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Freelances dans la tech : vous avez dit précarité ? – Tribune

Qui dit freelance dit souvent liberté, autonomie, métier de passion. Mais ne nous y trompons pas : la réalité est souvent bien loin de cet idéal ! Le statut d’indépendant est aussi synonyme de protection sociale limitée, d’activité fluctuante et d’une incontestable lourdeur administrative. Une réalité mitigée et un statut pas toujours enviable. Qu’en est-il en particulier dans le domaine des technologies, du digital et de la data ? Des domaines dynamique où le marché des talents est particulièrement tendu. Le freelances dans la tech sont-ils à envier ou éprouvent-ils les mêmes difficultés ?

Tribune publiée sur Maddyness

La tech, un secteur plutôt favorable aux freelances

Force est de constater que la situation y est plutôt meilleure que dans d’autres secteurs. À niveau d’expérience égal ; un développeur web freelance ou un consultant SAP éprouvera plutôt moins de difficultés à trouver des missions. Il sera mieux rémunéré qu’un photographe ou un consultant en communication indépendant.

D’abord, parce que la guerre des talents est particulièrement intense sur ces domaines de compétences. Les entreprises se livrant bataille pour attirer et fidéliser les meilleurs profils. Ensuite, parce que dans la tech et le numérique, les entreprises travaillent souvent en « mode projet ». Un mode de fonctionnement qui se prête très bien au freelancing, avec des besoins en compétences ciblés et limités dans le temps.

Et cette tendance s’accélère. Les entreprises s’ouvrent de plus en plus à l’idée de collaborer avec des freelances et se structurent pour une meilleure intégration de ce statut. Ce dernier alliant flexibilité et expertise. Pourtant, à y regarder de plus près, la réalité est plus hétérogène qu’il n’y paraît.

Des situations hétéroclites

Comme dans tous les secteurs et domaines d’activité, il peut être difficile pour les consultants freelances de se rendre visible auprès des entreprises. D’autant plus qu’ils sont en concurrence avec les ESN (anciennement SSII) qui répondent souvent aux mêmes besoins.

Par ailleurs, la logique de l’offre et de la demande varie beaucoup selon le domaine et la fonction. Si un consultant expert du progiciel de gestion SAP, de surcroît spécialisé sur un module spécifique, pourra fixer un taux journalier moyen  entre 600 et 1000 euros, un webdesigner se contentera…

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Compte bancaire pour auto-entrepreneur : quelle banque choisir ?

Tous les auto-entrepreneurs sont tenus d’ouvrir un compte bancaire dédié à leur activité professionnelle. Pour séparer ses finances ou avoir accès au prêt bancaire pour auto-entrepreneur, le choix d’une banque est capital. Compte bancaire pour auto-entrepreneur : quelle banque choisir ? Réponse avec Mindquest.

Quelle banque choisir quand on est auto-entrepreneur ?

Si les auto-entrepreneurs bénéficient d’un statut juridique particulièrement souple, surtout en comparaison de sociétés comme la SARL par exemple, ils doivent néanmoins respecter certaines obligations. Parmi elles, celle d’ouvrir un compte bancaire différent de leur compte personnel habituel et dédié à leur activité professionnelle. Mais en tant que micro-entrepreneurs ce n’est pas obligatoire d’opter pour un compte professionnel, souvent très onéreux. Compte bancaire pour auto-entrepreneur : comment bien choisir votre banque si vous êtes auto-entrepreneur ? Suivez le guide.

compte bancaire pour auto-entrepreneur

Pourquoi ouvrir un compte bancaire dédié pour auto-entrepreneur ?

L’ensemble des auto-entrepreneurs est tenu d’ouvrir un compte bancaire spécialement dédié à l’exercice de leur activité professionnelle et ce, depuis 2015. L’intérêt d’ouvrir un compte pour auto-entrepreneur est de permettre la distinction nette des revenus professionnels et des rentrées d’argent personnelles. Les deux comptes courant doivent donc être séparés pour bien différencier le compte bancaire pour auto-entrepreneurs du compte bancaire personnel.
En la matière, la législation française prévoit que « le micro-entrepreneur est soumis à l’obligation de détenir un compte dédié à l’ensemble des transactions financières liées à son activité professionnelle, dans un établissement de crédit ou un bureau de chèques postaux ».
Cette stricte séparation entre le compte personnel et professionnel permet, en cas de contrôle, de répondre des mouvements d’argent entrant et sortant en lien avec l’exercice de l’activité indépendante. Cela vous permet aussi d’avoir une vision plus fidèle de votre trésorerie grâce à votre compte bancaire pour auto-entrepreneur.


Découvrez notre dossier spécial : Gérer son argent quand on est freelance informatique, pour tout savoir sur les meilleurs moyens de gérer son argent si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.

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Compte bancaire pour auto-entrepreneur : les critères de choix de votre banque

compte bancaire pour auto-entrepreneur

Comment bien choisir une banque pour auto-entrepreneur qui correspond à votre activité ? Les auto-entrepreneurs ont par nature des revenus mensuels fluctuant. Or, nombreuses sont les banques à être frileuses face à ce type de profil. Choisir la bonne banque pour auto-entrepreneur peut donc s’avérer difficile au premier abord.
Dans un premier temps, il convient donc de faire la distinction entre les établissements bancaires acceptant des revenus variables et ceux qui réclament obligatoirement un revenu mensuel fixe minimum.

Si les banques traditionnelles tentent d’évoluer et de proposer des offres avantageuses, les banques en ligne sont particulièrement intéressantes pour les auto-entrepreneurs : elles sont, en règle générale, moins chères et imposent moins de contraintes horaires.

Une bonne banque pour auto-entrepreneur est donc une banque dont les frais sont peu – voire pas – élevés et dont les offres sont adaptées aux besoins de ce mode de travail.


Si votre activité d’auto-entrepreneur vient en supplément d’un poste fixe, vous aurez alors en principe plus de facilité à trouver des avantages dans une banque classique. Il en va différemment si votre activité indépendante compose votre seul revenu.

Le cas des auto-entrepreneurs ayant une activité salariée

Certains auto-entrepreneurs exercent leur activité indépendante en plus d’une activité salariée. Ils bénéficient donc d’un revenu fixe mensuel en plus de leur chiffre d’affaires.
Ceux qui perçoivent au moins 1 000 € chaque mois ont en principe plus de choix que les autres. Les solutions qui leur sont accessibles sont totalement gratuites, ce qui est une économie évidente, notamment en ce qui concerne les frais bancaires.

  • ING Direct : l’ouverture d’un compte peut se faire à partir d’un revenu mensuel fixe de 1 200 € au minimum. Cette banque propose la carte bancaire Gold MasterCard
  • BforBank : cette banque en ligne propose l’ouverture de compte pour les revenus fixes de 1 600 € mensuels minimum et une carte Visa Premier
  • Boursorama Banque : on ne présente plus cette banque en ligne qui propose une carte visa classique entièrement gratuite. Vous devez percevoir au moins 1 000 € de revenus fixes mensuellement pour y ouvrir un compte. Cette banque a également lancé d’autres offres de cartes pour les professionnels.

Le cas des auto-entrepreneurs aux revenus variables

Vous êtes auto-entrepreneur à temps plein et vous percevez des revenus variables de mois en mois ? Pour ce type de profil, il est important de se tourner vers des banques qui comprennent les besoins des auto-entrepreneurs.


Privilégiez une banque pour auto-entrepreneur sans condition, bien plus accessible. La banque Qonto ou le service proposé par Shine ont actuellement le vent en poupe. De plus il est possible de simplifier la gestion de ses finances avec Qonto et Mindquest grâce à notre partenariat. Ces offres bancaires nouvelles sont plus innovantes et comprennent des services de comptabilité intégrés. Pour ouvrir un compte, c’est très simple et il vous suffit souvent seulement de 10 minutes, directement en ligne.

Freelance : découvrez également notre article sur comment gérer ses revenus irréguliers ​de freelance.


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Aides pour freelance : découvrez celles auxquelles vous pouvez prétendre

Exerçant à leur compte une activité économique, les freelances sont des travailleurs indépendants qui perçoivent les fruits de leur activité. Mais ils en supportent aussi les risques. Ainsi, chaque travailleur indépendant qui décide de se lancer dans un projet en freelance peut prétendre à certaines aides. Elles sont en effet conçues pour favoriser la création d’entreprise. Tout dépendra de la situation personnelle et professionnelle du freelance. Au cours de son activité, il pourra aussi prétendre à certaines aides sociales. Notamment sous conditions de ressources. Zoom sur ces aides pour freelance.

1. Aides pour freelance : l’ACCRE, une aide les chômeurs et les jeunes

Qu’est-ce que l’ACCRE ?

L’Accre est un dispositif mis en place afin d’encourager la création d’entreprise. Il s’agit en effet d’un allègement du taux des charges sociales ; associé à un accompagnement durant les premières années de l’activité entrepreneuriale. Sur 3 ans, l’exonération des charges sociales est partielle et progressive.

Lire Tous les frais à prévoir pour devenir freelance.

Quelles sont les conditions pour bénéficier de l’ACCRE ?

Lorsqu’il démarre une activité, le micro-entrepreneur peut demander à bénéficier du dispositif d’aide au chômeur créateur ou repreneur d’entreprise (Accre) pour bénéficier de cotisations sociales réduites. Pour cela, il doit remplir certaines conditions ; en sachant qu’à compter du 1er janvier 2019 ; cette aide à la création d’entreprise sera ouverte à tous les autoentrepreneurs. Il doit être au choix :

  • demandeur d’emploi et bénéficier à ce titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) ou bien de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP)
  • demandeur d’emploi non indemnisé et être inscrit à Pôle emploi depuis au moins 6 mois depuis les 18 derniers mois
  • âgé de 18 à 25 ans maximum, âgé de moins de 30 ans dans le cas d’un handicap reconnu, ou âgé de moins de 30 ans et ne remplissant pas les conditions d’activité pour être indemnisé par Pôle emploi
  • avoir le statut de salarié licencié d’une entreprise en procédure de sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire et désireux de reprendre une entreprise en tout ou partie
  • être une personne physique reprenant ou créant une société dans un quartier prioritaire de la politique de la ville
  • être une personne physique sans emploi et ayant conclu un contrat d’appui au projet d’entreprise
  • bénéficier du complément de libre choix d’activité
  • bénéficier de la prestation partagée d’éducation de l’enfant
  • dans tous les cas, il doit obligatoirement créer ou reprendre une activité sous la forme d’une entreprise individuelle ou d’une société et en exercer le contrôle, ou bien être autoentrepreneur.

Comment faire une demande d’ACCRE ?

Si vous vous trouvez dans une des situations visées plus haut, vous pouvez alors prétendre à bénéficier de cette exonération partielle des cotisations sociales.
Pour faire la demande d’ACCRE, vous devrez remplir et envoyer un formulaire de demande (Cerfa 13584*02) ; au plus tôt en même temps que la création d’entreprise et au plus tard 45 jours après le début de l’activité ; à votre Centre de formalités des entreprises (CFE). Vous devrez y joindre le justificatif prouvant que vous êtes éligibles à l’ACCRE. Comptez 1 mois pour obtenir une réponse de l’URSSAF. Sachez que le silence vaut acceptation dans le cas où vous n’obtenez aucune réponse dans le mois qui suit la réception du formulaire.
Télécharger le formulaire Cerfa 13584*02

2. Aides pour freelance : l’ARCE pour la création ou la reprise d’une entreprise

L’ARCE, ou aide à la reprise ou à la création d’entreprise, est une aide financière versée sous forme de capital. Pour y prétendre, vous devez remplir les conditions suivantes, vous devez :

  • Être éligible à l’ACCRE ;
  • Ne pas avoir choisi de maintenir l’ARE (ou aide au retour à l’emploi) dans le cadre de votre activité entrepreneuriale ;
  • Ne pas bénéficier de l’aide différentielle de reclassement.

Si vous remplissez ces conditions, vous pouvez alors bénéficier de l’ARCE. Cette aide est versée en deux fois. La moitié à la notification de l’acceptation de la demande et la seconde moitié 6 mois plus tard. Son montant est égal à 45 % des sommes restantes à verser au titre des droits à indemnisation.

3. Aides pour freelance : congé pour création d’entreprise, une aide dédiée aux salariés

Cette aide est dédiée à tous les salariés qui souhaitent créer ou reprendre une activité, en tant que freelance ou pas. Pour en bénéficier, vous devez justifier d’un minimum de 2 ans d’ancienneté dans l’entreprise. Tous les salariés sont concernés, y compris ceux exerçant des responsabilités de direction dans l’entreprise.
En l’absence de toute convention ou accord de branche dans l’entreprise, la durée de cet avantage est fixée à 1 an. Elle peut être rallongée d’une année supplémentaire.

Comment demander à bénéficier d’un congé pour création d’entreprise ?

Dans le silence de l’accord applicable ou de la convention d’entreprise, le principe est que le salarié doit adresser sa demande de congé à son employeur par courrier recommandé. Il doit pouvoir justifier de la date de la demande. A noter que ce courrier doit être obligatoirement envoyé au minimum 2 mois avant le jour de départ en congé souhaité.

Quelle est la situation du salarié durant le congé ?

Le principe en la matière est que ce congé ne donne pas lieu à rémunération. Le salarié bénéficie d’un report de tous les congés non pris.

4. Aides pour freelance : la prime d’activité, une aide sous conditions de ressources

Sous certaines conditions, les travailleurs non-salariés tels que les freelances peuvent bénéficier du bénéfice de la prime d’activité depuis le 1er janvier 2016.
Il s’agit d’une aide financière dont la demande s’effectue auprès de la Caisse d’allocations familiales. Son objectif est d’apporter une aide financière aux travailleurs disposant de faibles ressources. Les salariés et les travailleurs indépendants peuvent y prétendre, sous certaines conditions. Ainsi, le chiffre d’affaires issu de l’activité indépendante doit être inférieur à certains plafonds. Pour les professions libérales et artisans, le chiffre d’affaires du dernier trimestre doit être inférieur à 8300 euros.

Comment faire la demande de prime d’activité ?

Pour faire une demande de prime d’activité, vous devez vous adresser à la Caisse d’allocations familiales dont vous dépendez. La demande se fait directement en ligne.
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