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Décideurs IT Recruter un consultant IT

Entretien : 5 questions clefs à poser à un freelance tech ou IT

Comme pour tout collaborateur, avant de recruter un freelance informatique, il convient de lui faire passer un entretien. Ce dernier est destiné à vous assurer que le candidat correspond bien à vos besoins. Il permet de s’assurer qu’il dispose de toutes les compétences pour mener à bien le projet qui lui sera assigné. Quelles sont les questions à lui poser à tout prix ?
Une chose est sûre : en tant que recruteur, vous devez vous aussi vous préparer à l’entretien ! Club Freelance vous livre ses bonnes pratiques. Un échantillon de 5 questions essentielles à poser à un freelance IT en entretien.

1ère question en entretien : Avez-vous déjà travaillé sur un projet similaire, et si oui, pour quel type de client ?

Vous avez un projet pour lequel vous êtes à la recherche d’un professionnel freelance. Que vous recherchiez un développeur web ou encore un expert SAP, la technicité de la mission nécessite un savoir-faire pointu de la part du consultant. Ainsi, il convient dans un premier temps de vérifier qu’il possède bien l’expertise et l’expérience nécessaire.

Vous pouvez dans un premier temps lui demander s’il a déjà été confronté à un projet similaire afin de connaître son expérience sur ce type de mission. Proposez-lui de détailler ses missions précédentes, en donnant des détails sur le contexte technique et organisationnel des projets.

Demandez-lui quels ont été ses précédents clients, s’il s’agit de grands comptes ou de plus petites structures. Si le candidat vous explique qu’il a déjà une ou plusieurs expérience(s) similaire(s); dans une entreprise de votre secteur et avec un contexte semblable; c’est un réel avantage car il devrait être très vite opérationnel.

2ème question en entretien : Face à telle ou telle problématique technique, quelles actions mettriez-vous en place ?

L’expérience du freelance informatique est importante. Pour tester ses compétences techniques, n’hésitez pas à lui poser une ou plusieurs questions très concrètes. Des questions en lien direct avec votre projet. « Comment résoudriez-vous cet incident ? » « Quel type de fonctionnalité développeriez-vous ? » « Quel langage informatique vous paraît le plus adapté dans cette situation ? »…

Poser un problème hypothétique vous permet de tester la capacité du candidat à résoudre un problème, et sa compréhension technique de votre projet. Au passage, cela vous donnera un aperçu sur ses capacités analytiques, et sur l’intérêt qu’il porte à votre mission.

3ème question : Pourriez-vous me parler d’une difficulté rencontrée lors d’une précédent mission, et comment vous y avez fait face ?

Vous êtes à la recherche d’un expert tech ou IT. Certes, les hard skills du candidat sont fondamentales, mais n’en oubliez pas pour autant les soft skills essentiels en IT ! Votre consultant freelance informatique sera un membre de votre équipe, et ses compétences relationnelles seront fondamentales.

Pour les évaluer, vous pouvez poser des questions qui mettent en lumière son esprit d’équipe et ses capacités de communication, ainsi que sa faculté à gérer les situations conflictuelles. Privilégiez les questions ouvertes pour laisser le candidat s’exprimer et révéler sa personnalité.

4ème question : Quelles sont vos disponibilités et votre TJM ?

Vérifiez bien que les attentes du candidat correspondent aux conditions que vous proposez pour la mission. C’est bien évidemment valable pour le tarif, mais également pour l’ensemble des termes du contrat. Le candidat est-il prêt à venir travailler dans vos locaux si la mission le requiert ? Pourra-t-il travailler en remote et sous quelles conditions ? Devra-t-il prévoir des déplacements sur d’autres sites ? Ses frais professionnels seront-ils pris en charge ? Autant de points concrets sur lesquels vous devez vous assurer d’être en accord avec votre candidat.

En termes de disponibilité, vous devez également vous assurer que la situation du candidat soit compatible avec les aspects calendaires de votre mission. N’hésitez pas à demander au candidat sa date précise de disponibilité et s’il a des empêchements prochains prévus. Le respect des délais est en effet un élément crucial dans toute relation entre un professionnel et son collaborateur. Dans le cas d’une mission longue, vous devez vous assurer que le freelance informatique sera en mesure de s’engager sur toute la durée du projet.

5ème question : Quelles sont les missions qui vous passionnent réellement ?

La différence entre un bon et un excellent candidat ? La passion ! Un freelance informatique réellement intéressé par le projet sur lequel il travaille sera sans nul doute plus impliqué et plus performant qu’un autre candidat, au profil « mercenaire ».

La question de la motivation est une question clef qui est pourtant trop souvent oubliée des recruteurs de candidats en freelancing. Et pourtant, elle fait souvent toute la différence. Le fait de trouver un partenaire animé par votre projet et désireux d’acquérir l’expérience de la mission est très souvent gage de réussite dans le projet. Car il saura se montrer force d’action et surtout de proposition.

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Développement Fiches métiers

Développeur Swift : Fiche métier

Le métier de développeur Swift est né du développement du nouveau langage de programmation d’Apple : Swift. Celui-ci est spécialement conçu pour développer des applications iOS, Mac, Apple TV et Apple Watch. Il a pour but de remplacer l’Objective-C, un langage datant de 1983, peu souple dans l’utilisation.
Le développeur freelance Swift est en fait un développeur iOS qui utilise uniquement Swift. Focus sur ce nouveau métier avec Club Freelance.

Le métier de Développeur Swift

Quelles sont les spécificités des missions du développeur Swift ?

Les missions sont les mêmes que celles du Développeur iOS, mais le langage de programmation utilisé est bien spécifique.

Participer à l’analyse des besoins des utilisateurs
Afin de concevoir des programmes informatiques « sur mesure », il participe en amont à l’analyse des besoins des utilisateurs, puis à la phase d’essai d’un prototype.
Il se tient informé des innovations, via les médias et les réseaux sociaux, mais aussi en se rendant sur des salons professionnels et conférences d’éditeurs, en Europe et à l’international, et met en place des outils de veille spécifiques.

Suivre le cahier des charges pour développer une application
Le cahier des charges est établi par le Chef de projet web, avec qui le développeur freelance Swift travaille en étroite collaboration. Ce dernier devra donc suivre le cahier des charges pour développer ou mettre à jour une application.

Adapter le logiciel aux besoins
Une fois l’application lancée, des modifications sont souvent nécessaires pour le développeur Swift. Il prend en charge la formation des utilisateurs de l’application et peut même rédiger un guide d’utilisateur. Par la suite, il intervient pour effectuer la maintenance ou faire évoluer les programmes.

Compétences requises

D’excellentes connaissances techniques
Le développeur freelance Swift doit évidemment avoir une connaissance pointue du langage Swift, et maîtriser le XHTML, le PHP. Il doit avoir une très bonne connaissance de l’univers Apple, et comprendre les problématiques et les contraintes du mobile. Des connaissances du langage Objective-C peuvent également être nécessaires.

Un bon esprit d’équipe 
Le développeur travaille régulièrement en équipe. Au-delà de son lien direct et quasi permanent avec le Chef de projet web, il peut être amené à travailler avec des graphistes, d’autres développeurs ou en externe, directement avec les clients.

Un bon esprit d’analyse et de la rigueur
Il se doit d’être un bon analyste pour cerner précisément les besoins des utilisateurs. Il doit également être rigoureux et très bien organisé pour travailler méthodiquement.

Contexte

Autrefois externalisé, le métier de développeur est devenu un véritable métier stratégique au sein des entreprises. En effet, les compétences en développement deviennent une clé de différenciation pour les entreprises.

Salaire du Développeur Swift

Le taux journalier moyen du développeur freelance Swift varie beaucoup selon le niveau d’expérience mais se situe généralement entre 350 et 800€.

Formation et Evolution

Il n’existe pas de formation particulière pour devenir Développeur Swift. Toutefois, une formation en informatique (bac +2 à bac +5, école d’ingénieur…) est indispensable.
Si on se fie à la place qu’occupe aujourd’hui Apple dans notre quotidien, nul doute que le métier de Développeur Swift a un bel avenir devant lui.

Découvrez également notre fiche métier : Développeur Android

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Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !


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Développer sa carrière : CDI & freelance Freelance informatique / tech

Conseils pour valoriser votre CV de freelance

Le CV est sans conteste l’outil indispensable si vous êtes à la recherche d’une nouvelle mission. Véritable vitrine de vos expériences et de vos aspirations, il diffère selon que vous êtes freelance ou bien que vous recherchez un emploi de salarié. En vue de décrocher de nouveaux contrats en tant que freelance, il est donc nécessaire de bien valoriser votre CV de freelance. Il est nécessaire d’intégrer les informations majeures faisant peser la balance en votre faveur aux yeux des recruteurs.

Comment faire pour valoriser son CV de freelance ? Club Freelance vous éclaire pour valoriser votre CV de freelance et ainsi maximiser vos chances d’obtenir de nouvelles missions.

Valoriser votre CV de freelance en le rendant clair et agréable à lire

En tant que freelance, votre CV doit être le reflet de votre expérience professionnelle et de ce qui vous tient à cœur. Ne négligez pas l’aspect visuel, car c’est bien évidemment la première chose à laquelle le recruteur prêtera attention. Sans tomber dans l’excès d’originalité, agencez bien tous les éléments afin de les rendre facilement lisibles, et hiérarchisez l’information. N’oubliez pas que votre CV de freelance est comme votre plaquette publicitaire. Elle doit donner envie d’être lue et comporter toutes les informations nécessaires.
Si votre métier s’y prête, vous pouvez parfaitement annexer un portfolio à votre CV de freelance. Il permet de mettre en valeur vos travaux passés. Vous pouvez également proposer un renvoi vers votre site web ; si vous en avez un ; ou vos pages professionnelles comme LinkedIn. Découvrez dans cet article, comment optimiser votre profil sur LinkedIn.

cv freelance

Détaillez vos expériences passées pour valoriser votre CV de freelance

Votre CV de freelance doit être complet : n’hésitez pas à décrire en quelques lignes ou bullet points le détail de vos missions précédentes. Mentionnez le type d’entreprises pour lesquelles vous avez travaillé et les secteurs que vous connaissez. Les contextes techniques et configurations d’équipes dans lesquels vous avez pu évoluer en tant que freelance peuvent également s’avérer très utiles si le recruteur recherche un niveau d’expertise ou d’expérience bien spécifique.
Le format d’un CV de freelance est plus libre qu’en CDI : si vous le jugez nécessaire, optez pour un CV de plusieurs pages, qui valorise toutes les expériences pertinentes par rapport au type de mission freelance que vous visez.

Optez pour une stratégie commerciale pour valoriser votre profil

Contrairement à ceux qui recherchent un poste de salarié, les freelances ne sont par définition pas à la recherche d’un emploi à durée indéterminée, mais plutôt d’une mission s’inscrivant dans un projet bien défini. Le positionnement du freelance est davantage commercial et stratégique. Vous pouvez ainsi utiliser l’en-tête ou la première partie de votre CV pour décrire votre profil et vos aspirations en reprenant les éléments de recherche d’un recruteur.
Ainsi, s’il est évident que vous devez parfaitement connaître votre interlocuteur et les valeurs de l’entreprise avec laquelle vous serez amené à collaborer, la phase de séduction passe par une stratégie commerciale de qualité. Adaptez au maximum votre discours en proposant des prestations qui sont en adéquation avec sa recherche.
Si vous appliquez un taux journalier moyen fixe (TJM), n’hésitez pas non plus à l’indiquer sur votre CV et/ou dans le corps du mail. De cette manière, votre interlocuteur saura parfaitement quelles sont vos prétentions en termes de rémunération et pourra – ou pas – se projeter, en connaissance de cause. Partez toujours du principe que tous vos clients n’aiment pas perdre leur temps. Allez droit au but !

Rendez votre CV de freelance percutant pour retenir l’attention

Afin de rendre votre CV de freelance percutant et d’attirer l’attention du recruteur, il est nécessaire de mettre en valeur certains éléments de votre CV. Ainsi, vos expériences passées considérées comme les plus valorisantes doivent être mises en relief. Il en va de même de vos points forts.
Si vous avez déjà réalisé plusieurs missions similaires par le passé dans des entreprises et que cela a été une bonne expérience, n’hésitez pas à le mentionner. Vous également faire apparaître certaines de vos soft-skills pour vous attirer l’attention du recruteur. Ne mentionnez pas les expériences qui n’ont aucun lien avec le projet en question. Chaque recruteur de freelances recherche avant tout l’expertise et le professionnalisme. Il est donc nécessaire d’être cohérent en tous points.

Dernier conseil, si vous ne savez pas comment valoriser votre CV de freelance : faites-vous accompagner par des spécialistes. Les équipes de Club Freelance sauront par exemple parfaitement vous conseiller pour valoriser votre expérience de la meilleure des manières et décrocher les meilleures missions dans la tech et l’informatique !

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Communiqués de presse On parle de nous

Mindquest décroche le label HappyAtWork dans ses trois bureaux

COMMUNIQUE DE PRESSE – L’entreprise de placements de consultants dans la tech et l’IT se classe parmi les entreprises où il fait bon travailler et continue d’agrandir ses équipes. Elle a décroché le label HappyAtWork dans ses trois bureaux, à Paris, Londres et Barcelone.

Paris – le 27 juin 2019, Mindquest s’est vu décerner le 18 juin dernier le label HappyAtWork, résultat d’une enquête indépendante sur la motivation et le bien-être au travail, menée auprès de ses salariés courant avril 2019. Pour sa première participation à l’enquête HappyAtWork, l’entreprise obtient une note globale de 4.62/5.

Près de 80% des collaborateurs de Mindquest ont participé à l’enquête, permettant la labellisation de chacun des trois bureaux de l’entreprise (Paris, Londres, et Barcelone), qui obtient un taux de recommandation de pas moins de 100%.

L’enquête HappyAtWork est une initiative menée par choosemycompany.com, qui repose sur un questionnaire adressé de manière anonyme et indépendante à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise, et constitué de 18 questions. Tous les détails de la méthodologie ainsi que les critères de labellisation sont disponibles sur le site choosemycompany.com.

« Nous sommes très heureux de ces résultats, car la réussite de Mindquest repose entièrement sur le talent et l’engagement des équipes. La vie interne de l’entreprise est très riche, et nos collaborateurs partagent l’envie d’aller plus loin ensemble. Il y a un très bel esprit, que nous avons à cœur d’entretenir. Nous grossissons vite mais souhaitons conserver les valeurs qui nous sont chères depuis le départ. » s’enthousiasme Thomas Delfort, cofondateur et CEO de Mindquest.

L’ « expérience employé » comme levier de performance organisationnelle

Les questions de bien-être au travail trouvent une résonnance toute particulière chez Mindquest. La société a bâti la force de son modèle sur la force de l’expertise humaine.


« L’aspect humain est au cœur de notre modèle d’entreprise. Face aux plateformes de mise en relation entre freelances et entreprises, notre grande valeur ajoutée est de proposer des conseils et un accompagnement sur le long terme. Le bien-être de nos collaborateurs est clé pour assurer la satisfaction de nos entreprises clientes et de nos consultants. Dans cette optique, nous accordons une importance capitale aux soft skills ; à l’intelligence émotionnelle et au savoir-être. » précise Manuela Garampon, cofondatrice et COO de Mindquest.

Mindquest compte aujourd’hui une quarantaine d’employés, avec une moyenne d’âge de 30 ans et des profils très variés. L’évolution en interne est encouragée, avec le développement de career paths et de formations spécifiques.


Nicolas Lesavre, employé de Mindquest témoigne. « J’ai intégré Mindquest à Londres en 2017 et j’ai eu la chance d’apprendre le métier de Talent Acquisition Specialist dans une ambiance start-up. Après seulement deux ans dans l’entreprise, on m’a offert l’opportunité de partir à Barcelone, pour rejoindre le Sourcing Hub récemment créé. J’y suis désormais Team Lead, avec la responsabilité d’une équipe d’une dizaine de personnes. »

Une forte croissance et de nombreux recrutements en vue

Grâce à ce modèle solide, Mindquest connaît une forte croissance. Près de 42% sur l’exercice fiscal 2018, et prévoit une quinzaine de recrutements d’ici fin 2019. Parmi les profils recherchés : des commerciaux pour les bureaux parisien et anglais ; des profils spécialisés en recrutement pour le bureau barcelonais ; et des fonctions support pour l’ensemble des bureaux.


A noter que Mindquest fait partie du top 200 entreprises qui recrutent dans le numérique en 2019. (Selon le classement établi par Frenchweb).


« Ces bons résultats nous engagent pour la suite » conclut Thomas Delfort. « Nous ne comptons pas nous reposer sur nos lauriers et il s’agira de conforter ce climat de travail sain et stimulant, sur l’ensemble de nos bureaux et dans un contexte d’augmentation des effectifs. »

A propos de Mindquest

Mindquest est une société de placement de consultants informatiques qui fédère des communautés de talents dans le domaine de la tech et l’IT. Elle les met en relations avec les entreprises les plus innovantes du marché. Né de l’association d’une experte en recrutement et d’un ancien directeur informatique, Mindquest compte aujourd’hui une quarantaine de collaborateurs présents à Londres, Paris, et Barcelone.
 
Envie de rejoindre les équipes Mindquest ? Rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle pour découvrir les postes actuellement ouverts !

Vous êtes satisfaits de travailler avec nous ? Laissez nous votre avis sur Mindquest. Votre opinion est précieuse pour nous et sera d’une grande aide pour les futurs professionnels de l’IT et de la finance souhaitant bénéficier de notre accompagnement. Merci de laissez votre avis sur le service Mindquest directement ici sur Google.

Avis service Mindquest

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Digital Fiches métiers

Green IT Consultant : Fiche métier

Comme l’adjectif « Green » le sous-entend, le Green IT Consultant est le spécialiste des énergies renouvelables, dans le domaine de l’informatique durable. Son objectif est d’optimiser les gains d’énergie et les postes de travail, notamment la consommation d’énergie des ordinateurs. Ses missions principales sont d’aider, de conseiller et de convaincre, dans le but de préserver l’environnement.

Aujourd’hui, l’empreinte écologique est fortement impactée par les systèmes d’informations des entreprises, collectivités territoriales et administrations. Pour réduire cette empreinte écologique, le consultant Green IT les aide à adopter des processus écoresponsables en leur procurant méthodologies et outils.

Le métier de Green IT Consultant

Quelles sont ses principales tâches ?

Etablir un diagnostic au sein de l’entreprise
Avant toute chose, le Green IT Consultant doit analyser les méthodes utilisées par l’entreprise pour repérer les failles et les axes d’amélioration. Il peut être amené à revoir l’ensemble de la consommation d’énergie d’une entreprise, à acheter de l’informatique  » responsable  » ou à rationaliser l’usage d’appareils existants.

Proposer plusieurs pistes et préconisations afin d’optimiser la consommation d’énergie
Le Green IT Consultant propose des solutions aux entreprises pour repenser la gestion de leurs parcs informatiques. Cela peut passer par l’installation d’imprimantes sobres et peu énergétivores, par l’incitation des salariés à limiter leurs impressions, ou par l’optimisation des serveurs informatiques…

Décider de la solution la plus adaptée aux objectifs
L’entreprise et le Green IT Consultant décident ensemble de la solution la plus adaptée, et surtout pérenne, pour atteindre les objectifs.

Compétences requises

De la souplesse et de l’adaptabilité
Comme tout consultant, le il doit savoir s’adapter aux besoins de son client. Même si les problématiques environnementales constituent le fondement même de sa mission, les solutions peuvent être très différentes.

Disposer d’une grande force de conviction
Il a pour mission de sensibiliser et de convaincre les entreprises sur les enjeux environnementaux. Ces dernières ont toutefois tendance à limiter le rôle des experts Green IT à la réduction des coûts et de la facture énergétique, sans voir plus loin. Ce dernier doit alors user de son pouvoir de conviction pour faire en sorte d’étendre son action à tous les domaines de l’entreprise.

Des compétences techniques et environnementales
En plus d’une expertise informatique, disposer de connaissances techniques dans le domaine de l’environnement est indispensable pour effectuer ce métier. Il devra cultiver son savoir par une veille permanente et des formations régulières.

Contexte

Le métier de Green IT Consultant est encore assez nouveau et répond parfaitement aux enjeux environnementaux actuels, ce qui le rend de plus en plus attractif. Certaines grandes entreprises cherchent à adopter une démarche de RSE et à contribuer à la protection de l’environnement. Le consultant peut exercer comme indépendant ou être directement intégré à des entreprises spécialisées.

Salaire

Après quelques années d’expérience, le Green IT Consultant peut passer à la direction d’un service. Il peut, par exemple, devenir directeur de la stratégie et du développement durable d’une entreprise ou d’une collectivité. Il peut également choisir de créer son entreprise spécialisée.
Le taux journalier moyen oscille entre 300 et 600 €.

Formation de Green IT Consultant

Il n’existe pas de diplôme spécifique. L’idéal est tout de même de détenir un diplôme de niveau bac + 5 (diplôme d’ingénieur ou master) en informatique avec des compétences en développement durable voire une option Green IT.

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Baromètre des besoins des entreprises en freelances tech et IT (Infographie)

Club Freelance passe en revue ses données pour analyser l’évolution des demandes en consultants informatiques qu’ont exprimé les entreprises. Les données du baromètre correspondent à la répartition des besoins des entreprises en freelances Tech & IT par région ; ou encore la répartition des besoins par domaine d’expertise et langages et compétences techniques que les entreprises recherchent le plus. Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 899 missions sur la période du 23 octobre 2018 au 23 avril 2019.

Lire également : Infographie du freelance IT en France en 2019

Le baromètre des besoins des entreprises en freelances, en infographie

Infographie : baromètre des besoins des entreprises en freelances Tech & IT
Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 899 missions sur la période du 23 octobre 2018 au 23 avril 2019.

La presse en parle

Retrouvez les mentions de ce baromètre des besoins des entreprises en freelances Tech & IT, dans la presse :

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Infographie du freelance IT en France en 2019 : portrait-robot

Club Freelance a compilé à travers une infographie du freelance IT, ses données pour analyser les caractéristiques démographiques, les domaines d’expertise, et les niveaux de TJM de sa communauté de consultants informatique. Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 5614 profils de consultants indépendants, travaillant dans le monde de la technologie et l’informatique.

Le portrait-robot : infographie du freelance IT

 

La presse en parle

Retrouvez les mentions de cette infographie dans la presse :

Découvrir également : Les femmes largement sous-représentées chez les consultants indépendants dans l’IT

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Arrêt maladie, allocations chômage… ça se passe comment quand on est freelance ?

Qui dit freelance dit droits différents d’un salarié. Comment cela se passe-t-il en cas de chômage ou d’arrêt maladie ? Club Freelance fait le point avec vous sur ces deux problématiques.

Freelance & Arrêt Maladie

La protection sociale des freelances était jusqu’au 31 décembre 2017 assurée par le RSI (régime social des indépendants). Il couvrait les indépendants face au risque de maladie, en cas de maternité ainsi que pour le versement de la retraite de base de ces assurés (sauf pour les professions libérales). Début 2018, conformément aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, le RSI a été abandonné. Quels sont donc les conséquences de ce changement pour les freelances ?

médicament maladie freelance
Depuis le 1er Janvier 2018 donc, la protection sociale des travailleurs indépendants est adossée au régime général de sécurité sociale. Les prestations auxquelles ont droit les freelances vont au fil du temps se rapprocher de celles des salariés.
Les remboursements des frais de santé, les bases de calculs de la retraite sont par exemple identiques pour ces deux statuts. Avec la réforme du RSI, ces rapprochements devraient être prolongés notamment dans le domaine de la maternité.

Les travailleurs indépendants relèvent maintenant de la CPAM pour l’assurance maladie/maternité; de la Carsat pour la retraite de base et de l’Ursaff pour leurs cotisations sociales personnelles. Ils peuvent ainsi bénéficier de l’efficacité et de la rapidité du système des salariés. Ils gardent tout de même les spécificités liées à leur statut. En effet, les barèmes et les cotisations restent différents de ceux des salariés. Ils garderont également l’avantage du régime des retraites complémentaires (RCI).

Le passage au RSI

Le passage du RSI au régime général de sécurité sociale devrait également faciliter le passage du statut de salarié au statut de freelance. Lors de ce changement de statut, l’ancien salarié n’aura plus besoin de faire de nouvelles démarches (ce que nécessitait avant le RSI) puisque son assurance maladie restera gérée par sa CPAM et la validation de ses périodes de travail pour sa retraite par sa caisse d’assurance vieillesse.
Ainsi, si les freelances sont désormais rattachés au régime général de sécurité sociale, ils continuent de bénéficier d’une fiscalité particulière. Cette réforme leur apporte donc surtout une offre plus performante, plus réactive et plus adaptée.
Les évolutions du à la suppression du RSI seront totalement effectives en 2020.

Freelance & Chômage

Jusqu’à maintenant, un travailleur indépendant ne peut toucher le chômage dans la mesure où il ne cotise pas, à la différence d’un salarié. Aucun statut n’offre pour l’instant la possibilité aux freelances indépendants de toucher des indemnités chômage. C’est à cela qu’a voulu remédier Emmanuel Macron. Dès sa campagne électorale, il avait promis, en même temps que la suppression du RSI, l’accès à une indemnité chômage pour les freelances. Si la réforme n’est aujourd’hui pas encore effective, elle est actuellement en discussion.

Une réforme pour protéger les freelances

Le but de cette réforme est d’une part de protéger les travailleurs indépendants face au risque de liquidation de leur entreprise mais aussi de rapprocher le régime des salariés et le régime des non-salariés. La réforme vise également à favoriser l’entreprenariat en accordant plus de sécurité au statut et en répondant aux défis de la conjoncture économique.

Les contours de cette réforme sont assez durs à délimiter. Tout d’abord, la population des travailleurs indépendants représente une partie difficile à assurer contre le risque de chômage de par son hétérogénéité. En effet, les travailleurs indépendants n’ont pas tous le même degré d’exposition au risque de chômage et les inégalités de revenus de ces professionnels sont plus élevés que celles des salariés. La réforme contre le risque de chômage devrait donc selon l’IGA et l’IGF « distinguer différents sous-ensemble au sein des travailleurs indépendants selon leur capacité contributives, leur besoin de protection ou encore le type de risque contre lequel ils souhaitent se couvrir. » D’autre part, la notion de perte volontaire d’emploi est plus difficile à déterminer chez un indépendant que chez un salarié puisqu’il gère sa propre activité.

La réforme prévoit tout d’abord une allocation de 800 euros par mois en cas de liquidation judiciaire, et ce sur une durée de 6 mois. Et l’indépendant doit pouvoir justifier d’un bénéfice annuel proche de 10 000 euros. Cette mesure vise donc essentiellement les agriculteurs, commerçants et micro-entrepreneurs et non les professions libérales.

Comment bien s’assurer ?

En attendant l’application effective de ces réformes, quelles sont les solutions existantes qui s’offrent aux freelances ? Pour se couvrir face aux risques, les freelances doivent pour le moment cotiser auprès d’organismes privés :

La prévoyance

La prévoyance individuelle permet à l’assuré freelance de se protéger lui et sa famille, en minimisant les conséquences financières que peuvent provoquer un accident ou une maladie. En souscrivant à un contrat de prévoyance, les indépendants bénéficient d’une déduction des cotisations sur leurs revenus. Cette mesure de la loi Madelin vise notamment à améliorer la protection sociale des freelances.

La mutuelle (complémentaire santé)

Pour pouvoir bénéficier d’une mutuelle, le travailleur indépendant doit y souscrire lui-même, car il ne peut bénéficier d’une complémentaire santé d’entreprise. Pour le freelance, cela permet ainsi une meilleure prise en charge des soins, notamment soins dentaires et optiques.
Otherwise propose par exemple différentes formules de complémentaire santé. Découvrez l’offre spéciale Club Freelance : Pour toute souscription d’un contrat complémentaire Otherwise, 2 mois sont offerts.

L’assurance Responsabilité Civile professionnelle (ou RC pro) :

Cette assurance permet de couvrir le travailleur indépendant en cas de dégâts matériels ou immatériels. Cette assurance est obligatoire seulement pour les professions réglementées. Elle est cependant fortement recommandée pour les professions non réglementées. D’autant qu’y souscrire est souvent gage de professionnalisme et peut servir d’argument commercial pour les freelances.

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Freelance informatique / tech Quotidien de freelance

Freelance au quotidien : Conseils d’un consultant freelance après 15 mois de freelancing

Pourquoi devenir Freelance ? Qu’est-ce que le quotidien en tant que freelance a de mieux ? Comment trouver ses premiers clients ? Quels sont les conseils d’un consultant en freelance ?

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté que faire entre deux missions freelance.

Dans cette sixième vidéo, Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent les conseils d’un consultant freelance ; Frédéric Bonomo Chef de Projet Data, après 15 mois de freelancing. 

Dominique Dufour : Quelle est selon toi la première qualité pour être freelance ?

Frédéric Bonomo : Je pense que c’est essentiellement une question de tempérament. Il faut avoir une face commerciale pour essayer d’aller gagner de nouveaux contrats. Mais aussi pour faire soi-même son propre suivi de mission, assurer également le côté administratif avec notamment la facturation. Il faut également avoir un côté entrepreneur pour essayer de se vendre ; pour essayer de conquérir de nouveaux marchés et de penser aussi à son évolution de carrière en termes de compétences.

DF : Pourquoi es-tu devenu freelance ?

FB : Il y a deux ans je tournais un peu en rond et je voulais sortir de cette zone de confort dans laquelle je m’étais installé en client final. Je voulais également découvrir de nouveaux horizons, apprendre de nouvelles choses et aussi grandir professionnellement. C’est donc naturellement que je me suis tourné vers les sociétés de services. Je sentais que je pouvais gérer cette partie commerciale, administrative par moi-même. Je souhaitais aussi me lancer dans l’entreprenariat c’est donc pourquoi je me suis lancé en Freelance. J’avais dans mon cercle, dans mon réseau, un certain nombre de personnes qui étaient déjà passées freelance qui m’ont aidé, conseillé et qui m’ont permis de me lancer à mon propre compte.

DF : Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton quotidien de freelance ?

FB : Ce qui me plait le plus dans mon quotidien de freelance c’est la diversité en termes de missions. Quand on a la possibilité de travailler dans des secteurs d’activité différents sachant que très souvent les besoins sont extrêmement urgents et ce qui permet donc d’avoir des opportunités en terme de carrière, de poste, qu’on aurait peut être pas forcément en Cdi ou des process de recrutement, de sélection sont beaucoup plus lourd et ou on va vous demander une réactivité et beaucoup d’application en termes de travail. Mais vous aurez beaucoup de possibilité en terme d’évolution de carrière. Ce qui est fondamental c’est que c’est a vous de gérer votre propre carrière et de gérer votre propre employabilité.

DF : Quels conseils pour un futur freelance ?

FB : Le premier des conseils que je donnerai pour toute personne qui souhaite se lancer serait de bien définir la zone géographique où vous souhaitez évoluer. Mon deuxième conseil serait de bien réfléchir au poste idéal que vous aimeriez occuper et mon troisième conseil serait de bien définir votre Taux Journalier Moyen (TJM).

DF : Comment as-tu trouvé tes premiers clients ?

FB : Sur mes 15 mois d’activité en temps que Freelance j’ai eu 3 différents clients que j’ai tous trouvé via mon réseau. La force principale d’un freelance est donc son réseau. Mon conseil serait donc : Cultivez votre réseau ! Informez les gens de ce que vous faites, de ce que vous recherchez puisque derrière, cela vous permettra de trouvez plus facilement des missions.

DF : Quel est ton statut ? Comment gères-tu l’administratif ?

FB : J’ai opté pour la forme juridique SASU et je me fait accompagner d’un expert-comptable qui me suis régulièrement et à qui j’envoie mes factures et tous mes documents financiers. Il dresse le bilan en fin d’année et fait tout le travail financier pour moi.

DF : Penses-tu que les entreprises savent travailler avec des freelances ?

FB : Chez certains prospects j’ai pu voir que le statut de freelance était un peu difficile à envisager , surtout sur certaines expériences un peu négatives qu’ils ont pu avoir avec certaines personnes qui sont peut-être partie un peu précipitamment. Donc j’insiste sur le fait qu’en tant que freelance vous avez aussi une responsabilité par rapport à toute la communauté des freelances et il est primordial de partir en bons termes avec vos clients. Ne les laissez pas en plan et soyez pro jusqu’au bout même s’il peu parfois y avoir des difficultés en terme de relationnel ou de communication.

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/
 

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Freelance au quotidien : Quels organismes pour votre formation ?

La vie de Freelance demande un minimum d’organisation et peut soulever un certain nombre de questions. Comment gérer sa compta ? Où se former ? Quels organismes pour votre formation ? Comment équilibrer vie pro et vie perso… ?
Autant de sujets qui peuvent vous préoccuper et que nous aborderons à travers une série de petites vidéos. Objectif : vous accompagner dans votre quotidien d’indépendant.

Le mois dernier nous vous avions présenté 5 bons outils pour votre comptabilité.

Dans cette seconde vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent les solutions qui s’offrent à vous pour votre formation.

Quels organismes pour votre formation ?

Organismes pour votre formation : si vous êtes profession libérale ou auto-entrepreneur

Il faudra s’adresser au fifpl (Fonds Interprofessionnel de Formation des Professionnels Libéraux) et vous munir de votre code NAF. Ce code est celui qui définit votre activité. Vous obtiendrez en le saisissant sur le site, un descriptif des prises en charge et l’enveloppe budgétaire qui vous est allouée. (Entre 1000€ et 2000€ par an en moyenne). Pour faire une demande de prise en charge, vous devez d’abord vous créer un compte et vous laisser guider par le site. Vous pourrez ensuite connaitre votre budget formation et l’avancée de vos demandes de prise en charge dans votre tableau de bord.

Organismes pour votre formation : si vous êtes une société

Il faudra s’adresser à l’agefice (Association de Gestion du Financement de la Formation des Chefs d’Entreprise) . Une fois sur le site vous aurez différents choix de formations. Des formations diplômantes, des formations obligatoires dans le cadre de votre expertise, des formations pour mieux gérer votre société ou des formations métiers transversales. Pour chacune d’entre elles vous saurez le plafond maximum de prise en charge.

A partir de 2018, les freelances et les indépendants auront aussi leur propre compte personnel de formation : le CPF (Mon compte formation). Cette plateforme a été créé pour bénéficier d’heures de formation tout au long de votre vie professionnelle.
Concernant le financement des formations, il faut noter qu’un mois de délai est nécessaire entre la demande de financement et le début de celle-ci.
Cliquez ici pour créer votre compte gratuitement

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013). Ancien journaliste, Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

Vous aimeriez aborder un sujet particulier dans les prochaines vidéos ? N’hésitez pas à nous en faire part !