L’Intelligence Artificielle (IA) est un sujet qui vous intéresse ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles d’actualité sur l’Intelligence Artificielle pour vous aider dans votre veille stratégique !
Actualité intelligence Artificielle : l’IA émerge enfin dans les projets des entreprises françaises
Menée auprès de 144 responsables informatiques, la nouvelle étude menée par Axians France et HPE cherche à évaluer la maturité des entreprises françaises face à l’IA. Découvrez l’importance de ce sujet au sein des organisations françaises mais également le niveau de maturité des DSI à ce sujet.
Multicloud, SD-WAN, IA… : 5 tendances réseau pour 2021
Dans cet article les 5 tendances mises en exergue par le nouveau rapport international réalisé par Cisco. Découvrez pourquoi les entreprises ont tout intérêt à adopter « une stratégie réseau qui favorise la résilience » et à « prioriser les capacités les plus nécessaires » pour sortir par le haut de la crise économique et sanitaire (Covid-19).
Artificial Intelligence Is Now Smart Enough to Know When It Can’t Be Trusted
How might The Terminator have played out if Skynet had decided it probably wasn’t responsible enough to hold the keys to the entire US nuclear arsenal? As it turns out, scientists may just have saved us from such a future AI-led apocalypse, by creating neural networks that know when they’re untrustworthy.
Se former quand on est freelance est primordial pour monter en compétences. Nous vous l’expliquions dans notre précédent article, en tant que freelance IT, vous avez des droits à la formation. Pour être plus précis, vous dépendez d’un Fonds d’Assurance de Formation : le FIFPL ou l’AGEFICE, ce qui vous donne accès à des dispositifs spécifiques de financement de la formation des freelances pour monter en compétences
De nouvelles mesures mises en place par l’AGEFICE
Nous souhaitions aujourd’hui vous faire part d’une actualité importante sur le sujet.
En effet,pour faire face au nouveau confinement et aux restrictions qui en découlent, l’AGEFICE a mis en place des mesures exceptionnelles de financement de la formation des freelances.
Les plafonds de prise en charge ont été réévalués pour les formations débouchant sur une qualification officiellement reconnue, une formation de langues, les formations obligatoires (légalement imposées), métiers ou transversales.
Le plafond financier est ainsi fixé à 3 500€ nets de taxe par année civile et par cotisant !
En temps habituels, les montants pris en charge sont de 1400€ pour les formations obligatoires légalement imposées, les formations métiers ou transversales. Et 2450€ pour les formations débouchant sur une qualification officiellement reconnue ou de langues. C’est ce dernier plafond qui est revu à la hausse.
Vous l’avez compris : c’est le moment ou jamais de mobiliser vos droits et de vous former !
Ces mesures sont mises en place pour toute action de formation suivie à partir du 1er novembre. Elles sont applicables pour toute demande de prise en charge déposée avant le 31 décembre 2020, pour une formation se terminant, au plus tard, le 31 mars 2021.
Nous ne vous le répéterons jamais assez mais vous devez mobiliser vos droits à la formation avant le 31 décembre. Sinon, vos droits acquis pour l’année civile en cours seront perdus et vous aurez cotisé pour rien.
Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.
Financement de la formation des freelances : comment savoir si vous dépendez de l’AGEFICE et comment bénéficier de ces droits à la formation ?
L’AGEFICE est le Fonds d’Assurance Formation (FAF) du Commerce, de l’Industrie et des Services. Pour savoir si vous dépendez de l’AGEFICE ou bien du FIFPL, l’autre Fonds d’Assurance de Formation, et si donc vous êtes concerné par cette augmentation significative du plafond de prise en charge, vous devez vérifier votre code NAF / APE ou l’intitulé de votre branche d’activité.
Sachez ensuite que les modalités sont différentes et spécifiques pour chaque dispositif de formation. Il faut le reconnaître : il n’est pas facile de s’y retrouver.
Mais vous pouvez vous faire accompagner par des spécialistes comme Avantages Formations. Ils peuvent vous informer et vous conseiller sur tous les dispositifs de formation. Mais aussi vous aider dans la constitution de la demande de prise en charge. Et vous proposer ainsi des formations éligibles.
Vous pouvez prendre contact avec eux en cliquant ci-dessous, et bénéficier d’une consultation gratuite par téléphone. Aucun piège : c’est totalement gratuit et sans engagement. Et à la clef, l’opportunité de mobiliser enfin vos droits à la formation et de vous former sans avoir à engager de fonds.
Ne l’oubliez pas : votre montée en compétences est clef dans le développement de votre activité de freelance IT. Ainsi que dans votre réussite. Formez-vous !
Article rédigé avec notre partenaire Avantages Formations
Besoin de conseils pour lancer ou développer votre activité de consultant indépendant dans la tech ou l’IT ? Besoin de commencer une nouvelle mission en CDI ou freelance ? Rejoignez Mindquest et faites-vous accompagner par notre équipe d’experts.
News cybersécurité : les DSI du Cigref alertent le gouvernement
Le Cigref est une association de grandes entreprises et administrations publiques françaises. Elle a pour mission de développer leur capacité à intégrer et maîtriser le numérique. Dernièrement, l’organisation a décidée d’exhorter le Premier ministre et son gouvernement à alimenter une réponse ferme des États contre la cybercriminalité mondiale.
Le rapport annuel de Wipro sur l’état de la cybersécurité révèle une adoption croissante de l’IA en matière de cybersécurité
Wipro Limited a récemment publié son Rapport annuel sur l’état de la cybersécurité (State of Cybersecurity Report, SOCR). Il présente l’évolution des perspectives de la cybersécurité au niveau mondial. Un rapport aux renseignements inédits. Tels que le projet d’extension de leurs capacités cognitives et IT en cybersécurité par plus de la moitié des organisations (49 %) ; ou le changement de paradigme en direction de la cyber-résilience, dans un contexte d’augmentation du travail à distance à travers le monde.
News cybersécurité : pourquoi l’avènement de la 5G fait entrer le hacking éthique dans un âge d’or
De plus en plus d’entreprises s’offrent les services de « pirates amicaux ». L’objectif est de mesurer les points faibles de leurs systèmes et ainsi contrer les éventuels cyberattaques. Ces experts en piratage numérique vont du rang d’amateur occasionnel à celui de star aux revenus cumulés dépassant le million d’euros. Leur mission se généralise rapidement avec l’avènement annoncé de « l’Internet des objets ». Sortant le secteur de son statut de niche, selon des experts.
L’effet des confinements sur la cybersécurité des entreprises en trois graphiques
Les deux confinements successifs ont poussé les entreprises à dématérialiser une partie de leurs activités. Elles ont ainsi revu leur stratégie en matière de cybersécurité.
Garant du bon fonctionnement et de la qualité des réseaux d’une organisation (téléphonie mobile, fibre optique, internet…), l’Ingénieur Réseaux/Télécom a pour objectif de définir les besoins et l’architecture des réseaux de télécommunication dont il est en charge.
Découvrez dans cette fiche métier, les missions, les compétences ou encore le salaire en CDI et le tjm de freelance de celui qu’on appelle également Administrateur Réseaux, Ingénieur Réseaux & Sécurité, ou encore Responsable du Système d’Information Télécoms (SIT).
Ingénieur Réseaux/Télécom : le métier
Quelles sont ses missions ?
Gestion de projet et mise en place du réseau
L’Ingénieur Réseaux/Télécom commence son travail en identifiant et analysant les besoins en réseaux de l’organisation avant d’entamer la supervision de l’installation et le paramétrage des équipements et logiciels. Cette première étape de son travail se fait nécessairement à la suite d’une étude de choix techniques et d’optimisation des coûts, notamment de la téléphonie (VoIP, visioconférence, etc.). Ensuite, commence la mise en place des interconnexions entre les différents réseaux de l’entreprise tout en prenant en compte les exigences utilisateurs liés à la performance, telle que la puissance, la rapidité ou encore la stabilité.
Organisation de l’administration des réseaux
Ce professionnel supervise l’installation des équipements (switch, routeurs…) et logiciels d’administration des réseaux. L’Ingénieur Réseaux/Télécom met en place les tableaux de bord et de suivi des performances et de la qualité du réseau, en plus d’assurer la mise en œuvre des montées de versions.
Support aux utilisateurs, maintenance réseaux et veille technologique
Le troisième volet du rôle de l’Ingénieur Réseaux/Télécom est d’aider les administrateurs réseaux en cas de panne ou de difficultés. Face à un dysfonctionnement, il devra auditer les réseaux et proposer des solutions pour assurer le maintien opérationnel du réseau.
Il est possible que ce professionnel soit soumis à des astreintes ou permanences durant lesquelles il assure la maintenance du réseau. Il doit également mener une veille technologique. De manière à anticiper les évolutions d’optimisation du réseau. Puis proposer des investissements informatiques pour garantir la sécurité, la fiabilité et les performances des équipements.
Ingénieur Réseaux/Télécom : les compétences requises
Expertise en réseaux
Pour exercer, l’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un expert de l’administration des réseaux et systèmes tels que les routeurs ou firewall. De bonnes connaissances des protocoles réseaux et de télécommunication (TCP/IP, Ethernet, LAN…) mais également des technologies télécoms et Internet (DNS, SSH, FTP, etc.) sont indispensables.
Bonnes connaissances informatiques
Bien sûr, des connaissances plus larges dans le domaine de l’informatique font partie des bases à connaître. En effet, un Ingénieur Réseaux/Télécoms doit être capable de maîtriser les logiciels d’infrastructure comme les systèmes d’exploitation ou les serveurs de messageries. Oracle, SQLServer… Il doit également être familier des bases de données.
Adaptabilité et curiosité
L’Ingénieur Réseaux/Télécom doit être un agent polyvalent susceptible d’assister différents types d’utilisateurs. Il doit ainsi s’adapter rapidement à ses interlocuteurs et aux évolutions technologiques. Au vu des risques liés aux éventuelles cas de panne, une résistance au stress est également nécessaire.
Salaire en CDI et tjm de freelance
Le salaire moyen de ce professionnel en CDI est de 60 000 € annuel brut. Le taux journalier moyen (tjm de freelance) d’un Ingénieur Réseaux/Télécom se situe quant à lui généralement entre 400 et 700 €. Salaire en CDI et tjm de freelance dépendent entre autre de son ancienneté et de sa localisation.
Formation
Pour devenir Ingénieur Réseaux/Télécom, l’idéal est de posséder un diplôme niveau bac +5 (Master) spécialisé en informatique, réseaux et télécommunications. En effet, ces profils sont généralement issus d’une école d’ingénieur. Certaines certifications professionnelles aux outils (tels que CISCO) peuvent être exigées.
Vous êtes développeur freelance ? Club Freelance vous a sélectionné 4 articles d’actualité développeurs pour vous aider dans votre veille stratégique !
Coder mieux et plus vite : laissons les développeurs courir avec des ciseaux… en toute sécurité !
« Désolé, la prochaine fenêtre de déploiement des applications est dans trois mois » : qui n’a jamais pesté de devoir attendre son tour pour que soit corrigée ou améliorée une application métier pourtant indispensable ?
La crise sanitaire a changé fondamentalement les règles du jeu. En effet, tous les processus formels et les jeux de politique interne ont été écartés, et on a simplement demandé aux développeurs « d’y aller ». Alors ces derniers « y sont allés » : ils ont codé, créé des prototypes et mis le code en production en une fraction du temps habituel.
Le problème ? C’est que les processus habituels qui encadrent le fonctionnement quotidien de l’entreprise ne sont pas inutiles…
Actualité développeurs : Les développeurs gardent un œil sur l’emploi IT
En cette période de crise, les informaticiens sont plus actifs sur le marché de l’emploi. Comme nous l’indique une note réalisée par Monster. Effectivement, depuis la rentrée, près de 600 000 recherches ont été effectuées par des candidats du secteur IT. Avec plus de 280 000 CV téléchargés sur le portail depuis la rentrée, les développeurs sont les plus présents…
JavaScript séduit 12,4 millions de développeurs dans le monde
Quels langages de programmation séduisent le plus grand nombre de développeurs ? JavaScript reste le plus populaire des langages de programmation à l’échelle mondiale, devant Python et Java, selon un rapport livré par SlashData.
Les développeurs d’applications iOS devront fournir plus d’informations sur le suivi des données à partir du 8 décembre
Le géant Apple basé à Cupertino a demandé aux développeurs d’applications iOS de maintenir une meilleure transparence en termes de données utilisateur que leurs applications et mises à jour d’applications collectent. La société rend obligatoire la fourniture d’informations sur les procédures de suivi des données des applications à partir du 8 décembre…
Un travailleur indépendant ou freelance informatique ne bénéficie pas d’une mutuelle d’entreprise. De ce fait, sa protection sociale dépend considérablement de son statut juridique, mais aussi de la complémentaire santé et du contrat de prévoyance auxquels il a souscrit. Alors, vers quelle mutuelle se tourner quand on est consultant SAP, développeur PHP freelance ou encore expert en IA indépendant ? Quelle couverture santé en freelance ?
Couverture santé en freelance : quelles différences entre un salarié et un freelance ?
Salarié et freelance sont deux statuts très différents. Le salarié est un travailleur qui dispose d’un certain niveau de confort. Souvent à la charge d’une entreprise, il bénéficie d’un revenu mensuel garanti avec un montant connu au préalable, d’une couverture santé, ou encore d’une assurance chômage. Par ailleurs, il faut savoir qu’un salarié ne peut exercer son métier que pour un seul employeur. Il a un lien de subordination avec ce dernier et a donc une liberté assez limitée.
Un freelance informatique travaille quant à lui pour des clients, et non pour un employeur. En établissant une facture pour les prestations effectuées, il perçoit l’intégralité des fruits de son travail. Chaque mois, son revenu n’est donc pas limité à un montant fixe. Un freelance informatique fixe lui-même ses horaires de travail et est considéré comme un chef d’entreprise. Il doit donc se charger de plusieurs fonctions : démarcheur, gestionnaire commercial ou encore comptable.
Un freelance informatique a moins de sécurité qu’un salarié dans son activité. Sa visibilité financière se limite à la portée des contrats signés. Aussi, il ne dispose pas de diverses couvertures sociales, sauf s’il effectue des souscriptions.
Depuis 2020, les travailleurs indépendants sont rattachés au Régime général de la Sécurité sociale. Ils sont ainsi rattachés à l’Assurance Maladie, comme les salariés. La Sécurité Sociale pour les Indépendants (ex-RSI) n’est plus d’actualité. La Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) locale remplace l’organisme conventionné. Les indépendants bénéficient des mêmes taux de remboursement de leurs dépenses de santé que les salariés.
Mais il existe une grande différence entre salariés et freelances : depuis le 1er janvier 2016, les employeurs du privé (hors particuliers employeurs) doivent proposer une couverture complémentaire de santé collective à l’ensemble de leurs salariés qui n’en disposent pas déjà. L’employeur doit participer pour au moins 50 % du montant des cotisations, le reste étant à la charge du salarié. Freelances et salariés ne sont donc bien souvent pas sur un même pied d’égalité en matière de couverture santé.
Il est donc crucial pour un freelance IT de se protéger pour pouvoir se consacrer sereinement à son activité. Souscrire une complémentaire santé n’est bien évidemment pas obligatoire pour un freelance, mais il est vivement conseillé de le faire pour compléter les remboursements des garanties de base prévus dans le cadre du régime de l’Assurance maladie, sous peine de se retrouver dans une mauvaise passe financière en cas de soucis de santé.
Choisir sa mutuelle quand on est freelance IT
La mutuelle TNS ou travailleur non-salarié est la couverture santé la plus adaptée à un freelance. Que ce dernier travaille dans l’informatique ou dans tout autre domaine. Pour obtenir la meilleure mutuelle, il est important d’anticiper ses besoins en matière de santé.
Par la suite, il faut choisir la mutuelle qui correspond à son budget, mais aussi aux diverses garanties nécessaires. Le budget est sans doute le critère de base afin de choisir une mutuelle pour freelance. Mais il n’est pas l’unique facteur. En effet, pour être bien couvert et ne pas payer de sa poche les dépenses concernant la santé, il vaut mieux ne pas lésiner et payer des cotisations qui en valent le prix.
Parmi les soins et garanties concernés, on retrouve généralement : les dépassements d’honoraires (consultations de spécialistes, examens médicaux spécialisés…) ; les lunettes ou lentilles ; les prothèses dentaires ; les hospitalisations…
Le délai de carence est aussi un critère important au moment de sélectionner sa mutuelle. Il faut savoir que certaines garanties ne peuvent pas être actionnées avant quelques semaines ou même quelques mois. Si le travailleur envisage de changer sa mutuelle prochainement, il est important de considérer ce détail.
Il faut aussi considérer les services supplémentaires. En principe, certaines compagnies d’assurance proposent des services particuliers. Par exemple, une consultation en télémédecine ou une aide ménagère en cas d’hospitalisation. Enfin, le taux et le délai de remboursement ne sont bien évidemment pas à négliger.
Déduire ses cotisations grâce à la loi Madelin
La loi du 11 février 1994 dite « loi Madelin », s’efforce de fournir des protections supplémentaires aux freelances. Le dispositif Madelin a été mis en place pour permettre aux travailleurs non-salariés d’effectuer une déduction des cotisations à verser sur leur revenu imposable pour qu’ils puissent se constituer une retraite complémentaire ou des garanties de santé.
La mutuelle TNS peut donc être en partie financée par les économies d’impôts.
Il est à noter qu’un travailleur indépendant qui dispose d’un statut d’auto-entrepreneur ne peut pas déduire ses cotisations mutuelles en raison de l’abattement sur le chiffre d’affaires. Cependant, les travailleurs non-salariés ; qui dégagent des bénéfices industriels commerciaux et des bénéfices non commerciaux ; peuvent déduire leurs cotisations de mutuelle dans la limite des plafonds de déduction fiscale. À noter que ceux-ci sont déterminés selon le plafond annuel de la sécurité sociale.
Enfin, pour bénéficier d’une complémentaire santé loi Madelin, le freelance informatique doit être à jour du paiement des cotisations à son régime d’assurance vieillesse et à son régime de maladie de base obligatoire.
Ces derniers mois le contexte économique a considérablement évolué avec la crise de la Covid-19. Une économie de la distanciation a émergé. Elle persiste dans cette situation incertaine où le Cloud s’est révélé comme une stratégie incontournable. Retrouvez dans cette revue de presse les 4 meilleurs articles d’actualité cloud de la semaine.
SAP et le cloud : une trajectoire qui divise
SAP a dernièrement perdu 30 % de sa valeur en une semaine. Cette nouvelle a poussé certains analystes financiers à prédire un avenir sombre à l’éditeur, pas assez cloud selon eux. Tandis que d’autres analystes IT considèrent ces idées comme impertinentes sur le long terme.
À quelle aune juger la transition de SAP vers le cloud ? Des éléments de réponse dans cet article.
Actualité cloud : Le cloud hybride s’installe progressivement dans les entreprises
50 % des dépenses des entreprises en solutions d’infrastructures s’orienteront majoritairement vers le cloud public en 2021. Contre 35 % en 2019, selon IDC. Pour le cabinet d’études, 2021 sera même l’année du basculement vers le cloud public.
Découvrez dans cet article la première partie du dossier « Cloud hybride » du site web LeMondeInformatique.fr
Le passage au cloud : une urgence vitale pour toutes les entreprises
Le cloud devient la solution incontournable face au défi d’adaptation et d’appropriation des concepts de collaboration. Défi auquel les entreprises font face. Celles qui ne parviendront pas à s’adapter et s’approprier les concepts de collaboration, d’agilité et d’efficacité opérationnelle, pourraient donc disparaître.
Crise ou pas crise, la consommation du cloud augmente d’un gros tiers tous les trimestres
Les dépenses en services d’infrastructure de cloud au troisième triste 2020 continuent à accroitre. Les plus gros bénéficiaires sont les quatre premiers fournisseurs mondiaux :AWS, Microsoft Azure, Google Cloud et Alibaba Cloud. À eux quatre, ils s’adjugent 64 % des parts de marché et attirent 40 % de la croissance.
Préambule : Je suis Lilian Alvarez, freelance iOS et dirigeant d’un organisme de formation spécialisé dans l’accompagnement des freelances. L’histoire que je m’apprête à vous raconter m’est vraiment arrivée. J’ai volontairement changé et omis quelques détails.Voici mon expérience la plus inattendue en freelance :
Tout a commencé par un message sur une plateforme de mise en relation.
Bonjour, Lilian. On a besoin d’un développeur pour mettre à jour la version d’une application mobile…
Après quelques messages échangés, je propose un rendez-vous téléphonique.
Durant celui-ci, la personne m’explique qu’elle dirige une agence web. Il y a quelques semaines, ils ont hérité d’un projet. Ils rencontrent pas mal de soucis techniques et ont besoin d’assistance. Jusque-là, rien de surprenant.
Très rapidement, je propose de faire une estimation des coûts de la prestation. Pour ce faire, j’ai besoin d’analyser le code source. Et… C’est là que les choses se compliquent.
La personne refuse de me partager le projet.
Bon, pour certaines entreprises, le secret est fondamental (ce que j’entends et respecte). C’est pourquoi je propose à la personne de signer un accord de confidentialité.
La personne refuse. J’essaie d’expliquer : C’est comme si vous arriviez chez le garagiste en disant : « ma voiture ne démarre plus, combien ça va me coûter de la réparer ? » Difficile de répondre sans mettre les mains dans le cambouis pour connaître l’origine du problème…
C’est à ce moment-là que la personne m’a proposé de venirchez moi après une journée de travail !
- De cette façon, je pourrai surveiller que vous ne faites aucune copie du code source. – Euh, pardon ?
Bon, j’aurais dû mettre fin à la discussion à ce moment-là. Mais non…
De nature arrangeante, je propose un rendez-vous dans un bar afin d’évaluer le problème. La personne accepte, puis, 30 minutes avant le rendez-vous, finit par annuler.
J’ai tiré une leçon de cette expérience pour le moins inattendue.
Tous les leads qui viennent à nous ne valent pas forcément le coup d’être poursuivi.
Je pense que passer 2 jours à faire de l’avant-vente pour une prestation qui ne durera pas plus d’une semaine : ça ne vaut pas le coup !
Au-delà de cette aventure, j’aimerais vous faire un retour d’expérience sur les 4 types de clients à fuir :
1. Le tortionnaire
Il maltraite ces prestataires depuis qu’il a lu la biographie de Steve Jobs. Il a tendance à changer 45 fois d’avis en une journée sur la couleur du bouton de connexion. Évidemment, il souhaite que ces demandes soient prises en compte sur-le-champ. Comment le repérer ? Ses 3 derniers prestataires ont disparu sans laisser de nouvelles.
2. Le mauvais payeur
Il refuse de payer tout acompte avant le début de la mission.
3. Le psychopathe
Il veut venir chez vous à 22h pour vous regarder travailler. Je parle en connaissance de cause…
4. L’avocat
Il veut vous faire signer un contrat avec des pénalités en cas de non-respect des délais de livraison. Alors, ce type de contrat peut tout à fait avoir sa place dans une relation client – freelance. Néanmoins, je tiens à vous mettre en garde. Ne signez jamais un tel document si vous êtes dépendants de ressources et feedbacks du client pour tenir vos délais. Pire, si les délimitations du projet à réaliser sont floues, ce genre d’engagement c’est le meilleur moyen de finir par travailler gratuitement et sous pression. Bien entendu, il est tout à fait possible de tomber sur un client sérieux qui rentre dans une catégorie citée plus haut.
Mais, comme je dis souvent aux participants de mes formations : un freelance, ce n’est pas uniquement un consultant. C’est le gestionnaire d’une entreprise. Un gestionnaire doit tout faire pour que le meilleur arrive tout en se préparant au pire.
Et vous, quelle est votre expérience la plus bizarre et inattendue en freelance ?
C’était mon expérience la plus inattendue en freelance. Avant de fermer cette page internet, je vous invite à suivre ma newsletter.
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Pour éviter ce type de clients, vous pouvez aussi passer par un partenaire comme Club Freelance 😊. Décrochez les meilleures missions et bénéficiez d’un suivi personnalisé jusqu’à la fin de votre contrat. Vous vous concentrez sur le projet, nous nous occupons du reste.