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Freelance informatique / tech Quotidien de freelance

Freelance IT : comment gérer un désaccord avec son client ?

Vous êtes freelance IT ? Alors vous êtes peut-être déjà passé par une situation de conflit et de désaccord avec l’un de vos clients. C’est inévitable en tant que consultant indépendant : vous allez rencontrer des clients plus difficiles à satisfaire que d’autres. Mais en tant que freelance, comment gérer un conflit avec un client mécontent ? Quelles sont les attitudes à adopter ? Et comment éviter que de telles situations conflictuelles ne se reproduisent ? Découvrez nos conseils pour bien gérer un désaccord avec votre client.  

Pourquoi est-il important de savoir gérer un désaccord avec son client ?

En tant que freelance IT, vous allez, au cours de votre carrière, collaborer avec tous types de clients ; parfois sur du court terme, parfois sur du long terme. La relation avec vos clients est au cœur de votre métier,. Il est ainsi important de construire une relation basée sur l’entente et le respect mutuel avec eux.  

Mais il peut arriver de traverser une situation conflictuelle avec l’un de vos clients. Projet mal défini ? Incompréhension sur la manière de travailler ? Mésentente sur les délais ? Défaut de paiement de factures ? Ton trop directif ? Manque de confiance de la part du client ? Les causes de désaccord peuvent être nombreuses.  

Savoir gérer une situation de crise pour éviter qu’elle ne se transforme en situation conflictuelle est alors primordiale. Cela permet d’éviter de perdre du temps, de l’énergie et de l’argent pour satisfaire votre client. Cela vous permet également de ne pas le perdre. 

Quelles sont les étapes pour gérer un désaccord avec son client ?

1. Maîtrisez vos émotions  ?

Quelle que soit la source du désaccord, le plus important est de rester calme, maître de ses émotions. En tant que freelance, gardez toujours votre sang-froid. Il ne faut pas réagir trop vite et prendre un temps de recul par rapport à la situation. Il faut avoir les idées claires et être en mesure d’analyser et de résoudre le problème.  

Que vous ressentiez de la colère, de la déception ou de la tristesse, ne le montrez pas à votre client. Restez neutre et professionnel pour éviter d’aggraver la situation. Vous n’êtes pas sans savoir qu’en tant que freelance il n’est pas toujours évident de trouver des clients. Vous avez réussi à vous construire une clientèle ? il est primordial de tout faire pour conserver vos contrats dans la durée et sécuriser votre activité de freelance informatique.  

Pensez par ailleurs à votre image professionnelle. Lors d’un désaccord avec votre client, vous réagissez sous le coup de vos émotions. Vous risquez de ternir votre réputation et de perdre le contrôle de votre image. Or le secteur de l’IT est un petit monde. En tant que freelance informatique votre réputation auprès de vos clients est essentielle dans votre carrière de consultant informatique. Un client mécontent de vous n’hésitera pas à le faire savoir. Ce qui pourrait ternir votre image et impacter votre réputation de freelance informatique dûment établie après des années d’effort.  

2. Soyez diplomate

Il est également important d’adopter un comportement diplomate. Respectez votre client, restez poli, et faites preuve de tact dans vos échanges. Adoptez une attitude bienveillante et empathique.

Si votre interlocuteur n’a pas les connaissances techniques suffisantes pour comprendre tous les enjeux de votre mission de freelance informatique ; faites preuve de pédagogie et n’hésitez pas à réexpliquer les aspects les plus importants. Cette situation est fréquente. Un client fait souvent appel à un freelance IT pour des compétences qu’il n’a pas lui-même ou dans son équipe. 

Il est important de laisser la parole à son client, de le laisser s’exprimer sur les motifs de son mécontentement. Faire preuve de diplomatie vous permettra de comprendre son point de vue et de faire passer vos idées en douceur. Le point important est d’être logique, neutre et rationnel plutôt que de se focaliser sur votre ressenti personnel.  

3. Cherchez à comprendre l’origine du problème 

L’écoute active de votre client est primordiale. Elle vous permettra d’identifier les causes de son mécontentement et de comprendre ses attentes. Dans un premier temps n’essayez pas d’argumenter ou d’interrompre votre client ; écoutez-le en vous concentrant sur le fond de son discours. Montrez-lui que vous portez de l’intérêt à ses propos.  

N’hésitez pas à poser des questions pour comprendre son point de vue et à reformuler ses propos pour clarifier la situation. Cela permet de s’assurer de bien comprendre son problème. L’écoute active permet de réduire la tension au cours de la conversation.  

Un désaccord résulte dans la plupart des cas d’un malentendu ou d’une incompréhension. Il est important d’identifier clairement la causalité de ce désaccord et d’analyser le problème. Après avoir entendu et assimilé les motifs de mécontentement de votre client ; vous devez être en mesure de lui apporter une réponse claire et rationnelle pour pouvoir gérer le désaccord avec lui.  

4. Dialoguez et rassurez le client en lui proposant des solutions 

Après avoir identifié la cause de votre désaccord ; il est important de restaurer une bonne communication et de construire un dialogue avec votre client. Indiquez que vous avez compris son insatisfaction et proposez des solutions. Si vous travaillez chez le client en tant que freelance cela peut être un avantage. Vous favoriserez la bonne communication et le dialogue entre vous.  

L’importance n’est pas de savoir qui a raison et qui a tort. Mais de trouver une solution ou un compromis entre les deux parties. En tant que freelance, vous devez être honnête et lui faire des propositions réalisables. Ces propositions doivent aussi être en accord avec ce que vous pouvez faire et ne pouvez pas faire.  

Il est nécessaire de lui laisser le choix parmi vos propositions. Assurez-vous qu’il ait bien assimilé les avantages et inconvénients de chacune d’entre elles. Si vous n’arrivez pas à trouver de solutions au problème ; notamment en cas de conflits importants liés à des problématiques financières ; vous pouvez faire appel à un médiateur. Il pourra apporter un regard extérieur et proposer un ensemble de solutions pour résoudre la situation. Dans un dernier temps ; si aucune solution ne peut être trouvée il sera toujours possible de faire appel à la justice. 

5. Gérez l’après-conflit et prévenez de futurs désaccords  

Après avoir réglé le désaccord avec votre client ; il est important de lui prouver que le problème a réellement été compris et qu’il peut avoir confiance en vous. Montrez-vous proactif pour éviter de futurs conflits. C’est à dire de vous assurer d’être sur la même longueur d’onde que votre client en faisant régulièrement des points ensemble. Sans hésiter à lui envoyer des comptes rendus après chacune de vos réunions.  

Soyez clair, précis et de bonne volonté mais n’hésitez pas à cadrer les choses dès le départ. L’idée est d’avoir des retours réguliers de votre client sur votre travail, la communication entre vous et sa satisfaction. L’objectif est de construire une relation de confiance et de prévenir les futurs désaccords pour pérenniser vos collaborations de freelance. Quoi qu’il en soit, en tant que freelance IT il faut savoir rebondir sur ses échecs et aller de l’avant. 

Enfin, gardez en tête que le fait de passer par un intermédiaire ; comme Club Freelance ; spécialiste du placement de freelances informatiques, peut s’avérer très utile pour prévenir ou gérer d’éventuels désaccords avec un client ! 

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Décideurs IT Risques & erreurs à éviter

Collaboration avec un consultant IT : attention au délit de prêt de main d’œuvre illicite

Nombreuses sont les entreprises qui font appel à des prestataires externes pour réaliser certaines tâches ou conduire certains projets. C’est particulièrement le cas au sein des départements IT, où l’outsourcing et le recours à des consultants externes est particulièrement répandu. Mais tout contrat impliquant une sous-traitance ou la fourniture d’une prestation de services en contrepartie d’une rémunération, peut donner lieu à un délit de prêt de main d’œuvre illicite. En effet, des lois strictes encadrent cette extériorisation de l’emploi.

Alors qu’est-ce que le délit de prêt de main d’œuvre illicite ? Est-ce un risque important quand on fait appel à un consultant IT ? Comment s’en prémunir ? Club Freelance vous aide à y voir plus clair.

Qu’est-ce que le délit de prêt de main d’œuvre illicite

Selon l’article L 8241-1 du Code du travail : « toute opération à but lucratif ayant pour objet exclusif le prêt de main-d’œuvre est interdite ».

En d’autres termes, la loi interdit strictement tout frais supplémentaire à la facturation des frais de gestion du personnel mis à disposition. Ainsi, toute entreprise prêteuse qui pratique une marge sur la facturation des charges sociales afférentes et autres frais professionnels remboursés au titre de la mise à disposition constitue directement un délit de prêt de main d’œuvre illicite.

Il faut savoir que le prêt de main d’œuvre illicite se rapproche d’une autre infraction liée à la fourniture de main-d’œuvre : le délit de marchandage. Mais cette notion diffère en ce qu’elle implique un préjudice subi par la main d’œuvre mise à disposition.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter notre article dédié : ce qu’il faut savoir sur le délit de marchandage quand on fait appel à un consultant IT.

Quels sont les éléments constitutifs du prêt de main d’oeuvre illicite ?

Pour caractériser une opération de prêt de main d’œuvre comme illicite, il existe deux critères essentiels :

  • Le but lucratif de l’opération : c’est-à-dire qu’elle doit générer une contrepartie financière.
  • Le caractère exclusif du prêt de main d’œuvre. On entend par exclusivité, toute opération dont l’objet consiste uniquement à mettre à disposition du personnel.

Tout réside finalement dans l’intention de collaboration des parties. Car même si ce n’était pas l’intention initiale, au fil du temps l’opération peut évoluer vers la constitution du délit.

Quelles sont les exceptions ?

La loi prévoit des activités spécifiques au sein desquelles les dispositions propres au délit de prêt de main d’œuvre illicite ne s’appliquent pas. Ne sont pas concernés par ces dispositions les opérations réalisées dans le cadre (art. L8241-1 du code du travail) : 

  • Des dispositions relatives au travail temporaire, aux entreprises de travail à temps partagé et à l’exploitation d’une agence de mannequins
  • Les dispositions relatives aux associations ou sociétés sportives
  • Des dispositions relatives à la mise à disposition des salariés auprès des organisations syndicales ou des associations d’employeurs

Prêt de main d’oeuvre illicite : les consultants IT sont-ils concernés ?

Le délit de prêt de main d’œuvre illicite concerne uniquement les salariés. Si vous faites appel à un consultant IT indépendant, c’est à dire en freelance, vous n’êtes donc à priori pas menacé. Même chose pour les consultants en portage salarial. 

Le risque s’applique en revanche si vous faites appel à des consultants IT via une ESN (entreprise de services du numérique, anciennement appelée « SSII »).

Quels sont les sanctions ?

La Jurisprudence retient la responsabilité des deux parties : fournisseur et utilisateur de la main d’oeuvre. D’ailleurs, ces deux délits font souvent l’objet de sanctions cumulées.

Tous deux sont sanctionnés de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros pour les personnes physiques et 150 000 euros pour les personnes morales, tout en sachant qu’elles peuvent augmenter en fonction du nombre de salariés ayant subi le préjudice en question.

Des sanctions administratives peuvent également être prononcées par l’Autorité administrative en vertu des articles L. 8272-1 à L. 8272-4 du Code du travail.

Notons que très souvent, le délit de prêt de main d’œuvre illicite s’accompagne d’autres infractions. Comme par exemple le travail dissimulé ou la violation de la règlementation du travail temporaire, qui entraînent d’autres sanctions.

Alors, comment se prémunir de ce délit quand on fait appel à un prestataire externe ?

Pour une prestation de service technique, il est important de définir un cadre clair et précis de la collaboration. C’est à dire en soulignant que la prestation consiste en la mise en œuvre d’une technicité, en la transmission d’un savoir-faire.

Par exemple, dans le cas d’une collaboration entre une société fournissant des services informatiques et une société cliente, l’objet de la prestation doit être, disons, l’implémentation d’un logiciel, tandis que la mise à disposition du salarié intervenant chez le client n’est que le moyen de réaliser cette mission.

Gardez en tête que si vous faites appel à un consultant IT, le meilleur moyen pour se prémunir du délit de prêt de main d’oeuvre illicite ou de tout autre risque juridique est de se faire accompagner par un partenaire spécialisé. Un intermédiaire de confiance qui connaît les risques juridiques et les manières de s’en protéger vous garantira des collaborations exemptes de ces risques d’infraction !

Découvrez aussi notre article : Les 3 risques juridiques à connaître si vous faites appel à un freelance IT !

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Développer sa carrière : CDI & freelance Freelance informatique / tech

Missions de freelance courtes et longues : quelle durée choisir ?

L’un des grands avantages à travailler en freelance ? La flexibilité. Flexibilité dans le choix de ses horaires et de son lieu de travail, mais aussi dans le choix de ses projets et de la durée de ses missions. Missions de freelances courtes ou missions longues, la durée d’une mission est un critère déterminant dans le choix d’une mission, qui s’inscrit très souvent dans le projet de carrière d’un freelance IT.

Alors quelle durée de mission choisir ? Qu’appelle-t-on une mission courte ou longue ? Quels sont les avantages et inconvénients des missions longues et courtes quand on est consultant SAP, développeur web en freelance, ou encore conseiller en cybersécurité ?


Vous êtes un talent IT ou finance à la recherche de nouvelle opportunités de missions freelance ou en CDI ? N’hésitez pas à postuler à l’une de nos nombreuses offres de missions IT et finance directement sur notre plateforme de recrutement Minquest.

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1. Faire le choix d’une mission courte quand on est freelance IT

1.1. Qu’est-ce qu’une mission courte ?

Dans le monde du freelancing, on appelle communément « mission courte » toutes les missions allant d’une journée à 3 mois d’activité. Néanmoins, dans le domaine de la technologie et l’informatique, où les missions sont en moyenne plus longues que sur d’autres types de métiers, on a plutôt tendance à considérer comme mission courte toutes les missions dont la durée est inférieure à 6 mois.

Particulièrement adaptées aux professionnels qui ont décidé de se lancer en freelance, les missions courtes représentent l’opportunité idéale pour un freelance « débutant » de mettre en pratique ses compétences techniques, d’étoffer ses références et de développer une capacité d’adaptation importante.

1.2. Quels sont les avantages à faire une mission courte ?

Les missions courtes sont l’opportunité pour les freelances informatiques d’enchaîner des missions différentes pour de nombreux clients, et dans des secteurs d’activité divers et variés. Cette hétérogénéité d’expériences est souvent favorable au développement de soft skills ou compétences relationnelles, et offre généralement un cadre de travail riche et formateur.

Pour les adeptes du télétravail : sachez que les clients auront plus tendance à vous offrir l’opportunité de travailler à distance dans le cas de missions courtes.

Dans le domaine de la tech et de l’IT, la durée de la mission dépend souvent du domaine d’expertise, et s’inscrit toujours dans la temporalité du besoin de l’entreprise. Un consultant qui participe à un projet de migration SAP sur deux ans sera à priori plus susceptible de se voir proposer une mission longue, tandis qu’un expert en cybersécurité pourra intervenir dans le cadre de missions courtes s’il s’agit de résoudre des problèmes temporaires – même si une approche globale est souvent nécessaire et donnera lieu à des missions plus longues.

Côté rémunération, les missions courtes peuvent être avantageuses. Pourquoi ? Tout simplement car ces elles impliquent souvent un caractère urgent. Vous aurez ainsi plus de chance d’obtenir un TJM (Taux Journalier Moyen) élevé. Mais qui dit mission courte dit missions plus nombreuses. Vous devez être en mesure de retrouver facilement des projets ou des clients pour éviter les périodes d’inter-missions trop longues ou trop fréquentes.

1.3. Quelles sont les inconvénients des missions courtes ?

Le principal inconvénient des missions courtes est le challenge constant qui pousse le consultant à être sans cesse dans la recherche d’une nouvelle mission nécessitant ainsi le renouvellement régulier de son portefeuille client.

Cela se traduit également par un chiffre d’affaires très variable. Il faut donc s’attendre à devoir gérer des revenus particulièrement irréguliers.

On note également que les missions courtes ne favorisent pas l’intégration à une équipe. Si vous avez un fort besoin d’appartenance à un groupe, le fait d’enchaîner les missions courtes peut susciter une solitude et de l’insatisfaction dans votre quotidien de freelance IT.


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2. Freelance IT : choisir une mission longue

2.1. Qu’est-ce qu’une mission longue ?

De plus en plus d’entreprises font appels à des travailleurs indépendants dans le cadre de longs projets IT. Ces missions longues sont d’une durée supérieure à 6 mois et peuvent atteindre les 24 mois d’activité avec des renouvellements de contrat.

Les missions longues sont généralement confiées à des consultants en freelance qui ont les épaules assez larges pour des travaux de fond.

2.2. Pourquoi favoriser les missions longues ?

Tout d’abord, la réalisation d’une mission longue assure au freelance informatique une rémunération régulière et une visibilité à moyen terme sur ses finances. De quoi s’enlever un poids sur les épaules.

Outre cette stabilité financière, ce type de mission offre satisfaction aux travailleurs qui privilégient le travail de A à Z sur un projet et qui tiennent à leur intégration complète au sein d’une équipe informatique – tout en gardant toutefois la liberté propre au statut de freelance.

Enfin, les missions longues peuvent également être l’occasion de découvrir le travail au sein d’une organisation afin de mesurer la possibilité d’envisager une collaboration de plus longue durée dans le cadre, pourquoi pas, d’un CDI.


Découvrez aussi nos articles : Formalités à respecter pour vivre à l’étranger quand on est freelance & Expatrié : travailler en tant que Freelance IT en France.


2.3. Quelles sont les limites des missions longues ?

Les missions longues ancrent le consultant indépendant dans une certaine routine qui peut s’apparenter au statut de salarié.

L’expérience obtenue sur une mission longue pour un freelance est par ailleurs souvent moins riche et diverse que sur une multitude de missions de plus longue durée. Mais elles permettent d’aller plus en profondeur dans les projets et de développer d’autres types de compétences.

3. Durée de missions freelance courtes et longues : alors, que choisir quand on est freelance IT ?

Il n’existe pas une durée de mission meilleure qu’une autre. La durée de mission est une variable ajustable qui dépend des motivations et de la personnalité de chaque freelance informatique.

Selon vos préférences en termes de types de projets, votre faculté à trouver facilement des missions, et vos appétences en matière de configuration d’équipe, vous favoriserez plutôt des missions courtes ou longues. N’oubliez pas enfin que rien ne vous empêche d’alterner missions longues et missions courtes !


Mindquest vous accompagne dans la gestion de votre carrière Tech ou IT et en particulier dans la recherche de nouvelles missions freelances ou d’opportunités en CDI : rejoignez-nous et bénéficiez de conseils personnalisés !

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Développement Fiches métiers

Développeur Android : fiche métier

La technologie mobile connaît un développement exponentiel dans notre société, c’est pourquoi le métier de développeur suscite un intérêt croissant.

Concurrent de l’iOS d’Apple, Android est le système d’exploitation mobile de Google, et s’applique à une multitude de smartphones, tablettes et autres objets connectés. Nombreux sont donc les développeurs qui font le choix de travailler sur Android.

Mais quelles sont les qualités et les compétences requises pour se positionner sur ces offres d’emploi en plein essor ? Comment devenir Développeur freelance Android ? Quel niveau de rémunération attendre sur ce type de poste ? Les réponses dans notre fiche métier.

Développeur Android : le métier

Le rôle du Développeur freelance Android consiste à développer des applications pour tous les appareils qui fonctionnent sous ce système d’exploitation mobile, comme cela peut être fait sur iOS.

La rédaction du cahier des charges

La première étape du travail du Développeur Android consiste à analyser le cahier des charges du client et de définir la solution technique la plus appropriée. Il s’agit d’une partie essentielle pour débuter un projet. En effet, elle permet de comprendre les objectifs du projet et de déterminer le plan de développement à mettre en place.

Le développement de l’application et les phases de test

Arrive ensuite l’étape de programmation de l’application dans le respect des règles et contraintes du cahier des charges. C’est également dans cette seconde partie de son travail qu’il va réaliser des séries de tests pour vérifier que les fonctionnalités répondent bien au cahier des charges et qu’elles répondront bien aux besoins de l’utilisateur final.

Soumission de l’application et suivi technique

Dans le cas où le projet consiste à développer une application, une fois la programmation terminée, le Développeur Android est amené à soumettre son projet à Google Play, le magasin d’applications créé par Google, et à corriger les éventuels bugs que l’application peut rencontrer par la suite. Il doit également veiller à documenter son travail pour assurer une bonne transmission des informations aux autres membres de l’équipe informatique.

Développeur Android : compétences requises

Avoir de solides connaissances en environnement mobile

Avant même de parler des compétences propres au système d’exploitation de Google, le Développeur freelance Android doit connaître tous les enjeux du web mobile. Il doit savoir manier les langages informatiques Java et Kotlin et avoir des connaissances dans d’autres langages de programmation tels que C++ et Native Development Kit.

Être à l’affût des mises à jour Android

Un bon Développeur freelance Android se doit d’être toujours à jour sur l’évolution des technologies mobiles et plus particulièrement sur les mises à jour du système d’exploitation Android pour maintenir son niveau de performance et proposer des solutions toujours adaptées.

Maîtriser l’anglais

La maîtrise de l’anglais est souvent requise et permet au développeur de comprendre les différents langages de programmation.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un Développeur freelance Android se situe généralement entre 300 et 800 €. Il varie énormément selon le niveau d’expérience et d’expertise technique.


Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !


Formation

Il n’existe pas de formation type pour devenir Développeur Android. Une formation en informatique de niveau Bac +2 (BTS SIO ou DUT Informatique) ou un Bac +5 (Master ou équivalent en Ingénierie Informatique) est souvent utile pour acquérir des bases sur les principaux langages informatiques. Néanmoins, il est possible de devenir Développeur Android de façon autodidacte.

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Découvrez notre fiche métier : Développeur Blockchain

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Décideurs IT Légal Risques & erreurs à éviter

Les 3 risques juridiques à connaître si vous faites appel à un freelance IT

De plus en plus d’entreprises et responsables informatiques font le choix de se tourner vers des ressources externes. Que ce soit pour un besoin d’expertise ponctuel ou pour un pic d’activité temporaire. Mais de nombreux risques juridiques liés à ces prestations effectuées sans fourniture matérielle peuvent porter préjudice à l’entreprise cliente (appelée « donneur d’ordre »). Pour éviter les risques juridiques avec un freelance IT, il est indispensable de prendre en considération la réglementation de la sous-traitance des prestations intellectuelles. Ainsi que d’anticiper les éventuels risques existants. Quels sont les risques juridiques en travaillant avec un freelance ? Comment s’en prémunir ? Nos réponses dans cet article. 


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1. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : Le délit de prêt de main d’œuvre illicite

1.1. Qu’est-ce que c’est ? 

Le prêt de main d’œuvre illicite est défini par l’article L 8241-1 du Code du travail comme “toute opération à but lucratif ayant pour objet exclusif le prêt de main-d’œuvre”.  

Pour être illicite, le prêt de main d’œuvre doit réunir deux caractères : l’exclusivité et le but lucratif. Dès lors que le seul objet du contrat concerne le prêt de main d’œuvre, on considère qu’il y a exclusivité. Si l’entreprise prêteuse en tire un bénéfice on tombe donc dans le délit de prêt de main d’œuvre illicite. 

Concrètement : dans un contrat de sous-traitance ou de prestation de services respectueux de la loi, le prêt de main-d’œuvre n’est qu’un des moyens permettant la réalisation d’une prestation. Par exemple, faire appel à un consultant pour développer une application Android. Alors que dans le cas du prêt de main-d’œuvre, la mise à disposition du personnel est l’objet même du contrat. Par exemple, faire appel à un consultant pour le faire travailler sur des projets divers selon les besoins de l’entreprise cliente. 

Il y a donc délit de prêt de main d’œuvre illicite à partir du moment où la location de main d’œuvre d’une société à une autre consiste seulement en une mise à disposition du personnel à un caractère lucratif. Cette règlementation vise principalement à protéger le travail temporaire. Mais il existe également d’autres exceptions. Comme : les entreprises temps partagé, les agences de mannequins, les associations ou sociétés sportives, etc. 

1.2. Qui cela concerne ? 

Le délit de prêt de main d’œuvre illicite concerne uniquement les salariés. Il peut donc survenir dans le cas de consultants IT qui travaillent pour une ESN (entreprise de services du numérique, anciennement appelée « SSII »). Mais pas dans le cas de freelances ou consultants indépendants. Il ne concerne pas non plus les consultants en portage salarial. 

1.3. Comment s’en prémunir ? 

Le meilleur moyen de se protéger contre ce délit est la bonne rédaction du contrat. Qui doit ainsi déterminer clairement l’objet, les conditions financières et les modalités d’exploitation, indépendamment de la prestation.  

1.4. De lourdes sanctions pour les entreprises :  

Les personnes morales encourent jusqu’à 150 000 euros d’amende minimum. Et de nombreuses autres peines complémentaires. Telles que la dissolution, l’interdiction d’exercer l’activité, la fermeture temporaire ou définitive des établissements.  

Sur le plan civil, si le prêt de main d’œuvre a été jugé illicite, le contrat est considéré nul de droit. Le salarié pourra donc saisir les prud’hommes si cela lui a porté préjudice. Il pourra également se constituer partie civile devant les juridictions pénales.  


Cet article vous intéresse ? Découvrez également nos articles : « Collaboration avec un consultant IT : attention au délit de prêt de main d’œuvre illicite » et « Ce qu’il faut savoir sur le délit de marchandage quand on fait appel à un consultant IT » !


2. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : Le délit de marchandage

2.1. Qu’est-ce que c’est ? 

Selon l’article L 8231-1 du Code du travail, le délit de marchandage est défini comme « toute opération à but lucratif de fourniture de main d’œuvre qui a pour effet de causer un préjudice au salarié qu’elle concerne ou d’éluder l’application de dispositions légales ou de stipulations d’une convention ou d’un accord collectif de travail ».  

Les entreprises ont donc interdiction de mettre leurs salariés à disposition d’autres organisations. Si ces dernières ne respectent pas les droits des salariés ou éludent la loi pour en profiter.  

Pour être valide, le délit de marchandage doit réunir 3 critères :  

  • Transfert du lien de subordination
  • But lucratif 
  • Cause un préjudice au salarié  

Très proche de la notion de délit de prêt de main d’œuvre, le délit de marchandage est pour le salarié le fait de passer de l’autorité de son employeur à celle du client de son employeur. Il subit en outre les conséquences de ce changement d’autorité.  

Par exemple : un consultant qui serait traité comme un employé par son entreprise cliente. Et qui, en plus, ne bénéficierait pas des conditions de travail définies dans la convention collective dont dépend l’entreprise. 

2.2. Qui cela concerne ? 

Comme pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite, le délit de marchandage concerne uniquement les salariés. Il peut donc survenir dans le cas de consultants IT qui travaillent pour une ESN. Mais pas dans le cas de freelances ou consultants indépendants. Il ne concerne pas non plus les consultants en portage salarial. 

2.3. Comment s’en prémunir ? 

Comme pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite, le meilleur moyen d’éviter ce délit est d’avoir une visibilité sur les conditions contractuelles. Celles-ci doivent en effet être claires. Et reposer sur : l’objet, les missions, les modalités d’exécution, les conditions de rémunération et l’identification du lien de subordination.  

Une rémunération forfaitaire, l’utilisation du matériel de l’entreprise prêteuse, une délimitation de l’intervention du salarié mis à disposition et l’importance du pouvoir de direction de l’entreprise prêteuse sont des éléments de vigilance qui peuvent ainsi vous faire éviter le risque de délit de marchandage. 

2.4. Quelles sanctions ? 

Les sanctions propres à ce délit sont exactement les mêmes que pour le délit de prêt de main d’œuvre illicite.  


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3. Risques juridiques en travaillant avec un freelance : le risque de requalification du contrat de prestation en contrat de travail

3.1. Qu’est-ce que c’est ? 

Le risque de requalification en contrat de travail est un des risques majeurs qui pèse sur le statut du freelance. Dans certains cas, la substitution d’un poste de salarié par un contrat de mission peut tendre à la requalification en contrat de travail. 

Le Code du travail prévoit une présomption simple de non-salariat concernant les indépendants inscrits à un registre d’activité. Puisque l’article L8221-6 du Code du travail stipule que « sont présumés ne pas être liés avec le donneur d’ordre par un contrat de travail dans l’exécution de l’activité donnant lieu à immatriculation ou inscription : 

  • Les personnes physiques immatriculées au registre du commerce et des sociétés, au répertoire des métiers, au registre des agents commerciaux ou auprès des unions de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales pour le recouvrement des cotisations d’allocations familiales ; 
  • Les personnes physiques inscrites au registre des entreprises de transport routier de personnes (…) ; 
  • Les dirigeants des personnes morales immatriculées au registre du commerce et des sociétés et leurs salariés. » 

Pour rappel, un contrat de travail se caractérise principalement par un lien de subordination entre un salarié et un employeur. Bien qu’il puisse directement exprimer qu’il ne s’agit pas d’un contrat de travail, seules les conditions dans lesquelles est rendue la prestation déterminera le caractère du contrat. 

Quelques exemples concrets : si l’entreprise impose au consultant de travailler sur des horaires fixes. Si elle impose de fournir un justificatif en cas d’absence. Ou encore si elle impose de soumettre ses congés à validation, etc. Alors on peut parler de lien de subordination entre le consultant IT et son entreprise cliente. Et il y a donc risque de requalification.  

3.2. Qui cela concerne ? 

Le risque de requalification du contrat de prestation en contrat de travail concerne les consultants IT issus des ESN. Mais aussi les consultants IT indépendants. L’action judiciaire peut se faire soit à l’initiative de l’URSSAF et/ou de l’inspection du travail à la suite d’un contrôle, soit sur demande du prestataire indépendant. 

3.3. Comment s’en prémunir ? 

Tout d’abord, il est essentiel de vérifier que le prestataire est bien enregistré comme « indépendant ». Puisque ce point permet de présumer l’absence de contrat de travail. L’entreprise doit également s’adapter aux disponibilités du prestataire. Et s’assurer de le traiter comme un externe et non comme un interne. 

Le risque n’est jamais nul. Mais pour une entreprise qui sait s’informer, former ses opérationnels, et s’entourer de bons partenaires, le risque est extrêmement faible. 


Découvrez également notre Tribune : « Quels sont les risques juridiques quand on fait appel à un freelance IT ?« .


3.4. Quelles sont les sanctions ? 

En termes de sanctions pénales, l’entreprise risque le règlement d’une amende pouvant aller jusqu’à 100 000 euros (quintuple pour les personnes morales). Egalement, une peine d’emprisonnement allant jusqu’à 10 ans. Et de nombreux autres redressements de cotisations et plusieurs majorations spécifiques de la part de l’URSSAF

Et sur le plan civil, les conséquences prud’homales peuvent être : 

  • indemnité forfaitaire
  • rappels d’heures supplémentaires
  • indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, etc. 

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Green IT Consultant : Fiche métier

Comme l’adjectif « Green » le sous-entend, le Green IT Consultant est le spécialiste des énergies renouvelables, dans le domaine de l’informatique durable. Son objectif est d’optimiser les gains d’énergie et les postes de travail, notamment la consommation d’énergie des ordinateurs. Ses missions principales sont d’aider, de conseiller et de convaincre, dans le but de préserver l’environnement.

Aujourd’hui, l’empreinte écologique est fortement impactée par les systèmes d’informations des entreprises, collectivités territoriales et administrations. Pour réduire cette empreinte écologique, le consultant Green IT les aide à adopter des processus écoresponsables en leur procurant méthodologies et outils.

Le métier de Green IT Consultant

Quelles sont ses principales tâches ?

Etablir un diagnostic au sein de l’entreprise
Avant toute chose, le Green IT Consultant doit analyser les méthodes utilisées par l’entreprise pour repérer les failles et les axes d’amélioration. Il peut être amené à revoir l’ensemble de la consommation d’énergie d’une entreprise, à acheter de l’informatique  » responsable  » ou à rationaliser l’usage d’appareils existants.

Proposer plusieurs pistes et préconisations afin d’optimiser la consommation d’énergie
Le Green IT Consultant propose des solutions aux entreprises pour repenser la gestion de leurs parcs informatiques. Cela peut passer par l’installation d’imprimantes sobres et peu énergétivores, par l’incitation des salariés à limiter leurs impressions, ou par l’optimisation des serveurs informatiques…

Décider de la solution la plus adaptée aux objectifs
L’entreprise et le Green IT Consultant décident ensemble de la solution la plus adaptée, et surtout pérenne, pour atteindre les objectifs.

Compétences requises

De la souplesse et de l’adaptabilité
Comme tout consultant, le il doit savoir s’adapter aux besoins de son client. Même si les problématiques environnementales constituent le fondement même de sa mission, les solutions peuvent être très différentes.

Disposer d’une grande force de conviction
Il a pour mission de sensibiliser et de convaincre les entreprises sur les enjeux environnementaux. Ces dernières ont toutefois tendance à limiter le rôle des experts Green IT à la réduction des coûts et de la facture énergétique, sans voir plus loin. Ce dernier doit alors user de son pouvoir de conviction pour faire en sorte d’étendre son action à tous les domaines de l’entreprise.

Des compétences techniques et environnementales
En plus d’une expertise informatique, disposer de connaissances techniques dans le domaine de l’environnement est indispensable pour effectuer ce métier. Il devra cultiver son savoir par une veille permanente et des formations régulières.

Contexte

Le métier de Green IT Consultant est encore assez nouveau et répond parfaitement aux enjeux environnementaux actuels, ce qui le rend de plus en plus attractif. Certaines grandes entreprises cherchent à adopter une démarche de RSE et à contribuer à la protection de l’environnement. Le consultant peut exercer comme indépendant ou être directement intégré à des entreprises spécialisées.

Salaire

Après quelques années d’expérience, le Green IT Consultant peut passer à la direction d’un service. Il peut, par exemple, devenir directeur de la stratégie et du développement durable d’une entreprise ou d’une collectivité. Il peut également choisir de créer son entreprise spécialisée.
Le taux journalier moyen oscille entre 300 et 600 €.

Formation de Green IT Consultant

Il n’existe pas de diplôme spécifique. L’idéal est tout de même de détenir un diplôme de niveau bac + 5 (diplôme d’ingénieur ou master) en informatique avec des compétences en développement durable voire une option Green IT.

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Freelance au quotidien : Que faire entre deux missions ?

Votre mission de freelance informatique actuelle va bientôt se terminer et votre prochaine mission freelance n’est que dans quelques jours ou quelques semaines ? Que faire entre deux missions freelance ?

Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté les 3 avantages d’un projet personnel quand on est freelance.
Dans cette cinquième vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent 4 conseils qui vont vous aider à tirer le meilleur parti des temps que vous avez entre deux missions freelance. 

#1 : Prendre quelques jours de vacances entre deux missions freelance

Ce premier conseil est tout simple. Quand on est freelance informatique on est toujours un peu réticent à le faire, de peur de rater une belle mission. Votre précédente mission a peut-être été longue et épuisante, la prochaine le sera peut-être aussi. Il est donc important de vraiment vous reposer et de recharger vos batteries. Ce répit vous permettra d’être dans des conditions optimales pour commencer votre prochaine mission freelance.

#2 : Analyser la mission freelance écoulée

Listez les choses que vous avez apprises, regardez les points de blocage, les difficultés que vous avez rencontrées. Essayez de faire en sorte de vous améliorer lors de votre prochaine mission freelance.

#3 : Profiter de ce temps libre pour se former et s’auto-former

Mettez à profit ces quelques jours ou semaines de répit pour consulter des MOOC ou des plateformes de formations en ligne. En tant que freelance informatique, de nombreuses solutions existent pour continuer à se former.
Il est également possible de participer à quelques meetups intéressants. Ils existent aujourd’hui partout en France sur des sujets variés tels que les langages informatiques que vous connaissez, ou encore les technologies qui vous intéressent. Ils peuvent être une bonne occasion de sortir pour y apprendre de nouvelles choses et faire le plein de nouveaux contacts freelances.

#4 : Mettre à jour ses profils sur les réseaux sociaux

Après une mission de deux, trois, six mois ou même un an il est important de mettre à jour son profil de freelance informatique sur les réseaux sociaux. Cela vous permettra de rester visible auprès de votre réseau.

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

Vous aimeriez aborder un sujet particulier dans les prochaines vidéos ? N’hésitez pas à nous en faire part !
 

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Freelance au quotidien : Les 3 avantages d’un projet personnel

Lorsque l’on travaille en tant que freelance certaines missions peuvent parfois être très prenantes. Se lancer en parallèle sur un projet personnel et le mener à bien présente de nombreux avantages.
Dans notre précédente vidéo nous vous avions présenté 5 conseils pour être visible sur les réseaux sociaux.
Dans cette quatrième vidéo Club Freelance & Dominique Dufour vous présentent les 3 avantages d’un projet personnel quand on est freelance . 

# 1 : Se faire du bien avec un projet personnel

Travailler sur un projet peut faire du bien. En effet, il peut être un bon moyen de sortir de la mission freelance en cours, qui peut parfois être très prenante.

#2 : Acquérir de nouvelles compétences

Avoir un projet permet également d’avoir l’opportunité d’acquérir de nouvelles compétences ou de renforcer celles que l’on a déjà. Par exemple, travailler sur un projet personnel mettant en scène un nouveau langage informatique va vous permettre de l’acquérir.

#3 : Avoir de nouvelles sources de revenus

Un projet peut également déboucher sur de nouvelles sources de revenus.
Sa réalisation demande du temps. Pour cela organisez-vous pour définir le périmètre et les moments que vous avez à consacrer à ce projet. Mais surtout allez au bout de ce projet pour ne pas passer à côté des trois avantages que présente un projet personnel !

A propos de l’auteur

Dominique Dufour, auteur du MOOC « Lancez votre activité de freelance », et auteur de « Je suis freelance.com, Développez votre activité grâce aux réseaux sociaux » (Pearson, 2013) . Ancien journaliste,Dominique est aujourd’hui entrepreneur, consultant, auteur et formateur.
http://www.dominique-dufour.com/

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