Si l’évolution technologique a grandement facilité le quotidien de milliers de professionnels dans le monde, elle a aussi servi de tremplin aux activités de cybercriminalité.
Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles à ce sujet pour vous aider dans votre veille stratégique.
Cybercriminalité : la facture ne cesse de s’alourdir
1,000 milliards de dollars : c’est la somme des coûts liés aux virus informatiques et vol de données par an. (Etude McAfee)
Une facture qui ne cesse de s’alourdir puisqu’elle a plus que doublé en cinq ans.
Les cybercriminels veulent un ROI plus fort avec des « attaques d’extorsion »
Selon le rapport d’Acronis, la cybercriminalité est sur le point de s’intensifier en 2021 avec des criminels qui délaisseront les attaques de chiffrement des données au profit d’attaques d’exfiltration de données.
Cybercriminalité : les entreprises victimes en parlent peu
Pénétrations de systèmes informatiques, vols de données sur des serveurs ou campagnes de dénigrement sur les réseaux sociaux… La criminalité numérique touche également les entreprises. Malgré l’existence de plusieurs plateformes de signalement, les faits restent plus nombreux que les plaintes enregistrées.
Les données de votre entreprise sont exposées sur le Dark Web ! Que faire ?
63 % des PME ont signalé un incident impliquant la perte d’informations sensibles concernant leurs clients et leurs employés en 2019, selon le rapport 2019 de l’Institut Ponemon. Et c’est sur le Dark Web que nous pouvons les retrouver en vente à des prix allant de quelques euros à plusieurs centaines d’euros.
Mais que faire lorsqu’on se rend compte que les données d’identification de son entreprise ont été exposées sur le Dark Web ?
De plus en plus de décideurs IT font le choix de recruter des consultants externes, en raison de la souplesse de cette solution. Mais attention, toute entreprise qui fait appel aux services d’un prestataire externe s’expose à des risques juridiques ! Ce type de contractualisation nécessite donc de prendre des précautions. Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le délit de marchandage quand on fait appel à un consultant.
Avant toute chose, un rappel utile : le contrat liant peut prendre plusieurs formes telles que le contrat de sous-traitance ou le contrat de prestation de services.
Le contrat de sous-traitance est un contrat par lequel une entreprise demande la réalisation de tout son travail, ou une partie seulement, à une autre entreprise. La sous-traitance peut concerner un produit, une prestation physique ou encore intellectuelle. Tandis qu’un contrat de prestation de services porte sur un service (immatériel) par lequel un maître d’ouvrage (le client) charge un maître d’œuvre d’exécuter un travail moyennant une rémunération.
Quels sont les sont les éléments constitutifs de ce délit ? Les consultants IT en freelance sont-ils concernés ? Comment s’en prémunir ? Découvrez l’éclairage de Mindquest sur le sujet.
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Le délit de marchandage selon la loi
Le marchandage est « une opération à but lucratif de fourniture de main d’œuvre, qui a pour objet de causer un préjudice au salarié ou d’éluder l’application des dispositions légales ou conventionnelles » selon l’article L8231-1 du Code de travail.
Autrement dit, il y a délit de marchandage si une entreprise met à la disposition d’une seconde entreprise ses salariés, qui subissent un préjudice directement lié à cette passation.
Très proche de la notion de prêt de main-d’œuvre illicite, le marchandage s’en distingue en ce que l’opération n’est pas exclusivement constituée par la fourniture de main d’œuvre.
Les éléments constitutifs du délit de marchandage
Pour parler de marchandage, la fourniture de main d’œuvre doit être à but lucratif et avoir l’un des deux effets suivants :
Porter préjudice au salarié. Le délit de marchandage se constitue dès lors que cette passation de main-d’œuvre cause du tort aux salariés. Peu importe les avantages éludés. En effet, le simple fait de la non-application des règles de travail temporaire entraîne un préjudice.
Aboutir à éluder l’application de dispositions légales ou de stipulations d’un accord collectif. Cet effet consiste à prouver que le salarié a été privé d’un avantage potentiel. Ce qui revient à un préjudice.
Quels sont les risques pour l’entreprise ?
Instaurée au bénéfice du salarié, cette interdiction entraîne des sanctions pénales et administratives. Retenant ainsi la responsabilité des deux parties : fournisseur et utilisateur.
Tout d’abord, le salarié victime de l’opération peut se porter partie civile dans le cadre d’une instance pénale. D’après l’article L 8234-1 du Code de travail, le délit de marchandage est puni de 2 ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Il est porté à :
5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Lorsque le délit est commis à l’égard de plusieurs personnes ou lorsqu’elle concerne une personne vulnérable ou en état de dépendance.
10 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Si l’infraction a été opérée en bande organisée.
Le juge peut également ordonner des sanctions supplémentaires. Confiscation d’objets, biens immobiliers ou interdiction de sous-traiter pour une durée de 2 à 10 ans ainsi que l’affichage du jugement dans la presse. Lorsque l’entreprise est une personne morale, la peine d’amende se multiplie par 5 et les peines complémentaires peuvent s’avérer plus graves.
150 000 € d’amende pour un délit de marchandage « simple » ainsi que la fermeture provisoire de l’établissement. Ou encore l’interdiction d’exercice et le placement sous contrôle judiciaire.
L’entreprise s’expose également à de conséquences sur son image? puisque l’affaire peut lui faire mauvaise presse. En effet, lorsqu’une amende est prononcée, la juridiction est dans la capacité d’ordonner une diffusion publique de l’information pour une durée maximale de deux ans par les services du ministre chargé du Travail sur un site internet dédié. (C. trav., art. L. 8224‐3 ; C. trav., art. L. 8224‐5 ; C. trav., art. L. 8234‐1 ; C. trav., art. L. 8243‐1 ; C. trav., art. L. 8243‐2 ; C. trav., art. L. 8256‐7).
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Le délit de marchandage concerne-t-il les consultants IT en freelance ?
Le risque de délit de marchandage, tout comme le risque de prêt de main d’œuvre illicite concerne par définition les consultants salariés.
Les entreprises qui font appel aux services d’un ou plusieurs freelances IT ne peuvent donc être sanctionné pour délit de marchandage sur la base de ces relations contractuelles. Sachez néanmoins qu’il existe d’autres risques juridiques en lien avec les freelances. En particulier la requalification du contrat de travail.
Comment se prémunir de ce délit quand on travaille avec un consultant ?
Les entreprises qui collaborent avec des experts externes doivent aborder avec vigilance plusieurs points :
La détermination d’un objet de mission clair et précis.
La fixation d’un tarif objectif en prenant en compte sa réalisation et du temps imparti.
Le détail des conditions de la mission (à développer le plus possible).
Surveiller sa posture de collaborateur tout au long de sa mission afin d’éviter tout lien de subordination.
L’entreprise peut également prendre la décision de travailler sur ce sujet avec un cabinet ou une entreprise spécialisée dans le placement de freelance. Afin de garder un contrôle sur sa position et éviter les risques de sanction ou de requalification.
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Un travailleur indépendant ou freelance informatique ne bénéficie pas d’une mutuelle d’entreprise. De ce fait, sa protection sociale dépend considérablement de son statut juridique, mais aussi de la complémentaire santé et du contrat de prévoyance auxquels il a souscrit. Alors, vers quelle mutuelle se tourner quand on est consultant SAP, développeur PHP freelance ou encore expert en IA indépendant ? Quelle couverture santé en freelance ?
Couverture santé en freelance : quelles différences entre un salarié et un freelance ?
Salarié et freelance sont deux statuts très différents. Le salarié est un travailleur qui dispose d’un certain niveau de confort. Souvent à la charge d’une entreprise, il bénéficie d’un revenu mensuel garanti avec un montant connu au préalable, d’une couverture santé, ou encore d’une assurance chômage. Par ailleurs, il faut savoir qu’un salarié ne peut exercer son métier que pour un seul employeur. Il a un lien de subordination avec ce dernier et a donc une liberté assez limitée.
Un freelance informatique travaille quant à lui pour des clients, et non pour un employeur. En établissant une facture pour les prestations effectuées, il perçoit l’intégralité des fruits de son travail. Chaque mois, son revenu n’est donc pas limité à un montant fixe. Un freelance informatique fixe lui-même ses horaires de travail et est considéré comme un chef d’entreprise. Il doit donc se charger de plusieurs fonctions : démarcheur, gestionnaire commercial ou encore comptable.
Un freelance informatique a moins de sécurité qu’un salarié dans son activité. Sa visibilité financière se limite à la portée des contrats signés. Aussi, il ne dispose pas de diverses couvertures sociales, sauf s’il effectue des souscriptions.
Depuis 2020, les travailleurs indépendants sont rattachés au Régime général de la Sécurité sociale. Ils sont ainsi rattachés à l’Assurance Maladie, comme les salariés. La Sécurité Sociale pour les Indépendants (ex-RSI) n’est plus d’actualité. La Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) locale remplace l’organisme conventionné. Les indépendants bénéficient des mêmes taux de remboursement de leurs dépenses de santé que les salariés.
Mais il existe une grande différence entre salariés et freelances : depuis le 1er janvier 2016, les employeurs du privé (hors particuliers employeurs) doivent proposer une couverture complémentaire de santé collective à l’ensemble de leurs salariés qui n’en disposent pas déjà. L’employeur doit participer pour au moins 50 % du montant des cotisations, le reste étant à la charge du salarié. Freelances et salariés ne sont donc bien souvent pas sur un même pied d’égalité en matière de couverture santé.
Il est donc crucial pour un freelance IT de se protéger pour pouvoir se consacrer sereinement à son activité. Souscrire une complémentaire santé n’est bien évidemment pas obligatoire pour un freelance, mais il est vivement conseillé de le faire pour compléter les remboursements des garanties de base prévus dans le cadre du régime de l’Assurance maladie, sous peine de se retrouver dans une mauvaise passe financière en cas de soucis de santé.
Choisir sa mutuelle quand on est freelance IT
La mutuelle TNS ou travailleur non-salarié est la couverture santé la plus adaptée à un freelance. Que ce dernier travaille dans l’informatique ou dans tout autre domaine. Pour obtenir la meilleure mutuelle, il est important d’anticiper ses besoins en matière de santé.
Par la suite, il faut choisir la mutuelle qui correspond à son budget, mais aussi aux diverses garanties nécessaires. Le budget est sans doute le critère de base afin de choisir une mutuelle pour freelance. Mais il n’est pas l’unique facteur. En effet, pour être bien couvert et ne pas payer de sa poche les dépenses concernant la santé, il vaut mieux ne pas lésiner et payer des cotisations qui en valent le prix.
Parmi les soins et garanties concernés, on retrouve généralement : les dépassements d’honoraires (consultations de spécialistes, examens médicaux spécialisés…) ; les lunettes ou lentilles ; les prothèses dentaires ; les hospitalisations…
Le délai de carence est aussi un critère important au moment de sélectionner sa mutuelle. Il faut savoir que certaines garanties ne peuvent pas être actionnées avant quelques semaines ou même quelques mois. Si le travailleur envisage de changer sa mutuelle prochainement, il est important de considérer ce détail.
Il faut aussi considérer les services supplémentaires. En principe, certaines compagnies d’assurance proposent des services particuliers. Par exemple, une consultation en télémédecine ou une aide ménagère en cas d’hospitalisation. Enfin, le taux et le délai de remboursement ne sont bien évidemment pas à négliger.
Déduire ses cotisations grâce à la loi Madelin
La loi du 11 février 1994 dite « loi Madelin », s’efforce de fournir des protections supplémentaires aux freelances. Le dispositif Madelin a été mis en place pour permettre aux travailleurs non-salariés d’effectuer une déduction des cotisations à verser sur leur revenu imposable pour qu’ils puissent se constituer une retraite complémentaire ou des garanties de santé.
La mutuelle TNS peut donc être en partie financée par les économies d’impôts.
Il est à noter qu’un travailleur indépendant qui dispose d’un statut d’auto-entrepreneur ne peut pas déduire ses cotisations mutuelles en raison de l’abattement sur le chiffre d’affaires. Cependant, les travailleurs non-salariés ; qui dégagent des bénéfices industriels commerciaux et des bénéfices non commerciaux ; peuvent déduire leurs cotisations de mutuelle dans la limite des plafonds de déduction fiscale. À noter que ceux-ci sont déterminés selon le plafond annuel de la sécurité sociale.
Enfin, pour bénéficier d’une complémentaire santé loi Madelin, le freelance informatique doit être à jour du paiement des cotisations à son régime d’assurance vieillesse et à son régime de maladie de base obligatoire.
Ces derniers mois le contexte économique a considérablement évolué avec la crise de la Covid-19. Une économie de la distanciation a émergé. Elle persiste dans cette situation incertaine où le Cloud s’est révélé comme une stratégie incontournable. Retrouvez dans cette revue de presse les 4 meilleurs articles d’actualité cloud de la semaine.
SAP et le cloud : une trajectoire qui divise
SAP a dernièrement perdu 30 % de sa valeur en une semaine. Cette nouvelle a poussé certains analystes financiers à prédire un avenir sombre à l’éditeur, pas assez cloud selon eux. Tandis que d’autres analystes IT considèrent ces idées comme impertinentes sur le long terme.
À quelle aune juger la transition de SAP vers le cloud ? Des éléments de réponse dans cet article.
Actualité cloud : Le cloud hybride s’installe progressivement dans les entreprises
50 % des dépenses des entreprises en solutions d’infrastructures s’orienteront majoritairement vers le cloud public en 2021. Contre 35 % en 2019, selon IDC. Pour le cabinet d’études, 2021 sera même l’année du basculement vers le cloud public.
Découvrez dans cet article la première partie du dossier « Cloud hybride » du site web LeMondeInformatique.fr
Le passage au cloud : une urgence vitale pour toutes les entreprises
Le cloud devient la solution incontournable face au défi d’adaptation et d’appropriation des concepts de collaboration. Défi auquel les entreprises font face. Celles qui ne parviendront pas à s’adapter et s’approprier les concepts de collaboration, d’agilité et d’efficacité opérationnelle, pourraient donc disparaître.
Crise ou pas crise, la consommation du cloud augmente d’un gros tiers tous les trimestres
Les dépenses en services d’infrastructure de cloud au troisième triste 2020 continuent à accroitre. Les plus gros bénéficiaires sont les quatre premiers fournisseurs mondiaux :AWS, Microsoft Azure, Google Cloud et Alibaba Cloud. À eux quatre, ils s’adjugent 64 % des parts de marché et attirent 40 % de la croissance.
La cybersécurité est en pleine ébullition. En effet, il y a une remise en question des compétences, des opportunités post-Covid ou encore un nouveau rapport Netscout sur les attaques DDoS…
Ainsi, nous avons sélectionné pour vous les meilleurs articles de la semaine traitant de la cybersécurité. Bonne lecture !
Les 3 points à retenir du rapport Netscout
Une attaque DDoS vise à rendre inaccessible un serveur ou un service en ligne. Effectivement, elle est effectuée via l’envoi de requêtes multiples ou l’exploitation d’une faille de sécurité visant à le submerger.
La fréquence de ces attaques durant la pandémie actuelle s’est accélérée. Le fournisseur de produits de gestion des performances des applications et des réseaux Netscout en a fait un rapport. Il vise à mesurer les menaces au premier trimestre 2020 (« Netscout Threat Intelligence Report »).
Des compétences en cybersécurité toujours insuffisantes
Suite aux changements qu’a entrainé la pandémie Covid-19, les professionnels de la sécurité informatique ont du prendre des décisions stratégiques. La protection des équipements et des collaborateurs est aujourd’hui un enjeu central.
Eric Devaulx, Directeur général de Sophos, explique que la sécurité informatique est victime de formations insuffisantes et d’un manque d’attractivité ; ce qui a des répercussions sur les équipes.
Cybercriminalité et cybersécurité dans un univers post-Covid
2020 n’a pas été une année de tout repos dans le monde entier. Plus particulièrement pour le secteur de la technologie et de l’informatique. Retrouvez dans cet article quelques leçons tirées de ces huit derniers mois pour se préparer au mieux à l’année suivante.
Cybersécurité : le guide pour protéger votre vie privée contre les pirates, les espions et le gouvernement
Aujourd’hui, la surveillance juridique est devenue un élément du quotidien qui met ainsi en péril la vie privée des internautes. Cependant, il existe des mesures vous permettant de garder le contrôle et de ne pas vous faire voler vos données.
Retrouvez dans cette revue de presse le meilleur des derniers articles traitant du Cloud.
Communications unifiées : la révolution Cloud
Depuis la récente crise sanitaire, l’activité des entreprises n’a jamais été si dépendante de ses outils de communication et de collaboration. Capacité à favoriser la collaboration et efficacité des collaborateurs : le Cloud s’est imposé comme la clé de voute des activités de l’entreprise en télétravail.
La migration des bases de données comme priorité des projets Cloud pour les décideurs IT
La migration des données analytiques (52%) ; des données analytiques (42%) ; et l’automatisation des bases de données (43%) sont les trois principales tendances sur lesquelles vont se concentrer les décideurs IT. (Etude de MariaDB).
Protection des données dans le cloud : les bonnes pratiques à l’ère du tout partagé
A l’ère du tout partagé, les attaques cybercriminelles ne cessent d’augmenter. Il est indispensable pour les organisations de bien comprendre : les avantages d’une optimisation de la gestion des différents types de comptes ; les causes des attaques ; et les bonnes pratiques en la matière pour réduire la surface d’attaque.
OVHcloud et T-Systems font alliance pour un projet de cloud public souverain
Dans le but d’échapper à la domination des GAFAM et sous l’impulsion des autorités franco-allemandes, OVHCloud et T-Systems viennent d’annoncer leur partenariat qui vise à bâtir une nouvelle offre dédiée aux données sensibles des entreprises.
Télétravail, réunions en visioconférence ou simple divertissement, notre consommation du numérique a en effet clairement augmenté durant la période de confinement. En conséquence : une consommation menaçante pour la capacité des réseaux à se maintenir et sur l’augmentation de nos impacts environnementaux. La solution : le Green IT.
Ainsi, Club Freelance a sélectionné pour vous 4 articles sur le Green IT, un sujet encore trop peu traité dans le secteur de la tech & IT.
Numérique et écologie, deux mondes à réconcilier
A l’heure où le télétravail est à son apogée, le taux d’équipement numérique des Français est en croissance et leur consommation du numérique atteint de nouveaux records. Dans cet article, le nouveau rapport sénatorial dédié à la sobriété numérique qui pourrait déboucher sur une proposition de loi
Quels sont les impacts environnementaux du numérique en France ?
Réalisée par des experts indépendants, l’étude « iNum » vise à quantifier les impacts environnementaux du numérique en France et à identifier des axes d’améliorations adaptées. Ainsi, retrouvez les résultats préliminaires de cette étude dans cet article.
Green IT : maîtriser la fin de vie de son matériel IT
Bon nombre d’entreprises intègrent dans leur politique RSE la destruction et le recyclage en bloc de leur matériel informatique. Alors qu’il existe une alternative plus respectueuse de l’environnement : l’adoption de stratégies de réemploi.
Numérique & Green IT : 10 astuces pour réduire son empreinte numérique
La consommation d’énergie des technologies de l’information et de la communication représente 21 % de la consommation totale d’une entreprise. Découvrez 10 gestes écoresponsables à adopter quotidiennement dans cet article.
Vous êtes développeurs ou le développement web vous intéresse ?
Ça tombe bien, nous avons sélectionné pour vous 4 articles à lire pour rester au courant de l’actualité du secteur.
Avec autant de travail à distance, les logiciels low code et no code gagnent du terrain
Dorénavant bien adaptées aux start-up disruptives, le mouvement du « no code » est en plein essor et pourrait faire ses preuves au sein ses entreprises très dispersées.
#BlackLivesMatter : GitHub va abandonner les termes “slave” et “master”
Sous l’impulsion du mouvement Black Lives Matter, nombreuses sont les entreprises qui ont décidés d’apporter du changement. Après que Google ait décidé de repousse le lancement d’Android 11 et Sony la sortie de la PlayStation 5, c’est au tour de Github d’agir.
De l’importance d’éco-concevoir les apps pour les développeurs
Bien qu’elles aient un fort impact environnemental, peu nombreux sont les concepteurs qui se préoccupent de l’importance de l’éco-conception des applications.
Navigateurs : Google répond aux développeurs sur la compatibilité de Chrome
En réponse à une enquête de Mozilla Developer, Google s’exprime et détaille ses travaux pour améliorer la compatibilité de Chrome avec les technologies du web.
Vous êtes intéressé par les actualités blockchain ? Club Freelance a sélectionné les meilleurs articles de ces dernières semaines pour vous aider dans votre veille stratégique !
COVID-19 : une technologie aux nombreux atouts en période de crise
Selon, Julien Furlanetto, manager chez Wavestone, les technologies Blockchain doivent davantage s’inviter dans les réflexions sur les actions à mener pour gérer la crise économique et financière liée à la pandémie de coronavirus. Il dessine, dans cette tribune, plusieurs scénarios.
L’écosystème Blockchain dépassera 20 milliards en 2025
Peut-on imaginer le monde de demain sans cet écosystème ? Cette question n’aurait tout simplement eu aucun sens, il y a 10 ans. Les projets, les solutions se multiplient ; la valeur de l’écosystème qu’ils forment, devrait dépasser les 20 milliards de dollars en 2025.
La Société Générale diffuse la blockchain dans ses activités de marché
Sa plate-forme Forge, qui vient de tester la première émission obligataire réglée en monnaie digitale banque centrale, espère passer à une phase commerciale.
Tencent va investir 70 milliards $ dans les nouvelles technologies comme la blockchain
Durant les 5 prochaines années, le géant chinois prévoit d’investir 70 milliards de dollars pour développer une infrastructure dédiée aux nouvelles technologies comme l’IA et la blockchain.
Si vous êtes un freelance IT à la recherche d’une nouvelle mission ; ou un professionnel ouvert à de nouvelles opportunités dans le monde de l’informatique et de la technologie ; améliorer votre visibilité sur Internet est capitale. Et tout comme pour les interactions en face à face, la première impression est cruciale pour un recruteur ou un futur client.
Si vous avez l’habitude de nous lir, vous savez sans doute déjà que chez Club Freelance, nous défendons une approche hybride du recrutement et du développement des talents. Nous pensons que ce n’est qu’en combinant le meilleur des outils numériques et de l’expertise humaine que nous pouvons aider nos candidats à exprimer pleinement leur potentiel.
Lorsqu’une entreprise cliente ou un recruteur identifie un candidat correspondant à un profil recherché, il procède à un examen approfondi de son empreinte numérique. Les incohérences et les signaux d’alerte détectés peuvent être de réels freins pour faire passer le candidat à l’étape suivante du processus. D’autre part, une présence en ligne insuffisante rend impossible toute identification du candidat, qui passe dès lors à côté d’opportunités.
Voici 6 conseils simples et faciles à prendre en compte pour tout professionnel IT qui souhaite se constituer une image solide sur Internet.
Améliorer votre visibilité sur Internet ? « Googlisez »-vous
Ce conseil peut vous sembler assez évident. Mais vous seriez surpris de voir combien de professionnels font l’impasse sur cette étape essentielle.
Vous vous souvenez du profil Copains d’avant sur lequel vous partagez vos anecdotes de collège ? du compte Myspace sur lequel vous diffusiez vos créations musicales dans les années 2000 ? Eh bien, soyez certain que Google s’en souvient. Il y a des chances pour que ces profils ne reflètent pas tout à fait qui vous êtes aujourd’hui. Ou peut-être qu’il est tout simplement préférable de garder votre vie personnelle pour vous. Quoi qu’il en soit, il peut être judicieux de supprimer ces informations, ou de les rendre privées.
Faites une recherche approfondie pour découvrir toutes les informations qu’un étranger trouverait s’il tapait votre nom sur un moteur de recherche. Puis examinez toutes ces informations. Demandez-vous si vous devez ou non supprimer certaines choses ou mettre à jour les paramètres de confidentialité des comptes associés à ces informations.
Soignez votre profil LinkedIn
Un profil LinkedIn bien renseigné est devenu une nécessité absolue pour tout freelance IT. Il est favorable à tout professionnel souhaitant rester actif sur le marché des talents. Votre page LinkedIn est un peu comme une carte de visite ou un CV virtuel. Vous pouvez la mettre à jour dès que vous le désirez.
Assurez-vous que votre photo est récente, professionnelle et en haute définition. Ajoutez une courte introduction dans la section « Infos » qui décrit en quelques mots votre parcours et vos aspirations. N’oubliez pas d’indiquer toutes les compétences pertinentes dans la section dédiée.
Ne vous contentez pas seulement d’ajouter des titres de postes et entreprises de manière chronologique dans la section « Expérience ». Fournissez une brève description de ce que vous avez fait pendant que vous travailliez pour cette entreprise ou de l’objectif du projet.
Soyez actif(ve) dans les réseaux de votre communauté
Feriez-vous confiance à un expert en réseaux sociaux qui n’est actif sur aucun réseau social ? Probablement pas. Vous gardez le secret sur vos expertises IT ? Ne vous attendez pas à ce que recruteurs ou clients devinent votre connaissance pointue de telle ou telle discipline technique.
Notre conseil : efforcez-vous d’être visible dans les cercles et réseaux qui comptent pour votre domaine d’expertise.
Si vous êtes développeur web, il peut par exemple être utile d’être actif sur AngelList ; si vous êtes développeur web, créez un profil solide sur GitHub. Participez à des groupes de discussion et à des forums.
Vous avez une belle plume ? Vous pouvez également rédiger des articles ou des posts avec des conseils ou des idées que vous aimeriez partager. Voici quelques exemples de contenus dont vous pouvez vous inspirer :
Assurez-vous de la cohérence des informations qui vous concernent sur Internet
Votre profil doit être cohérent sur toutes les plateformes et réseaux en ligne. L’image que vous projetez sur LinkedIn est-elle cohérente avec votre profil Twitter ? Vos anciens titres de poste sont-ils les mêmes sur les différents sites d’offres d’emploi ? Les dates de début et de fin des projets précédents correspondent-elles ?
La cohérence permet de transmettre un message unifié et solide sur qui vous êtes et ce à quoi vous aspirez.
Enfin, si vous voulez aller plus loin, et si vous êtes en recherche active d’un nouveau poste ou d’une mission, inscrivez-vous sur les portails des entreprises exclusivement dédiées au recrutement dans le domaine des technologies de l’information. Vous serez ainsi dans le collimateur des meilleurs recruteurs pour votre spécialité. Vous pouvez commencer par vous créer un compte Club Freelance.
Intéressez-vous aux mots clefs afin d’améliorer votre visibilité sur Internet
Vous savez sans nul doute comment fonctionnent les moteurs de recherche : les mots clefs sont déterminants pour remonter dans les résultats.
Vérifiez que vous faîtes bien apparaître sur vos profils tous les mots clés pertinents pour vous assurer une bonne place sur la page des résultats de recherche. Portez également une attention particulière aux synonymes, et veillez à inclure les variantes descriptives les plus courantes d’une activité ou d’une compétence.
Inspirez-vous de vos pairs
Utilisez la preuve par l’exemple.
Regardez et analysez les profils d’autres personnes dans votre domaine d’expertise IT. Cherchez des experts qui ont une présence en ligne efficace, voyez quels mots clés ils utilisent et inspirez-vous de leurs stratégie.
Vous avez un expert data dans votre réseau LinkedIn qui publie régulièrement du contenu ? Observez à quelle fréquence il poste des articles, comment il interagit avec d’autres experts de sa communauté, et quels sont les points forts de son profil.