen (tjm de freelance) ou son salaire en CDI dépend souvent de l’ampleur des projets dont il a la charge et de son niveau de séniorité. Le tjm de freelance se situe généralement entre 250 et 800 €. Son salaire en CDI est quant à lui en moyenne de 5 000 € par mois.
Formation
Généralement un niveau Master (Bac +5) avec une spécialisation en informatique, réseaux et télécommunications. La plupart d’entre eux sont issus d’écoles d’ingénieurs, mais d’autres parcours sont envisageables. A condition d’avoir suivi une spécialisation en système d’information.
La cybersécurité est en pleine ébullition. En effet, il y a une remise en question des compétences, des opportunités post-Covid ou encore un nouveau rapport Netscout sur les attaques DDoS…
Ainsi, nous avons sélectionné pour vous les meilleurs articles de la semaine traitant de la cybersécurité. Bonne lecture !
Les 3 points à retenir du rapport Netscout
Une attaque DDoS vise à rendre inaccessible un serveur ou un service en ligne. Effectivement, elle est effectuée via l’envoi de requêtes multiples ou l’exploitation d’une faille de sécurité visant à le submerger.
La fréquence de ces attaques durant la pandémie actuelle s’est accélérée. Le fournisseur de produits de gestion des performances des applications et des réseaux Netscout en a fait un rapport. Il vise à mesurer les menaces au premier trimestre 2020 (« Netscout Threat Intelligence Report »).
Des compétences en cybersécurité toujours insuffisantes
Suite aux changements qu’a entrainé la pandémie Covid-19, les professionnels de la sécurité informatique ont du prendre des décisions stratégiques. La protection des équipements et des collaborateurs est aujourd’hui un enjeu central.
Eric Devaulx, Directeur général de Sophos, explique que la sécurité informatique est victime de formations insuffisantes et d’un manque d’attractivité ; ce qui a des répercussions sur les équipes.
Cybercriminalité et cybersécurité dans un univers post-Covid
2020 n’a pas été une année de tout repos dans le monde entier. Plus particulièrement pour le secteur de la technologie et de l’informatique. Retrouvez dans cet article quelques leçons tirées de ces huit derniers mois pour se préparer au mieux à l’année suivante.
Cybersécurité : le guide pour protéger votre vie privée contre les pirates, les espions et le gouvernement
Aujourd’hui, la surveillance juridique est devenue un élément du quotidien qui met ainsi en péril la vie privée des internautes. Cependant, il existe des mesures vous permettant de garder le contrôle et de ne pas vous faire voler vos données.
De plus en plus d’entreprises et responsables informatiques font le choix de se tourner vers des ressources externes. Que ce soit pour un besoin d’expertise ponctuel ou pour un pic d’activité temporaire. Mais de nombreux risques juridiques liés à ces prestations effectuées sans fourniture matérielle peuvent porter préjudice à l’entreprise cliente (appelée « donneur d’ordre »). Pour éviter les risques juridiques avec un freelance IT, il est indispensable de prendre en considération la réglementation de la sous-traitance des prestations intellectuelles. Ainsi que d’anticiper les éventuels risques existants. Quels sont les risques juridiques en travaillant avec un freelance ? Comment s’en prémunir ? Nos réponses dans cet article.
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1. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : Le délit de prêt de main d’œuvre illicite
1.1. Qu’est-ce que c’est ?
Le prêt de main d’œuvre illicite est défini par l’article L 8241-1 du Code du travail comme “toute opération à but lucratif ayant pour objet exclusif le prêt de main-d’œuvre”.
Pour être illicite, le prêt de main d’œuvre doit réunir deux caractères : l’exclusivité et le but lucratif. Dès lors que le seul objet du contrat concerne le prêt de main d’œuvre, on considère qu’il y a exclusivité. Si l’entreprise prêteuse en tire un bénéfice on tombe donc dans le délit de prêt de main d’œuvre illicite.
Concrètement : dans un contrat de sous-traitance ou de prestation de services respectueux de la loi, le prêt de main-d’œuvre n’est qu’un des moyens permettant la réalisation d’une prestation. Par exemple, faire appel à un consultant pour développer une application Android. Alors que dans le cas du prêt de main-d’œuvre, la mise à disposition du personnel est l’objet même du contrat. Par exemple, faire appel à un consultant pour le faire travailler sur des projets divers selon les besoins de l’entreprise cliente.
Il y a donc délit de prêt de main d’œuvre illicite à partir du moment où la location de main d’œuvre d’une société à une autre consiste seulement en une mise à disposition du personnel à un caractère lucratif. Cette règlementation vise principalement à protéger le travail temporaire. Mais il existe également d’autres exceptions. Comme : les entreprises temps partagé, les agences de mannequins, les associations ou sociétés sportives, etc.
1.2. Qui cela concerne ?
Le délit de prêt de main d’œuvre illicite concerne uniquement les salariés. Il peut donc survenir dans le cas de consultants IT qui travaillent pour une ESN (entreprise de services du numérique, anciennement appelée « SSII »). Mais pas dans le cas de freelances ou consultants indépendants. Il ne concerne pas non plus les consultants en portage salarial.
1.3. Comment s’en prémunir ?
Le meilleur moyen de se protéger contre ce délit est la bonne rédaction du contrat. Qui doit ainsi déterminer clairement l’objet, les conditions financières et les modalités d’exploitation, indépendamment de la prestation.
1.4. De lourdes sanctions pour les entreprises :
Les personnes morales encourent jusqu’à 150 000 euros d’amende minimum. Et de nombreuses autres peines complémentaires. Telles que la dissolution, l’interdiction d’exercer l’activité, la fermeture temporaire ou définitive des établissements.
Sur le plan civil, si le prêt de main d’œuvre a été jugé illicite, le contrat est considéré nul de droit. Le salarié pourra donc saisir les prud’hommes si cela lui a porté préjudice. Il pourra également se constituer partie civile devant les juridictions pénales.
2. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : Le délit de marchandage
2.1. Qu’est-ce que c’est ?
Selon l’article L 8231-1du Code du travail, le délit de marchandage est défini comme « toute opération à but lucratif de fourniture de main d’œuvre qui a pour effet de causer un préjudice au salarié qu’elle concerne ou d’éluder l’application de dispositions légales ou de stipulations d’une convention ou d’un accord collectif de travail ».
Les entreprises ont donc interdiction de mettre leurs salariés à disposition d’autres organisations. Si ces dernières ne respectent pas les droits des salariés ou éludent la loi pour en profiter.
Pour être valide, le délit de marchandage doit réunir 3 critères :
Transfert du lien de subordination
But lucratif
Cause un préjudice au salarié
Très proche de la notion de délit de prêt de main d’œuvre, le délit de marchandage est pour le salarié le fait de passer de l’autorité de son employeur à celle du client de son employeur. Il subit en outre les conséquences de ce changement d’autorité.
Par exemple : un consultant qui serait traité comme un employé par son entreprise cliente. Et qui, en plus, ne bénéficierait pas des conditions de travail définies dans la convention collective dont dépend l’entreprise.
2.2. Qui cela concerne ?
Comme pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite, le délit de marchandage concerne uniquement les salariés. Il peut donc survenir dans le cas de consultants IT qui travaillent pour une ESN. Mais pas dans le cas de freelances ou consultants indépendants. Il ne concerne pas non plus les consultants en portage salarial.
2.3. Comment s’en prémunir ?
Comme pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite, le meilleur moyen d’éviter ce délit est d’avoir une visibilité sur les conditions contractuelles. Celles-ci doivent en effet être claires. Et reposer sur : l’objet, les missions, les modalités d’exécution, les conditions de rémunération et l’identification du lien de subordination.
Une rémunération forfaitaire, l’utilisation du matériel de l’entreprise prêteuse, une délimitation de l’intervention du salarié mis à disposition et l’importance du pouvoir de direction de l’entreprise prêteuse sont des éléments de vigilance qui peuvent ainsi vous faire éviter le risque de délit de marchandage.
2.4. Quelles sanctions ?
Les sanctions propres à ce délit sont exactement les mêmes que pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite.
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3. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : le risque de requalification du contrat de prestation en contrat de travail
3.1. Qu’est-ce que c’est ?
Le risque de requalification en contrat de travail est un des risques majeurs qui pèse sur le statut du freelance. Dans certains cas, la substitution d’un poste de salarié par un contrat de mission peut tendre à la requalification en contrat de travail.
Le Code du travail prévoit une présomption simple de non-salariat concernant les indépendants inscrits à un registre d’activité. Puisque l’article L8221-6 du Code du travail stipule que « sont présumés ne pas être liés avec le donneur d’ordre par un contrat de travail dans l’exécution de l’activité donnant lieu à immatriculation ou inscription :
Les personnes physiques immatriculées au registre du commerce et des sociétés, au répertoire des métiers, au registre des agents commerciaux ou auprès des unions de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales pour le recouvrement des cotisations d’allocations familiales ;
Les personnes physiques inscrites au registre des entreprises de transport routier de personnes (…) ;
Les dirigeants des personnes morales immatriculées au registre du commerce et des sociétés et leurs salariés. »
Pour rappel, un contrat de travail se caractérise principalement par un lien de subordination entre un salarié et un employeur. Bien qu’il puisse directement exprimer qu’il ne s’agit pas d’un contrat de travail, seules les conditions dans lesquelles est rendue la prestation déterminera le caractère du contrat.
Quelques exemples concrets : si l’entreprise impose au consultant de travailler sur des horaires fixes. Si elle impose de fournir un justificatif en cas d’absence. Ou encore si elle impose de soumettre ses congés à validation, etc. Alors on peut parler de lien de subordination entre le consultant IT et son entreprise cliente. Et il y a donc risque de requalification.
3.2. Qui cela concerne ?
Le risque de requalification du contrat de prestation en contrat de travail concerne les consultants IT issus des ESN. Mais aussi les consultants IT indépendants. L’action judiciaire peut se faire soit à l’initiative de l’URSSAF et/ou de l’inspection du travail à la suite d’un contrôle, soit sur demande du prestataire indépendant.
3.3. Comment s’en prémunir ?
Tout d’abord, il est essentiel de vérifier que le prestataire est bien enregistré comme « indépendant ». Puisque ce point permet de présumer l’absence de contrat de travail. L’entreprise doit également s’adapter aux disponibilités du prestataire. Et s’assurer de le traiter comme un externe et non comme un interne.
Le risque n’est jamais nul. Mais pour une entreprise qui sait s’informer, former ses opérationnels, et s’entourer de bons partenaires, le risque est extrêmement faible.
En termes de sanctions pénales, l’entreprise risque le règlement d’une amende pouvant aller jusqu’à 100 000 euros (quintuple pour les personnes morales). Egalement, une peine d’emprisonnement allant jusqu’à 10 ans. Et de nombreux autres redressements de cotisations et plusieurs majorations spécifiques de la part de l’URSSAF.
Et sur le plan civil, les conséquences prud’homales peuvent être :
indemnité forfaitaire
rappels d’heures supplémentaires
indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, etc.
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Optimisation des budgets IT, impact de la crise sanitaire sur le rôle des responsables informatiques ou encore une transition progressive des DSI vers le multicloud… Découvrez dans cette revue de presse spéciale actualité décideurs IT, les articles que nous vous avons sélectionné pour vous aider dans votre quotidien de décideurs IT.
Actualité décideurs IT : Quand l’autorité des DSI progresse hors board
Au vu de leur rôle indispensable lors de la crise sanitaire, notamment dans la mise en place du travail à distance, les DSI ont gagné en visibilité selon selon 6 DSI sur 10 du « CIO Survey 2020 » de Harvey Nash et KPMG.
Découvrez dans cet article, les effets de l’évolution de l’influence du DSI depuis la pandémie Covid-19.
Actualité décideurs IT : Le DSI, entre acheteur IT et FinOps : choisir les bonnes métriques pour optimiser ses dépenses IT
CIO a récemment diffusé une webconférence consacrée aux DSI comme acheteurs IT pour faire l’optimisation des budgets IT dans un contexte économique fragilisé par la crise sanitaire.
Cet article est en partenariat avec Apptio, Bouygues Telecom, Canonical, Cloudreach, Rimini Street, SilverPeak, VMwar/Axians et MyFrenchStartUp. Il revient sur les différentes interventions à retenir de cet événement numérique.
53% des DSI français privilégient encore le cloud privé dédié. Tandis que 47% d’entre eux déclarent opter pour un environnement multicloud selon l’étude Axians et Dell Technologies. Dans quelle perspective ?
Les éléments principal de l’enquête dans cet article.
La VoIP (Voice Over Internet Protocol) est une technologie qui permet de transmettre la voix sur des réseaux compatibles IP. C’est par exemple la technologie utilisée par le service de communication Skype ou qui permet à des millions de personnes de passer chaque jour des appels via Whatsapp.
La VoIP représente une alternative à la téléphonie classique, et comporte de nombreux avantages, c’est pourquoi les entreprises sont de plus en plus nombreuses à se tourner vers cette technologie. Le rôle d’un Ingénieur VoIP est d’en gérer le déploiement au sein de l’organisation.
Découvrez les missions, les compétences, la formation, le tjm de freelance et le salaire en CDI de l’Ingénieur VoIP dans notre fiche métier.
Ingénieur VoIP : le métier
Quel est le rôle d’un Ingénieur VoIP?
À la pointe de la technologie des réseaux, l’Ingénieur VoIP a pour rôle principal de gérer les appels voix sur les réseaux IP filaires ou non, privés ou publics, et sur Internet.
Etat des lieux et analyse
La première mission de l’Ingénieur VoIP consiste à faire un état des lieux suivi d’une analyse du réseau déjà existant au sein de l’organisation. Pour ensuite présenter une analyse d’impact d’intégration de nouveaux réseaux qui permettront la convergence des données et les passerelles voix.
Configuration et optimisation
La deuxième partie de son travail consiste à entamer la configuration et l’optimisation de la VoIP afin de permettre la mise en fonction des centre d’appels, salles de conférences et des autres problématiques de mobilité.
Surveillance et dépannage des passerelles réseau voix sur IP
Ce professionnel opère une surveillance permanente sur les passerelles réseau voix sur IP. En effet, l’objectif est d’intervenir sur les éventuelles pannes ou dysfonctionnements. De plus, pour assurer la qualité et la sécurité du réseau, le suivi rigoureux et les audits réguliers sont des parties très importantes de sa fonction.
Ingénieur VoIP : compétences requises
Connaissances techniques propres au support télécoms VoIP
Pour que l’Ingénieur VoIP puisse mener à bien le projet sur lequel il travaille, il lui est indispensable de maîtriser le protocole SIP et les codecs. Il doit également avoir une bonne connaissance des environnements SIP (Proxu/Registrar/SBC) ; opérateurs (Centrex/Trunk) ; passerelle Patton ; BroadWorks et FreeSwitch, en plus des outils de production.
Rigueur et organisation
Face à la complexité de cette fonction, le poste d’Ingénieur VoIP requiert une rigueur et une organisation exemplaire dans l’application des protocoles. Au sein d’une entreprise, le déploiement VoIP est un projet important qui demande une configuration parfaitement maîtrisée.
Curieux et pédagogue
Ce professionnel doit systématique être à la pointe de son métier pour suivre les évolutions les plus récentes et les appliquer à ses projets. Il se doit également d’être pédagogue avec le reste des équipes en raison de la technicité de son travail.
Salaire en CDI et tjm de freelance
Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un Ingénieur VoIP se situe généralement entre 500 et 1000 €. Outre le tjm de freelance ce professionnel en CDI peut avoir un salaire de 5 000 euros bruts par mois. Salaire en CDI et tjm de freelance dépendent entre autre de son ancienneté et de sa localisation.
Formation
Une formation de niveau Bac +5 dans le domaine des réseaux et des télécommunications avec une spécialisation en sécurité des systèmes d’information et de l’architecture des réseaux est généralement requise pour exercer ce métier.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.
Retrouvez dans cette revue de presse le meilleur des derniers articles traitant du Cloud.
Communications unifiées : la révolution Cloud
Depuis la récente crise sanitaire, l’activité des entreprises n’a jamais été si dépendante de ses outils de communication et de collaboration. Capacité à favoriser la collaboration et efficacité des collaborateurs : le Cloud s’est imposé comme la clé de voute des activités de l’entreprise en télétravail.
La migration des bases de données comme priorité des projets Cloud pour les décideurs IT
La migration des données analytiques (52%) ; des données analytiques (42%) ; et l’automatisation des bases de données (43%) sont les trois principales tendances sur lesquelles vont se concentrer les décideurs IT. (Etude de MariaDB).
Protection des données dans le cloud : les bonnes pratiques à l’ère du tout partagé
A l’ère du tout partagé, les attaques cybercriminelles ne cessent d’augmenter. Il est indispensable pour les organisations de bien comprendre : les avantages d’une optimisation de la gestion des différents types de comptes ; les causes des attaques ; et les bonnes pratiques en la matière pour réduire la surface d’attaque.
OVHcloud et T-Systems font alliance pour un projet de cloud public souverain
Dans le but d’échapper à la domination des GAFAM et sous l’impulsion des autorités franco-allemandes, OVHCloud et T-Systems viennent d’annoncer leur partenariat qui vise à bâtir une nouvelle offre dédiée aux données sensibles des entreprises.
Évolutivité, productivité, flexibilité… ainsi sont souvent qualifiés les outils Microsoft par leurs adeptes. Le géant américain joue souvent un grand rôle dans le quotidien des professionnels IT. Ceci en raison des nombreux logiciels qu’il développe et qui sont utilisés au sein de très nombreuses entreprises. Et Microsoft ne cesse de faire évoluer cette stack technique pour les professionnels de l’IT.
En juillet dernier, le géant américain a décidé d’organiser une conférence virtuelle, Inspire 2020, pour présenter les nouvelles fonctionnalités de ses outils. L’occasion de vous proposer un rapide tour d’horizon de l’environnement et des outils Microsoft à destination des professionnels IT.
Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.
.NET
Il s’agit d’une plateforme de développement pour la création de toutes sortes d’applications : web, mobile, gaming, IoT, etc.
.NET, permet aux développeurs de choisir parmi une grande variété de langages de programmation, d’éditeurs de code et de bibliothèques. Il offre ainsi aux utilisateurs la flexibilité et l’évolutivité nécessaires pour créer des solutions adaptées au web comme au mobile.
En bref : de vastes fonctionnalités qui font de .NET l’une des plateformes de développement les plus populaires au monde. Cette plateforme Microsoft, bénéficie du soutien d’une vaste communauté de professionnels de l’IT.
GitHub
GitHub fait partie de Microsoft depuis son acquisition par le géant américain en 2018. Il s’agit d’une plateforme à destination des développeurs amateurs tout autant qu’experts. Elle leur permet d’héberger et de partager le code qu’ils créent. GitHub est un outil incontournable pour de très nombreux développeurs qui s’en servent pour réviser et collaborer sur leurs projets.
Le point fort de GitHub ? Sa communauté impressionnante qui ne cesse d’alimenter la plateforme. Des millions de développeurs téléchargent et examinent du code chaque jour directement sur GitHub. Il s’agit de l’un des plus grands référentiels en libre accès et plateformes de projets collaboratifs au monde.
Par ailleurs, le fait qu’il soit utilisé par les amateurs, les entreprises et les meilleurs professionnels a transformé GitHub en une sorte de LinkedIn pour les amoureux de l’IT.
Microsoft 365
Plateforme complète d’outils de productivité, Microsoft 365 combine la suite MS Office traditionnelle ainsi qu’un ensemble d’outils de collaboration et de fonctionnalités. Telles que le stockage basé sur le Cloud.
Il s’agit d’une suite d’outils et de logiciels tels que Microsoft Teams, Word, Excel et PowerPoint… Avec un stockage et une sécurité Cloud flexibles et évolutifs ainsi qu’une sécurité renforcée.
D’un point de vue informatique, elle oblige les entreprises à déployer, maintenir et mettre à jour une infrastructure adaptée aux besoins de l’entreprise. Ceci tout en préservant la sécurité des outils, le tout dans un esprit agile.
Dynamics 365
Créé en 2016, Dynamics 365 est une gamme de produits d’applications de planification des ressources d’entreprise (ERP) et de gestion de la relation client (CRM).
En tant que CRM de premier plan, Dynamics 365 permet aux organisations de planifier et d’exécuter facilement des opérations à partir d’une unique plateforme.
Dynamics 365 est une solution évolutive qui permet une personnalisation avancée, pour s’adapter aux besoins de chaque entreprise. Les experts techniques Microsoft peuvent ainsi mettre en place, personnaliser et maintenir cet environnement d’une manière qui maximise l’efficacité, la satisfaction des utilisateurs et la fidélité des clients.
Azure
Microsoft Azure est la plateforme publique de Cloud Computing du géant américain. Concurrent direct d’Amazon Web Services (AWS), de Google Cloud et d’IBM Cloud, Azure fournit aux entreprises une large gamme de services cloud. Y compris le calcul, le stockage, l’analyse et la mise en réseau.
Il s’agit d’une plateforme open source, adaptable et évolutive qui répond aux besoins de chaque client. De plus, Azure est spécifique à l’industrie. Fournissant des outils dédiés à des secteurs comme la santé, le e-commerce ou le retail. Quatre différents types de Cloud sont proposés : infrastructure en tant que service (IaaS), plateforme en tant que service (PaaS), logiciel en tant que service (SaaS) et « serverless ».
Toute une armée de
professionnels est nécessaire pour concevoir, déployer et maintenir de tels
écosystèmes cloud.
Microsoft Power
Platform
Microsoft Power Platform permet aux entreprises de créer et de déployer des applications et des rapports personnalisés qui les aident à extraire, traiter et analyser les données. La plateforme Power s’intègre au reste de l’écosystème Microsoft ainsi qu’à d’autres applications tierces.
Il s’agit d’un outil clé en matière de data, fournissant des informations exploitables en temps réel. Il nécessite une équipe d’experts techniques pour déployer, maintenir et développer, ainsi que pour former les utilisateurs finaux et leur offrir un accompagnement au quotidien.
Microsoft SQL Server
SQL Server est un système de gestion de base de données relationnelles (SGBDR) de Microsoft. Aussi appelé MSSQL, il sert de colonne vertébrale à l’enregistrement, à l’accès et à la manipulation des données pour ses entreprises clientes.
Il est protégé par un cryptage de haute qualité et s’adresse à une large variété d’entreprises en fonction de la taille et des besoins en analyse de données.
Visual Studio
Microsoft Visual Studio est un environnement de développement intégré (IDE) qui peut être utilisé pour n’importe quel type de projet.
D’une certaine manière, les IDE sont les traitements de texte du monde de la programmation, permettant aux développeurs de créer des applications pour une multitude de plateformes à partir d’un seul endroit. Visual Studio comprend des fonctionnalités de débugage, d’automatisation et de collaboration d’équipe, créant un environnement complet pour concevoir et fournir des applications de haute qualité.
Besoin de conseils pour lancer ou développer votre activité de consultant indépendant dans la tech ou l’IT ? Besoin de commencer une nouvelle mission en CDI ou freelance ? Rejoignez Mindquest et faites-vous accompagner par notre équipe d’experts.
La renaissance du C++, le nouveau service no-code de Google ou le projet de création d’un baccalauréat professionnel pour ceux qui souhaitent devenir Développeurs… Découvrez dans cette revue de presse, les derniers articles à lire traitant du développement informatique.
Langages de programmation : le C++ gagne en popularité chez les développeurs alors que Java disparaît
Vieux de 35 ans, le langage de programmation C++ connait une renaissance et se classe en quatrième position derrière le C, Java et Python, selon l’indexe de Tiobe Software.
Business Application Platform : le no-code s’ancre chez Google Cloud
Google a annoncé cette semaine une nouvelle offre de services nommée Business Application Platform. Celle-ci est née de la combinaison d’Appsheet un outil de développement low-code, avec Apigee, un logiciel de gestion d’API.
Vers la création d’un bac pro pour ceux qui souhaitent devenir développeurs ?
Avec la volonté de relancer la filière du numérique, le Conseil National du Numérique a récemment dévoilé le projet de la création d’un baccalauréat professionnel dédié au métier de développeur.
« Développeur full stack, je me fais chasser 3 à 4 fois par semaine »
Embauché en CDI avant même la fin de ses études, Arthur Brunck (24 ans) exerce le métier prisé de Développeur Full Stack depuis plus d’un an. Dans cet article, il revient sur son parcours et ses perspectives de carrière.