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DSI : les articles qu’il ne fallait pas louper cette semaine

Vous êtes DSI et vous préparez la rentrée ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles de la semaine pour vous aider dans votre veille stratégique !

Découvrir la fiche métier : Directeur des systèmes d’information

DSI : une influence à géométrie variable

Une chose est sûre : les responsables des systèmes d’information ont joué un rôle central au sein de leurs organisations pendant la pandémie. Mais le maintien de leur influence au delà de ce contexte est un nouveau défi à relever.

Zoom sur cet enseignement tiré du sondage de Gartner CIO Research Circle auprès de 58 DSI de grands groupes.

La pandémie de Covid-19 a amélioré les relations entre les DSI et les décideurs métier

Dans cet article, un autre enseignement de cette étude est mis en lumière : l’amélioration de la relation des Directeurs des systèmes d’information avec les autres décideurs métiers depuis la crise sanitaire.

Transformation numérique : ce qui préoccupe les DSI post Covid-19

Même si l’optimisme reste de mise quant à la poursuite de la transformation numérique post-Covid, cette article s’appuie sur deux récentes études (Enquête Pulse & Enquête 2nd Watch) pour évoquer les préoccupations des DSI nées de ce contexte.

Building Systems Resiliency for a post COVID world

The pandemic will eventually pass, and when it does, the organizations equipped with resilient systems will emerge stronger. Now’s the time to make sure yours is one of them.

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Fiches métiers Infra

Analyste SOC : Fiche métier

L’analyste SOC (Security Operation Center), a pour rôle de surveiller les systèmes d’information d’une entreprise. Il doit détecter toutes activités suspectes et malveillantes sur les réseaux informatiques, qu’elles proviennent de l’interne ou de l’externe.

Dans un monde où les cyberattaques sont de plus en plus présentes, son rôle est devenu essentiel.

Le métier d’Analyste SOC : quel est son rôle ?

Faire de la prévention en matière de cybersécurité

En amont de son intervention, l’analyste SOC doit faire de la prévention aux risques. Il doit jouer un rôle d’évangélisateur au sein de l’organisation : communiquer auprès des employés en matière de cyber-risques et donner aux utilisateurs les bonnes pratiques en termes de sécurité des SI.

Interpréter et traiter les alertes

Quand l’analyste SOC détecte une faille dans la sécurité, ou une activité malveillante, il doit en analyser la source et les impacts. Suite à ce travail d’enquête poussée, il doit ainsi mettre en œuvre le plan d’action le plus efficace et rapide pour résoudre le problème. Il doit ensuite mettre en place des mécanismes pour éviter une nouvelle menace.

Faire de la veille

Le monde de la cybersécurité évolue à vitesse grand V et de nouvelles menaces naissent tous les jours. L’analyste doit effectuer beaucoup de veille sur toutes les menaces et les vulnérabilités qui existent, ainsi que sur les nouveaux moyens de s’en protéger. L’objectif ? Mieux anticiper et mieux répondre aux menaces sur le long terme.


Vous souhaitez en savoir plus sur l’infrastructure informatique ? Découvrez notre dossier spécial sur les composants de l’infrastructure informatique, leurs fonctions et les différents métiers de ce secteur.

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Analyste SOC : compétences requises

Expertise en sécurité des SI

Pour pouvoir gérer les menaces et trouver les failles du système d’information d’une entreprise, l’analyste SOC doit connaître et savoir utiliser des serveurs et outils de sécurité tels que Proxy, Fireworks, les antivirus, les VPN…

Maîtrise globale des outils et langages informatiques

Quand il doit résoudre les failles de sécurité dans les systèmes d’information, il doit souvent mobiliser des compétences techniques très larges. Maîtriser Linux, Unix ou Windows ainsi que les langages de programmation sur lesquels se base le SI de l’entreprise est bien souvent indispensable. Toutes les entreprises n’utilisent pas les mêmes langages informatiques ou le même système de sécurité. Lors de sa prise de poste, l’analyste SOC doit donc s’adapter rapidement aux différents langages, et être capable de tous les utiliser.

Sens de la communication et du travail en équipe

L’analyste est en contact permanent avec les utilisateurs et travaille de manière transverse avec l’ensemble des départements de l’entreprise. Il doit ainsi faire preuve de compétences relationnelles telles que la faculté à collaborer et partager des compétences.

Contexte

L’analyste SOC est l’un des métiers les plus recherchés dans le domaine de la cybersécurité. Son rôle est en effet indispensable pour le bon fonctionnement des systèmes d’information. Surtout dans un contexte où les attaques sont de plus en plus nombreuses.


Découvrez notre fiche métier : Business Analyst IT !


Salaire de l’Analyste SOC

Le taux journalier moyen se situe généralement entre 350 et 700€.

Formation de l’Analyste SOC

Pour devenir Analyste SOC, le mieux est d’avoir une formation d’ingénieur avec une spécialisation en cybersécurité.

Téléchargez dès à présent votre fiche métier :

Analyste SOC : Fiche métier

Découvrez également nos fiches métiers : Consultant MOA et Responsable de Datacenter !


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Devenir freelance Freelance informatique / tech

Suis-je vraiment fait pour être freelance ?

Vous êtes un professionnel IT salarié et vous réfléchissez à vous lancer en freelance ? Avant toute chose, il est important de réfléchir à quelles sont les bonnes questions à se poser avant de se lancer en freelance. Et parmi ces questions, la question  » Suis-je vraiment fait pour être freelance IT ?  » est capitale. Vous êtes déjà consultant indépendant dans l’informatique mais vous vous posez des questions sur votre faculté à développer votre activité ? Cet article devrait vous aider à y voir plus clair !


Vous souhaitez vous lancer en freelance ? N’hésitez pas à télécharger notre guide pratique de démarrage en freelance pour bien débuter votre activité de consultant indépendant.

Télécharger le guide

Le statut d’indépendant : un statut qui attire

Liberté, flexibilité, possibilité de choisir ses projets… les consultants indépendants dans l’informatique ou la technologie font souvent rêver leurs homologues salariés. En effet, le statut de freelance offre bien des avantages. 

Au delà de l’indépendance propre au statut, les consultants indépendants bénéficient souvent d’expériences professionnelles riches : ils peuvent travailler sur des projets variés et monter en compétences plus rapidement que s’ils devaient suivre un parcours plus “classique” en entreprise.

Ils peuvent par ailleurs fixer leurs propres tarifs et pratiquer des TJM (taux journaliers moyens) parfois très élevés au regard du salaire qui serait perçu par un professionnel au même poste en CDI.

A première vue, le statut de freelance IT a donc tout pour plaire. On constate d’ailleurs une véritable hausse des freelances IT. Oui mais…

Freelance : un statut qui ne correspond pas à tous les professionnels IT

Le statut de freelance dans l’informatique ou la technologie comporte aussi ses inconvénients. Quitter le salariat pour se lancer dans une activité de consultant indépendant implique de renoncer à une sécurité économique et une protection sociale précieuses.

Les droits des indépendants en matière d’arrêt maladie, ou d’allocations chômage dépendent en effet d’organismes spécifiques et la couverture sociale des indépendants est souvent présentée comme faible.

En outre, il ne faut pas se laisser aveugler par les niveaux de TJM qui apparaissent parfois très élevés face à un salaire classique. Il faut bien comprendre que ce TJM couvre des périodes d’activités et des périodes de non activité, et des charges sociales élevées. Car le poids des cotisations est intégralement supporté par les indépendants quand celui lié aux salariés est réparti avec l’employeur. Être indépendant signifie donc gérer des revenus irréguliers.

Enfin, travailler comme freelance IT nécessite un investissement à toute épreuve. Si vous n’arrivez pas à décrocher de nouveaux contrats ; si vous faites des erreurs sur le plan administratif ou contractuel ; et si vous connaissez une période de baisse de performance ; alors votre activité, et donc votre revenu, peut être impacté. Cet investissement demande beaucoup d’énergie et peut générer beaucoup de stress et de frustration.

Attention donc à ne pas idéaliser le statut de consultant indépendant dans l’IT ! Mais alors comment savoir si on est fait pour être freelance ? Et quel est le profil des professionnels IT qui réussissent et trouvent leur accomplissement dans ce statut de freelance ? Voici 3 pistes de réponse.

Professionnel IT : Suis-je vraiment fait pour être freelance ? Comment savoir ?

Vous avez des compétences de freelance : des compétences techniques solides

Difficile pour un débutant de se lancer en freelance… un client fait en effet bien souvent appel à un consultant indépendant pour accélérer sur ses projets, et certainement pas pour perdre du temps à former une personne externe à son équipe. En tant que freelance IT, vous devez en effet être efficace dès le début du projet et avoir de solides compétences de freelance.

Pendant la phase des entretiens, vous devrez donc bien souvent apporter des preuves de votre expérience et de projets concrets sur lesquels vous avez travaillé précédemment ; ou bien joindre à votre candidature un portfolio complet si cela se prête à votre domaine d’expertise.

Les entreprises recherchent souvent des consultants indépendants experts de leur domaine IT, et parfois très spécialisés sur des sujets bien précis. 

Vous l’aurez compris : il est plutôt judicieux de faire ses armes au moins quelques années avant de se lancer comme consultant indépendant. C’est pourquoi beaucoup de professionnels se tournent vers le freelancing après plusieurs années en ESN ou au sein d’un département informatique d’une entreprise.

Vous faites preuve d’intelligence relationnelle et émotionnelle

Les fameuses soft skills ! Les qualités de freelance sont indispensables dans la mesure où l’activité de freelance implique une part importante de relation client. 

En effet, vous aurez beau être le meilleur expert cybersécurité ou le consultant SAP le plus aguerri sur un module spécialisé, vous ne réussirez pas en tant que freelance si vous ne savez pas bien comprendre les besoins internes, communiquer avec votre client, vous intégrer à une équipe ou encore faire preuve de créativité.  

Le savoir-faire d’un freelance IT est aussi important que son savoir-être. L’empathie, l’organisation, l’adaptabilité, la pédagogie, le sens du collectif… sont des qualités de freelance indispensable pour développer une activité de consultant dans l’informatique ou la technologie.

Gardez en tête que la réputation d’un freelance est l’un de ses atouts les plus précieux. Les soft skills en matière de gestion des conflits ou la capacité à mettre en avant sa performance sont donc souvent des clefs de réussite.

Vous avez l’esprit entrepreneurial

Pour réussir en tant que freelance IT, il faut enfin avoir un certain état d’esprit. Un professionnel IT avec de bonnes compétences techniques et relationnelles a tout pour avoir une belle carrière en CDI. Mais pour réussir en freelance, il faut un “truc en plus”.

Ce “truc en plus”, c’est une âme d’entrepreneur. Une force intérieure qui vous pousse à vous investir pour faire fructifier votre activité, à ne rien lâcher, à anticiper l’avenir. Et ce, en toute autonomie.  

Travailler en freelance, c’est accepter un certain niveau de “prise de risque”. Un consultant indépendant est en solo pour développer son activité. Il doit donc faire preuve de combativité, de résilience et de débrouillardise. Si vous êtes du genre à vous décourager à la première difficulté, ce statut n’est pas pour vous ! Savoir rebondir après un échec quand on est freelance IT est indispensable.

Pour réussir en tant que consultant indépendant dans l’IT, il faut également savoir jongler avec l’incertitude. Vous allez peut être être confronté à des périodes d’intermissions plus ou moins longues. Ainsi, vous ne pourrez peut être pas prévoir vos vacances très à l’avance ; et bien sûr vous n’aurez pas une visibilité de long terme sur vos revenus. Si vous souhaitez vous lancer en freelance il sera alors judicieux de vous renseigner sur quels sont tous les frais à prévoir pour devenir freelance.

Pour finir, l’esprit entrepreneurial qui caractérise les “bons” freelances IT implique de savoir gérer son temps avec une grande efficacité. Il faut gérer ses missions, mais aussi ses tâches administratives, continuer à s’informer et se former sur son domaine d’expertise… être multi-casquettes en quelque sorte.

Pour conclure

Vous l’aurez compris : le statut de freelance IT n’est pas pour tous les profils. Le freelancing n’est pas une fin pour beaucoup de professionnels IT qui alternent périodes de salariat et de freelancing.

Mais si vous vous reconnaissez dans cette description et que vous souhaitez vous lancer, alors n’hésitez plus, vous êtes fait pour être freelance ! Lisez notre dossier spécial Devenir freelance informatique, pour tout savoir.

Pour finir, le statut de portage salarial offre une alternative intéressante aux professionnels IT qui souhaiteraient passer en freelance. Il permet également de garder une couverture sociale comparable à celle d’un salarié classique. Découvrez les avantages et les inconvénients du portage salarial.

Découvrez aussi nos articles : Expatrié : travailler en tant que Freelance IT en France & Formalités à respecter pour vivre à l’étranger quand on est freelance.


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Data & ERP Revues de presse Webinars & Ressources

ERP : les 3 articles qu’il ne fallait pas rater cet été

Quelles sont les dernières actualités en matière d’ERP, progiciels de gestion intégrés ? Découvrez-les dans cette brève revue de presse estivale !

ERP et agilité, enfin possible ?

Sa mise en œuvre est généralement synonyme de waterfall ou cycle en V. Or ces projets, qui dans les grands groupes atteignent des dizaines de millions d’euros, connaissent des dérapages quasi-systématiques.

Les éditeurs proposent de plus en plus d’outils favorisant l’agilité de leur solution. L’agilité sur un projet de progiciels de gestion intégrés semble désormais possible, mais comment procéder concrètement ?

SAP HANA Enterprise Cloud se livre avec HPE GreenLake

Avec HPE GreenLake, SAP propose désormais SAP HANA Enterprise Cloud en tant que service géré dans le datacenter du client.

Hewlett Packard Enterprise et SAP ont annoncé jeudi un accord de partenariat portant sur la fourniture de SAP HANA Enterprise Cloud, Customer Edition promue par SAP.

Who are the real leaders among cloud ERP vendors?

Choosing among cloud ERP vendors is daunting, not just because there are dozens of vendors but because cloud deployment means different things that aren’t always made clear.

Vagueness, lack of transparency and deliberate obfuscation about cloud are also why it is extremely challenging to identify the top-selling cloud ERP products, or tell who’s winning the two-decades-long « war » for cloud ERP dominance. Yet, knowing who is leading the pack can give buyers valuable clues into vendor longevity, innovation and support.

Découvrez également notre fiche métier : Consultant ERP

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Fiches métiers Infra

Ingénieur stockage et sauvegarde : Fiche métier

Les données informatiques s’accroissent de manière exponentielle, et leur conservation devient de plus en plus difficile. L’Ingénieur Stockage et Sauvegarde a pour rôle de gérer cette problématique pour le compte d’une entreprise. Son profil est de plus en plus recherché sur le marché du travail.

Avant de parler de ses missions ou des compétences requises pour exercer, différencions le stockage de la sauvegarde :

Le stockage est un moyen de garder des données en sécurité dans des serveurs en local ou en ligne. Grâce aux architectures de stockage existantes, il est possible d’accumuler autant de données que l’on souhaite en fonction de la volumétrie disponible sur le serveur ou l’abonnement choisi. La sauvegarde relève quant à elle de la sécurisation et de la pérennisation de ces données.

Le métier d’Ingénieur stockage et sauvegarde

Sa principale mission est de développer et gérer les systèmes hardware et software d’une organisation. Pour cela, il est souvent à la tête d’une équipe de techniciens qu’il est chargé de coordonner.

Ce professionnel évolue souvent dans un environnement challengeant. Il doit constamment rechercher de nouvelles solutions aux besoins exponentiels de conservation de données. Il doit par ailleurs faire face aux problèmes de pérennité des données ainsi qu’à leurs accès.

Compétences requises

Compétences techniques

Pour accéder un tel poste, il est impératif de faire preuve de bonnes compétences et/ou connaissances en systèmes tels que Microsoft Azure, VMware, Hyper-V, NetApp… Il faut être également très à l’aise avec les différents outils informatiques utilisés par l’entreprise.

Flexibilité

La flexibilité est une compétence impérativement requise chez un Ingénieur stockage et sauvegarde. En effet, il doit être en capacité de solutionner les problèmes en temps réel, de jour comme de nuit ; en semaine ou le week-end.

Faire preuve de responsabilité et de rigueur

Etant donné le niveau de responsabilité du poste, ce métier nécessite beaucoup de rigueur car les données sont considérées comme vitales pour une entreprise.

Salaire

Variable en fonction de la société, de la région et du niveau d’expérience de l’ingénieur, les taux journaliers moyens se situent généralement entre 400 et 900 €.

Formation de l’Ingénieur stockage et sauvegarde

La formation conseillée est généralement un Bac +4/5 en école d’ingénieur ou dans la filière informatique, avec une spécialité stockage et sauvegarde des données.

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Découvrez notre fiche métier : Ingénieur système Linux

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Recrutement & IT Revues de presse Webinars & Ressources

Digital Workplace : top 4 des articles récents à lire

Avec la crise sanitaire et le confinement forcé de la population, la notion de Digital Workplace a trouvé un nouvel écho auprès des entreprises. Le télétravail ; mode de travail, particulièrement apprécié par les collaborateurs ; impose aux organisations de revoir leurs outils et processus en interne. Notamment avec un défi de taille : celui de la bonne circulation de l’information.

Club Freelance a sélectionné pour vous 4 articles à lire concernant le Digital Workplace en lien avec les services IT.

Le travail à distance bouscule les priorités de la DSI selon Gartner

Selon Gartner, il est du devoir des DSI de trouver de nouvelles solutions pour rattraper la baisse des dépenses informatiques créée par la pandémie de COVID-19.

Digital workplace : Télétravail, le VDI est la bonne réponse quand il est urgent d’aller vite

Avec la récente période de confinement, bon nombre d’organisations ont du rapidement adapter la conception de leurs opérations IT. Le VDI (Virtual Desktop Infrastructure) s’est imposé comme une solution évidente pour répondre aux nouveaux enjeux du télétravail.

Le télétravail est-il nécessairement une bonne chose pour le travailleur de la filière informatique ?

La pandémie du coronavirus a bouleversé la façon de travailler de millions de personnes à travers le monde… Mais ce n’est pas du tout le cas pour des travailleurs de la filière informatique au sein d’entreprises comme GitLab.

The Role of IT in Unifying Digital Workplace Requirements

To achieve a truly unified workplace, organizations need the support of their IT department, in order to pick a digital workplace that aligns with their employee requirements and business needs.

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Lire également : Pandémie & IT : comment la pandémie renforce le rôle de l’IT dans les organisations

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Renforcer les équipes support IT : défi de la rentrée pour les DSI ?

La plupart des entreprises ont été frappées par l’épidémie Covid-19 de plein fouet. Avec une baisse voire suspension de l’activité, dislocation brutale des équipes et réorganisation forcée de l’ensemble des processus. Les équipes informatiques ont été fortement mobilisées par ces chamboulements. Ainsi, les décideurs IT ont dû endosser un rôle nouveau pour mener de front la riposte contre les effets de la crise. Avec pour principaux mots d’ordre : s’adapter, anticiper et rassurer en interne. Mais les challenges qui s’offrent aux DSI et autres responsables IT se multiplient à l’approche de cette rentrée 2020. Face à la menace d’un nouveau confinement et à l’impératif de mettre en place des structures adaptées à la « nouvelle normalité », il devient stratégique de renforcer les équipes support IT. Car il est garant de la continuité opérationnelle et moteur de la transformation digitale et organisationnelle de l’entreprise.

Le support IT : un service en première ligne depuis la crise

Le support IT a toujours été un service capital au sein de l’entreprise. Véritable service clients interne, il permet de résoudre les problèmes des utilisateurs. Mais aussi de répondre à toutes leurs demandes liées à leur environnement de travail. Ce qui permet d’améliorer ainsi leur productivité. 

Depuis quelques mois, la pandémie a renforcé le rôle de l’IT dans les organisations et propulsé le service IT en première ligne. Certaines entreprises ont dû interrompre leur activité durant la période de confinement. Mais nombreuses sont celles qui ont pu réorganiser leurs services afin d’assurer un maintien de leur activité grâce au recours massif du télétravail. 

Mais gérer une transition aussi imprévue du mode de travail de l’ensemble des collaborateurs d’une entreprise ne s’improvise pas. Cela a en effet a nécessité un important travail d’adaptation technique et organisationnelle. Mise en place d’outils collaboratifs, dépannages et assistance technique à distance, résolution rapide des incidents, évangélisation des collaborateurs concernant les risques de cybersécurité… les équipes de support IT ont dû renforcer leurs efforts pour assurer le bon fonctionnement du travail à distance. 

Une tâche qui a, par ailleurs, été bousculée par les nombreuses attaques et escroqueries en ligne qui n’ont cessé de s’accroître depuis le début de la crise. Les pirates profitant des fragilités humaines et organisationnelles des entreprises. Trouver les bons experts sécurité est d’ailleurs devenu un défi de taille pour les entreprises ces derniers mois.

En bref, les équipes support IT se sont rendues plus indispensables que jamais. 

Les équipes de support IT, face à des enjeux de taille

Les défis liés à la crise du Covid-19 viennent s’ajouter à une multitude de défis déjà existants au sein des équipes support IT. En effet, des problématiques comme la réduction des coûts, l’optimisation des process et la qualité de service sont depuis longtemps déjà une réalité pour les équipes support.

La notion de client interne amène en effet de nombreuses entreprises à redéfinir leur organisation. Ceci pour mettre l’utilisateur au cœur des processus et en améliorer l’expérience. La valeur créée par le service s’articule ainsi de plus en plus autour des valeurs de satisfaction et de fluidité. Ce qui nécessite souvent des réorganisations pour unifier les points de contacts, recueillir du feedback et participer à améliorer l’image de la DSI toute entière.

A la recherche d'un expert tech & IT

Autre défi : la réduction des tâches à faible valeur ajoutée et l’exploitation de technologies comme l’IA pour d’automatiser un maximum d’opérations. L’objectif étant de permettre aux équipes support de pouvoir se concentrer sur des tâches plus stratégiques. Et ainsi d’apporter un véritable service de conseil aux utilisateurs.

Les responsables de support IT doivent enfin relever le défi de la communication. Faire preuve de transparence et jouer un rôle de plus en plus important de sensibilisation des collaborateurs au regard des menaces accrues liées à la sécurité.

Mettre en place une Talent Strategy adaptée pour vos équipes de support IT

Pour avoir un support IT efficace et sur lequel l’entreprise peut se reposer, il est essentiel d’avoir une équipe adaptée. Avoir les bonnes personnes est une condition essentielle. Car ce sont bien souvent les compétences et la motivation qui font la différence entre un service support performant et un service support insuffisant.

Mais comment s’assurer d’avoir une équipe solide ? Vous pouvez commencer par suivre ces quelques conseils :

  • Faire un audit des compétences actuelles au sein de vos équipes support. Quelles sont les compétences manquantes, les compétences clefs concentrées chez un nombre trop restreint d’employés, etc.
  • Adapter l’organisation de la DSI pour pouvoir solliciter les bonnes personnes au bon moment. En cas d’urgence vous serez ainsi prêt à activer un plan de réorganisation pour mobiliser des compétences clefs. 
  • Identifier les ressources les plus performantes, et sécuriser les talents actuels, par des mesures de fidélisation.
  • Mettre en place des dispositifs de formation pour requalifier certains collaborateurs dont le domaine d’expertise n’est plus adapté à la situation actuelle.
  • Etablir un plan de recrutement pour combler les ressources manquantes et pouvoir trouver rapidement les bonnes compétences au moment voulu.
  • Miser sur la communication et la transparence.

Faire appel à des ressources externes, une stratégie efficace pour votre support IT ?

La situation est claire : les équipes de support IT sont face à des problématiques gigantesques, et profondément stratégiques pour l’entreprise en ce contexte de crise sanitaire et économique. Mais la crise économique a en parallèle un lourd impact sur les budgets des entreprises. Et nombreuses sont les organisations qui ont dû rationaliser drastiquement leurs coûts et notamment leurs coûts IT.

Alors comment, en tant que décideur IT, muscler ses équipes support sans prendre de risques budgétaires importants et en s’assurant un maximum de flexibilité opérationnelle pour jongler avec l’incertitude ?

Externaliser, ou surtout faire appel à des freelances IT en cette période de crise peut s’avérer une stratégie gagnante. 

Outre le peu de contraintes administratives et les effets positifs que les freelances peuvent avoir sur vos équipes internes, le recrutement d’un consultant indépendant peut vous permettre de mobiliser des compétences très spécifiques. Pour accélérer sur des projets ou résoudre des incidents sur des domaines d’expertise pointus.

La flexibilité de ces ressources vous permet de limiter les risques en cette période instable. Mais aussi de tirer parti d’expertises comme sur le cloud ou certains outils collaboratifs, particulièrement demandées lors d’une période de crise comme celle du Covid-19.

Quoi qu’il en soit, la rentrée s’annonce intense. Que vous choisissiez de renforcer vos équipes support IT grâce à des recrutements en interne ou en faisant appel ponctuellement à des externes, ne négligez pas l’importance d’avoir des équipes support solides. Ceci pour faire face aux prochains mois dans la plus grande sérénité possible !

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