Vous êtes salarié dans une grande entreprise ou employé d’une ESN et vous réfléchissez à vous lancer en freelance ? Bonne nouvelle ! A partir du 1er novembre 2019 vous pourrez démissionner et toucher des indemnités chômage. Pour, par exemple, lancer votre activité d’indépendant en toute sérénité. Club Freelance vous aide à y voir plus clair sur les avantages du statut de freelance, et sur ce qui change avec la réforme chômage chez les professionnels de l’IT ; promesse de campagne d’Emmanuel Macron qui ouvre de nouveaux droits aux indépendants.
Cet article a initialement été publié sur LinkedIn Pulse
Pourquoi passer en freelance quand on travaille dans l’informatique ?
Le statut de freelance présente de nombreux avantages… Plus de flexibilité et de liberté, possibilité de choisir ses clients et ses missions, et dans certains cas, une meilleure rémunération… Mais aussi être son propre patron fait incontestablement rêver de nombreux professionnels.
Par ailleurs, le recours aux indépendants s’est largement démocratisé dans le monde de l’entreprise, et les secteurs de la technologie et l’informatique sont plutôt favorables aux freelances.
Travailler en freelance nécessite un état d’esprit que n’ont pas tous les professionnels. Mais si vous avez l’esprit entrepreneurial, que vous savez…
Qui dit freelance dit souvent liberté, autonomie, métier de passion. Mais ne nous y trompons pas : la réalité est souvent bien loin de cet idéal ! Le statut d’indépendant est aussi synonyme de protection sociale limitée, d’activité fluctuante et d’une incontestable lourdeur administrative. Une réalité mitigée et un statut pas toujours enviable. Qu’en est-il en particulier dans le domaine des technologies, du digital et de la data ? Des domaines dynamique où le marché des talents est particulièrement tendu. Le freelances dans la tech sont-ils à envier ou éprouvent-ils les mêmes difficultés ?
Tribune publiée sur Maddyness
La tech, un secteur plutôt favorable aux freelances
Force est de constater que la situation y est plutôt meilleure que dans d’autres secteurs. À niveau d’expérience égal ; un développeur web freelance ou un consultant SAP éprouvera plutôt moins de difficultés à trouver des missions. Il sera mieux rémunéré qu’un photographe ou un consultant en communication indépendant.
D’abord, parce que la guerre des talents est particulièrement intense sur ces domaines de compétences. Les entreprises se livrant bataille pour attirer et fidéliser les meilleurs profils. Ensuite, parce que dans la tech et le numérique, les entreprises travaillent souvent en « mode projet ». Un mode de fonctionnement qui se prête très bien au freelancing, avec des besoins en compétences ciblés et limités dans le temps.
Et cette tendance s’accélère. Les entreprises s’ouvrent de plus en plus à l’idée de collaborer avec des freelances et se structurent pour une meilleure intégration de ce statut. Ce dernier alliant flexibilité et expertise. Pourtant, à y regarder de plus près, la réalité est plus hétérogène qu’il n’y paraît.
Des situations hétéroclites
Comme dans tous les secteurs et domaines d’activité, il peut être difficile pour les consultants freelances de se rendre visible auprès des entreprises. D’autant plus qu’ils sont en concurrence avec les ESN (anciennement SSII) qui répondent souvent aux mêmes besoins.
Par ailleurs, la logique de l’offre et de la demande varie beaucoup selon le domaine et la fonction. Si un consultant expert du progiciel de gestion SAP, de surcroît spécialisé sur un module spécifique, pourra fixer un taux journalier moyen entre 600 et 1000 euros, un webdesigner se contentera…
COMMUNIQUE DE PRESSE – L’entreprise de placements de consultants dans la tech et l’IT se classe parmi les entreprises où il fait bon travailler et continue d’agrandir ses équipes. Elle a décroché le label HappyAtWork dans ses trois bureaux, à Paris, Londres et Barcelone.
Paris – le 27 juin 2019, Mindquest s’est vu décerner le 18 juin dernier le label HappyAtWork, résultat d’une enquête indépendante sur la motivation et le bien-être au travail, menée auprès de ses salariés courant avril 2019. Pour sa première participation à l’enquête HappyAtWork, l’entreprise obtient une note globale de 4.62/5.
Près de 80% des collaborateurs de Mindquest ont participé à l’enquête, permettant la labellisation de chacun des trois bureaux de l’entreprise (Paris, Londres, et Barcelone), qui obtient un taux de recommandation de pas moins de 100%.
L’enquête HappyAtWork est une initiative menée par choosemycompany.com, qui repose sur un questionnaire adressé de manière anonyme et indépendante à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise, et constitué de 18 questions. Tous les détails de la méthodologie ainsi que les critères de labellisation sont disponibles sur le site choosemycompany.com.
« Nous sommes très heureux de ces résultats, car la réussite de Mindquest repose entièrement sur le talent et l’engagement des équipes. La vie interne de l’entreprise est très riche, et nos collaborateurs partagent l’envie d’aller plus loin ensemble. Il y a un très bel esprit, que nous avons à cœur d’entretenir. Nous grossissons vite mais souhaitons conserver les valeurs qui nous sont chères depuis le départ. » s’enthousiasme Thomas Delfort, cofondateur et CEO de Mindquest.
L’ « expérience employé » comme levier de performance organisationnelle
Les questions de bien-être au travail trouvent une résonnance toute particulière chez Mindquest. La société a bâti la force de son modèle sur la force de l’expertise humaine.
« L’aspect humain est au cœur de notre modèle d’entreprise. Face aux plateformes de mise en relation entre freelances et entreprises, notre grande valeur ajoutée est de proposer des conseils et un accompagnement sur le long terme. Le bien-être de nos collaborateurs est clé pour assurer la satisfaction de nos entreprises clientes et de nos consultants. Dans cette optique, nous accordons une importance capitale aux soft skills ; à l’intelligence émotionnelle et au savoir-être. » précise Manuela Garampon, cofondatrice et COO de Mindquest.
Mindquest compte aujourd’hui une quarantaine d’employés, avec une moyenne d’âge de 30 ans et des profils très variés. L’évolution en interne est encouragée, avec le développement de career paths et de formations spécifiques.
Nicolas Lesavre, employé de Mindquest témoigne. « J’ai intégré Mindquest à Londres en 2017 et j’ai eu la chance d’apprendre le métier de Talent Acquisition Specialist dans une ambiance start-up. Après seulement deux ans dans l’entreprise, on m’a offert l’opportunité de partir à Barcelone, pour rejoindre le Sourcing Hub récemment créé. J’y suis désormais Team Lead, avec la responsabilité d’une équipe d’une dizaine de personnes. »
Une forte croissance et de nombreux recrutements en vue
Grâce à ce modèle solide, Mindquest connaît une forte croissance. Près de 42% sur l’exercice fiscal 2018, et prévoit une quinzaine de recrutements d’ici fin 2019. Parmi les profils recherchés : des commerciaux pour les bureaux parisien et anglais ; des profils spécialisés en recrutement pour le bureau barcelonais ; et des fonctions support pour l’ensemble des bureaux.
A noter que Mindquest fait partie du top 200 entreprises qui recrutent dans le numérique en 2019. (Selon le classement établi par Frenchweb).
« Ces bons résultats nous engagent pour la suite » conclut Thomas Delfort. « Nous ne comptons pas nous reposer sur nos lauriers et il s’agira de conforter ce climat de travail sain et stimulant, sur l’ensemble de nos bureaux et dans un contexte d’augmentation des effectifs. »
A propos de Mindquest
Mindquest est une société de placement de consultants informatiques qui fédère des communautés de talents dans le domaine de la tech et l’IT. Elle les met en relations avec les entreprises les plus innovantes du marché. Né de l’association d’une experte en recrutement et d’un ancien directeur informatique, Mindquest compte aujourd’hui une quarantaine de collaborateurs présents à Londres, Paris, et Barcelone.
Envie de rejoindre les équipes Mindquest ? Rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle pour découvrir les postes actuellement ouverts !
Vous êtes satisfaits de travailler avec nous ? Laissez nous votre avis sur Mindquest. Votre opinion est précieuse pour nous et sera d’une grande aide pour les futurs professionnels de l’IT et de la finance souhaitant bénéficier de notre accompagnement. Merci de laissez votre avis sur le service Mindquest directement ici sur Google.
Pour la neuvième édition de la Semaine de l’Emploi dans le Numérique, FrenchWeb a recensé les prévisions de recrutements de profils tech des entreprises françaises pour établir son Top 200 des entreprises qui recrutent dans le numérique d’ici la fin 2019. Et bonne nouvelle : Club Freelance fait partie du classement ! En effet Club Freelance fait partie des 200 entreprises françaises qui vont recruter le plus dans le numérique en 2019. Avec un effectif actuel de 37 personnes et de nombreux recrutements en vue, nous nous hissons à la 108 ème place. Deux critères ont été combinés pour établir ce classement : le nombre de recrutements déclarés par les entreprises, ainsi que le ratio des créations de postes sur l’effectif total. Les entreprises qui ont prévu d’augmenter leur masse salariale sont donc mieux classées, à nombre de recrutements égal, que celles qui renouvellent des postes existants.
Envie de rejoindre les équipes Club Freelance ? Rendez-vous sur notre page Welcome to the Jungle pour découvrir les postes actuellement ouverts !
Club Freelance passe en revue ses données pour analyser l’évolution des demandes en consultants informatiques qu’ont exprimé les entreprises. Les données du baromètre correspondent à la répartition des besoins des entreprises en freelances Tech & IT par région ; ou encore la répartition des besoins par domaine d’expertise et langages et compétences techniques que les entreprises recherchent le plus. Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 899 missions sur la période du 23 octobre 2018 au 23 avril 2019.
Freelances IT : les spécialistes SAP sont les plus demandés, suivis des professionnels du cloud et du développement Web >> Lire l’article sur Développez.com
Comment bien intégrer les Freelances dans son entreprise ? Découvrez la réponse dans notre Tribune.
Tribune publiée sur le Journal du Net
Le recours à des indépendants offre de nombreux avantages comme la flexibilité ou la possibilité de mobiliser des compétences précises. Or, il n’est pas rare de constater que beaucoup d’entreprises n’ont pas les codes ou la structure interne adaptés à ce mode de travail, ce qui génère parfois des frustrations. Les Freelances étant de plus en plus sollicités, il convient de travailler sa marque employeur pour être sûr d’attirer les talents.
L’entretien
L’intégration d’un consultant démarre dès l’entretien. Ainsi, qu’il soit en présentiel ou non, cet échange va poser les bases d’une relation réussie. Il faut s’assurer que le candidat a le savoir-faire et savoir-être requis. Mais aussi – et c’est trop souvent oublié – démontrer l’intérêt de la mission et présenter les atouts de l’entreprise. Avant de s’engager, le Freelance doit être convaincu qu’ils lui permettront de s’épanouir et monter en compétences. Le jour de l’entretien, il faut veiller à bien recevoir. En effet, soyez ponctuel, prévenez le personnel d’accueil, préparez une salle de réunion, imprimez le CV du candidat et proposez lui un café. Le consultant doit sentir que son CV a été lu et percevoir l’intérêt pour son profil. Soyez le plus précis possible sur le contexte de la mission, l’environnement, les attendus, livrables ainsi que les tâches. Mieux vaut éviter les surprises en étant d’emblée très clair sur les enjeux du projet afin de s’assurer que la personne qui gèrera la prestation fournira un service de qualité. N’hésitez pas à indiquer dès la fin de l’entretien si votre retour est positif. Cela invitera le Freelance à rester positionné sur l’offre.
L’onboarding
Comme pour un recrutement interne, le process d’onboarding d’un consultant est important. En effet, un accueil bien réalisé montrera que l’entreprise traite les Freelances comme ses salariés et qu’elle s’adapte à cette forme de travail. Cela permettra au nouveau venu d’être opérationnel rapidement.
En amont du démarrage, prévoyez un échange téléphonique avec le Freelance, ou lui envoyer un email afin de lui communiquer les aspects pratiques de sa mission. A quelle heure se présenter ? Quel matériel est nécessaire ? Quelles contraintes d’accès, de sécurité ? Dans quel service s’installer et avec quelles équipes interagir ? Tous ces éléments permettront une arrivée sereine.
Outre savoir comment bien intégrer les freelances dans son entreprise, vous vous posez peut être des questions sur les différents points faisant partie du management d’un freelance. Pour en savoir plus découvrez notre dossier spécial : comment manager un freelance !
Club Freelance a compilé à travers une infographie du freelance IT, ses données pour analyser les caractéristiques démographiques, les domaines d’expertise, et les niveaux de TJM de sa communauté de consultants informatique. Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 5614 profils de consultants indépendants, travaillant dans le monde de la technologie et l’informatique.
Le portrait-robot : infographie du freelance IT
La presse en parle
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