L’intelligence Artificielle fait déjà partie de notre quotidien (assistant personnel, smartphone à reconnaissance faciale…) et il s’impose de plus en plus dans le monde de l’entreprise, avec de nombreuses applications technologiques (chatbot, maintenance des installations, etc.). L’Expert en Intelligence Artificielle a pour mission principale de concevoir des programmes informatiques capables d’effectuer des tâches similaires à celles réalisées par un homme. A la fois chercheur et informaticien, un expert en IA peut travailler pour des domaines d’activité très divers.
Expert en IA : le métier
Quel est le rôle de l’expert en Intelligence Artificielle
Assurer une veille permanente L’Expert en IA a pour mission de résoudre des problèmes complexes. La recherche et l’analyse sont donc à la base du métier. L’Expert IA doit avoir des compétences très poussées en informatique, son expertise étant constamment sollicitée dans la mise au point de projets d’intelligence artificielle. L’IA étant un domaine d’expertise encore relativement nouveau, l’expert en IA doit se tenir constamment au courant des évolutions technologiques.
Comprendre et analyser des problèmes Comme il a pour rôle de créer des logiciels qui imitent le raisonnement de l’homme, il doit savoir analyser le cerveau humain par rapport à un problème pour développer ensuite des interfaces homme-machine intuitives.
Développer et concevoir la solution L’expert en IA peut travailler sur des projets extrêmement divers et variés. Ses tâches quotidiennes sont en général : la conception algorithmique, les tests et essais d’erreur et la programmation.
Expert en IA : Compétences requises
Compétences techniques solides Le métier d’Expert en Intelligence Artificielle demande des compétences techniques poussées car les applications à base d’IA croisent de nombreuses technologies (web crawling, data mining, data science, machine learning, deeplearning …).
Force de proposition, et capacités d’écoute En ce qui concerne les soft skills, l’Expert en IA doit faire preuve d’un important esprit d’initiative, de qualités relationnelles et d’une bonne écoute. Ces qualités lui permettront notamment de mener à bien ses projets, de communiquer avec toutes les parties prenantes, et faire appel à des experts externes.
Aisance à travailler en équipe La recherche en Intelligence Artificielle n’est définitivement pas un travail solitaire. L’Expert en IA sera emmené à travailler avec divers experts et devra savoir fédérer ces experts et écouter leurs conseils pour faire avancer ses recherches.
Contexte
L’expertise en Intelligence Artificielle est très rare et est donc très recherchée. En tant que chercheur et informaticien, l’Expert en IA est hautement qualifié et peut exercer dans différents domaines d’activité. Tels que dans des ESN, dans des entreprises industrielles, dans des laboratoires de recherche…
Salaire
Le taux journalier moyen d’un Expert en Intelligence Artificielle se situe entre 700 et 1500€.
Formation d’Expert en Intelligence Artificielle
Pour devenir Expert en Intelligence Artificielle, une formation bac + 5 est nécessaire. Vous pouvez accéder à ce métier en ayant fait des études en mathématiques ou informatique. Cependant, vous devrez poursuivre votre formation et obtenir un master ou un diplôme d’ingénieur. Un mastère spécialisé ou encore un doctorat.
Après des années de recherches et de nombreux travaux réalisés, un Expert en IA peut facilement évoluer vers de nouveaux projets, intégrer des start-up innovantes dans la R&D, de grandes entreprises ou des centres de recherches.
L’un des métier très prisé des professionnels souhaitant devenir freelance informatique est celui de consultant SAP FI CO. SAP FICO est un composant fonctionnel de l’ERP SAP. Il est utilisé dans de nombreuses grandes entreprises pour générer et gérer des états financiers, qui sont utilisés pour le reporting, mais aussi pour l’analyse en vue de prises de décisions. Ce composant se divise en deux modules : SAP FI (Financial Accounting) pour la partie Finance et SAP CO (Controlling) pour la partie Contrôle de gestion :
Le module SAP FI permet aux entreprises de générer des états financiers tels que des bilans ou des comptes de résultats. Il est ainsi lui-même composé de modules secondaires dédiés à des processus comptables spécifiques : Comptabilité Client (FI-AR), Comptabilité des immobilisations (FI-AA), Grand Livre (FI-GL)…
Le module SAP CO gère les processus de planification, de reporting et de supervision des coûts des opérations. Module déterminant pour améliorer la rentabilité d’une entreprise, il est également composé de modules secondaires : Contrôle des coûts par produit (SAP CO-PC), Comptabilité des natures comptables (SAP CO-OM-CEL), Analyse du compte de résultat (SAP CO-PA)…
Le consultant SAP FI/CO est ainsi un expert de ces modules spécifiques. Tout d’abord, en amont de l’installation de ce progiciel, son rôle premier est d’analyser et de définir les besoins de l’entreprise. Il peut ensuite avoir un rôle de conseil ou de support.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Consultant SAP FI CO. Mais aussi les compétences principales, le salaire et la formation de ce professionnel de l’informatique.
Vous êtes consultant SAP à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance SAP ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions SAP directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI : Mindquest.
1. Le métier de Consultant SAP FI CO : quel est sont rôle ?
1.1. Analyser et évaluer les besoins des utilisateurs
Avant d’installer la solution, le consultant SAP FI/CO doit analyser et comprendre les besoins des utilisateurs. De ce fait, il sera en mesure de définir précisément quelles sont les fonctionnalités à paramétrer.
1.2. Développement de la solution et de ses fonctionnalités
Une fois l’analyse réalisée, ce professionnel a pour rôle de mettre en place la solution. Sa connaissance des besoins lui permet de développer des fonctionnalités sur mesure. Ainsi, la solution mise en place couvrira entièrement les spécificités de l’entreprise.
1.3. Former les futurs utilisateurs
Une fois la solution installée, le consultant SAP FI/CO doit s’assurer que les futurs utilisateurs puissent manipuler le logiciel. Il assure alors la formation des futurs utilisateurs. Et peut être emmené à jouer un rôle de support, en cas d’éventuels problèmes.
2. Consultant SAP FI CO : Compétences requises
2.1. Expertise technique
En tant que consultant SAP FI CO, la maîtrise du module SAP FI CO est bien évidemment indispensable. Comme pour le Solutions Architect, ce consultant doit ainsi posséder de très bonnes connaissances techniques dans sa spécification. Ceci de sorte à pouvoir répondre pleinement aux besoins du client. Et à développer des fonctionnalités adaptées, mais aussi de valider et documenter les exigences du projet.
2.2. Connaissances en comptabilité, finance d’entreprise & contrôle de gestion
La connaissance métier est indispensable au consultant FI CO. Il doit maîtriser et comprendre les problématiques des utilisateurs finaux. Ainsi que les processus de l’entreprise. Ceci pour mettre en place des flux adaptés dans le système d’information.
2.3. Un bon esprit d’analyse
Les soft skills sont également indispensables. Le consultant SAP FI/CO doit être capable d’analyser au mieux les processus et les métiers de l’entreprise, pour déterminer si les fonctionnalités nécessaires relèvent d’une utilisation standard de SAP FI CO ou bien si elles relèvent d’un développement spécifique. Il a également souvent un rôle d’intermédiaire entre équipes techniques et métiers.
Vous souhaitez en savoir plus sur l’ERP ? Découvrez notre dossier spécial sur l’ERP et les avantages et les inconvénients de SAP.
2.4. Sens de l’écoute et pédagogie
Pour mieux cerner les besoins de l’entreprise, le consultant SAP FI CO doit avoir une bonne aisance relationnelle et toujours rester à l’écoute de son client et des futurs utilisateurs pour évaluer leurs besoins. De même, une fois la solution mise en place, le consultant devra assurer la formation des futurs utilisateurs : être un bon communicant et pédagogue s’avère donc très utile.
Vous êtes freelance informatique à la recherche de missions IT pour consultant SAP ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.
3. Contexte
Le consultant SAP FI CO occupe un rôle important lors d’une transition vers le numérique. Ce sont généralement les grandes entreprises qui font appel à ce type de profils. Depuis peu, certaines PME intègrent cet outil à leur activité pour gagner en compétitivité. Aujourd’hui, les besoins de entreprises en expertise SAP FI CO sont nombreux !
4. Salaire du Consultant SAP FI CO
Le taux journalier moyen d’un consultant SAP FI/CO se situe entre 400 et 1000 €, ce qui est assez similaire à celui d’un Ingénieur VoIP. Le tjm dépend beaucoup du niveau d’expérience et d’expertise du consultant.
Le consultant fonctionnel FI CO peut venir d’une école de commerce option finance, d’une école d’ingénieur, ou même d’un parcours comptable (DESS par exemple). Il est généralement nécessaire de passer les différentes certifications SAP concernant les modules SAP FI et SAP CO, et avoir plusieurs années d’expérience en projets d’implantation et de soutien.
L’évolution classique de ce consultant consiste à se voir confier des missions d’intégration de plus en plus importantes, et à encadrer une équipe.
6. Téléchargez votre fiche métier Consultant SAP FI CO :
Vous recherchez des opportunités de missions informatiques dans la Tech et l’IT en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de Consultant SAP FI CO en consultant nos offres de missions freelances et CDI disponibles sur notre plateforme numérique de recrutement Mindquest :
La complexité croissante des technologies de l’information et le traitement de données de plus en plus sensibles rend le système d’information d’une entreprise extrêmement stratégique. Mais aussi vulnérable. Le SI est plus facilement sujet à des dysfonctionnements. Pour limiter les impacts de tels dysfonctionnements, les entreprises mettent en place des phases de qualification/test. Le rôle du consultant en qualification logicielle est d’élaborer et d’implémenter ces stratégies de test.
Devenu un métier à part entière, le consultant en qualification logicielle s’assure de la qualité du SI développé. Il intervient en phase de test (recette) lors du développement ou de la mise à jour d’une application ou encore sur des projets d’intégration de SI.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Consultant en qualification logicielle, les compétences requises, le salaire et la formation de cet expert IT.
Vous êtes freelance informatique à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance ou en CDI ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions IT directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI Minquest.
1. Le métier de Consultant en qualification logicielle : quel est son rôle ?
1.1. Préparation des plans de test
Le consultant en qualification logicielle joue un rôle très important en amont de la phase de test. Une de ses principales missions est de mettre en œuvre le plan de qualification logicielle. Et de ce fait, de mettre en place une méthodologie et une stratégie d’automatisation. Cette première étape passe par la rédaction des scénarios et la préparation de la plateforme de test.
1.2. Analyse des résultats et identification des anomalies
Une fois la phase de recette terminée, cet expert IT doit analyser et déclarer les anomalies rencontrées. Cela prend la forme d’un rapport, qu’il rédige. Il contient des recommandations d’amélioration sur le SI ou le logiciel testé. Il est aussi en charge de réaliser un bilan d’avancement sur les campagnes de tests.
1.3. Assurer un support méthodologique
Le rôle de ce freelance informatique est également d’apporter un support méthodologique aux équipes opérationnelles (développeurs, AMOA, MOE…). Ce support concerne le processus mais aussi la conception et le suivi du testing. Par exemple, il peut être amené à aider et à conseiller sur le choix d’une plateforme de tests et d’accompagner son intégration.
2. Consultant en qualification logicielle : Compétences requises
2.1. Maîtrise des méthodes et des outils de test
Le test constitue le cœur du métier de consultant en qualification logiciel. Il doit donc avoir une grande maîtrise des outils et des méthodes de testing. Il doit avoir de bonnes connaissances sur les problématiques et les enjeux des tests, les modèles d’évaluation et d’évolution des processus, les méthodes de génération automatique des tests…
2.2. Connaissances techniques
Le consultant en qualification logicielle doit avoir une solide base technique en informatique. En plus de maîtriser les méthodes et les outils de test, il se doit de maîtriser le processus de développement d’un logiciel et d’être très à l’aise avec les systèmes d’information. Cela lui servira notamment pour l’écriture des scripts. Ces connaissances lui permettent une grande autonomie et une bonne adaptabilité sur tous types de projets, avec des équipes pluridisciplinaires.
2.3. Soft skills
Être méthodique, consciencieux et rigoureux est indispensable pour cet expert freelance. En plus de respecter des directives et normes, il doit être capable de déterminer précisément les enjeux et impacts d’une anomalie. Ce métier requiert par ailleurs de l’intuition et de la créativité. En effet, pour représenter aux mieux tous les comportements d’utilisateurs, le consultant en qualification logicielle doit être capable de sortir des sentiers battus. C’est un métier qui requiert également un excellent relationnel et un sens aigu du service dans la mesure où il se trouve à l’interface des équipes de développement et des futurs utilisateurs de la solution.
3. Contexte
Le métier de consultant en qualification logicielle est un métier relativement récent. Il fait partie des métiers du futur, nés grâce à l’essor croissant des nouvelles technologies. Les consultants en qualification logiciel sont aujourd’hui très recherchés par des ESN, des éditeurs de sites ou de jeux vidéo, des cabinets spécialisés dans le test, ou bien par des grandes entreprises qui commencent à intégrer des cellules de test au sein de leurs équipes.
Vous êtes un candidat en freelance à la recherche de missions informatiques ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.
4. Salaire du Consultant en qualification logicielle
Le taux journalier moyen d’un consultant en qualification logiciel se situe entre 300 et 600€. En CDI, le salaire moyen d’un consultant en qualification peut grandement varier, allant de 40 000 à 100 000.
Pour accéder à ce métier il est recommandé d’avoir un niveau bac +2 à bac +5. Un BTS informatique, un DEUST informatique (Diplôme d’Etudes Universitaires Scientifiques et Techniques) ou encore un diplôme d’ingénieur, sont en effet des formations qui vous permettront d’accéder à ce métier. Attention cependant, une forte expérience en ingénierie logicielle ou en testing qualité est demandée avant de pouvoir exercer le métier de consultant en qualification logicielle.
C’est un métier qui est emmené à évoluer et à prendre de plus en plus d’ampleur. En tant que consultant en qualification logicielle, vous pouvez évoluer comme Expert fonctionnel, Expert technique, Consultant AMOA…
6. Téléchargez votre fiche métier Consultant en qualification logicielle :
Vous recherchez des opportunités de missions dans l’informatique en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de Consultant en qualification logicielle en découvrant nos offres de missions disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :
Dans un projet informatique, on retrouve souvent un responsable MOA (maître d’ouvrage) et un responsable MOE. Le responsable MOA définit le besoin fonctionne. Le responsable MOE définit comment le faire d’un point de vue technique et en assure la réalisation. Le chef de projet AMOA (Assistance à Maîtrise d’Ouvrage) assiste le Consultant MOA afin de l’aider à gérer le projet. Il met en place des moyens et des compétences tout au long du projet.
Sa mission principale est donc d’assurer la définition de ses besoins pour qu’ils soient traduit de manière fonctionnelle dans le cahier des charges.
Il va conseiller le MOA et être l’interface entre lui et le MOE, pour s’assurer que le besoin est compris de la même façon par tout le monde.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Chef de Projet AMOA, les compétences requises, le salaire et la formation de ce professionnel de l’IT.
Avant toute chose il est important de connaître la définition de l’AMOA. La signification d’AMOA est simple. L’AMOA (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) est une discipline de gestion de projet et de conseil qui consiste à apporter un soutien externe à une organisation ou à une entreprise pour la réalisation d’un projet. L’objectif de l’AMOA est ainsi d’assurer que le projet soit mené à bien en respectant les objectifs, les délais, les coûts et la qualité prévus.
L’AMOA a ainsi pour définition de jouer un rôle clé pour garantir le succès d’un projet. Ceci en veillant à ce que les besoins de l’entreprise soient correctement compris, que le projet soit correctement planifié et exécuté, et que les résultats attendus soient atteints. Il est ainsi important d’avoir bien en tête la signification d’AMOA pour comprendre les éléments à venir ci-dessous.
2. Différences entre Consultant AMOA et Chef de projet AMOA
2.1. Définition consultant AMOA
Pour commencer, il est important de connaître la définition d’un consultant AMOA. Un consultant en AMOA (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) a pour définition d’être un professionnel spécialisé dans la gestion de projet et le conseil. Son rôle principal est ainsi de fournir un soutien externe à une organisation ou à une entreprise dans la réalisation de projets. Plus précisément, le consultant en AMOA se concentre sur l’accompagnement de la Maîtrise d’Ouvrage (MOA), c’est-à-dire la partie de l’organisation qui porte le besoin métier du projet.
2.2. Mais quelle est la différence avec un chef de projet AMOA ?
En somme, le consultant en AMOA (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) conseille et assiste la Maîtrise d’Ouvrage dans la définition des besoins et la gestion des prestataires, en mettant l’accent sur l’analyse des besoins métier et la communication. En revanche, le chef de projet en AMOA assume une responsabilité opérationnelle plus directe dans la planification, l’exécution et la gestion globale du projet, en veillant à respecter les délais, les coûts et la qualité. Ces deux rôles sont complémentaires et contribuent au succès d’un projet.
3. Le métier de Chef de projet AMOA : quel est son rôle ?
Les missions d’AMOA (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) sont variées et visent à soutenir le succès d’un projet en veillant à ce que les besoins métier soient correctement compris, spécifiés et pris en compte tout au long du cycle de vie du projet. Voici ainsi les principales missions d’un Chef de projet AMOA :
3.1. Chef de projet AMOA : Analyser les besoins du client
Le Chef de Projet AMOA se doit d’être à l’écoute de son client pour définir les besoins auxquels la MOE doit répondre. Il va réaliser des études qui permettront de définir si le projet est réalisable techniquement parlant et économiquement parlant. Il est donc amené à réaliser un budget prévisionnel, faire une évaluation des risques ou encore à définir les modalités de déploiement du projet.
3.2. Être coordinateur et décisionnaire
Le Chef de Projet AMOA à pour rôle de traduire les besoins de son client à un prestataire technique, la MOE, dans une approche fonctionnelle. C’est donc lui qui définit le cahier des charges et qui organise toutes les phases du projet. Pour le bon déroulement du projet, il doit être capable de coordonner les intervenants et d’avoir une position d’arbitre afin de satisfaire les besoins et d’assurer la compréhension des différents interlocuteurs.
3.3. Assurer un suivi de l’ensemble du projet
A la tête du projet, le Chef de Projet AMOA est responsable de l’élaboration du rétroplanning, du respect du budget, des délais et de la qualité du rendu. Pour optimiser les résultats du projet, il met en place des outils de test et de contrôle et gère la résolution des anomalies. Il propose également des actions correctives lorsque les résultats des tests ne sont pas satisfaisants. Il est également garant des formations une fois le projet finalisé.
4.1. Connaissances techniques sur les outils et sur les métiers
Au-delà de ses compétences fonctionnelles, le Chef de Projet AMOA possède des bonnes notions sur les techniques de développement ; sur les bases de données, sur les langages de programmation ainsi que sur les différents métiers pouvant intervenir sur le projet. C’est un métier qui demande d’actualiser sans cesse ses connaissances. Le Chef de Projet Assistance à Maîtrise d’Ouvrage exerce en effet dans un domaine qui est en constante évolution.
4.2. Très bon relationnel
Le Chef de Projet AMOA joue souvent le rôle de médiateur. Il doit en effet animer les réunions projet et désamorcer les éventuels conflits pouvant survenir. Il doit également savoir faire preuve de pédagogie lors des formations. Toutes ces qualités relationnelles doivent se traduire en compétences managériales. Elles lui permettent ainsi de fédérer des équipes très différentes autour d’un même projet.
4.3. Expert en gestion de projet
Au-delà de toutes ces compétences, il est avant tout un expert en gestion de projet. Il a en effet le sens de l’organisation et de la planification. C’est un véritable chef d’orchestre qui travaille avec rigueur et méthode.
5. Contexte
Le Chef de Projet AMOA est très demandé par des prestataires de services tels que les SSII en informatique ou les sociétés de conseil. Mais il peut également travailler directement dans une grande société.
Ce métier est parfois comparé au métier de Product Owner, basé sur la méthode agile. Mais les deux métiers diffèrent en de nombreux points.
6. Salaire AMOA
Les salaires dans le domaine de l’AMOA (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) varient en fonction de nombreux facteurs, notamment l’expérience, la localisation géographique, la taille de l’entreprise et la complexité des projets.
Le salaire d’un chef de projet en AMOA peut ainsi grandement varier.
Voici une estimation du salaire d’un chef de projet AMOA :
Débutant ou Junior : le salaire AMOA annuel brut peut varier généralement de 40 000 € à 55 000 €.
Confirmé ou Intermédiaire : avec quelques années d’expérience, le salaire annuel brut peut aller de 55 000 € à 75 000 €.
Expérimenté ou Senior : pour les chefs de projet en AMOA expérimentés, le salaire annuel brut peut dépasser 75 000 €, atteignant parfois 100 000 € ou plus, notamment dans les grandes entreprises ou les projets complexes.
Voici une estimation du TJM d’un Chef de Projet AMOA :
Débutant ou junior : le TJM peut se situer entre 400 € et 700 € par jour.
Avec quelques années d’expérience : le TJM peut varier de 700 € à 1 000 € par jour.
Expérimenté ou senior : le TJM peut dépasser 1 000 € par jour, notamment dans les missions complexes ou les grandes entreprises.
Un Bac +5 en école d’ingénieur ou un master en informatique sont appréciés. Vous pouvez vous orienter dans des études qui couvrent des secteurs tels que le management, la gestion ou les finances et compléter vos connaissance avec une expérience professionnelle dans la technologie, les SI.
L’évolution du poste est souvent surtout de travailler sur des projets plus importants et complexes. A terme, un chef de projet AMOA peut prétendre à des fonctions de direction comme directeur de projet ou DSI.
8. Téléchargez votre fiche métier Chef de projet AMOA:
Vous recherchez des opportunités de missions dans l’informatique en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de Chef de Projet AMOA en consultant nos offres de missions disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :
Aider les entreprises à se réinventer à l’heure du numérique : c’est la mission du consultant en transformation digitale. Il conseille et accompagne les entreprises qui souhaitent adapter leur structure, intégrer de nouvelles technologies ou plus généralement bénéficier des innovations disponibles au sein de leurs activités.
Il s’agit ainsi d’un métier très porteur qui requiert des compétences en gestion de projet et de fortes connaissances dans le domaine du numérique.
Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Consultant en transformation digitale, les compétences requises, le salaire et la formation de ce professionnel de l’IT.
Vous êtes consultant informatique à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses missions IT directement sur notre plateforme de recrutement freelance & CDI Minquest.
1. Le métier de Consultant en transformation digitale : quel est son rôle ?
1.1. Réaliser un audit et analyser les attentes du client
Il s’agit de la phase de conceptualisation, durant laquelle le consultant en transformation digitale rencontre son client pour connaître ses attentes et analyser l’existant. Pendant cette phase il réalise en effet un audit et rencontre souvent de nombreux interlocuteurs internes. Son analyse se base sur les processus de l’entreprise, son organisation ainsi que sur les outils qu’elle utilise.
1.2. Proposer un plan d’action et des axes d’amélioration
Une fois le diagnostic validé, le consultant entreprend la phase de mise en œuvre. Il accompagne ainsi le client dans l’implémentation des solutions proposées pour optimiser la performance de l’entreprise. Cette phase peut inclure des tâches extrêmement variées, dans la mesure où la transformation digitale implique des bouleversements profonds en matière d’outils, de processus et de structuration des équipes.
1.3. Former les équipes aux nouveaux outils et méthodes
Le métier de consultant nécessite de s’adapter sans cesse et comporte une large part d’humain. Il faut ainsi savoir évangéliser en interne et convaincre de l’intérêt des changements opérés. Ces changements amènent souvent le consultant à intervenir sur le mode de management existant et à proposer une nouvelle organisation. Pour cette raison, l’une des missions de ce professionnel de l’IT est également de former les équipes afin que les transformations soient comprises et acceptées.
Dans le terme consultant il faut entendre « conseil ». C’est pourquoi le Consultant en transformation digitale doit maîtriser l’art de la communication (orale et écrite) et avoir un sens relationnel très développé. De plus, il doit être capable d’analyser et de synthétiser les attentes de son client, pour pouvoir le convaincre et le rassurer. La maîtrise de l’anglais est indispensable, dans la mesure où les missions de cet expert IT recouvrent souvent des enjeux globaux et internationaux.
2.2. De bonnes capacités d’adaptation
Dans le monde du consulting, l’adaptation au client et à la mission est primordiale. Ce consultant doit donc être en mesure de comprendre rapidement le contexte et mettre en application les bonnes pratiques. Il doit par ailleurs être pédagogue, et capable de vulgariser son propos pour être compris de tous.
Le métier de consultant en transformation digitale recouvre des réalités très différentes et répond à de très nombreuses problématiques. Mais dans tous les cas, le consultant doit présenter des connaissances techniques sur les problématiques spécifiques sur lesquelles il travaille. En d’autres termes, le consultant doit comprendre et maîtriser le langage de tous les corps de métiers avec lesquels il est amené à travailler et doit souvent jouer le rôle d’intermédiaire entre les équipes, notamment sur des profils techniques (développeurs, ingénieurs…).
2.4. Être curieux et passionné
Dans ce métier, les évolutions sont par excellence nombreuses et fréquentes ! Ce consultant doit donc constamment actualiser son savoir professionnel et se tenir informé des dernières avancées en matière de technologies, mais aussi en matière d’innovation managériale, et suivre les actualités du secteur dans lequel il évolue.
Le consultant en transformation digitale peut travailler pour un cabinet de conseil ou directement en entreprise. De nombreuses organisations sont aujourd’hui dans l’obligation de repenser leur fonctionnement et ainsi d’engager un processus de transformation dite digitale. Et ce, dans tous les secteurs d’activité. Il s’agit donc d’un métier très porteur.
Vous êtes freelance informatique à la recherche de missions IT ? Postulez dès à présent aux missions qui vous correspondent sur notre plateforme de recrutement informatique Mindquest.
4. Salaire du consultant en transformation digitale
Le taux journalier moyen d’un Consultant en transformation digitale se situe entre 500 et 800€. D’autre part, en CDI, le salaire moyen d’un consultant en transformation digitale se situe généralement entre 50 000 et 100 000 euros par an.
5. Formation du consultant en transformation digitale
Pour devenir Consultant en transformation digitale, une formation de niveau Bac +5 est nécessaire. Les formations possibles sont très variées et dépendent ainsi grandement du domaine d’expertise correspondant à chaque mission : école d’ingénieur, école de commerce ou formations universitaires peuvent mener à ce métier.
6. Téléchargez votre fiche métier consultant en transformation digitale:
Vous recherchez des opportunités de missions dans l’informatique en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de Consultant en transformation digitale en consultant nos offres de missions disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :
À l’heure où les informations inondent quotidiennement les entreprises leur permettant d’optimiser leurs stratégies, il devient nécessaire pour elles d’exploiter ces données massives. C’est le travail d’un technicien hautement qualifié : le Data Analyst.
Le métier de Data Analyst
Créer et modéliser les bases de données
Une des premières missions du Data Analyst est de recueillir, traiter et étudier les données statistiques. Ceci pour produire des analyses métiers et fournir des recommandations. Pour cela, le Data Analyst crée et modélise les bases de données nécessaires à l’entreprise. Il atteste de leur bon fonctionnement et de la mise à jour régulière de la base de données.
Définir des critères de segmentation
Le Data Analyst a également pour mission de définir des critères de segmentation afin d’étudier au mieux les chiffres. Pour ce faire, il doit trouver des sources de données pertinentes qui lui permettent par exemple de définir la cible des campagnes marketing et les tendances d’achats ou de consommation.
Vulgariser les données et les rendre accessible
Extraire et traduire des données business en données statistiques permet de synthétiser et de vulgariser les informations. Ainsi, ce traitement des données permet aux dirigeants de l’entreprise et aux équipes de pouvoir analyser les données et de s’en servir comme levier de performance.
Les compétences requises
Passionné de chiffres et de statistiques
Le Data Analyst doit être capable de réaliser des tableaux et des bilans sur l’ensemble des données de l’entreprise. En effet les méthodologies statistiques et les modèles mathématiques doivent être un jeu d’enfant pour lui.
Maîtrise des outils et langages informatiques
En exerçant cette fonction, le professionnel sera amené à utiliser des outils spécifiques au Big Data pour transformer les données brutese informations utiles (comme Excel, SAS, SQL, VBA, ACCES ou encore R). Bien sûr, le langage informatique ne doit avoir aucun secret pour lui.
Capacité d’analyse et rigueur
Sa capacité d’analyse doit lui permettre de dégager des tendances pouvant aboutir à des recommandations sur les futures stratégies à adopter. Curieux, il doit également s’intéresser au marketing afin de pouvoir conseiller les dirigeants et le traitement de données qu’il opère nécessite une grande rigueur.
Contexte
Data Analyst est une fonction plus que porteuse qui est amené à fortement se développer. En effet, avec l’évolution du tout numérique, les entreprises font face à une croissance exponentielle du nombre de données.
Les grandes entreprises dans le domaine de la finance, du commerce, du marketing, de l’industrie et de la médecine sont les plus susceptible de recruter dans ce domaine.
Salaire
Le taux journalier moyen d’un data analyst se situe entre 400 et 800€.
Vous souhaitez en savoir plus sur le Big Data et la Business Intelligence ? Découvrez notre dossier spécial sur les différences entre la Business Intelligence et le Big Data.
Formation
Pour devenir Data Analyst, une formation de niveau Bac +4/+5 est requise. Les entreprises ont tendance à privilégier les candidats ayant suivi des cursus dans les domaines de l’ingénierie, des statistiques, ou encore de l’informatique.
Pour aller plus loin, il est possible de s’orienter vers un Bac +6. En effet, des mastères spécialisés (MS) commencent à s’ouvrir. Plusieurs évolutions sont donc envisageables, comme des postes de consultant tels que Data Scientist, Ingénieur Business Intelligence, Data Engineer ou encore Chief Data Officer.
Le Data Analyst est le maître d’œuvre de toutes les opérations des bases de données de l’entreprise : il assemble et traite les datas afin d’analyser l’activité et de proposer des recommandations adaptées. Ses missions permettent de « faire parler » les données en les interprétant.
Aider les entreprises à se protéger face aux pirates informatiques ou aux concurrents trop curieux : c’est la mission de l’expert en cybersécurité. Son rôle au sein d’une entreprise est d’anticiper les failles liées à la protection des données du système informatique et de sécuriser ces données. Il établit un diagnostic qui lui permet de détecter toutes les failles de sécurité puis, il y apporte des solutions de protection.
Soumis à une obligation de résultats, il a aussi pour mission de former le personnel de l’entreprises aux bonnes pratiques en matière de protection des données et de cybersécurité.
Le métier d’Expert Cybersécurité : quel est son rôle ?
Réaliser un diagnostic du système d’information
Parfois secondé par des hackers volontaires ou des professionnels de l’intrusion, l’expert en cybersécurité étudie le système d’information dans sa globalité. Ce diagnostic lui permet de proposer, par la suite, des solutions pour une sécurité maximale (protection contre les attaques, mais aussi confidentialité). A travers ce diagnostic, il cherche avant tout à identifier les points faibles du système.
Mettre en place de différents processus de sécurité
En étroite collaboration avec les informaticiens et les responsables des différents services, l’expert cybersécurité définit une stratégie de sécurité adaptée aux besoins de l’entreprise. Cette stratégie se décline en un panel complet de procédures, allant de la gestion des mots de passe à la cryptologie (chiffrer et déchiffrer les messages sortants et entrants), en passant par les pares-feux, les antivirus etc.
Garantir la pérennité des systèmes de sécurité
Pour faire évoluer les solutions et s’assurer que celles-ci sont pérennes, l’expert en cybersécurité doit être alerté du droit et des règlementations spécifiques ainsi bien informé sur les nouvelles technologies. Il doit être capable d’actualiser les systèmes de sécurité en fonction des nouvelles menaces et des dernières technologies.
Compétences requises pour être expert cybersécurité
Connaissances approfondies
Ce professionnel doit posséder des connaissances solides en développement système de sécurité. Il doit également s’actualiser régulièrement afin d’être à jour concernant les dernières menaces sur internet.
Anticipation et réactivité
L’expert cybersécurité doit avoir un très bon sens de l’anticipation. Car son travail repose principalement sur la prévention et la gestion de la vulnérabilité. Il doit également être extrêmement réactif et savoir gérer la pression en cas de problème de sécurité
Un bon pédagogue
Ce pofessionnel se doit d’être pédagogue et entretenir de bonnes relations de travail avec ses collaborateurs. Deux éléments clés qui lui servirons pour sensibiliser ses collègues à la sécurité du système informatique.
Contexte
Depuis quelques années, les entreprises allouent de plus en plus de budget à la sécurité informatique. Face à l’explosion de la cybercriminalité, et avec la complexification des systèmes d’information, les entreprises sont très souvent à la recherche de nouveaux spécialistes en cybersécurité.
Salaire de l’expert cybersécurité
Le taux journalier moyen d’un expert cybersécurité se situe entre 300 et 600€.
Formation de l’expert cybersécurité
Pour devenir expert cybersécurité, une formation de niveau bac + 5 est nécessaire. Il est possible de suivre un diplôme d’ingénieur avec une spécialisation en sécurité informatique. Ou de suivre un master en informatique avec une spécialité en sécurité des systèmes informatiques. Ces deux formations sont par exemple fortement appréciées.
La sécurité des données d’une entreprise est désormais un enjeu stratégique. C’est pourquoi la cybersécurité bénéficiera souvent d’un statut particulier au sein d’une entreprise. Après quelques années d’expériences, l’expert cybersécurité peut se diriger vers des postes tels que responsable ou directeur de système d’information.
L’intégrateur HTML est spécialiste de la programmation et du développement, il a pour mission de traduire un langage graphique en langage informatique. Il assemble les différents éléments d’un site web et les intègre, en veillant à proposer un design esthétique et pratique. Le HTML (Hypertext Mark-up Language) est un langage informatique utilisé dans la réalisation de pages web qui se base sur l’utilisation de « balises » de formatage.
Intégrateur HTML : description du métier
Quel est le rôle de l’Intégrateur HTML ?
Vérifier le contenu éditorial et les maquettes L’intégrateur HTML travaille en étroite collaboration avec le Chef de projet Web et le Directeur Artistique. Ensemble, ils déterminent comment les pages doivent être structurées, en matière de contenu, de design (style et animations) et de fonctionnalités.
Traduire l’infrastructure graphique en infrastructure informatique L’intégrateur HTML traduit ensuite les maquettes graphiques en langage informatique, sur l’infrastructure technique choisie en amont. Et ce, pour les navigateurs web et mobiles. Il construit chacune des pages d’un site Internet en plaçant les différents éléments textuels et graphiques comme les images ou les vidéos.
Veiller à la comptabilité et au respect des normes Il joue également un rôle de contrôle : il doit veiller à la comptabilité entre les différents navigateurs (Safari, Internet Explorer, Mozilla Firefox…) et doit également tenir compte des normes en vigueur (RWD, W3C, accessibilité).
Compétences requises
D’excellentes connaissances techniques Outre d’excellentes connaissances graphiques et informatiques, l’intégrateur HTML doit évidemment maîtriser le langage informatique HTML, cœur de son métier, et d’autres technologies telles que le CSS, JavaScript, l’AJAX, le SQL… Il doit également maîtriser la cohérence graphique, la mise en avant du contenu, le montage et les effets graphiques.
Créativité et sens de l’esthétique L’intégrateur HTML, pragmatique et doté d’un fort esprit esthétique, doit également se montrer créatif et force de proposition. Il peut également être utile d’avoir un certain sens marketing pour que le site Web soit attractif.
Capacité d’écoute et d’adaptation l’intégrateur HTML, en plus d’être réactif et à l’écoute, doit savoir s’adapter à son interlocuteur. Il est en effet amené à travailler au sein d’une équipe variée : Webdesigner, Chef de Projet Digital, Responsable E-Commerce, etc.
Contexte
Un intégrateur web peut exercer son activité dans tous types d’entreprises. Il est souvent amené à travailler avec des services variés (marketing, SI, etc).
Salaire
Le taux journalier moyen d’un Intégrateur HTML se situe entre 350 et 600€.
Formation
Un BTS ou un DUT informatique peuvent être d’excellents tremplins pour accéder à ce poste technique. Cependant il peut être conseillé de poursuivre sur une Licence pro Concepteur intégrateur web. Après quelques années d’expérience, un intégrateur vous aurez la possibilité de vous orienter vers des postes liés au développement, à la conception, ou encore au conseil.
Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !
L’IoT (Internet of Things) est sans conteste un domaine en pleine expansion : le métier de consultant IoT a donc le vent en poupe ! Le consultant IoT intervient dans le développement de projets et plateformes liés à l’internet des objets, dans tous types d’entreprises. Il peut également aider une entreprise à transformer ses produits existants en objets connectés, dans une démarche globale d’innovation.
Consultant IOT : description du métier
Accompagner et conseiller l’entreprise dans le processus de décision du passage à l’IoT La première étape de la mission du consultant IoT est souvent d’analyser la situation et de comprendre le degré de connaissance des parties prenantes. Le monde des objets connectés est complexe et le consultant doit s’assurer que le projet est cohérent et bénéfique pour l’entreprise. Il doit évaluer les opportunités et les risques que peuvent offrir les objets connectés en lien avec le contexte spécifique d’une entreprise (secteur, produits, usages clients, organisation interne, etc). Il évalue ensuite l’investissement nécessaire, en matière de temps et de coûts pour un projet donné.
Identifier les besoins du client et définir une stratégie Le consultant IoT doit effectuer des préconisations en prenant en compte les contraintes de l’entreprise. Il peut par exemple réaliser un audit informatique et technologique, concevoir un business plan, et prévoir un plan d’implémentation.
Développer des solutions analytiques complexes Le consultant IoT joue souvent un rôle primordial dans la rédaction du cahier des charges, en collaboration avec les autres services de l’entreprise. Il peut ensuite gérer par la suite l’implémentation du projet. Ceci en jouant un rôle de coordination pour assurer la mise en œuvre et le suivi des projets concernés. Ce plan recouvre la mise en place l’exploitation de produits et services IoT, la formation des utilisateurs et la définition de procédures de support.
Compétences requises
Sens de l’écoute et excellentes capacités d’analyse et de synthèse Le consultant IoT doit faire preuve d’une grande capacité d’écoute pour répondre au mieux aux attentes de son client. Sa capacité d’adaptation doit également lui permettre d’échanger avec tout type d’interlocuteur. Ceci quel que soit son degré de connaissance des technologies IoT.
Des connaissances techniques pointues Le consultant IoT doit bien évidemment avoir une large connaissance des technologies de l’information et de la communication. Mais particulièrement des dernières technologies mises au point en matière d’objets connectés. Il doit être capable de travailler avec des experts techniques dont il doit comprendre et maîtriser le langage.
Une âme de leader Pour diriger une équipe et la convaincre de se lancer dans des changements souvent profonds, il doit être capable d’affirmer ses idées, d’amener son client à lui faire confiance, malgré les éventuelles résistances et la frilosité de certaines parties prenantes.
Grande réactivité et curiosité Dynamique, vif, réactif, il doit savoir évoluer, grâce à ses connaissances du monde de l’entreprise et de l’internet des objets, dans un contexte client souvent complexe, et se montrer créatif et force de propositions.
Contexte
Un consultant IoT peut conseiller tous types de clients. Il peut s’agir de start-ups, d’entreprises, d’universités voire même d’agences gouvernementales ou autres organismes publics.
Vous souhaitez en savoir plus sur le Big Data et la Business Intelligence ? Découvrez notre dossier spécial sur les différences entre la Business Intelligence et le Big Data.
Salaire
Le taux journalier moyen de ce professionnel se situe entre 500 et 900€.
Formation du consultant IOT
Pour accéder à ce métier, une formation Bac +5 est nécessaire, en Ecole d’ingénieur (option Objets connectés) ou dans certaines écoles comme ECE, ESEO, ISEN, ISAIP qui proposent des parcours spécialisés. Une double compétence en management dans une école de commerce est également fortement appréciée. Rappelons qu’un consultant IoT se positionne comme expert. L’accès au métier n’est donc pas envisageable après le cursus de formation. Les prétendants au poste doivent, au préalable, avoir eu de l’expérience dans l’entreprise et dans la gestion de projet liés à l’internet des objets.
Véritable garant de la sécurité des systèmes d’informations, le gestionnaire d’habilitation assure la création et la mise à jour des droits d’accès de chaque identité numérique ayant une interaction avec les ressources de l’entreprise.
Il est un expert dans la Gestion des Identités et des Accès (GIA) qui renvoie à l’ensemble des mécanismes déployés pour la gestion des droits et accès des utilisateurs au sein d’un système d’information.
Vous êtes freelance IT à la recherche de nouvelle opportunités de missions informatique ? N’hésitez pas à consulter nos nombreuses missions directement sur notre plateforme de recrutement de freelances IT Mindquest.
1. Le métier de Gestionnaire d’Habilitation
1.1. Gérer et mettre à jour les habilitations dans l’entreprise
La première mission du gestionnaire d’habilitation est de s’assurer de la conformité des habilitations du personnel de l’entreprise. Autrement dit, il s’agit de gérer qui a accès à quelle information et à quel moment. Pour cela, il gère les demandes d’accès, saisit les données d’habilitation dans les outils informatiques et tient ainsi à jour les registres et dossiers individuels. Il doit ensuite informer les personnes concernées des différentes mises à jour effectuées.
1.2. Assurer le suivi des procédures et les contrôles périodiques
Le gestionnaire d’habilitation doit assurer un contrôle régulier sur les serveurs. Il doit ainsi supprimer les accès devenus obsolètes et revalider avec les propriétaires des espaces dédiés les accès existants. Cela doit en effet se faire tout en respectant les process définis dans le plan de contrôle.
1.3. Garantir la performance et le fonctionnement des systèmes d’information
Sur le long terme, le gestionnaire joue un rôle important dans la garantie de la qualité et la pérennité du SI. Il veille ainsi au respect des règles de fonctionnement et d’utilisation du SI. Tout cela doit évidemment se faire en conformité avec les normes et standards de l’entreprise, et avec les contrats de service.
Il gère également toute la documentation sur ses projets (note de cadrage, cahier des charges, guide de procédure). Enfin, il participe aux tâches liées à l’évaluation et à la maîtrise des coûts d’exploitation du système d’information.
2.Compétences requises
2.1. Très bonnes connaissances techniques
Le gestionnaire d’habilitation doit maîtriser aussi bien les outils bureautiques que les systèmes d’information spécifiques de l’entreprise. Sa connaissance métier doit également lui permettre de saisir tous les enjeux et risques de sa mission.
2.2. Un bon sens du service et de l’organisation
Le gestionnaire est souvent amené à prendre en charge et à traiter de nombreuses demandes. Il doit alors savoir faire preuve de réactivité et d’organisation afin de délivrer le meilleur service possible.
2.3. Une grande capacité d’écoute
Toujours dans l’optique de rendre un service de qualité, le gestionnaire doit savoir être à l’écoute des utilisateurs. Il doit ainsi démontrer des qualités pédagogiques pour guider les utilisateurs dans les différents processus.
La mise en place d’un système GIA constitue un investissement important. C’est pourquoi le plus souvent, le gestionnaire d’habilitation est présent dans les grandes entreprises, lesquelles connaissent des enjeux importants en matière d’accès aux données.
Postulez dès maintenant pour décrocher votre prochaine mission de Gestionnaire d’Habilitation directement sur notre plateforme de rectrutement Mindquest :
4. Salaire du Gestionnaire d’Habilitation
Le taux journalier moyen d’un Gestionnaire d’Habilitation se situe généralement entre 500 et 700€.
Quant au salaire d’un gestionnaire d’habilitation en CDI débutant, il peut se situer entre 25 000 et 35 000 euros brut par an. Avec une expérience plus avancée et une expertise approfondie, le salaire peut également augmenter pour atteindre généralement les 35 000 à 50 000 euros brut par an.
5. Formation de Gestionnaire d’Habilitation
Le métier de gestionnaire d’habilitation est accessible à partir de formations allant du Bac +2 à Bac +6 en Informatique, Services informatiques ou Réseaux et Télécommunications. Il peut être accessible aussi bien avec un BTS (Bac +2) qu’avec un Master spécialisé (MS, Bac +6) en systèmes, service et sécurité.
Vous recherchez des opportunités de missions dans l’informatique en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission en consultant nos offres de missions disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :