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Comment financer ses urgences & imprévus quand on est freelance ?

Quitter le salariat pour devenir freelance, cela a de nombreux avantages même si c’est susceptible de vous mettre en danger financièrement. Ainsi, il est nécessaire, quand on est travailleur indépendant, de se mettre à l’abri du manque afin de ne pas se retrouver en difficulté. Comment financer ses urgences ou imprévus quand on est freelance ? La réponse dans cet article.

Tournez-vous vers l’épargne de précaution et ne dépensez pas tout ce que vous gagnez

Un déplacement imprévu, une panne de voiture, un problème informatique ou une fuite d’eau, ce sont des situations qui occasionnent des dépenses nuisibles au portefeuille si on ne les anticipe pas. C’est pareil lorsque vous subissez un accident de circulation. Dans le cas où l’imprévu ne vous permettrait pas de travailler, cela devient plus difficile encore puisque vous restez sans vous faire de l’argent pendant un moment. C’est pour cela qu’il vous faut vous tourner vers l’épargne de précaution. Vous vous ferez ainsi le devoir de mettre l’argent de côté.

Pour financer ses urgences quand on est freelance, il est conseillé d’épargner le nécessaire pour tenir entre 3 et 6 mois, si vous ne souhaitez pas vous mettre à la quête d’un prêt adapté aux freelances. Dans le cas où vous dépenseriez 2500 euros par mois en moyenne, on peut estimer qu’une réserve de 10 000 euros va être un airbag assez raisonnable. Gardez-vous de placer cette épargne à des taux hors normes. Il est vrai que la rentabilité est un critère. Cependant, le plus important, c’est que l’argent soit disponible et que vous puissiez le retirer aisément quand vous en aurez besoin.

Il ne vous est pas nécessaire de gagner des millions avant d’avoir des économies. Il faut que vous dépensiez tout simplement moins que ce que vous gagnez. Peu importe ce que vous percevez comme salaire, tâchez d’épargner au minimum 10 % de chacune de vos rentrées d’argent. Bien sûr en cas de manque, vous pouvez faire à appel à des plateformes de microcrédit en ligne telle que la startup Finfrog pour faire votre demande. Tous savent que c’est excitant de recevoir une somme importante sur son compte. Toutefois, si cela peut être stimulant sur le moment, il faut penser à épargner pour assurer sa vie future.

Séparez vos comptes professionnels de ceux personnels et investissez votre argent

Cela était un impératif pour les micro-entrepreneurs de séparer leurs comptes professionnels de leurs comptes personnels, avant que l’État ne fasse marche arrière pour rendre le compte pro optionnel. S’il est recommandé que vous gardiez vos comptes professionnels et personnels séparés, c’est parce que cela vous donne, dans un premier temps, bien plus de facilité à tenir votre comptabilité. Vous n’aurez pas besoin de chercher, de façon permanente, à séparer vos dépenses personnelles de celles professionnelles. Cela simplifiera des deux côtés la tenue de vos comptes.

En cas d’imprévu, vous pourrez donc retirer très aisément de l’argent afin de chercher une solution au problème que vous avez.

Il existe de nombreuses pistes qui s’offrent aujourd’hui à vous si vous souhaitez faire un investissement. Vous pouvez investir votre argent dans l’immobilier, les cryptomonnaies, le luxe, l’art ou les actions. S’il en existe pour tous les goûts, certaines techniques s’avèrent plus simples que d’autres. À vous de trouver, parmi ces différentes pistes d’investissement, la bonne option afin que cela vous génère des profits assez intéressants. De ce fait, il ne vous sera pas pénible du tout de faire face aux imprévus et de financer vos urgences en freelance.

Ayez une source de revenus passifs et prenez l’habitude de donner des formations

Pour ne pas vous retrouver à court d’argent pendant que vous avez des urgences ou imprévus auxquels faire face, il est nécessaire que vous mettiez en place un certain nombre de stratégies qui offrent la possibilité de tirer profit des différents actifs que vous aurez développé. Cela vous permettra d’avoir des revenus réguliers contre lesquels vous pourrez vous adosser même si vous ne travaillez pas.

Vous conviendrez que dans une situation comme celle-là, il ne sera nullement difficile pour vous de faire face à des imprévus ou urgences.

Un freelance se trouve être un expert indépendant. S’il lui est possible de monétiser cette expertise par des prestations, il peut également le faire en dispensant des formations professionnelles ou académiques. Celles-ci sont à donner par le biais d’un organisme de formation, d’une école ou d’une université.

Lorsque vous devenez formateur, vous gagnez plus d’argent et vous n’aurez plus la moindre difficulté à subvenir à vos besoins. Vous serez ainsi en mesure d’affronter vos éventuels imprévus et urgences.

Mettez-vous à l’abri du manque d’argent en prospectant pour une diversification de votre clientèle

Procéder à la diversification de son portefeuille de clients, c’est une grosse nécessité pour un freelance. En réalité, vous êtes confronté à un énorme risque lorsque vous n’avez qu’un seul client, et cela vous met dans une situation extrêmement délicate. Au cas où votre unique client vous lâcherait du jour au lendemain, votre aventure sera contrainte à connaître son épilogue. Et si c’est dans une situation comme celle-là que vous vous trouvez lorsque surgit l’urgence ou l’imprévu, il est clair que vous n’aurez pas le nécessaire pour assurer le financement.

Même lorsque vous avez une multitude de clients dans vos périodes d’intense activité, trouvez des créneaux dédicacés à votre prospection commerciale. Vous pourrez, de ce fait, vous assurer que vous avez de nombreuses sources de revenus en perspective.

Éloignez l’impécuniosité en fidélisant vos clients du moment au moyen d’offres à long terme

Si vous voulez être certain de ne pas vous retrouver dans le manque, attelez-vous à proposer des offres à long terme qui vous donneront la possibilité de vous garantir un revenu récurrent. Privilégiez, pour cela, les contrats d’abonnements mensuels. Misez notamment sur l’upselling. Ce dernier consiste à proposer au client une offre avec une montée en gamme. Essayez de faire profiter à votre client, au fil du temps, d’un livrable plus garni que ce qui avait été prévu. Évertuez-vous à jouer sur le cross-selling. Cela consiste à anticiper les besoins du client en commercialisant des services associés.

Il est assez évident que dans une posture comme celle-là, vous n’aurez pas des difficultés à faire face à des imprévus et à financer des urgences, tout en étant freelance.

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Fiscalité, impôts & retraite Freelance informatique / tech

Les obligations comptables et fiscales d’un freelance IT

Comme pour toute activité, se lancer comme freelance informatique implique le respect de certaines obligations fiscales et comptables. Ces obligations vont varier selon le statut sous lequel vous décidez de vous immatriculer pour vous lancer comme freelance dans l’IT. En effet, si vous optez pour la création d’une société commerciale, sachez que les obligations qui vous incombent sont plus lourdes que si vous choisissez de vous déclarer sous le statut de micro-entrepreneur. N’hésitez pas à vous construire un calendrier d’échéances. Ceci afin d’avoir la main sur les déclarations et obligations annuelles qui vous incombent. Pour tout savoir sur les obligations comptables et fiscales d’un freelance IT, lisez notre article ci-dessous !

Les obligations fiscales et comptables d’un freelance qui se lance en son nom propre

Quelles sont les obligations comptables et fiscales d’un freelance qui se lance en son nom propre ? Vous pouvez vous lancer dans votre activité en votre nom propre. Soit en tant que micro-entrepreneur ou en entreprise individuelle. Dans les deux cas, vous bénéficiez d’un régime fiscal et comptable plus souple qu’en société.

👉 Le micro-entrepreneur

Si vous souhaitez devenir auto-entrepreneur, sachez qu’il s’agit du régime le plus simplifié. En effet, il ne revêt d’aucune obligation comptable si ce n’est celle de tenir une comptabilité régulière sous la forme d’un livre de recettes. Cette comptabilité peut être contrôlée, mais n’a pas à être déclarée.

Bon à savoir : vous n’avez pas l’obligation d’ouvrir de compte bancaire professionnel. Néanmoins, il est obligatoire de détenir un compte bancaire spécifique à votre activité professionnelle.

En tant que micro entrepreneur la liasse fiscale que vous devez fournir à l’administration est extrêmement simplifiée. Cela signifie que vous avez deux déclarations à fournir, elles sont d’ordre fiscal et social :

  • Vos déclarations d’impôt sur le revenu : vous devez déclarer votre chiffre d’affaires sur votre déclaration personnelle d’impôt sur le revenu, et ce, dans la case BNC (bénéfices non-commerciaux). En raison de votre activité de prestation informatique, vous jouissez d’un abattement fiscal sur 66% de votre chiffre d’affaires. Les déclarations d’impôt sur le revenu se font en mai de chaque année.
  • Vos déclarations de cotisations sociales : vous devez déclarer sur votre compte auto-entrepreneur de l’URSSAF votre chiffre d’affaires. En fonction de votre choix, la déclaration de chiffre d’affaires se fait chaque mois ou chaque trimestre.

En principe, le micro-entrepreneur ne suit pas le régime de la TVA, il bénéficie d’un régime d’exonération de TVA. Cela signifie qu’il ne peut ni facturer de TVA à ses clients ni récupérer la TVA sur ses achats. Dans ce cas, vous n’avez pas à déclarer la TVA.

Lorsque votre chiffre d’affaires dépasse le seuil annuel de 34.400 €, vous devez commencer à déclarer votre TVA et à la facturer sur vos prestations. Vous avez la possibilité d’opter pour une déclaration mensuelle ou trimestrielle. Votre régime n’est pas définitif, ce qui implique que vous avez la possibilité de demander au service des impôts de le changer pour l’année suivante.

👉 L’entreprise individuelle

Le régime de l’entreprise individuelle est similaire à celui de la micro-entreprise ! Vos obligations restent les mêmes :

  • Déclaration d’impôt : l’entreprise individuelle est également imposée à l’impôt sur le revenu. Cette déclaration se fait en mai de chaque année. Néanmoins, vous ne bénéficiez d’aucun abattement fiscal. Concernant la TVA, vous êtes soumis par principe la TVA et le régime de franchise en base est une option à laquelle vous êtes éligible tant que votre chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas 34.400 €.
  • Déclaration sociale : elle est calculée sur l’ensemble des bénéfices de l’entreprise individuelle, y compris les rémunérations perçues.

Concernant la comptabilité de l’entreprise individuelle, vous devez tenir une comptabilité de trésorerie, et vous n’avez pas à la déposer auprès du greffe.

Si vous optez pour la création d’un patrimoine d’affectation, on parle de la création d’une EIRL. Dans ce cas, les obligations changent et vous avez la possibilité, sous certaines conditions, d’opter pour l’impôt sur les sociétés. Si vous optez pour l’impôt sur les sociétés, vous devrez déclarer vos bénéfices directement sur le site des impôts une fois par an, en mai. En EIRL, la tenue d’une comptabilité est obligatoire.


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Les obligations et échéances d’un freelance qui se lance en société

Quelles sont les obligations comptables et fiscales d’un freelance qui se lance en société ? Lorsque vous créez une société en freelance (SASU ou EURL), vous créez une personne morale, ce qui entraîne des obligations et des échéances plus strictes.

👉 Les obligations comptables d’une société

Vous avez l’obligation de tenir une comptabilité précise et régulière, en produisant un bilan et un compte de résultat reflétant la réalité économique de l’activité de l’entreprise.

Tous les ans, vous devez déposer les comptes de votre société auprès du greffe. Il est possible d’effectuer toutes ses démarches en ligne.

Vous devez respecter un délai de maximum 7 mois après la clôture de l’exercice écoulé pour procéder au dépôt des comptes de votre structure.

👉 Les obligations fiscales d’une société

La liasse fiscale

Les sociétés ont des obligations plus strictes en termes de fiscalité. Vous devez transmettre annuellement, à la fin de votre exercice, une liasse fiscale. Lorsque votre exercice comptable se clôture en décembre, vous avez jusqu’au mois de mai pour la déposer. Néanmoins, si votre exercice comptable ne coïncide pas avec l’année civile, vous disposez d’un délai de 3 mois après la clôture comptable pour la déposer.

Il s’agit de l’ensemble des documents comptables et fiscaux qui vont permettre à l’administration de calculer le montant du résultat imposable de votre entreprise.

Vous devez transmettre votre liasse fiscale au service des impôts des entreprises (SIE) dont vous dépendez, toutefois il ne s’agit pas du même formulaire selon le régime fiscal de votre société :

  • si votre société est soumise à l’impôt sur les sociétés vous devez remplir le formulaire n°2065-SD ;
  • si votre société est soumise à l’impôt sur le revenu vous devez remplir le formulaire n°2072-S.

L’impôt sur les bénéfices

En fonction de la forme juridique créée, vous avez la possibilité, sous certaines conditions, de choisir entre l’impôt sur les sociétés (IS) ou l’impôt sur le revenu (IR).

  • Impôt sur les sociétés : c’est la société elle-même qui est imposable sur les bénéfices qu’elle réalise chaque année. Il s’agit d’une déclaration annuelle dématérialisée sur le site des impôts. Vos délais divergent selon la date de la clôture de vos comptes. En cas d’option pour l’IS, les associés ne sont imposables personnellement que s’ils perçoivent une rémunération.
  • Impôt sur le revenu : la société n’est redevable d’aucun impôt sur les bénéfices. Ce sont les associés qui sont imposables, en leur nom personnel, à hauteur du capital qu’ils détiennent. En ce sens, les associés doivent déclarer les bénéfices de la société directement sur la déclaration d’impôt de leur foyer fiscal. L’échéance de déclaration dépend de votre département (de mai à juin).

Vous pouvez retrouver tous les cerfa de déclaration directement sur le site des impôts et du service public ainsi que les démarches à effectuer.

👉 La déclaration de TVA

Sauf exonération de TVA (régime de la franchise en base de TVA), votre société est soumise en principe à la taxe sur la valeur ajoutée. À ce titre, deux régimes de TVA différents s’offrent à vous :

  • le régime réel normal de TVA : il s’agit d’un régime de déclaration mensuelle ;
  • le régime réel simplifié de TVA : il s’agit cette fois d’un régime de déclaration trimestrielle.

Votre régime n’est pas définitif, ce qui implique que vous avez la possibilité de demander au service des impôts de le changer pour l’année suivante.

Les déclarations s’effectuent directement sur le site des impôts :

  • Déclaration trimestrielle : vous devez procéder au paiement de 2 acomptes durant l’année (un en juillet et le suivant en décembre). Vous devez également transmettre en parallèle de votre déclaration d’impôt sur le revenu une déclaration CA12. Vous devrez renseigner toutes les opérations imposables de l’année civile antérieure.
  • Déclaration mensuelle : cette fois-ci il s’agit de la déclaration C3A que vous devez télétransmettre tous les mois sur le site des impôts.

En tant que freelance, il est important de respecter les obligations comptables et fiscales sous peine de sanction pécuniaire.


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Communiqués de presse On parle de nous

Club Freelance-Mindquest s’ouvre au portage salarial

COMMUNIQUE DE PRESSE

Cet article a initialement été publié sur le site Le Monde Informatique.


La plateforme de placement Freelance-Mindquest intègre le portage salarial à son offre de services dédiée aux consultants indépendants du secteur informatique. En tant que spécialistes du domaine, Portify, Coalise et Axessio viendront renforcer l’accompagnement et la protection des freelances informatiques appartenant à sa communauté.

Le portage salarial est une forme d’emploi qui permet de développer une activité professionnelle indépendante tout en conservant la couverture sociale d’un salarié classique. Il se fonde sur une relation tripartite entre une société de portage, le salarié porté et l’entreprise cliente. Spécialisé dans le placement d’informaticiens indépendants, Club Freelance-Mindquest a décidé d’ajouter un service de portage salarial a son offre. Afin d’accompagner les freelances informatiques dans la gestion courante de leurs missions, la plateforme a noué des partenariats avec Portify, Coalise et Axessio, trois acteurs expérimentés du domaine. D’un côté, la collaboration de la marketplace avec Portify, un acteur du portage salarial spécialisé dans les nouvelles technologies, apporte une connaissance du marché informatique et un accompagnement personnalisé aux professionnels IT indépendants.

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Développer sa carrière : CDI & freelance Freelance informatique / tech Nos actualités On parle de nous

L’Europe, terre d’opportunités pour les indépendants français – Tribune

Porté par la crise sanitaire et l’envie de redonner du sens à sa carrière, le statut de freelance séduit de plus en plus d’actifs. Certains Français n’hésitent pas à s’expatrier pour profiter de conditions de vie plus agréables ou pour s’ouvrir de nouveaux horizons. (Par Caroline Gerbelot, directrice de Mindquest Iberica).

Cet article a initialement été publié sur le site LesEchos.


Depuis 2009, le nombre de freelances a bondi de 40 % en Espagne et de 92 % dans l’Hexagone (source : Eurostat). Ce statut attractif est tout particulièrement préempté par les talents de la Tech, qui y voient l’opportunité de choisir les missions les plus intéressantes et d’en changer régulièrement.

Télétravailler, c’est la promesse d’un meilleur équilibre vie professionnelle/vie privée, mais aussi la possibilité de vivre où l’on veut. Un mode d’exercice qui s’est largement répandu depuis la crise sanitaire, hier par contrainte, aujourd’hui par choix. La crainte de ressources éloignées des bureaux et donc moins impliquées s’est largement atténuée. Les entreprises ont adopté cette nouvelle organisation dont profitent pleinement les freelances. C’est d’autant plus vrai dans le secteur de la Tech, où la guerre des talents fait rage. De plus en plus de freelances français sautent ainsi le pas de l’expatriation, afin de découvrir d’autres environnements tout en continuant à collaborer avec des sociétés françaises. Cette mobilité fait d’ailleurs partie des critères qui poussent les talents de la Tech à choisir ce statut et représente une aubaine pour les entreprises qui peuvent élargir leurs champs de recherche.

Un espace européen « freelance compatible »

Cet essaimage des freelances aux quatre coins de l’Europe nécessite toutefois pour chaque partie prenante de bien s’informer des législations nationales en vigueur. Leur chance est qu’au sein de l’espace Schengen, tout est fait pour faciliter l’installation à l’étranger et le recours à des compétences basées hors de France. En effet, le contrat de prestation de service est valable partout en Europe et profite d’une harmonie fiscale autour des règles de TVA, ainsi qu’en matière de protection des données personnelles, avec le RGPD. En cas de conflit juridique, là encore des règlements européens existent, qui permettent à chaque partie de défendre efficacement ses droits. Toutefois, pour une entreprise française qui missionnerait une compétence ailleurs qu’en Europe, il est préférable d’indiquer dans le contrat…

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