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2019 : ouverture de l’ACCRE à tous les entrepreneurs

Depuis le 1er janvier 2019, l’ACCRE est ouverte à tous les entrepreneurs, sous conditions de revenus. Cette exonération constitue un atout non négligeable au moment du démarrage d’une activité indépendante. Tour d’horizon des changements qu’apporte cette nouveauté.

1er janvier 2019 : ouverture de l’ACCRE à tous les professionnels non-salariés

L’ACCRE, ou « aide aux chômeurs, créateurs ou repreneurs d’entreprise » est un dispositif d’aide ayant pour objectif d’encourager à la reprise et création d’entreprises. En effet, il s’agit d’exonérer partiellement les charges sociales et d’accompagner les jeunes entreprises pendant la première année de leur activité. Adopté le 4 décembre 2017 par l’Assemblée nationale et prévu pour le 1er janvier 2019, le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) organise une extension de l’ACCRE à tous les entrepreneurs, sans distinction. En quoi cela consiste-t-il et quelles en sont les conséquences directes ? Tour d’horizon de cette nouvelle mesure législative.

Qu’est-ce que l’ACCRE ?

L’ACCRE est un dispositif public d’aide aux chômeurs souhaitant créer ou reprendre une entreprise. En effet, elle permet une exonération des cotisations de sécurité sociale progressive de 3 ans pour les micro-entrepreneurs. C’est l’article L. 161-1-1 du code de la sécurité sociale ainsi que l’article L. 5141-1 du code du travail qui fixent son cadre juridique.
Cette aide concerne plusieurs catégories de bénéficiaires, dont :

  • Les demandeurs d’emploi et bénéficiaires de l’allocation de solidarité spécifique
  • Les bénéficiaires du revenu de solidarité active
  • Les jeunes âgés de 18 à 25 ans inclus
  • Les personnes de moins de 30 ans, en situation de handicap et bénéficiaires de l’obligation d’emploi
  • Les personnes licenciées ou salariées d’une entreprise qui ont à connaître d’une procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire
  • Des personnes qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise située dans un quartier prioritaire de la politique publique

Les changements apportés par l’extension de l’ACCRE en 2019

Cette extension est l’un des engagements pris durant la compagne présidentielle. Décidée par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2018, cette extension concerne toutes les personnes créant ou reprenant une entreprise à partir du 1er janvier 2019. Elle entre en vigueur au début de l’année 2019.
Elle concerne uniquement les cotisations et les contributions sociales dues à partir du 1er janvier 2019. La mesure n’est donc pas rétroactive. Ainsi, l’objectif affiché par le gouvernement est de soutenir la reprise et la création d’activités entrepreneuriales.

Les changements majeurs apportés par cette nouveauté législative sont les suivants :

  • Le dispositif est rebaptisé « Exonération de début d’activité de création ou de reprise d’entreprise », sous l’article L. 131-6-4.I du code de la sécurité sociale.
  • La loi distingue désormais entre deux dispositifs. L’exonération proprement dite d’une part et l’accompagnement des repreneurs et créateurs d’entreprise d’autre part. L’article L. 5141-1 du code du travail régi cet accompagnement appelé « Nacre ». La liste des bénéficiaires en est modifiée. Puisque désormais tous les créateurs et repreneurs d’entreprise bénéficie de cette exonération, sous condition de ressources.
  • Les conditions pour bénéficier de cette exonération au titre de l’ACCRE est d’une part d’être un entrepreneur et d’exercer une profession non salariée. D’autre part de bénéficier, au titre de sa première année d’exercice, d’une rémunération ou un revenu annuel net en dessous du plafond de la sécurité sociale, soit en-dessous de 40 000 euros
  • Pour les salariés, le début de l’exonération est fixé au moment où l’activité est lancée. Pour les non-salariés, le début est la date de prise d’effet de l’affiliation.

Cumul des aides, de nouvelles règles prévues pour l’ACCRE

La législation a évolué et avec elle, de nouvelles mesures à compter de 2019 :

  • Bénéficier de l’exonération de cotisations de sécurité sociale au titre de l’ACCRE ne peut pas s’accompagner du bénéfice d’un autre dispositif d’abattement ou de réduction visant les cotisations concernées, sauf exceptions. Les exceptions concernent les cotisations d’allocations familiales et les cotisations de maternité et d’assurance maladie prévues aux articles L. 613-1 et L. 621-3 du code de la sécurité sociale
  • Dans le cas d’un changement d’activité, le dispositif d’exonération peut être demandé à nouveau, à condition de respecter une période de carence de 3 ans. On distingue une grande différence en la matière, concernant la date de début de période de carence. Pour une personne qui créer ou reprend une activité à compter du 1er janvier 2019, le décompte de la période de carence commence au jour où l’entrepreneur cesse de jouir de cette exonération. Pour une personne ayant créé ou repris une activité avant le 1er janvier 2019, le décompte de la période de carence commence au jour de la réception du document attestant de l’octroi de l’ACCRE.

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Fiches métiers Project Management

Responsable qualité et méthodes : Fiche métier

Le poste de responsable qualité et méthodes est le garant de la qualité des produits informatiques de son entreprise (ou de son client). Il définit et accompagne la mise en place de nouvelles procédures et méthodes de travail tout en incluant les différentes contraintes réglementaires et techniques. Désormais, c’est un poste qui tend à s’orienter vers des problématiques de respect de la sécurité des données et du patrimoine applicatif des entreprises.


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1. Le métier de responsable qualité et méthodes

1.1. Respect de la qualité des produits et des méthodes employées

La mission principale pour ce poste est évidemment de veiller à ce que la qualité des produits ainsi que les méthodes employées au sein de l’entreprise par les équipes soient conformes avec les procédures et normes légales en vigueur. Il doit prendre en compte également les objectifs qualités de son entreprise. La définition des normes et des méthodes, l’intégration des référentiels existants et leur adaptation à la structure font ainsi partie de son quotidien.

1.2. Audits et tests

Une des composantes du métier de responsable qualité et méthodes est la réalisations d’audits réguliers. Ceci afin de s’assurer que les normes soient respectées. Il élabore aussi les tests afin de contrôler l’utilisation des normes. Cela lui permet ainsi de détecter les non-conformités et de garantir un niveau de qualité pour ce qui est des processus. C’est donc au responsable qualité et méthodes de superviser l’ensemble de la chaîne de production informatique de l’entreprise.

1.3. Conduite du changement

Le responsable qualité et méthodes tient un rôle d’assistance à la conduite du changement lors de la mise en place des processus de qualités, soutenus par les directions métiers. Ses missions sont ainsi d’informer et d’alerter sur les sujets concernant la qualité. Il est également chargé de superviser le changement occasionné par la mise en place de nouveaux processus.


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2. Compétences requises

2.1. Maitrise de la qualité et rigueur

La base de la profession du responsable est la maitrise de l’assurance qualité. Il doit en effet maitriser les procédures, normes et protocoles d’audits. Ces acquis doivent également être complétés par de solides connaissances en informatique.

2.2. Rôle managérial

Du fait de la nature transverse de l’activité et des différents services avec lesquels il évolue, le responsable qualité et méthodes doit faire preuve d’un sens du dialogue afin de faire respecter les règles et outils méthodologiques. Cela est également requis pour la conduite du changement.

2.3. Force de proposition

Une des compétences-clés de ce freelance IT est la capacité à convaincre. En effet, être force de proposition s’impose sur les améliorations de la qualité à apporter.


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3. Contexte

Depuis la démocratisation de la norme ISO 27001 au sujet des systèmes de management de la sécurité de l’information ; les responsables qualité et méthodes orientent leur carrière. Ils se dirigent vers des postes aux problématiques de respect de la sécurité des données et du patrimoine applicatif des entreprises.

4. Carrières et Salaire

Selon la taille de l’entreprise, le responsable qualité et méthodes pourra évoluer pour devenir responsable de zones de plus en plus importantes. Il est également possible de s’orienter vers des postes de responsable d’exploitation, de directeur technique ou même de DSI. Le TJM est de 400 euros en moyenne pour un profil junior. Mais il peut aller jusqu’au double pour un profil senior.


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5. Formation Responsable Qualité et Méthodes

Un cursus en Bac +4 ou +5 en école d’ingénieurs, en master universitaire voire en école de commerce est obligatoire pour ce type de poste. Cependant, il est fréquemment demandé de posséder des connaissances en développement logiciel.

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Micro-entreprise et SASU, quel statut choisir en freelance ?

Au moment de créer son entreprise, plusieurs questions se posent, notamment celle du choix de statut juridique. Les travailleurs indépendants choisissent le plus souvent les statuts de la micro-entreprise ou de la SASU. Quel statut choisir en freelance ?

Comment s’y retrouver en tant que freelance ? Comment bien choisir en fonction de votre projet entrepreneurial ? Zoom sur ces statuts pour freelances, pour vous aider à faire votre choix en connaissance de cause.

Petit aperçu de la micro-entreprise et de la SASU

La SASU, ou société par actions simplifiées unipersonnelle, a connu une progression importante ces dernières années. Le dirigeant de cette société a le statut d’assimilé-salarié et relève à ce titre de la CPAM (régime général des salariés).
En outre, dans le cas d’une absence de revenus, le dirigeant est exonéré de cotisations sociales. Sa responsabilité est limitée au montant de ses apports professionnels. Les statuts de la société doivent être rédigés avec soin et les formalités administratives sont assez lourdes. La SASU est plutôt recommandée pour les personnes dont le projet est à forte envergure. Il pourra s’agir de faire évoluer une micro-entreprise si cette dernière connaît un véritable succès.

De son côté, le régime de la micro-entreprise (anciennement régime auto-entrepreneur jusqu’en 2015) est une entreprise individuelle dont la forme diffère de la SASU. Très simple à créer et à gérer, le paiement des cotisations sociales est tout autant facilité. Pour fonctionner, le coût est très faible. Si la question du seuil du chiffre d’affaires était problématique jusqu’à fin 2016, elle ne l’est désormais plus vraiment. En effet, si ce seuil était fixé au préalable à 33 200 euros, il est désormais porté à 70 000 euros pour les prestations de service et les professions libérales relevant des BIC et des BNC. Ce type de régime est particulièrement recommandé pour les personnes qui désirent tester une activité entrepreneuriale sans prendre de risques financiers importants, ou bien les personnes qui souhaitent choisir une activité individuelle en guise de complément financier à une activité principale.

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Quel statut choisir en freelance : les différences entre SASU et micro-entreprise

Tableau comparatif : les principales différences entre les deux statuts pour comprendre quel statut choisir en freelance :

SASUMicro-entreprise

La SASU est une société marquée par la césure entre la structure, personne juridique, et son dirigeant, personne physique. La principale conséquence de ce constat est que
la responsabilité du dirigeant est limitée à ses apports dans la société. Il ne peut pas être tenu indéfiniment de la dette sur son patrimoine personnel.
Dans une micro-entreprise, la société et son dirigeant ne forment qu’une seule et même personne. De ce fait, la responsabilité du dirigeant est illimitée sur son patrimoine personnel.

Le président de la structure bénéficie du régime général de la sécurité sociale. Il a donc une couverture sociale plus avantageuse, identique à celle des salariés. Il en va de même concernant la retraite. Il peut également recevoir l’ARE (allocation d’aide au retour à l’emploi).
L’auto-entrepreneur est un travailleur indépendant, non salarié. Il bénéficie d’une faible couverture sociale. Il est soumis à la CIPAV pour les professions non-réglementées ou au régime général depuis la disparition du RSI le 1er janvier 2018. Il ne peut pas percevoir l’ARE mais cotise à l’assurance chômage.
La SASU est tenue trimestriellement du paiement de charges en fonction des salaires versés par l’entreprise. Si son dirigeant ne verse aucun revenu, il sera exempté de charge.
L’auto-entrepreneur a le choix entre payer mensuellement ou trimestriellement ses charges. Ces dernières sont calculées en fonction du chiffre d’affaires perçu. Sous certaines conditions, il peut bénéficier de l’ACCRE durant les 3 premières années, ce qui diminue pour beaucoup les cotisations sociales à verser.

Créer une SASU implique des frais. Le coût de publication de l’avis de constitution se situe en règle générale aux alentours de 200 euros hors taxes. Comptez ensuite les frais de greffe, pour un montant de 45 euros et les frais en lien avec la déclaration des bénéfices pour 25 euros par déclaration.
Pour créer une micro-entreprise, c’est entièrement gratuit. L’investissement de départ est donc nul ou bien très faible.

Une SASU est libre d’exercer toutes les activités souhaitées, exceptées quelques-unes comme un débit de tabac ou bien quelques professions libérales réglementées.

L’auto-entrepreneur n’est pas entièrement libre de choisir le type d’activité exercée. Par exemple, sont exclues les activités agricoles attachées au régime social de la MSA. Il pourra s’agir d’entretien de jardins ou d’activité de paysagiste par exemple.

Les obligations comptables de la SASU sont strictes. Elle doit tenir une comptabilité retraçant rigoureusement les mouvements de son patrimoine. Elle réalise un inventaire une
fois par an au minimum, afin d’établir les comptes annuels au moment de la clôture de l’exercice social. Elle doit enfin conserver ses pièces justificatives durant 10 ans.
De son côté, l’auto-entrepreneur doit juste tenir un livre des recettes et bien conserver les pièces justificatives.
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Data & Business Intelligence Fiches métiers

Responsable de Datacenter : Fiche métier

Le poste de responsable de datacenter consiste à diriger une infrastructure qui héberge une quantité énorme de données et applications de différents clients qui recherchent dans ce type de centre de la sécurité et de la disponibilité. Il se verra confier selon le type d’organisation, une fonction de gestionnaire technique et/ou commercial du centre de données. Il peut soit travailler pour des entreprises dont l’hébergement est l’activité principale, soit pour une entreprise qui possède ses propres datacenters.


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1. Le métier de responsable de datacenter : quel est son rôle ?

1.1. Gestion technique et opérationnelle du datacenter

En tant que responsable de datacenter, il doit s’assurer de la gestion de celui-ci. Il veille à ce que l’administration technique des serveurs soit bien réalisée. Il est important que l’infrastructure informatique qui supporte les données (espace disque, réseau) soit irréprochable. Le responsable de datacenter doit donc posséder de solides compétences techniques des systèmes, des réseaux et des langages de programmation. Il assure que le niveau de sécurité soit maintenu afin de protéger la structure et les données clients.

1.2. Supervision et encadrement

Le responsable de datacenter est aussi un manager. Il s’occupe d’élaborer des plannings, d’anticiper les extensions de la capacité d’hébergement pour éviter tout problème de saturation ou de contention, d’assurer le contrôle des prestataires et le dialogue avec les fournisseurs pour mettre en adéquation les besoins avec les solutions techniques existantes. Il tient un rôle d’animateur de l’équipe technique ainsi que de l’équipe en charge de l’exploitation du datacenter pour ce qui est de l’encadrement de ses effectifs.

1.3. Support et assistance aux utilisateurs

En tant que support, ce professionnel aura pour fonction de communiquer avec les clients dont les actifs informatiques sont hébergés sur les serveurs du datacenter. Il gère toute la documentation liée à l’hébergement et l’exploitation (manuels techniques, site de ressources utilisateurs…). Il assure un dialogue continu et interagit régulièrement avec les utilisateurs afin de comprendre leurs demandes.

2. Compétences requises

2.1. Connaissances générales

Ce professionnel possède de solides connaissances matérielles et logicielles. Dans un premier temps, il est à l’aise avec les différents éléments matériels qui constituent l’ensemble du système : réseau, fibre, pare-feu… n’ont plus de secret pour lui. Il a également connaissance des architectures machines, des systèmes avec leurs différents multiprocesseurs, des réseaux (TCP/IP). Enfin, il maitrise les langages de scripts de type Bash/Python/Perl.

2.2. Aisance relationnelle

Être responsable de datacenter nécessite d’entretenir un dialogue avec les fournisseurs, les prestataires, les utilisateurs afin de mieux répondre aux attentes de chacun ainsi qu’à celles du datacenter. Il faut donc être doté d’un bon relationnel pour pouvoir encadrer ses équipes.

2.3. Disponibilité et réactivé

Ce sont les mots d’ordre d’un bon responsable de datacenter. Il doit en effet être en mesure de répondre rapidement aux problèmes techniques et de support, ceux-ci pouvant apparaitre à tout moment. Il faut donc s’organiser au maximum afin de prioriser ses tâches pour être le plus réactif possible.


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3. Contexte du métier de Responsable de Datacenter

Devenir responsable de centre de données nécessite souvent au préalable d’avoir progressé dans les échelons inférieurs au sein de la structure en tant que technicien d’exploitation ou ingénieur. Celui-ci pourra s’orienter par la suite vers le métier de responsable de datacenter. Outre des compétences techniques, il devra avoir démontré ses capacités à encadrer une équipe.


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4. Carrières et Salaire du Responsable de Datacenter

Le poste de responsable de datacenter varie selon de nombreux facteurs entrant compte comme la surface du centre, l’importance des clients ou encore de la taille des équipes. Une expérience de deux ans dans le support technique est également nécessaire pour ce type de poste. Quant au TJM, il se situe entre 450 euros et 600 euros. Après quelques années, il pourra se voir proposer une responsabilité dans une structure plus importante. La carrière d’un responsable de datacenter pourra aussi s’orienter vers l’avant-vente de prestation d’hébergement.


Consultez nos fiches métiers : Responsable de parc informatique, Coach Agile et Analyste SOC !


5. Formation du responsable de datacenter

Pour ce poste, il est nécessaire d’avoir au minimum une formation Bac+2 technicien d’exploitation ou ingénieur. Une fois l’expérience acquise à l’échelon inférieur, le poste de responsable de datacenter sera accessible.

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Freelance informatique / tech Quotidien de freelance

Pérenniser vos collaborations de freelance IT : nos 3 conseils

Nos recommandations pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

Se lancer comme freelance est pour beaucoup la concrétisation d’un projet longuement mûri. Si ce statut n’assure effectivement pas la sécurité de l’emploi, il existe néanmoins plusieurs méthodes pour pérenniser vos collaborations de freelance et vous assurer une récurrence des missions avec des clients fidélisés et ravis de votre travail. Club Freelance vous propose un tour d’horizon des bonnes pratiques pour entretenir votre portefeuille de clients.

Devenez un freelance informatique indispensable

Pour pérenniser vos collaborations de freelance, il est important de devenir irremplaçable, il suffit juste de s’en tenir à une certaine méthodologie, en plus de réaliser son travail en temps et en heure. Tout d’abord, il est important de respecter vos engagements comme convenus à la signature. Apportez ensuite une valeur ajoutée à votre travail de freelance informatique. Cela signifie que vous pouvez tout à fait injecter un peu de votre touche personnelle pour vous démarquer.
Devenir indispensables signifie aussi que dès l’entretien de début de collaboration, vous veillerez à vous démarquer, sans en faire trop. Votre entretien ne doit pas être un simple échange questions/réponses, mais bien une réelle discussion entre professionnels. Il faut bien avoir à l’esprit que la personne avec laquelle vous travaillerez n’est pas votre employeur. Vous collaborez ensemble, dans un objectif commun. Tout ce qui peut apporter une véritable touche personnalisée et qui n’est pas proposé par tous les autres freelances est à mettre en avant. Cela pourra pousser vos clients à collaborer avec vous sur du long terme.
Enfin, pour devenir indispensables, les compétences de freelance seules ne suffisent pas toujours. Il est en effet primordial de trouver le bon positionnement entre professionnalisme, rigueur et proximité. Vous affirmerez ainsi votre personnalité, montrerez que vous avez du charisme tout en donnant une impression de confiance.

Instaurez une communication saine

pérenniser vos collaborations de freelance

La communication saine entre un freelance et son client est primordial pour assurer une collaboration longue et gagnant-gagnant et ainsi pérenniser vos collaborations de freelance. Alors, comment faire ?

  • Prenez régulièrement des nouvelles, sans bien sûr que ça en devienne harcelant.
  • Montrez votre intérêt pour l’entreprise et ses projets. En règle générale, les freelances qui montrent leur intérêt pour le travail du client ont plus de chance de collaborer sur du long terme.
  • N’hésitez pas à demander des retours sur votre travail et à être force de propositions. Cela est très apprécié.
  • N’ayez pas peur de clarifier certains non-dits ou autres malentendus. Si vous n’osez pas en discuter par peur de perdre votre client, cela risquerait de peser lourd sur votre moral et donc forcément sur la qualité de votre travail.
  • Anticipez votre prochaine mission. Pour cela, vous pouvez poser des questions sur les futurs projets en prévision. Vous montrez par-là votre intérêt et votre motivation.

Gardez contact avec vos clients pour pérenniser vos collaborations de freelance informatique

pérenniser vos collaborations de freelance avec le contact sur les réseaux sociaux

Une fois qu’une mission s’est terminée, et si vous en avez reçu des retours positifs, vous pouvez tout à fait garder contact avec vos clients. Cela passe bien sûr par une présence active sur les différents réseaux sociaux. Il s’agit de plateformes indispensables aujourd’hui pour toute stratégie de fidélisation.
Vous pouvez les inviter à rentrer en contact sur votre profil Linkedin par exemple et suivre leur activité sur Twitter.
Pensez à bien mettre à jour vos différents profils et ajoutez-y des contenus frais issus de votre veille de freelance informatique. Vous pouvez aussi y publier des offres promotionnelles par exemple, comme des réductions. Si vous êtes assez visibles, vos clients se rappelleront forcément de vous et de vos qualités professionnelles de freelance informatique.
Il y a fort à parier qu’ils referont appel à vos services, surtout si vous leur proposez des remises en fonction du volume de travail demandé.

Une fois que vous avez trouvé vos clients, la phase de pérennisation est cruciale. Sur Club Freelance, vous pourrez trouver de nombreuses missions correspondants à vos domaines d’expertise et ainsi débuter votre stratégie de fidélisation, en suivant nos recommandations.

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Fiches métiers Infra

Responsable de parc informatique : Fiche métier

Le responsable de parc informatique s’assure du bon fonctionnement du parc informatique de l’entreprise pour laquelle il travaille. Sa mission principale est donc de veiller à ce que les postes de travail soit opérationnels et disponibles à n’importe quel instant pour ses utilisateurs. Il tient un rôle de superviseur et s’occupe également de la maintenance du matériel.

Le métier de responsable de parc informatique

Nature du travail :

Définition de la vision directrice de l’entreprise en matière de parc informatique
Le responsable de parc informatique a pour première mission de conseiller la direction de l’entreprise dans l’élaboration du plan d’équipement informatique tant au niveau matériel qu’au niveau logiciel. Pour cela, il va analyser les besoins des utilisateurs et définir les règles d’accès à l’information. Ces besoins seront traduits dans un cahier des charges. Avec la direction informatique, il élabore ensuite une politique de maintenance.

Installation et maintenance du parc informatique
Lors de l’installation, il met en place l’architecture du réseau local et établit des connexions aux réseaux externes. Il s’assure que le matériel informatique fonctionne correctement de même que les périphériques et logiciels installés. Une fois qu’il a procédé à cette étape, il garantit la sécurité du matériel et des données sur l’ensemble du réseau. Les potentielles menaces qui pèsent dans ce secteur font de la sécurité informatique un enjeu de plus en plus important. Des procédures de maintenance préventive et curative sont ensuite prises.

Support et assistance aux utilisateurs
Le responsable de parc informatique met à disposition des utilisateurs un support technique afin de collecter et de traiter tout type de problème rencontré. S’il le faut, il intervient directement ou envoie un technicien afin de résoudre le problème survenu. Il organise également des sessions de formations ponctuelles pour les utilisateurs. Enfin, son activité peut s’étendre au pilotage d’un service informatique. C’est-à-dire qu’il peut être amené à encadrer une équipe composée d’administrateurs et de techniciens micro et réseaux.

Compétences requises

Compétences techniques
Il doit posséder de solides connaissances globales en informatique. De plus il doit savoir différencier les différents systèmes d’exploitations ou encore les nombreux éditeurs de logiciels. Il doit donc maîtriser l’architecture système et réseaux. Il doit également bien connaitre l’entreprise et ses différents métiers pour répondre aux besoins de la façon la plus adéquate avec un plan d’équipement informatique adapté. L’anglais doit être également maîtriser car primordial dans l’environnement informatique.

Aptitudes professionnelles
La rapidité et l’autonomie sont essentielles. Le responsable de parc informatique devra parfois lui-même intervenir lors d’un incident. Ainsi, il doit être réactif dans sa capacité à trouver une solution efficace en cas de problème. Par conséquent, la disponibilité est également une qualité requise. Le sens de l’organisation et des priorités doivent aussi faire partie de sa panoplie, de sorte à intervenir de façon pertinente.

Aisance relationnelle et pédagogie
Quotidiennement au contact avec des utilisateurs, ce poste exige d’avoir d’excellentes qualités relationnelles. Il faut être pédagogue pour former les utilisateurs qui ne maitrisent pas le vocabulaire technique informatique pour pouvoir leur expliquer les raisons d’un panne par exemple.

Contexte

Depuis que les nouvelles technologies n’ont cessé de se développer ces 15 dernières années, le poste de responsable de parc informatique a beaucoup évolué. Le niveau de formation et d’expérience pour ce poste s’est parallèlement accru. La fonction support et assistance se doit d’être efficace et réactive. Les interventions sont facilités grâce aux outils de réparations à distance. Le métier nécessite de plus en plus de compétences liées au service client.

Carrières et Salaire

Le poste de responsable de parc informatique est très variable en fonction de la structure dans laquelle il évolue. D’un rôle de poste à forte responsabilités dans les petites entreprises avec une gestion du budget, il peut se situer davantage dans le support aux utilisateurs dans les plus grandes structures.
Une expérience de deux à cinq ans dans le support technique ou la maintenance est nécessaire pour ce type de poste. Le TJM se situe entre 400e et 500e.

Formation Responsable de Parc Informatique

Selon les responsabilités que requiert le poste, il est nécessaire d’avoir au minimum un diplôme de Bac +2/3 issu d’un BTS ou d’une licence pro en informatique. Autrement pour les postes à responsabilités plus élevées, un diplôme de bac +4/5 en informatique issus d’un IUP informatique, d’un master ou encore d’une école d’ingénieurs est demandé.

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Régime fiscal auto-entrepreneur​ & freelance : lequel choisir ?

De nombreux salariés aspirent à s’installer comme consultants indépendants. Régime réel à l’impôt sur le revenu, régime simplifié de la micro-entreprise avec ou sans prélèvement forfaitaire libératoire pour freelances… les régimes fiscaux varient. Optez pour le régime fiscal auto-entrepreneur qui correspond à votre situation.

Régime fiscal auto-entrepreneur : lequel choisir pour votre activité ?

Le monde du travail évolue. Et de plus en plus de personnes troquent leur statut de salarié par celui de travailleur indépendant. En qualité de consultant indépendant, vous exercez une profession libérale relevant en principe de la catégorie des BNC (Bénéfices non commerciaux). Vous devrez alors opter pour le régime fiscal adapté à votre situation. Tour d’horizon des régimes fiscaux, pour bien choisir.

Le régime fiscal dépend du statut choisi

Le métier de consultant n’étant pas réglementé. Il est tout à fait possible de créer une société de types société anonyme. (Société à responsabilité limitée, société par actions simplifiées unipersonnelles ou bien encore entreprise individuelle à responsabilité limitée). Il est également possible de créer une micro-entreprise. Le régime fiscal freelance est en fonction du statut juridique choisi.

Impôt sur le revenu auto-entrepreneur : le régime réel à l’impôt sur le revenu

Il s’agit de l’imposition de base, pour les personnes qui n’ont pas choisi le régime fiscal de la micro-entreprise. Le principe est en effet que tout consultant indépendant soumis à ce régime fiscal déclare le résultat annuel de son entreprise. Ce résultat venant de l’année civile s’inclus dans l’assiette de l’impôt sur le revenu du foyer fiscal. Il peut déduire de son chiffre d’affaires certaines charges déductibles, comme des pensions alimentaires ou l’hébergement d’un ascendant. La TVA s’applique pour les auto-entrepreneurs donc pour les consultants indépendants. Il doit respecter des obligations comptables assez nombreuses. Comme par exemple : la réalisation et la clôture des comptes annuels, la tenue des annexes et d’un livre journal comptable. Les obligations se renforcent si le consultant perçoit plus de 236 000 euros au titre de son chiffre d’affaires annuel.

  • Si vous êtes consultant indépendant et que votre chiffre d’affaires annuel est inférieur à 236 000 euros ; on parlera de réel simplifié
  • Si votre chiffre d’affaires est supérieur à ce seuil ; on parlera de réel normal

Le régime de l’impôt sur les sociétés concernera les consultants indépendants optant pour l’EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée). Ils pourront en effet opter pour ce régime. Il faut cependant savoir que si vous optez pour un régime à l’IS, les bénéfices que vous réalisez seront alors imposés au taux de 15 % sur les 38 120 premiers euros, puis à 33,33 % au-delà de ce montant.

Dans tous les cas, le prélèvement à la source s’applique désormais pour les freelances.


Découvrez notre dossier spécial : Gérer son argent quand on est freelance informatique, pour tout savoir sur les meilleurs moyens de gérer son argent si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.

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Le régime de la micro-entreprise

En tant que consultant indépendant, vous pouvez opter pour le régime simplifié. La condition est que le montant de vos recettes annuelles ne dépasse pas le plafond du régime micro-entreprise. Ce dernier est équivalant à :

Impôt pour micro-entreprise : le principe : calcul forfaitaire des bénéfices imposables

En principe, les bénéfices que déclare le consultant indépendant au régime fiscal de la micro-entreprise se calculent forfaitairement. Un abattement s’applique directement par l’administration fiscale sur le montant des recettes.

Vous devez reporter sur votre déclaration N° 2042 le montant de vos recettes. Aux revenus ainsi déterminés, s’ajoutent les autres revenus du foyer fiscal du consultant indépendant.

L’option : le versement libératoire d’impôt sur le revenu

Sous conditions, il est possible d’opter pour le versement libératoire d’impôt sur le revenu. Dans ce cas, l’impôt se calcule en appliquant un taux fixe sur le total des recettes. Le consultant indépendant paie alors dans le même temps, trimestriellement ou mensuellement, ses charges sociales ainsi que son impôt. Les conditions pour en bénéficier sont les suivantes :

  • Le consultant indépendant doit être un micro-entrepreneur et doit avoir opté pour le micro-social, ce qui signifie qu’il est auto-entrepreneur
  • Le revenu fiscal de référence de l’avant-dernière année doit être inférieur ou égal à un certain seuil par part de quotient familial. Concrètement, si vous désirez opter
    pour le versement libératoire auto-entrepreneur en 2018, votre revenu fiscal de référence en 2016 doit être inférieur ou égal à 27 086 euros pour chaque part de quotient
    familial
    .

Vous l’aurez compris, le régime fiscal auto-entrepreneur dont vous dépendrez en tant que consultant indépendant sera pour beaucoup fonction du statut juridique choisi. A partir de cet élément, vos recettes annuelles seront imposées différemment. Régime réel à l’impôt sur le revenu ; imposition sur les sociétés ; régime de la micro-entreprise avec ou sans prélèvement forfaitaire libératoire… il y a une variété de choix.

Freelances, découvrez également notre article : Les échéances fiscales et sociales des freelances IT dans l’année.


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ERP & SAP Fiches métiers

Consultant ERP : Fiche métier

Le consultant ERP possède un rôle très complet puisque les « Enterprise Resource Plannings » sont des applications informatiques de centralisation, de gestion et de coordination de l’ensemble des activités des entreprises : RH, comptabilité, finance, production… Le consultant va orienter ses clients dans le choix des ERP en analysant ses besoins et en y répondant de la meilleure des manières.


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1. Le métier de Consultant ERP

1.1 Paramétrage de l’application

Dans un premier temps, le consultant ERP étudie les besoins de l’entreprise en fonction de la demande et du budget de celle-ci. Il cherche à guider son client vers la solution la plus adaptée au mode de fonctionnement de son entreprise et à ses futurs utilisateurs. Il procède à la rédaction d’un cahier des charges fonctionnel pour paramétrer l’ERP. Celui-ci s’accompagne par la formation d’un dossier de paramétrage. L’installation du logiciel peut ainsi se faire, une fois que les étapes précédentes ont été mises en place.

1.2. Maintenance

Le consultant ERP est aussi en charge de la maintenance des logiciels ERP et veille à son bon fonctionnement. Pour cela, il effectue la phase de recette qui consiste à développer le projet en s’assurant formellement que le produit est conforme aux spécifications formulées. La recette fonctionnelle valide les fonctionnalités exprimées dans le cahier des charges, la recette technique s’assure que les caractéristiques techniques du produit livré sont bien conformes. Il s’occupe également de la phase de test et des jeux d’essai et intervient quand des problèmes surviennent.

1.3 Formation des utilisateurs

La formation des utilisateurs est aussi une des missions essentielles du consultant ERP. Pour cela, il synthétise les différentes informations pour pouvoir les enseigner aux futurs utilisateurs et à recours à différents moyens pour les former : documents, conférences… Le consultant ERP est donc un excellent communiquant.


Envie d’en savoir plus sur l’ERP ? Découvrez notre dossier spécial : ERP, les avantages et les inconvénients de SAP !


2. Compétences requises

2.1. Compétences techniques

Un consultant ERP se doit d’avoir une compréhension parfaite des progiciels pour pouvoir retranscrire au mieux les besoins de ses clients en solutions adaptées. La polyvalence est de rigueur. Il est nécessaire également d’avoir une bonne connaissance des systèmes d’information. Mais également de maîtriser le secteur d’activité dans lequel l’ERP sera déployé. Savoir parler et écrire anglais est très recommandé.

2.2. Pédagogie et sens de l’écoute

De par son rôle de conseiller et d’intervenant, le consultant doit posséder de véritables compétences relationnelles. De plus il doit posséder des compétences de persuasion pour pouvoir traiter auprès des clients. La diplomatie est un atout essentiel. La formation qu’il délivre auprès des utilisateurs nécessite également des qualités d’orateur et d’être à l’écoute pour pouvoir répondre à leurs questions.

2.3. Esprit de synthèse

Un esprit de synthèse est nécessaire pour l’ensemble des missions à sa tâche. En effet, lors de l’élaboration du cahier des charges et d’une solution personnalisée pour son client, le consultant dispose de nombreuses ressources. Cependant il doit traduire la demande du client de la façon la plus efficace possible. Il doit être également précis lorsqu’il forme les futurs utilisateurs à l’ERP implémenté.


Découvrez également notre fiche métier Consultant SAP ainsi que notre fiche métier développeur informatique Développeur J2EE / .Net.


3. Contexte

Le métier de consultant ERP fait face à une pénurie sur le marché du travail. Ce type de profil est donc très recherché par les entreprises. Il est nécessaire d’avoir une facilité d’adaptation du fait des différents secteurs d’entreprises qu’il côtoie. La variété des missions est grande. Il existe 2 types de profils ERP : ceux tantôt fonctionnels (plutôt axés sur la rédaction du cahier des charges et la relation client) et ceux tantôt techniques (plutôt axés sur le paramétrage).


Vous êtes Consultant ERP à la recherche d’un emploi IT ? N’attendez plus notre plateforme de recrutement Mindquest propose de nombreuses offres de missions ERP pour les freelances informatiques.

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4. Carrières et Salaire

L’insertion professionnelle des consultants ERP est bonne puisqu’ils sont très recherchés. Pour un consultant, son objectif sera de passer d’un profil technique vers un profil plus fonctionnel. La transition se fait environ en 5 ans. Il cherchera par la suite à orienter sa carrière vers les systèmes d’information. Le TJM (Taux Journalier Moyen) évolue beaucoup en fonction de l’expérience et du secteur d’activité de l’entreprise dans laquelle il évolue. Le tjm d’un consultant ERP est situé entre 600 et 800 euros.


Pour en savoir plus découvrez nos articles Comment mettre en place un ERP efficace en 6 étapes et Comment choisir le bon ERP pour votre entreprise !


5. Formation du consultant ERP

Un bac +5 avec une licence en informatique complétée par un master d’un grande école ou par un diplôme universitaire avec une formation Consultant fonctionnel ERP sont nécessaires. Un BTS informatique est aussi une voie possible qui mène vers un profil plus technique. Le consultant ERP est souvent caractérisé par la spécialité progicielle qu’il incarne : SAP, Oracle, SI

6. Téléchargez votre fiche métier Consultant ERP :

Consultant ERP

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Freelance informatique / tech Portage salarial

Les avantages et inconvénients du portage salarial pour le travailleur indépendant

Quels sont les avantages et inconvénients du portage salarial ?

Apparu dans les années 1980, le portage salarial a le vent en poupe. Offrant aux indépendants une réelle sécurité, il permet de pallier à la dichotomie existant entre le statut d’indépendant et celui de salarié. Cependant, à côté des nombreuses qualités que propose le portage salarial, il existe des inconvénients qu’il est important de prendre en compte avant de se lancer. Vous êtes freelance et vous souhaitez en connaitre les avantages et inconvénients du le portage salarial ? Club Freelance vous éclaire.*

QU’EST-CE QUE LE PORTAGE SALARIAL ?

Il s’agit d’une organisation du travail au travers de laquelle se tisse un lien tripartite. Le professionnel autonome – autrement appelé « le porté » – confie à une société de portage la gestion administrative et la facture de ses missions, effectuées auprès d’un client, ou entreprise utilisatrice.
Le salarié indépendant et la société de portage signent un contrat de travail – parfois nommé « convention d’adhésion ». En échange de cela, le porté s’acquitte des cotisations sociales et rend des comptes sur son activité. Quels sont les avantages et inconvénients du portage salarial ?

LES AVANTAGES DU PORTAGE SALARIAL

Pour le porteur de projet, le portage salarial est souvent une aubaine. Il lui permet en effet de bénéficier d’une assurance chômage, d’une protection sociale complète mais aussi d’une liberté d’organisation digne d’un indépendant, sans oublier un parcours de formation et un choix des missions.

Un filet de sécurité

Le consultant en portage salarial bénéficie d’un statut hybride. Il profite d’avantages sociaux normalement réservés aux seuls salariés. Le portage salarial est en ce sens un véritable filet de sécurité pour la personne qui désire se lancer.

Le salarié porté jouit ainsi :

  • de l’assurance chômage
  • de congés payés
  • des cotisations retraite
  • de la mutuelle d’entreprise
  • d’une prévoyance permettant de prévenir les risques en lien avec ses déplacements professionnels
  • de cotisations retraite
  • d’une assurance responsabilité civile professionnelle.

Une liberté et un réseau étendu

avantages et les inconvénients du le portage salarial

En plus de ce filet de sécurité, le consultant en portage salarial bénéficie des avantages de l’indépendant tout en bénéficiant d’un réseau de consultants. A savoir, une liberté d’agenda, un choix total des missions et la liberté de fixer ses honoraires librement. Mais aussi des offres de missions et des formations. Il peut ainsi exprimer comme il le souhaite ses aspirations entrepreneuriales et développer plus facilement son réseau. En qualité de travailleur autonome et responsable, le consultant en portage salarial peut tout à fait travailler du lieu qu’il souhaite, ce qui constitue un avantage non négligeable.

Une simplicité administrative

Un troisième avantage est que vous réduisez les risques liés à votre activité. Vous n’avez pas besoin de créer votre structure juridique pour exercer à votre propre compte. En effet, il est prévu qu’à la signature de votre première mission vous débutiez votre activité indépendante.
Il s’agit également d’un avantage puisque si l’activité connaît des difficultés qui débouchent sur une cessation nette, le salarié porté doit tout simplement mettre un terme à sa relation professionnelle avec la société de portage. Les démarches sont donc grandement facilitées.

Enfin, le salarié porté reçoit un salaire tous les mois, versé par la société de portage salarial. Le porté salarial n’a donc pas à tenir une gestion administrative complexe. C’est la société qui se charge de la grande majorité des démarches, et notamment de la gestion des factures et de la déclaration des charges en lien avec l’activité. Il s’agit donc d’un gain de temps précieux, réinvesti dans un projet personnel, dans une formation ou tout simplement dans la réalisation des missions.
Alors, le porté salarial n’est-il finalement tenu d’aucune démarche ? Pas vraiment. La seule qui lui incombe est la déclaration de ses frais professionnels et du nombre d’heures travaillées. Ces informations doivent être retranscrites dans un compte rendu mensuel d’activité. Avantages et inconvénients du portage salarial : maintenant que vous connaissez les points positifs, découvrons les points d’attention à connaitre.

LES INCONVENIENTS DU PORTAGE SALARIAL

Alors le portage salarial est-il finalement idyllique ? Non. Bien que la loi du 25 juin 2008 sur la modernisation du marché du travail ait permis de sécuriser en partie le portage salarial, il demeure néanmoins quelques zones d’ombre. Il présente ainsi quelques inconvénients et contraintes que nous allons analyser maintenant.

Un flou sur la nature du contrat

Dans un premier temps, la question de savoir quelle est la nature du contrat liant la société de portage et le porté n’a toujours pas trouvé de réponse nette et tranchée. En ce sens, le portage salarial est toujours en attente d’aménagements légaux.

Des frais de gestion

Dans un second temps, si le salarié qui est porté bénéficie d’avantages sociaux et d’un réseau important, cela n’est pas sans nécessiter une contrepartie financière. Il doit en effet débourser des frais de gestion qui sont directement ponctionnés sur son chiffre d’affaires et qui s’élèvent à environ 10 %. Cette somme peut s’avérer conséquente.

Des contraintes de tarifs

Dans un troisième temps, la société de portage salarial a un droit de regard sur les tarifs pratiqués par ses salariés portés. Ainsi, la réglementation du portage salarial fixe le tarif journalier négocié à un minimum de 300 euros. Cela peut être assez restrictif pour l’entrepreneur qui souhaite se lancer et tester son activité.

Le statut de la micro entreprise : une concurrente de taille

Dans un quatrième et dernier temps, le portage salarial est fortement concurrencé par le statut de la micro entreprise, telle qu’elle a été repensée ces derniers temps. En effet, en plus de proposer une gestion très simplifiée, la micro entreprise permet de créer sa propre identité et d’évoluer vers d’autres formes juridiques si le projet se développe très bien – par exemple la SASU, ou société par actions simplifiées unipersonnelles. En plus, les cotisations sociales de la micro entreprise sont plus faibles que celles du salarié porté.
Le portage salarial apparaît comme une solution pour les travailleurs non-salariés qui désirent bénéficier de certaines garanties (assurance chômage et protection sociale entre autres) tout en restant indépendants. La contrepartie est le paiement de frais de gestion conséquents. De plus en plus d’indépendants se tournent ainsi vers le régime de la micro-entreprise.

Votre choix est fait ? Il ne vous reste plus qu’à trouver votre première mission!
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Lire également : Freelance au quotidien : Les 3 avantages d’un projet personnel

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Fiches métiers Project Management

Consultant MOA : Fiche métier

Le consultant maîtrise d’ouvrage a un rôle clé au sein d’un projet informatique puisque sa fonction est de faire le lien entre les équipes métier et la maitrise d’œuvre en charge de la réalisation technique du projet. Il intervient aussi bien en amont que pendant la mise en œuvre de celui-ci et veille au respect de son bon déroulement.

Le métier de consultant MOA

 

Nature du travail 

Analyse des besoins des utilisateurs en amont
Dans un premier temps, le consultant MOA sera chargé de recueillir et d’analyser les besoins des équipes métiers pour de nouveaux projets. Il veillera à ce que les demandes soient cohérentes et priorisera les projets. Il élaborera ensuite les différents coûts engendrés par les projets. Des dossiers seront établis détaillant les projets et présentés devant les comités de projets. Enfin, il pourra se charger de rédiger le cahier des charges.

Mise en œuvre du projet
Le consultant MOA veille à la cohérence du projet entre les différents experts en analysant la faisabilité technique de celui-ci. L’animation de réunions avec les équipes métiers lui permet de mieux gérer les différents impacts organisationnels. Il se charge d’élaborer le planning du projet et de piloter son interface avec la MOE. Il peut donc suivre l’avancement de celui-ci et rectifier les éventuels problèmes qui surviendront. Son rôle de coordinateur est essentiel à sa bonne réalisation et à son bon suivi. Il veille ainsi au respect de la qualité, du coût et des délais.

Mise en place de la conduite du changement
Une fois les nouveaux applicatifs mis en place auprès des utilisateurs, il assure le support fonctionnel de ces derniers. Dans un second temps, son rôle sera plus axé sur l’humain avec des transferts de compétences au sein des équipes à réaliser et un rôle de formateur lui sera attribué. Il terminera par établir le reporting du projet auprès du directeur de la MOA.

Compétences requises

Compétences techniques indispensables
Du fait de son rôle central dans un projet, le consultant MOA se doit d’avoir des connaissances générales en informatiques. Savoir utiliser les progiciels ERP, logiciels CRM ou en outils de BI sont des atouts supplémentaires. Il maitrise la méthodologie et le domaine fonctionnel dans lequel il évolue, il est parfaitement renseigné sur les différentes activités de l’entreprise et les fonctions des différents collaborateurs.

Organisation, sens des priorités et rigueur
Etre consultant MOA implique de posséder des compétences en gestion de projet : rédaction du cahier des charges, respect des délais, des coûts, de la qualité délivrée du projet. C’est le consultant qui va organiser et établir la cartographie des processus mis en place. Il est nécessaire de savoir maitriser les outils bureautiques et de PMO par conséquent. Ces compétences managériales sont aussi prépondérantes à échelle humaine.

Capacités relationnelles
En effet, un consultant AMOA possède des qualités relationnelles car il collabore avec une multitudes d’acteurs différents prenant part au projet. C’est lui qui dirige les réunions, tel un vrai chef d’orchestre. Cela signifie qu’il sera amener à gérer aussi des intérêts divergents entre ceux techniques, ceux des métiers et ceux financiers. Il doit faire preuve de diplomatie. Sa capacité à vulgariser des sujets techniques complexes est donc essentielle.

Contexte du métier de Consultant MOA

En fonction du secteur d’activité ou de la taille de l’entreprise dans laquelle il évolue, le consultant AMOA, les compétences demandées évolueront entre la mobilisation de compétences plutôt technique, de la gestion de projet voire de la stratégie des métiers.

Carrières et Salaire

L’insertion professionnelle des consultants MOA est bonne car ce poste est généralement proposé aux jeunes diplômés. Ainsi, par la suite les consultants MOA confirmés (après 5 années d’expérience) se verront proposés des fonctions de chef de projet, directeur de projets ou responsables MOA. Le TJM (Taux Journalier Moyen) d’un consultant MOA évolue beaucoup en fonction de son expérience et du secteur d’activité de l’entreprise dans laquelle il évolue. Il est situé entre 450 et 600 euros.

Formation du consultant MOA

Un bac +5 de formation universitaire avec un master 2 en gestion ou en management de projet, un diplômes d’école supérieure de commerce ou d’ingénieurs ou encore un IEP sont nécessaire pour devenir consultant MOA. La double compétence étant appréciée en entreprise, une expérience professionnelle dans les technologies des systèmes d’informations pour compléter la formation est recommandée.

Découvrez également notre fiche métier : Chef de Projet MOE

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