Si l’évolution technologique a grandement facilité le quotidien de milliers de professionnels dans le monde, elle a aussi servi de tremplin aux activités de cybercriminalité.
Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles à ce sujet pour vous aider dans votre veille stratégique.
Cybercriminalité : la facture ne cesse de s’alourdir
1,000 milliards de dollars : c’est la somme des coûts liés aux virus informatiques et vol de données par an. (Etude McAfee)
Une facture qui ne cesse de s’alourdir puisqu’elle a plus que doublé en cinq ans.
Les cybercriminels veulent un ROI plus fort avec des « attaques d’extorsion »
Selon le rapport d’Acronis, la cybercriminalité est sur le point de s’intensifier en 2021 avec des criminels qui délaisseront les attaques de chiffrement des données au profit d’attaques d’exfiltration de données.
Cybercriminalité : les entreprises victimes en parlent peu
Pénétrations de systèmes informatiques, vols de données sur des serveurs ou campagnes de dénigrement sur les réseaux sociaux… La criminalité numérique touche également les entreprises. Malgré l’existence de plusieurs plateformes de signalement, les faits restent plus nombreux que les plaintes enregistrées.
Les données de votre entreprise sont exposées sur le Dark Web ! Que faire ?
63 % des PME ont signalé un incident impliquant la perte d’informations sensibles concernant leurs clients et leurs employés en 2019, selon le rapport 2019 de l’Institut Ponemon. Et c’est sur le Dark Web que nous pouvons les retrouver en vente à des prix allant de quelques euros à plusieurs centaines d’euros.
Mais que faire lorsqu’on se rend compte que les données d’identification de son entreprise ont été exposées sur le Dark Web ?
Vous êtes DSI ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles de ces derniers temps pour vous aider dans votre veille stratégique sur l’actualité des DSI !
Actualité des DSI : Le Green IT signe son retour dans les DSI des entreprises
Rebaptisé « sobriété numérique », le Green IT consiste en effet à réduire l’empreinte écologique, ou les émissions de gaz à effet de serre dues à l’informatique et au numérique. Cela concerne aussi bien les Data Centers que les smartphones.
Recyclage, écoconception ou encore approvisionnement responsables… Le Green IT gagne progressivement les entreprises et les administrations en France. Mais les actions concernant les usages et la dette technique sont encore limitées.
Trois tendances pour les DSI qui auront un impact sur l’avenir du travail : IA, dextérité numérique et travail hybride
Selon Gartner, Inc., l’automatisation du travail de routine par l’intelligence artificielle (IA), la dextérité numérique et le travail hybride avec une main d’œuvre distribuée seront trois tendances clés ayant un impact sur l’avenir du travail sur lesquelles les DSI devraient se concentrer.
Face au Covid, la nouvelle stratégie IT des moyennes et grandes entreprises françaises
56% des DSI sondés affirment que le télétravail consécutif au confinement amènent leur organisation à revoir sa politique de sécurité informatique à plus long terme.
Véritable accélérateur de transformation numérique, le Covid-19 a fait des DSI les pilotes de la transformation en temps de crise. Il est de leur devoir de « penser globalement et agir localement » et faire preuve d’encore plus d’agilité et d’adaptabilité mais aussi de créativité et de flexibilité, afin de porter la transformation numérique de leur entreprise et de soutenir des projets technologiques autour de l’automatisation et de l’IA.
Découvrez la nouvelle infographie « Le DSI et ses priorités pour 2021 » publiée par le CMIT et XVDSI.
De plus en plus de décideurs IT font le choix de recruter des consultants externes, en raison de la souplesse de cette solution. Mais attention, toute entreprise qui fait appel aux services d’un prestataire externe s’expose à des risques juridiques ! Ce type de contractualisation nécessite donc de prendre des précautions. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le délit de marchandage quand on fait appel à un consultant.
Avant toute chose, un rappel utile : le contrat liant peut prendre plusieurs formes telles que le contrat de sous-traitance ou le contrat de prestation de services.
Le contrat de sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande la réalisation de tout son travail, ou une partie seulement, à une autre entreprise. La sous-traitance peut concerner un produit, une prestation physique ou encore intellectuelle. Tandis qu’un contrat de prestation de services porte sur un service (immatériel) par lequel un maître d’ouvrage (le client) charge un maître d’œuvre d’exécuter un travail moyennant une rémunération.
Quels sont les sont les éléments constitutifs de ce délit ? Les consultants IT en freelance sont-ils concernés ? Comment s’en prémunir ? Découvrez l’éclairage de Mindquest sur le sujet.
Vous êtes à la recherche d’experts freelance ou en CDI pour effectuer des missions IT ou finance ? Chez Mindquest nous vous aidons à trouver le meilleur talent qui correspond parfaitement à vos besoins de missions ! Alors, n’attendez plus, trouver dès maintenant votre expert freelance !
Le délit de marchandage selon la loi
Le marchandage est « une opération à but lucratif de fourniture de main d’œuvre, qui a pour objet de causer un préjudice au salarié ou d’éluder l’application des dispositions légales ou conventionnelles » selon l’article L8231-1 du Code de travail.
Autrement dit, il y a délit de marchandage si une entreprise met à la disposition d’une seconde entreprise ses salariés, qui subissent un préjudice directement lié à cette passation.
Très proche de la notion de prêt de main-d’œuvre illicite, le marchandage s’en distingue en ce que l’opération n’est pas exclusivement constituée par la fourniture de main d’œuvre.
Les éléments constitutifs du délit de marchandage
Pour parler de marchandage, la fourniture de main d’œuvre doit être à but lucratif et avoir l’un des deux effets suivants :
Porter préjudice au salarié. Le délit de marchandage se constitue dès lors que cette passation de main-d’œuvre cause du tort aux salariés. Peu importe les avantages éludés. En effet, le simple fait de la non-application des règles de travail temporaire entraîne un préjudice.
Aboutir à éluder l’application de dispositions légales ou de stipulations d’un accord collectif. Cet effet consiste à prouver que le salarié a été privé d’un avantage potentiel. Ce qui revient à un préjudice.
Quels sont les risques pour l’entreprise ?
Instaurée au bénéfice du salarié, cette interdiction entraîne des sanctions pénales et administratives. Retenant ainsi la responsabilité des deux parties : fournisseur et utilisateur.
Tout d’abord, le salarié victime de l’opération peut se porter partie civile dans le cadre d’une instance pénale. D’après l’article L 8234-1 du Code de travail, le délit de marchandage est puni de 2 ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Il est porté à :
5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Lorsque le délit est commis à l’égard de plusieurs personnes ou lorsqu’elle concerne une personne vulnérable ou en état de dépendance.
10 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Si l’infraction a été opérée en bande organisée.
Le juge peut également ordonner des sanctions supplémentaires. Confiscation d’objets, biens immobiliers ou interdiction de sous-traiter pour une durée de 2 à 10 ans ainsi que l’affichage du jugement dans la presse. Lorsque l’entreprise est une personne morale, la peine d’amende se multiplie par 5 et les peines complémentaires peuvent s’avérer plus graves.
150 000 € d’amende pour un délit de marchandage « simple » ainsi que la fermeture provisoire de l’établissement. Ou encore l’interdiction d’exercice et le placement sous contrôle judiciaire.
L’entreprise s’expose également à de conséquences sur son image? puisque l’affaire peut lui faire mauvaise presse. En effet, lorsqu’une amende est prononcée, la juridiction est dans la capacité d’ordonner une diffusion publique de l’information pour une durée maximale de deux ans par les services du ministre chargé du Travail sur un site internet dédié. (C. trav., art. L. 8224‐3 ; C. trav., art. L. 8224‐5 ; C. trav., art. L. 8234‐1 ; C. trav., art. L. 8243‐1 ; C. trav., art. L. 8243‐2 ; C. trav., art. L. 8256‐7).
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Le délit de marchandage concerne-t-il les consultants IT en freelance ?
Le risque de délit de marchandage, tout comme le risque de prêt de main d’œuvre illicite concerne par définition les consultants salariés.
Les entreprises qui font appel aux services d’un ou plusieurs freelances IT ne peuvent donc être sanctionné pour délit de marchandage sur la base de ces relations contractuelles. Sachez néanmoins qu’il existe d’autres risques juridiques en lien avec les freelances. En particulier la requalification du contrat de travail.
Comment se prémunir de ce délit quand on travaille avec un consultant ?
Les entreprises qui collaborent avec des experts externes doivent aborder avec vigilance plusieurs points :
La détermination d’un objet de mission clair et précis.
La fixation d’un tarif objectif en prenant en compte sa réalisation et du temps imparti.
Le détail des conditions de la mission (à développer le plus possible).
Surveiller sa posture de collaborateur tout au long de sa mission afin d’éviter tout lien de subordination.
L’entreprise peut également prendre la décision de travailler sur ce sujet avec un cabinet ou une entreprise spécialisée dans le placement de freelance. Afin de garder un contrôle sur sa position et éviter les risques de sanction ou de requalification.
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Nombreux sont les développeurs freelances qui choisissent de se spécialiser sur un langage de programmation, et parmi eux, beaucoup choisissent un langage particulièrement populaire et se spécialisent en tant que développeur freelance Java. À ne pas confondre avec le Javascript, Java est un langage informatique orienté « objet » au sens technique et se veut relativement simple d’utilisation. Autre avantage : il est compatible avec un grand nombre de systèmes d’exploitation et d’applications informatiques.
En termes de carrière, la spécialisation en Java n’est pas un choix anodin. Car ce langage représente la 3ème compétence la plus recherchée sur la liste des postes en développement et on estime que 90% des entreprises l’exploitent.
Développeur Java : le métier
Le rôle du Développeur Java est d’user de ce langage informatique pour répondre aux besoins de ses clients internes ou externes. Mais également pour développer des applications diverses et variées. Son travail est composé de 3 grandes étapes :
La rédaction du cahier des charges
La première partie du travail d’un Développeur Java consiste à rédiger le cahier des charges en accord avec le client. C’est à cette étape que sont définis : les besoins du client, les solutions à mettre en place, la faisabilité du projet. Mais également dans certains cas le matériel mis à sa disposition et le budget. Il s’agit d’un travail primordial pour comprendre les objectifs du projet et déterminer la solution technique à mettre en place.
Le développement de l’application et les phases de test
Une fois que le Développeur Java a bien compris les paramètres clefs du projet, il débute la programmation et le travail de code défini pour concevoir la solution imaginée avec le client. Effectivement, cette étape représente la partie la plus longue de sa mission et doit se faire dans le respect des besoins et des contraintes du client.
La maintenance et le suivi technique
Une fois le projet terminé, le travail du Développeur freelance Java n’est pas fini. En effet, il est souvent en charge de la maintenance et de la résolution des problèmes que l’application peut rencontrer. Il doit également documenter son travail pour assurer une bonne transmission des informations et programmer les prochaines mises à jour.
Développeur Java : compétences requises
Expertise en Java et solides connaissances des autres langages et outils informatiques
Au risque d’enfoncer une porte ouverte : s’il y a bien un compétence dont le Développeur freelance Java ne peut se passer c’est bien son expertise en Java. Il doit avoir une parfaite connaissance de la plateforme J2EE (ou Java EE : Java entreprise édition). Mais pas seulement. Il doit également avoir de solides connaissances en bases de données (SQL, Oracle) et maîtriser l’ensemble des outils informatiques de l’entreprise.
Sens de l’analyse et bonne adaptabilité
Un bon expert en Java doit faire preuve d’un grand sens de l’analyse et d’une bonne adaptabilité pour pouvoir résoudre toutes sortes de problèmes. Méthodologie et logique sont également des mots clés pour l’exercice de sa fonction.
Maîtrise de l’anglais
La maîtrise de l’anglais est souvent requise et permet au développeur de comprendre les différents langages de programmation.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
Contexte
Egalement connu comme Programmeur Java ou Analyste-programmeur Java, le Développeur freelance Java exerce un métier en perpétuelle évolution. Il peut travailler au sein d’une entreprise, une agence web ou encore faire le choix de se lancer en freelance.
Salaire
Le taux journalier moyen d’un Développeur freelance Java se situe généralement entre 300 et 600 €.
Formation
Il n’existe pas de formation type pour devenir Développeur Java. En effet, une formation en informatique de niveau Bac +2 (BTS SIO ou DUT Informatique) ou un Bac +5 (Master ou équivalent en Ingénierie Informatique) est souvent utile pour acquérir des bases sur les principaux langages informatiques. Néanmoins, il est possible de devenir Développeur Java de façon autodidacte.
L’Intelligence Artificielle (IA) est un sujet qui vous intéresse ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles d’actualité sur l’Intelligence Artificielle pour vous aider dans votre veille stratégique !
Actualité intelligence Artificielle : l’IA émerge enfin dans les projets des entreprises françaises
Menée auprès de 144 responsables informatiques, la nouvelle étude menée par Axians France et HPE cherche à évaluer la maturité des entreprises françaises face à l’IA. Découvrez l’importance de ce sujet au sein des organisations françaises mais également le niveau de maturité des DSI à ce sujet.
Multicloud, SD-WAN, IA… : 5 tendances réseau pour 2021
Dans cet article les 5 tendances mises en exergue par le nouveau rapport international réalisé par Cisco. Découvrez pourquoi les entreprises ont tout intérêt à adopter « une stratégie réseau qui favorise la résilience » et à « prioriser les capacités les plus nécessaires » pour sortir par le haut de la crise économique et sanitaire (Covid-19).
Artificial Intelligence Is Now Smart Enough to Know When It Can’t Be Trusted
How might The Terminator have played out if Skynet had decided it probably wasn’t responsible enough to hold the keys to the entire US nuclear arsenal? As it turns out, scientists may just have saved us from such a future AI-led apocalypse, by creating neural networks that know when they’re untrustworthy.
Se former quand on est freelance est primordial pour monter en compétences. Nous vous l’expliquions dans notre précédent article, en tant que freelance IT, vous avez des droits à la formation. Pour être plus précis, vous dépendez d’un Fonds d’Assurance de Formation : le FIFPL ou l’AGEFICE, ce qui vous donne accès à des dispositifs spécifiques de financement de la formation des freelances pour monter en compétences
De nouvelles mesures mises en place par l’AGEFICE
Nous souhaitions aujourd’hui vous faire part d’une actualité importante sur le sujet.
En effet,pour faire face au nouveau confinement et aux restrictions qui en découlent, l’AGEFICE a mis en place des mesures exceptionnelles de financement de la formation des freelances.
Les plafonds de prise en charge ont été réévalués pour les formations débouchant sur une qualification officiellement reconnue, une formation de langues, les formations obligatoires (légalement imposées), métiers ou transversales.
Le plafond financier est ainsi fixé à 3 500€ nets de taxe par année civile et par cotisant !
En temps habituels, les montants pris en charge sont de 1400€ pour les formations obligatoires légalement imposées, les formations métiers ou transversales. Et 2450€ pour les formations débouchant sur une qualification officiellement reconnue ou de langues. C’est ce dernier plafond qui est revu à la hausse.
Vous l’avez compris : c’est le moment ou jamais de mobiliser vos droits et de vous former !
Ces mesures sont mises en place pour toute action de formation suivie à partir du 1er novembre. Elles sont applicables pour toute demande de prise en charge déposée avant le 31 décembre 2020, pour une formation se terminant, au plus tard, le 31 mars 2021.
Nous ne vous le répéterons jamais assez mais vous devez mobiliser vos droits à la formation avant le 31 décembre. Sinon, vos droits acquis pour l’année civile en cours seront perdus et vous aurez cotisé pour rien.
Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.
Financement de la formation des freelances : comment savoir si vous dépendez de l’AGEFICE et comment bénéficier de ces droits à la formation ?
L’AGEFICE est le Fonds d’Assurance Formation (FAF) du Commerce, de l’Industrie et des Services. Pour savoir si vous dépendez de l’AGEFICE ou bien du FIFPL, l’autre Fonds d’Assurance de Formation, et si donc vous êtes concerné par cette augmentation significative du plafond de prise en charge, vous devez vérifier votre code NAF / APE ou l’intitulé de votre branche d’activité.
Sachez ensuite que les modalités sont différentes et spécifiques pour chaque dispositif de formation. Il faut le reconnaître : il n’est pas facile de s’y retrouver.
Mais vous pouvez vous faire accompagner par des spécialistes comme Avantages Formations. Ils peuvent vous informer et vous conseiller sur tous les dispositifs de formation. Mais aussi vous aider dans la constitution de la demande de prise en charge. Et vous proposer ainsi des formations éligibles.
Vous pouvez prendre contact avec eux en cliquant ci-dessous, et bénéficier d’une consultation gratuite par téléphone. Aucun piège : c’est totalement gratuit et sans engagement. Et à la clef, l’opportunité de mobiliser enfin vos droits à la formation et de vous former sans avoir à engager de fonds.
Ne l’oubliez pas : votre montée en compétences est clef dans le développement de votre activité de freelance IT. Ainsi que dans votre réussite. Formez-vous !
Article rédigé avec notre partenaire Avantages Formations
Besoin de conseils pour lancer ou développer votre activité de consultant indépendant dans la tech ou l’IT ? Besoin de commencer une nouvelle mission en CDI ou freelance ? Rejoignez Mindquest et faites-vous accompagner par notre équipe d’experts.
News cybersécurité : les DSI du Cigref alertent le gouvernement
Le Cigref est une association de grandes entreprises et administrations publiques françaises. Elle a pour mission de développer leur capacité à intégrer et maîtriser le numérique. Dernièrement, l’organisation a décidée d’exhorter le Premier ministre et son gouvernement à alimenter une réponse ferme des États contre la cybercriminalité mondiale.
Le rapport annuel de Wipro sur l’état de la cybersécurité révèle une adoption croissante de l’IA en matière de cybersécurité
Wipro Limited a récemment publié son Rapport annuel sur l’état de la cybersécurité (State of Cybersecurity Report, SOCR). Il présente l’évolution des perspectives de la cybersécurité au niveau mondial. Un rapport aux renseignements inédits. Tels que le projet d’extension de leurs capacités cognitives et IT en cybersécurité par plus de la moitié des organisations (49 %) ; ou le changement de paradigme en direction de la cyber-résilience, dans un contexte d’augmentation du travail à distance à travers le monde.
News cybersécurité : pourquoi l’avènement de la 5G fait entrer le hacking éthique dans un âge d’or
De plus en plus d’entreprises s’offrent les services de « pirates amicaux ». L’objectif est de mesurer les points faibles de leurs systèmes et ainsi contrer les éventuels cyberattaques. Ces experts en piratage numérique vont du rang d’amateur occasionnel à celui de star aux revenus cumulés dépassant le million d’euros. Leur mission se généralise rapidement avec l’avènement annoncé de « l’Internet des objets ». Sortant le secteur de son statut de niche, selon des experts.
L’effet des confinements sur la cybersécurité des entreprises en trois graphiques
Les deux confinements successifs ont poussé les entreprises à dématérialiser une partie de leurs activités. Elles ont ainsi revu leur stratégie en matière de cybersécurité.
Garant du bon fonctionnement et de la qualité des réseaux d’une organisation (téléphonie mobile, fibre optique, internet…), l’Ingénieur Réseaux/Télécom a pour objectif de définir les besoins et l’architecture des réseaux de télécommunication dont il est en charge.
Découvrez dans cette fiche métier, les missions, les compétences ou encore le salaire en CDI et le tjm de freelance de celui qu’on appelle également Administrateur Réseaux, Ingénieur Réseaux & Sécurité, ou encore Responsable du Système d’Information Télécoms (SIT).
Ingénieur Réseaux/Télécom : le métier
Quelles sont ses missions ?
Gestion de projet et mise en place du réseau
L’Ingénieur Réseaux/Télécom commence son travail en identifiant et analysant les besoins en réseaux de l’organisation avant d’entamer la supervision de l’installation et le paramétrage des équipements et logiciels. Cette première étape de son travail se fait nécessairement à la suite d’une étude de choix techniques et d’optimisation des coûts, notamment de la téléphonie (VoIP, visioconférence, etc.). Ensuite, commence la mise en place des interconnexions entre les différents réseaux de l’entreprise tout en prenant en compte les exigences utilisateurs liés à la performance, telle que la puissance, la rapidité ou encore la stabilité.
Organisation de l’administration des réseaux
Ce professionnel supervise l’installation des équipements (switch, routeurs…) et logiciels d’administration des réseaux. L’Ingénieur Réseaux/Télécom met en place les tableaux de bord et de suivi des performances et de la qualité du réseau, en plus d’assurer la mise en œuvre des montées de versions.
Support aux utilisateurs, maintenance réseaux et veille technologique
Le troisième volet du rôle de l’Ingénieur Réseaux/Télécom est d’aider les administrateurs réseaux en cas de panne ou de difficultés. Face à un dysfonctionnement, il devra auditer les réseaux et proposer des solutions pour assurer le maintien opérationnel du réseau.
Il est possible que ce professionnel soit soumis à des astreintes ou permanences durant lesquelles il assure la maintenance du réseau. Il doit également mener une veille technologique. De manière à anticiper les évolutions d’optimisation du réseau. Puis proposer des investissements informatiques pour garantir la sécurité, la fiabilité et les performances des équipements.
Ingénieur Réseaux/Télécom : les compétences requises
Expertise en réseaux
Pour exercer, l’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un expert de l’administration des réseaux et systèmes tels que les routeurs ou firewall. De bonnes connaissances des protocoles réseaux et de télécommunication (TCP/IP, Ethernet, LAN…) mais également des technologies télécoms et Internet (DNS, SSH, FTP, etc.) sont indispensables.
Bonnes connaissances informatiques
Bien sûr, des connaissances plus larges dans le domaine de l’informatique font partie des bases à connaître. En effet, un Ingénieur Réseaux/Télécoms doit être capable de maîtriser les logiciels d’infrastructure comme les systèmes d’exploitation ou les serveurs de messageries. Oracle, SQLServer… Il doit également être familier des bases de données.
Adaptabilité et curiosité
L’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un agent polyvalent susceptible d’assister différents types d’utilisateurs. Il doit ainsi s’adapter rapidement à ses interlocuteurs et aux évolutions technologiques. Au vu des risques liés aux éventuelles cas de panne, une résistance au stress est également nécessaire.
Salaire en CDI et tjm de freelance
Le salaire moyen de ce professionnel en CDI est de 60 000 € annuel brut. Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un Ingénieur Réseaux/Télécom se situe quant à lui généralement entre 400 et 700 €. Salaire en CDI et tjm de freelance dépendent entre autre de son ancienneté et de sa localisation.
Formation
Pour devenir Ingénieur Réseaux/Télécom, l’idéal est de posséder un diplôme niveau bac +5 (Master) spécialisé en informatique, réseaux et télécommunications. En effet, ces profils sont généralement issus d’une école d’ingénieur. Certaines certifications professionnelles aux outils (tels que CISCO) peuvent être exigées.
Vous êtes développeur freelance ? Club Freelance vous a sélectionné 4 articles d’actualité développeurs pour vous aider dans votre veille stratégique !
Coder mieux et plus vite : laissons les développeurs courir avec des ciseaux… en toute sécurité !
« Désolé, la prochaine fenêtre de déploiement des applications est dans trois mois » : qui n’a jamais pesté de devoir attendre son tour pour que soit corrigée ou améliorée une application métier pourtant indispensable ?
La crise sanitaire a changé fondamentalement les règles du jeu. En effet, tous les processus formels et les jeux de politique interne ont été écartés, et on a simplement demandé aux développeurs « d’y aller ». Alors ces derniers « y sont allés » : ils ont codé, créé des prototypes et mis le code en production en une fraction du temps habituel.
Le problème ? C’est que les processus habituels qui encadrent le fonctionnement quotidien de l’entreprise ne sont pas inutiles…
Actualité développeurs : Les développeurs gardent un œil sur l’emploi IT
En cette période de crise, les informaticiens sont plus actifs sur le marché de l’emploi. Comme nous l’indique une note réalisée par Monster. Effectivement, depuis la rentrée, près de 600 000 recherches ont été effectuées par des candidats du secteur IT. Avec plus de 280 000 CV téléchargés sur le portail depuis la rentrée, les développeurs sont les plus présents…
JavaScript séduit 12,4 millions de développeurs dans le monde
Quels langages de programmation séduisent le plus grand nombre de développeurs ? JavaScript reste le plus populaire des langages de programmation à l’échelle mondiale, devant Python et Java, selon un rapport livré par SlashData.
Les développeurs d’applications iOS devront fournir plus d’informations sur le suivi des données à partir du 8 décembre
Le géant Apple basé à Cupertino a demandé aux développeurs d’applications iOS de maintenir une meilleure transparence en termes de données utilisateur que leurs applications et mises à jour d’applications collectent. La société rend obligatoire la fourniture d’informations sur les procédures de suivi des données des applications à partir du 8 décembre…
Un travailleur indépendant ou freelance informatique ne bénéficie pas d’une mutuelle d’entreprise. De ce fait, sa protection sociale dépend considérablement de son statut juridique, mais aussi de la complémentaire santé et du contrat de prévoyance auxquels il a souscrit. Alors, vers quelle mutuelle se tourner quand on est consultant SAP, développeur PHP freelance ou encore expert en IA indépendant ? Quelle couverture santé en freelance ?
Couverture santé en freelance : quelles différences entre un salarié et un freelance ?
Salarié et freelance sont deux statuts très différents. Le salarié est un travailleur qui dispose d’un certain niveau de confort. Souvent à la charge d’une entreprise, il bénéficie d’un revenu mensuel garanti avec un montant connu au préalable, d’une couverture santé, ou encore d’une assurance chômage. Par ailleurs, il faut savoir qu’un salarié ne peut exercer son métier que pour un seul employeur. Il a un lien de subordination avec ce dernier et a donc une liberté assez limitée.
Un freelance informatique travaille quant à lui pour des clients, et non pour un employeur. En établissant une facture pour les prestations effectuées, il perçoit l’intégralité des fruits de son travail. Chaque mois, son revenu n’est donc pas limité à un montant fixe. Un freelance informatique fixe lui-même ses horaires de travail et est considéré comme un chef d’entreprise. Il doit donc se charger de plusieurs fonctions : démarcheur, gestionnaire commercial ou encore comptable.
Un freelance informatique a moins de sécurité qu’un salarié dans son activité. Sa visibilité financière se limite à la portée des contrats signés. Aussi, il ne dispose pas de diverses couvertures sociales, sauf s’il effectue des souscriptions.
Depuis 2020, les travailleurs indépendants sont rattachés au Régime général de la Sécurité sociale. Ils sont ainsi rattachés à l’Assurance Maladie, comme les salariés. La Sécurité Sociale pour les Indépendants (ex-RSI) n’est plus d’actualité. La Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) locale remplace l’organisme conventionné. Les indépendants bénéficient des mêmes taux de remboursement de leurs dépenses de santé que les salariés.
Mais il existe une grande différence entre salariés et freelances : depuis le 1er janvier 2016, les employeurs du privé (hors particuliers employeurs) doivent proposer une couverture complémentaire de santé collective à l’ensemble de leurs salariés qui n’en disposent pas déjà. L’employeur doit participer pour au moins 50 % du montant des cotisations, le reste étant à la charge du salarié. Freelances et salariés ne sont donc bien souvent pas sur un même pied d’égalité en matière de couverture santé.
Il est donc crucial pour un freelance IT de se protéger pour pouvoir se consacrer sereinement à son activité. Souscrire une complémentaire santé n’est bien évidemment pas obligatoire pour un freelance, mais il est vivement conseillé de le faire pour compléter les remboursements des garanties de base prévus dans le cadre du régime de l’Assurance maladie, sous peine de se retrouver dans une mauvaise passe financière en cas de soucis de santé.
Choisir sa mutuelle quand on est freelance IT
La mutuelle TNS ou travailleur non-salarié est la couverture santé la plus adaptée à un freelance. Que ce dernier travaille dans l’informatique ou dans tout autre domaine. Pour obtenir la meilleure mutuelle, il est important d’anticiper ses besoins en matière de santé.
Par la suite, il faut choisir la mutuelle qui correspond à son budget, mais aussi aux diverses garanties nécessaires. Le budget est sans doute le critère de base afin de choisir une mutuelle pour freelance. Mais il n’est pas l’unique facteur. En effet, pour être bien couvert et ne pas payer de sa poche les dépenses concernant la santé, il vaut mieux ne pas lésiner et payer des cotisations qui en valent le prix.
Parmi les soins et garanties concernés, on retrouve généralement : les dépassements d’honoraires (consultations de spécialistes, examens médicaux spécialisés…) ; les lunettes ou lentilles ; les prothèses dentaires ; les hospitalisations…
Le délai de carence est aussi un critère important au moment de sélectionner sa mutuelle. Il faut savoir que certaines garanties ne peuvent pas être actionnées avant quelques semaines ou même quelques mois. Si le travailleur envisage de changer sa mutuelle prochainement, il est important de considérer ce détail.
Il faut aussi considérer les services supplémentaires. En principe, certaines compagnies d’assurance proposent des services particuliers. Par exemple, une consultation en télémédecine ou une aide ménagère en cas d’hospitalisation. Enfin, le taux et le délai de remboursement ne sont bien évidemment pas à négliger.
Déduire ses cotisations grâce à la loi Madelin
La loi du 11 février 1994 dite « loi Madelin », s’efforce de fournir des protections supplémentaires aux freelances. Le dispositif Madelin a été mis en place pour permettre aux travailleurs non-salariés d’effectuer une déduction des cotisations à verser sur leur revenu imposable pour qu’ils puissent se constituer une retraite complémentaire ou des garanties de santé.
La mutuelle TNS peut donc être en partie financée par les économies d’impôts.
Il est à noter qu’un travailleur indépendant qui dispose d’un statut d’auto-entrepreneur ne peut pas déduire ses cotisations mutuelles en raison de l’abattement sur le chiffre d’affaires. Cependant, les travailleurs non-salariés ; qui dégagent des bénéfices industriels commerciaux et des bénéfices non commerciaux ; peuvent déduire leurs cotisations de mutuelle dans la limite des plafonds de déduction fiscale. À noter que ceux-ci sont déterminés selon le plafond annuel de la sécurité sociale.
Enfin, pour bénéficier d’une complémentaire santé loi Madelin, le freelance informatique doit être à jour du paiement des cotisations à son régime d’assurance vieillesse et à son régime de maladie de base obligatoire.