Défendre son budget IT, transformation digitale et prédictions pour 2021… Découvrez notre sélection d’articles spéciale DSI.
DSI : les clés de la communication financière pour défendre son budget IT
Avec la crise sanitaire que nous traversons actuellement, il devient encore plus difficile pour un DSI de définir son budget IT, le présenter et le défendre auprès de sa direction financière. Mais désormais, cela s’annonce de plus en plus nécessaire pour lui afin d’anticiper au mieux 2021 et ainsi continuer à innover.
Articles DSI : DSI, transformation digitale et Covid-19 : un trio devenu indissociable…
54% des entreprises ont gelés ou mise en attente certains projets en raison des difficultés liées par la crise pandémique actuelle, selon une enquête réalisée par IDC pour Devoteam et Apptio.
Découvrez tous les impacts identifiés à travers cette étude dans cet article.
Très influencée par le télétravail, l’année prochaine s’annonce être très difficile pour les DSI selon Forrester. Penser globalement mais agir localement ?
Découvrez dans cet articles toutes les prédictions de Forrester concernant l’avenir à court terme des DSI.
Articles DSI : L’évolution du métier de DSI grâce à la communication interne et la collaboration avec les métiers
Autrefois cantonnée au rôle de gestion des outils informatiques, la DSI est devenue la direction clé de l’organigramme des organisations. Son rôle a effectivement évolué pour devenir un soutien indispensable favorisant l’innovation et l’amélioration de la performance des entreprises.
La pandémie que nous traversons actuellement a considérablement favorisé l’augmentation des cyberattaques au sein des entreprises. Les résultats des études réalisées sur le sujet sont plus qu’alarmants. Cette étude du FBI fait par exemple état d’une hausse de près de 400% des attaques aux Etats-Unis. La protection des données et la mise en place de plans de continuité de l’activité sont ainsi devenues des priorités pour les équipes et experts informatiques. Et ce, alors même que les budgets sont à la baisse. De quoi accélérer fortement la transformation digitale des organisations dans ces domaines. Il est également important que la cybersécurité émane des plus hautes sphères de l’entreprise.
Selon une enquête réalisée par Microsoft (août 2020), les entreprises ont augmenté leurs budgets sécurité de 58%. En concentrant leurs efforts sur des solutions comme l’authentification multifacteur (MFA) ou les outils anti-phishing. Par ailleurs, 82% d’entre-elles prévoient d’agrandir leurs équipes pour lutter contre les cybermenaces. Une tendance qui accentuera sûrement la guerre des talents dans la cybersécurité. Mais tant que les entreprises n’auront pas solidifié la culture de sécurité IT en interne, et qu’elles n’adopteront pas une approche plus stratégique et proactive de la cybersécurité, tous ces efforts ne seront pas suffisants. Découvrez ainsi dans notre article pourquoi la cybersécurité devrait émaner des plus hautes sphères de l’entreprise ?
La responsabilité: le nerf de la guerre en matière de cybersécurité
L’évincement d’un PDG à la suite d’un fiasco financier ne surprendrait pas grand monde. Pourquoi n’en serait-il pas de même avec les incidents majeurs de cybersécurité ?
Traditionnellement, les failles de sécurité sont considérées comme du ressort des décideurs informatiques, qui finissent souvent par retracer l’incident jusqu’à l’employé imprudent ou jusqu’au process mal défini. L’erreur humaine et le shadow IT sont à l’origine d’un grand nombre de cyberattaques, mais comme pour tout problème systémique, un véritable changement de culture nécessite l’implication des acteurs de tous niveaux.
La technologie fait désormais tellement partie intégrante des activités des entreprises, que la responsabilité en matière de sécurité ne peut plus être ignorée par les plus hautes sphères de prise de décision de l’entreprise. Les conseils d’administration et comités de direction doivent désormais porter cette responsabilité. La responsabilité garantit non seulement une meilleure performance ; mais elle stimule l’innovation et favorise l’amélioration continue.
Et en effet, c’est généralement une fois que la réputation et la position même d’un dirigeant sont en jeu que ce dernier devient susceptible de prendre des mesures d’ampleur pour lutter contre les potentielles cybermenaces. Un dirigeant responsabilisé sur les enjeux de sécurité IT sera plus apte à investir des ressources. Ainsi qu’à devenir un ambassadeur de la cybersécurité en interne. Objectif : impulser le changement dans tous les départements de l’entreprise. Que ce soit des RH aux équipes sales, tout en couvrant les sous-traitants externes et partenaires commerciaux.
Mais pour être responsabilisés en matière de cybersécurité, les dirigeants des hautes sphères de l’entreprise doivent d’abord être bien informés.
L’enjeu de l’expertise technique des hauts-décisionnaires
L’objectif n’est pas de faire des membres des comités de direction des experts en cybersécurité. Mais ces acteurs doivent bel et bien être mesure de comprendre les enjeux afin de pouvoir prendre des décisions éclairées sur le sujet. Ils doivent également pouvoir intégrer la sécurité IT dans leurs stratégies et plans d’action dans leur ensemble.
L’une des solutions pour créer des sphères décisionnelles avisées sur le sujet, est de faire appel à des cadres ayant de l’expérience dans l’IT. De plus en plus d’entreprises intègrent Ie DSI au Codir par exemple. Mais ce n’est pas le cas de toutes les organisations. Il est en tout cas de plus en plus nécessaire qu’il soit impliqué dans les prises de décision stratégiques.
Certaines entreprises décident, quant à elles, de créer de nouveaux postes de direction orientés IT ou même sécurité IT. Mais malheureusement, la figure du Chief Information Security Officer (RSSI) reste assez rare au sein des hauts niveaux hiérarchiques. Et, bien que certaines entreprises aient des responsables informatiques dédiés à la cybersécurité, ils restent souvent confinés au département informatique. Et ne disposent pas de pouvoirs exécutifs suffisants et d’assez de visibilité.
Enfin, toutes les solutions n’impliquent pas de donner la priorité aux cadres ayant une formation technique. La formation est une autre option. Les PDG et autres hauts-décisionnaires peuvent apprendre à évaluer les cybermenaces et la cyber-résilience de leur entreprise à l’heure de prendre d’importantes décisions business. Les DSI et leurs équipes ont un rôle clef à jouer dans ce processus de formation. Partageant leur expérience et leurs connaissances techniques tout en réalisant des audits de sécurité périodiques pour informer le conseil d’administration.
Ainsi il est important que la cybersécurité soit prise en compte dans les plus hautes sphères de l’entreprise.
La pandémie mondiale COVID-19 a provoquée un changement du marché du travail plus rapide que prévu bouleversant ainsi le marché de l’emploi dans le secteur tech & IT.
Perturbation des recrutements, pénurie de talents et accélération de la transformation numérique… Découvrez les derniers articles à lire dans notre revue de presse.
Emploi IT : le Covid-19 perturbe les recrutements
D’après l’Apec, le nombre d’offres d’emploi dans le secteur de l’informatique a reculé de 37% depuis le début de l’année 2020. Et bien sûr, cette évolution n’exclut pas le recrutement de cadres. Trouver les bons talents IT ; comme par exemple un expert sécurité; en ces temps de crise est un réel défi pour les départements IT.
Les éditeurs de logiciels français ne connaissent pas la crise, mais peinent à recruter
Malgré la crise que nous traversons actuellement, 75 % des éditeurs de logiciels prévoient l’accroissement ou le maintien de leur chiffre d’affaires en 2020. Mais la pénurie de talents que connaît le secteur pourrait bien freiner leurs ambitions.
La pandémie accélère la conversion numérique du monde du travail
La révolution numérique va nécessiter d’importants efforts de reconversion pour préserver l’emploi, selon un rapport du forum économique mondial publié mercredi. Près de la moitié des salariés vont ainsi devoir mettre à niveau leurs compétences.
Les contraintes administratives sont le cauchemar de bon nombre de freelances ; et pour cause, les démarches et obligations qui pèsent sur les indépendants leur font souvent perdre un temps précieux, qu’il ne peuvent pas consacrer à des tâches à plus forte valeur ajoutée. Génération de devis, facturation, paiement des charges, déclaration du chiffre d’affaires à l’URSSAF… il y a de quoi passer beaucoup de temps sur ces tâches purement administratives. Mais heureusement, des outils existent pour gagner du temps ! Et en particulier un outil qui a été créé par des freelances pour des freelances : Freebe.me.
A propos de Freebe.me
Freebe.me est un outil de gestion intelligent, conçu pour simplifier la vie des micro-entrepreneurs, en automatisant toutes les tâches d’admin. Il permet notamment de gérer facilement la facturation et la comptabilité de votre activité.
A la clef : une gestion saine de votre trésorerie et des plafonds de TVA, et surtout, beaucoup de temps gagné !
Freebe.me vous offre, entre autres chose, la possibilité de générer des factures et devis conformes à la loi, de déclarer votre CA auprès de l’URSSAF, et se synchronise à vos comptes bancaires (pro ou perso, banques traditionnelles et néobanques) en temps réel.
Tout est automatisé et se fait en quelques clics.
Bon à savoir : l’outil est actuellement exclusivement à destination des micro-entrepreneurs. Mais il sera très prochainement disponible pour tous types d’entreprises individuelles.
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Le Développeur freelance C/C++ est un expert de ces langages informatiques incontournables : C et son héritier C++. Très utilisés sur le marché, ces langages de programmation sont une compétence très recherchée par les entreprises.
C est un langage généraliste inventé dans les années 1970, et toujours utilisé dans la programmation système et la robotique. C++ est quant à lui né dans les années 1980. C’est langage de prédilection pour ceux qui recherchent les performances, car il peut exécuter des codes complexes dans un temps très rapide. Il est utilisé par exemple pour la conception d’applications mobiles, pour la programmation de systèmes d’exploitation ou de jeux vidéos, ainsi que dans la création de certains programmes militaires.
Développeur C/C++ : le métier
Quelles sont ses missions ?
Le travail du Développeur freelance C/C++ se divise en 3 grandes étapes :
Rédaction du cahier des charges
La première étape du travail de Développeur C/C++ est celle de la rédaction du cahier des charges. Indispensable au démarrage d’un projet informatique, cette étape se fait en accord avec le client interne ou externe. Dans ce cahier des charges figurent les besoins propres au projet, les ressources disponibles, le budget, la faisabilité et plein d’autres critères. Le cahier est destiné à assurer le bon déroulement du projet.
Cette construction se fait après une analyse des attentes du client et des besoins des utilisateurs du futur produit.
Conception de l’architecture
Une fois le cahier des charges rédigé, vient le moment de commencer la construction de l’architecture. Il s’agit de débuter la programmation du logiciel à travers des lignes de code informatique.
Cette partie du travail peut également se faire sur la base d’un code existant. Le plus souvent pour y intégrer de nouvelles fonctionnalités.
Phase de test et maintenance
La troisième étape du travail du Développeur C/C++ consiste à contrôler le travail réalisé jusque-là. Pour cela, il effectue de nombreuses phases de tests. L’objectif est de mesurer le bon fonctionnement du programme ou de l’application et d’anticiper d’éventuelles pannes.
Pour faciliter la compréhension de son travail et favoriser une éventuelle passation, le développeur doit fournir une notice technique d’installation et un guide d’utilisation qu’il aura rédigé en fin de projet. Il doit souvent également assurer une maintenance pour répondre aux éventuels bugs.
Développeur C/C++ : les compétences requises
Parfaite connaissance des outils et des langages de programmation
Le Développeur C/C++ doit avoir une connaissance parfaite des langages de programmation. Plus particulièrement les langages C/C++, indispensables à l’exercice de ce métier. Il doit également maîtriser l’anglais pour être en capacité de développer ses compétences techniques.
Autonome et particulièrement rigoureux
Mot d’ordre principal de sa fonction, le Développeur freelance C/C++ doit faire preuve de rigueur. Premièrement pour rester à l’affût des mises à jour des langages informatiques qu’il utilise. Mais également dans la gestion de l’avancement du projet. Il doit s’organiser de façon à respecter les délais, le budget et toutes les autres conditions du projet de manière autonome.
Disponible et à l’écoute de ses clients
Le Développeur freelance C/C++ ne reste pas fixé derrière un écran toute la journée, à écrire des lignes de code. Il est amené à rencontrer différents interlocuteurs. C’est pourquoi un grand sens de l’écoute et de la pédagogie sont également des compétences clefs à cette fonction.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
Salaire
Le taux journalier moyen d’un Développeur freelance C/C++ se situe généralement entre 300 et 700 €. Il varie selon son expérience et niveau de séniorité.
Formation
Le métier de Développeur C/C++ est accessible avec un diplôme niveau Bac +2 type BTS ou DUT spécialisé en informatique. Si certains développeurs sont autodidactes ; la plupart des professionnels qui occupent ce métier sont en possession d’un diplôme niveau Bac +5. Souvent issu d’école d’ingénierie ou informatique avec une filière poussée en programmation.
La crise sanitaire que nous traversons actuellement a complètement redéfinir le travail. En conséquence, le secteur de l’informatique n’a pas été épargnée. Santé mentale, évolution des compétences, complexité organisationnel, rôle de la DSI… Nous avons sélectionné pour vous les articles les plus récents concernant l’organisation des équipes I, pour vous aider à faire le tour du sujet.
Télétravail : 60 % des salariés français préféreraient parler de leurs problèmes de stress et d’anxiété à un robot plutôt qu’à leur manager
Marquée par la crise sanitaire Covid-19, l’année 2020 est considérée par les salariés comme la plus stressante de l’histoire. Anxiété, fatigue, répercussions négatives sur la santé mentale mais aussi sur la vie privée… L’intelligence artificielle, robots, l’avenir : autant de thématiques qui sont au cœur de l’étude qu’a menée Oracle.
Compétences inadaptées et complexité organisationnelle menacent le succès de la transformation numérique post-Covid
Un fossé est clairement notable entre la perception des employés et celle de leur encadrement. Alors que 80% des cadres en France estiment qu’ils aident leurs employés à acquérir les nouvelles compétences nécessaires pour travailler pendant la pandémie ; seulement 38 % des employés interrogés sont en accord avec cette idée.
Equipes IT : anticiper le futur grâce au reskilling
La pandémie Covid-19 a complètement redéfini le travail. Une accélération de l’adoption des nouvelles technologies, la création de nouveaux emplois, le travail… La majorité des travailleurs à travers le monde ont adopté de nouvelles habitudes. Dans le secteur IT, les dirigeants ou managers IT se doivent d’adopter une nouvelle approche du développement des compétences.
L’évolution du rôle des équipes IT face aux défis post-COVID
Soutenue par la récente crise que nous traversons, le rôle de l’équipe informatique n’a pas cessé d’évoluer. Il accompagne ainsi le développement constant de la technologie. Si les technologies de l’information restent un élément essentiel de toute organisation ; les employés les moins férus de technologie s’équipent aujourd’hui de technologies plus accessibles et plus compréhensibles.
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Se former quand on est freelance est capital pour monter en compétences. Or, l’écrasante majorité des indépendants et micro-entrepreneurs, n’ont qu’une connaissance très parcellaire des dispositifs de financement de formation qui les concernent. Ainsi que des droits à la formation professionnelle des freelances. Ils passent ainsi à côté d’un levier essentiel pour le développement de leurs activités.
En effet, sur les 3 millions d’indépendants et TNS, seuls 175 000 ont réalisé une action de formation professionnelle en 2019 ! Pour schématiser, seul 1 indépendant ou TNS sur 10 sait qu’il a des droits à la formation. Et seulement 50% a su les mobiliser l’année dernière.
En cause : un cruel manque d’information et une certaine complexité dans l’éligibilité des formations aux dispositifs de formation. Car elles doivent répondre à des critères bien spécifiques.
Pour résumer, en tant que freelance IT, vous payez tous les ans une cotisation d’environ 100€ vous donnant accès à des fonds de formation professionnelle (de 900€ à 2450€, voire plus selon votre situation) que vous perdez au 31/12 si vous ne les utilisez pas. Et depuis 2018, au même titre que les salariés, vous avez un Compte Personne de Formation (CPF) qui vous donne également des droits à la formation.
Concrètement, comment cela fonctionne ? Découvrez tous les détails de ces dispositifs dans cet article.
Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.
Les Fonds d’Assurance de Formation
Pour se former en tant que freelance, vous dépendez d’un des deux Fonds d’Assurance de Formation (FAF) qui vous est affecté en fonction de votre code APE/NAF. Il s’agit soit de l’AGEFICE soit du FIFPL.
Vous cotisez, pour les indépendants, 0,25% du montant annuel du plafond annuel de la sécurité sociale. Et 0,34% pour votre conjoint collaborateur. Pour les micro-entrepreneurs, c’est 0,2% du CA pour les professions libérales.
C’est ce FAF qui établit les critères de prise en charge des formations pour freelances. D’une part les critères liés aux thèmes de formation auxquels vous pouvez vous inscrire. Et d’autres part les montants maximums de prise en charge.
Par exemple, au FIFPL, un consultant en transformation digitale aura une prise en charge annuelle par professionnel plafonnée à 900€. Alors que le plafond est fixé à 1400€ pour un développeur web. Pour l’AGEFICE, les formations débouchant sur une qualification officiellement reconnue ou de langues ouvrent des droits à 2450€ nets de taxe par année civile et cotisant alors que les formations obligatoires légalement imposées, les formations métiers ou transversales tablent sur des droits à 1400€ nets de taxe.
Vous pouvez mobiliser ces droits dès votre première année d’activité. Ou si vous avez déclaré au moins 1€ de CA sur les 12 derniers mois.
Attention, vous devez mobiliser ces droits avant le 31 décembre de chaque année. Sinon vous aurez cotisé pour rien car les droits ne sont pas cumulables d’une année civile sur l’autre.
Autre avantage : vous pouvez demander un crédit d’impôts dans la limite de 40 heures de formation par année civile au taux de 10,15€, soit 406€.
Quelles sont les conditions pour ce type de droits à la formation ?
Les entreprises imposées d’après leur bénéfice réel peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt calculé sur les dépenses engagées pour la formation de leurs dirigeants.
Quelles que soit l’activité et sa forme juridique (entreprise individuelle ou société).
En sont cependant exclues les entreprises individuelles placées sous le régime fiscal de la micro-entreprise (ou les micro-entrepreneurs).
Nous vous conseillons de passer par un comptable, ou une aide administrative, pour procéder aux formalités de crédit d’impôt.
Mindquest et Avantages Formations ont noué un partenariat pour vous faciliter la montée en compétences !
Le Compte Personnel de Formation
Depuis le 1er janvier 2018, le Compte Personnel de Formation (CPF) a été étendu aux travailleurs indépendants et à leur conjoint collaborateur.
Vous pouvez vous servir de vos droits pour financer un bilan de compétences. Mais aussi valider vos acquis d’expérience ou suivre une formation qualifiante.
Ainsi, vous cumulez, au prorata temporis, jusqu’à 500€ par année (800€ pour les moins diplômés – sous le CAP/BEP) et jusqu’à un plafond de 5000€ (8000€ pour les moins diplômés).
L’alimentation de votre CPF se fait généralement en avril de l’année suivante d’activité. Donc, à ce jour, vous bénéficiez peut-être de 1000€ sur votre CPF (2018 et 2019).
Pour connaître votre situation CPF, vous devez vous inscrire à moncompteformation.gouv.fr avec votre numéro de sécurité sociale.
Un point d’attention : vos heures Droits Individuels à la Formation (DIF) créditées au 31/12/2014 doivent être converties en Euro sur votre CPF avant le 31/12/2020 sinon elles seront perdues. Cette conversion de l’ancien dispositif vers le CPF concerne seulement les indépendants qui auraient été salariés avant le 31/12/2014.
Comment bénéficier des droits à la formation des freelances ?
Les modalités sont différentes et spécifiques pour chaque dispositif de formation pour freelances. Mais vous pouvez vous faire accompagner par des spécialistes comme Avantages Formations qui peuvent vous aider dans la constitution de la Demande de Prise en Charge de A à Z, vous conseiller sur tous les dispositifs de formation, et vous proposer des formations éligibles.
Quoi qu’il en soit, ne l’oubliez pas : la formation est l’essence de tout succès chez les freelances. Toutes les raisons sont bonnes pour mobiliser ses droits à la formation. Formez-vous !
Article rédigé avec notre partenaire Avantages Formations
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En 2020, les femmes peinent encore à se faire une place dans l’industrie des technologies de l’information. Mais nombreuses sont les initiatives et les organisations qui s’efforcent à résoudre ce problème pour favoriser la présence des femmes dans la Tech.
Nous avons sélectionné dans cette revue de presse les articles les plus récents sur le sujet.
Femmes dans la Tech : 4 points à retenir du rapport Accenture
Aujourd’hui, le secteur de la Tech est victime d’un déficit de profils qualifiés. Selon la récente enquête américaine réalisée par Accenture et Girls Who Wode, le recrutement de femmes dans ce secteur serait la solution à ce problème. Une ambition contrariée qui permettrait d’atteindre les objectifs commerciaux des entreprises IT.
Comment avoir des femmes dans la tech ? « Il faut fixer des quotas dans l’entreprise » répond-on chez Sanofi
Est-il vrai que le secteur de l’informatique manque de talents féminins ? Faut-il remédier à cela ? Comment s’y prendre ? Ce sont les questions auxquelles Isabelle Vitali ; directrice du centre d’innovation digitale de Sanofi ; répond lors de l’événement sur l’égalité organisé par le magazine Marie-Claire, le 1er octobre 2020.
Avec les Descodeuses, un cursus pour des têtes de la « tech » au féminin
De plus en plus d’organisations émergent avec pour but de favoriser la mixité dans le monde informatique. L’association Descodeuses en fait partie. Basée en Île-de-France, l’association sensibilise et forme les femmes des quartiers populaires au développement web.
Women and Tech: How 2020 spotlights the digital divide
Gender based digital divide proves women — despite being frequent digital users, are at a disadvantage towards regular tasks and virtual ways of tackling this context. From attaining e-commerce aptitudes and opening to innovative assets such as virtual currency to acknowledging cybercrime situations, every field of our self-development online, shows the need of specific digital literacy policies to balance inequalities.
Les chiffres le montrent, les femmes sont sous-représentées dans la plupart des fonctions de l’IT. Pourtant, les entreprises sont demandeuses des talents féminins et de leurs compétences sur des postes techniques et de leadership. Alors, femmes & métiers de l’IT : Comment rendre aux femmes la place qu’elles méritent dans l’IT ? Comment les convaincre de faire preuve de plus d’ambition ?
Cet article a initialement été publié sur le site de La Tribune
Selon les différentes études menées sur le sujet, la proportion de femmes dans les métiers de l’informatique oscille entre 10 et 30 %. Le Gartner estime cette proportion à 31% à l’échelle mondiale (2018) ; en France, d’après les chiffres de l’Apec (2015), elles sont 20% ; et une étude GISWS montre qu’elles représentent 11% du personnel dans la cybersécurité.
Qui plus est, plus on monte dans la hiérarchie ou sur les fonctions de leadership, moins les femmes sont nombreuses. Seulement 13% de femmes à la fonction de DSI selon l’étude 2018 « CIO Survey » du Gartner.