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Chef d’Equipe Intégration et support : Fiche métier

Fiche métier - Chef d’Equipe Intégration et support (2)
Chef d’Equipe Intégration et support : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le Chef d’équipe intégration et support joue un rôle crucial crucial dans la coordination d’un projet informatique de grande envergure. Sa mission ? Assembler et intégrer différents éléments développés séparément, et en assurer ensuite l’assistance globale au sein du système d’information. Il dirige généralement une équipe d’ingénieurs en informatique.

Le métier de Chef d’Equipe Intégration et support

Quelles sont les missions du Technicien Helpdesk ?

Garantir la faisabilité technique et l’intégration des éléments du SI
Le Chef d’équipe intégration et support gère souvent des projets dans leur intégralité et supervise la rédaction des documents découlant de ce travail. Il est aussi responsable de la gestion des relations avec les fournisseurs et autres prestataires externes.

Identifier, qualifier et résoudre les incidents
Au-delà de l’intégration, ce chef d’équipe joue aussi souvent un rôle de support : il doit qualifier les incidents et les résoudre. Il en réalise le suivi et le pilotage. Il s’assure que les serveurs sont opérationnels et supervise les paramétrages des nouveaux équipements du système d’information.

Créer des outils pour les reportings et gérer la gestion des missions
Le rôle du Chef d’équipe intégration et support est également de tenir sa hiérarchie informée sur le suivi des missions. Il doit également créer les outils les plus adaptés possible. Pour cela, il opère une veille technologique et diffuse les informations à sa hiérarchie d’une part, et à son équipe d’autre part.

Compétences requises

Un leadership prononcé
Avec une équipe d’ingénieurs en informatique sous sa responsabilité, le chef d’équipe Intégration et support doit savoir diriger et motiver ses équipiers. Il doit par ailleurs lui-même présenter des compétences techniques et en ingénierie pour superviser le travail des membres de son équipe.

Un excellent relationnel et une grande rigueur
Le chef d’équipe Intégration et support doit savoir affirmer ses idées et son autorité, tout en faisant preuve de diplomatie. Il doit savoir prioriser ses tâches afin de garantir la plus grande efficacité, tout en accordant une grande importance aux détails.

Être curieux et passionné
Passionné par son domaine d’activité, le Chef d’équipe intégration et support doit sans cesse se tenir informé pour maintenir son savoir technique au gré des évolutions.

Contexte

Le Chef d’équipe Intégration et Support fait partie du département système d’information (SI) d’une entreprise. La plupart du temps, on le trouve dans les grandes entreprises.

Evolution et Salaire

Après plusieurs années d’expérience dans le métier, le Technicien Helpdesk peut évoluer vers le poste de responsable informatique. Il peut également choisir de devenir formateur dans le domaine.
Le taux journalier moyen d’un Technicien Helpdesk se situe entre 500 et 800€.

Formation du chef d’Equipe Intégration et support

Pour devenir Chef d’équipe Intégration et support, il faut être diplômé d’un Bac +5 en informatique. La meilleure solution pour accéder à ce métier est de passer par une Ecole d’ingénieur en informatique.
Il est cependant possible d’opter pour une Licence informatique (Bac +3) puis continuer sur un Master en Systèmes d’information ou réseaux informatiques.
Comme tout poste à responsabilités, le poste de Chef d’équipe Intégration et support correspond à un professionnel justifiant de plusieurs années d’expériences, avec une expérience managériale confirmée.

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Responsable d’applications IT : Fiche métier

Responsable d'applications IT : Fiche métier
Responsable d'applications IT : métier, missions, salaire, formation, compétences

Intermédiaire privilégié entre développeurs, utilisateurs et l’ensemble des métiers de l’entreprise ; le Responsable d’applications IT est en charge de la mise en place et de l’évolution fonctionnelle de solutions informatiques. Il peut également être appelé Responsable applicatif.

Son rôle est ainsi d’effectuer un diagnostic et de proposer des améliorations pour optimiser des applications au sein d’un système d’information.

Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI du Responsable d’applications IT, les compétences requises, le salaire et la formation de ce professionnel de l’informatique.

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1. Le métier de Responsable d’applications IT : quelles sont ses missions ?

1.1. Etudier et évaluer le projet

Dans un premier temps, le Responsable d’applications doit mener des analyses poussées sur : les process métier ; les anomalies existantes ; les usages de l’application etc. Il identifie alors les problèmes et propose des solutions adaptées. Il élabore également les procédures de tests et contrôle les règles de fonctionnement et d’utilisation des applications.

1.2. Élaborer le cahier des charges et les spécifications

Après cette phase d’étude, le Responsable d’applications doit définir la solution corrective la plus adaptée. Il doit ainsi rédiger un cahier des charges détaillé et évaluer les conditions de la mise en place du projet (coûts, délais, PAQ…).

1.3. Piloter la maîtrise d’œuvre interne ou externe et en assurer le suivi

Nous en arrivons au cœur du métier du Responsable d’applications : il en effet a pour mission de développer les adaptations nécessaires et de prendre en charge les étapes antérieures à la mise en exploitation (tests unitaires et d’intégration, documentation…). S’en suit alors une phase importante de contrôle des phases de recette, paramétrage et mise en production.
Tout au long de ces différentes étapes, le Responsable d’applications doit animer son groupe de projet.


Bien souvent, la mission du Responsable d’applications IT ne s’arrête pas là, puisqu’il doit ensuite apporter ou faire apporter un support technique aux différents utilisateurs de l’application.

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2. Compétences requises du Responsable d’applications IT

2.1. Faire preuve de rigueur et être force de proposition

Le Responsable d’applications informatiques doit être réactif et présenter de fortes capacités d’analyse. Ceci pour être en mesure de proposer les meilleures solutions, dans un souci constant de qualité du service rendu.

2.2. Savoir travailler en équipe grâce à de bonnes qualités relationnelles

Ce professionnel de l’IT est amené à manager l’équipe chargée de la gestion évolutive d’une solution applicative. C’est ainsi un vrai rôle de coordination, qui nécessite de véritables qualités relationnelles et de communication.

2.3. D’excellentes compétences techniques

Ces compétences couvrent des champs larges et techniques, comme la modélisation informatique, l’architecture d’applications, les langages informatiques (JAVA, J2EE…), l’architecture technique de systèmes d’information, ou encore la gestion de configuration…

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3. Contexte du Responsable d’applications IT

On trouve le Responsable d’applications IT dans de grandes entreprises ou au sein d’entreprise prestataires (éditeurs, sociétés de services et d’ingénierie), en relation avec des clients variés.
La plupart du temps, il est rattaché au Responsable de maintenance applicative ou responsable TMA.

4. Evolution et Salaire du Responsable d’applications IT

Après plusieurs années d’expérience dans le métier, le responsable d’applications IT peut évoluer vers le poste de responsable informatique. Il peut également choisir de devenir formateur dans le domaine.
Le taux journalier moyen d’un responsable d’applications IT se situe entre 400 et 700€.

Découvrez également nos fiches métiers : Consultant en qualification logicielle et Business Analyst IT !

5. Formation 

Pour devenir responsable d’applications, il faut généralement être diplômé d’un Bac +4/5 en Ecole d’ingénieur ou Master en informatique.

6. Téléchargez votre fiche métier Responsable d’applications IT :

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Chief Technical Officer (CTO) : fiche métier

Chief Technical Officer (CTO) : fiche métier
Chief Technical Officer (CTO) : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le Chief Technical Officer ou Directeur des Nouvelles Technologies est en charge de l’innovation technique et du déploiement de technologies adaptées au développement et à l’efficacité des activités d’une entreprise.
Le métier de CTO est l’un des postes liés à la technologie les plus importants au sein d’une entreprise. Il dirige le département de technologie ou d’ingénierie.

Le métier de Chief Technical Officer

Quel est le rôle d’un Chief Technical Officer ?

Superviser l’ensemble des projets informatiques de l’entreprise
Le CTO examine les besoins technologiques à court et à long terme de son entreprise, via un audit technique. Cela lui permettra d’identifier les structures vieillissantes ou obsolètes de l’entreprise.
Définir la stratégie de l’entreprise en matière d’innovation
Le CTO élabore les politiques de développement autour de l’infrastructure et de l’innovation. Pour ce faire, il effectue des investissements technologiques pour aider l’entreprise à atteindre ses objectifs et à augmenter ses revenus.
Proposer des solutions innovantes et parfaitement adaptées aux besoins
Le CTO a un rôle clef en interne. Il peut également, en effet, être amené à jouer un rôle de commercial, auprès des prospects et des clients.

Compétences requises

De très bonnes connaissances informatiques
Le CTO se doit d’être un expert : du web ; des langages de programmation ; et du développement en général. Cela lui servira pour comprendre les problématiques et objectifs de ses projets. Ces expertises lui permettent aussi l’encadrement d’équipes techniques.
Savoir déléguer et encadrer des équipes
Le CTO est avant tout un manager. Il doit mener et motiver ses équipes vers les mêmes objectifs. Il travaille en étroite collaboration avec les profils techniques qui constituent ses équipes, et avec la direction de l’entreprise.
Être visionnaire et stratège
Le CTO doit savoir mettre en place les meilleures stratégies d’entreprise et alimenter l’infrastructure technologique. Pour cela, il doit analyser les marchés cibles et exercer une veille permanente.

Contexte

La R&D est une composante stratégique essentielle des entreprises depuis de nombreuses années. L’essor des technologies de l’information et la digitalisation des entreprises a renforcé l’importance du Chief Technology Officer.
Aujourd’hui, il peut être recruté au sein des grandes entreprises mais également au sein de plus petites structures comme des startups.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un CTO se situe entre 600 et 1000€.

Formation

Le CTO doit disposer d’une formation Bac+5 en université, école d’informatique ou école d’ingénieur. Toutefois, ce poste n’est pas accessible en sortie d’études mais plutôt, en général, après 5 à 10 ans d’expérience.

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Chief Technical Officer (CTO) : métier, missions, salaire, formation, compétences
Chief Technical Officer (CTO) : métier, missions, salaire, formation, compétences

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Découvre également la fiche métier : Chef de Projet SI

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Développement Fiches métiers

Développeur Swift : Fiche métier

Fiche métier - Développeur Swift (2)
Développeur Swift : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le métier de développeur Swift est né du développement du nouveau langage de programmation d’Apple : Swift. Celui-ci est spécialement conçu pour développer des applications iOS, Mac, Apple TV et Apple Watch. Il a pour but de remplacer l’Objective-C, un langage datant de 1983, peu souple dans l’utilisation.
Le développeur freelance Swift est en fait un développeur iOS qui utilise uniquement Swift. Focus sur ce nouveau métier avec Club Freelance.

Le métier de Développeur Swift

Quelles sont les spécificités des missions du développeur Swift ?

Les missions sont les mêmes que celles du Développeur iOS, mais le langage de programmation utilisé est bien spécifique.

Participer à l’analyse des besoins des utilisateurs
Afin de concevoir des programmes informatiques « sur mesure », il participe en amont à l’analyse des besoins des utilisateurs, puis à la phase d’essai d’un prototype.
Il se tient informé des innovations, via les médias et les réseaux sociaux, mais aussi en se rendant sur des salons professionnels et conférences d’éditeurs, en Europe et à l’international, et met en place des outils de veille spécifiques.

Suivre le cahier des charges pour développer une application
Le cahier des charges est établi par le Chef de projet web, avec qui le développeur freelance Swift travaille en étroite collaboration. Ce dernier devra donc suivre le cahier des charges pour développer ou mettre à jour une application.

Adapter le logiciel aux besoins
Une fois l’application lancée, des modifications sont souvent nécessaires pour le développeur Swift. Il prend en charge la formation des utilisateurs de l’application et peut même rédiger un guide d’utilisateur. Par la suite, il intervient pour effectuer la maintenance ou faire évoluer les programmes.

Compétences requises

D’excellentes connaissances techniques
Le développeur freelance Swift doit évidemment avoir une connaissance pointue du langage Swift, et maîtriser le XHTML, le PHP. Il doit avoir une très bonne connaissance de l’univers Apple, et comprendre les problématiques et les contraintes du mobile. Des connaissances du langage Objective-C peuvent également être nécessaires.

Un bon esprit d’équipe 
Le développeur travaille régulièrement en équipe. Au-delà de son lien direct et quasi permanent avec le Chef de projet web, il peut être amené à travailler avec des graphistes, d’autres développeurs ou en externe, directement avec les clients.

Un bon esprit d’analyse et de la rigueur
Il se doit d’être un bon analyste pour cerner précisément les besoins des utilisateurs. Il doit également être rigoureux et très bien organisé pour travailler méthodiquement.

Contexte

Autrefois externalisé, le métier de développeur est devenu un véritable métier stratégique au sein des entreprises. En effet, les compétences en développement deviennent une clé de différenciation pour les entreprises.

Salaire du Développeur Swift

Le taux journalier moyen du développeur freelance Swift varie beaucoup selon le niveau d’expérience mais se situe généralement entre 350 et 800€.

Formation et Evolution

Il n’existe pas de formation particulière pour devenir Développeur Swift. Toutefois, une formation en informatique (bac +2 à bac +5, école d’ingénieur…) est indispensable.
Si on se fie à la place qu’occupe aujourd’hui Apple dans notre quotidien, nul doute que le métier de Développeur Swift a un bel avenir devant lui.

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Data & Business Intelligence Digital Fiches métiers

Ingénieur Big Data : fiche métier

Fiche métier - Ingénieur Big Data (2)
Ingénieur Big Data : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le Big Data, ou traitement et analyse de données massives, est devenu un véritable phénomène dans nos sociétés hyper connectées, où le volume d’informations échangé augmente de manière exponentielle. Avec, à la clé, l’apparition d’un nouveau métier de pointe : l’ingénieur Big Data.

L’ingénieur Big Data collabore avec des entreprises pour développer, entretenir, tester et évaluer des solutions Big Data. Il crée des systèmes de traitement de données à grande échelle. Il est également expert en solutions de Data Warehousing et en technologies de bases de données.

Le métier d’Ingénieur Big Data

Quel est le type de missions réalisées par l’ingénieur Big Data ?

Valoriser les données d’une entreprise

Pour ce faire, il analyse parfois des centaines de millions de données grâce à des logiciels très pointus, et classe les infos recueillies en fonction des demandes et besoins de l’entreprise.

Concevoir et mettre en place une architecture et des solutions adaptées

Il conçoit des solutions permettant le traitement de volumes importants de pipelines données, qui doivent être suffisamment sécurisées et lisibles.

Implémenter les algorithmes et tests techniques, et contrôler les résultats

Ce professionnel doit également tester ses conceptions et contrôler les résultats. Il doit optimiser les traitements et revoir les codes si nécessaires. Il doit se mettre à jour en permanence sur les technologies et les langages utilisés.

Compétences requises

D’excellentes connaissances techniques

Ce professionnel doit avoir une connaissance pointue des technologies utilisées par l’entreprise, et des systèmes de données numériques. Il doit également maîtriser l’anglais technique et la mathématique avancée. De plus, des compétences en développement comme Java ou Python peuvent être appréciées.

Des compétences en infrastructure de développement

Ce professionnel doit connaître parfaitement les cadriciels tels que Hadoop, Hive, Spark, Storm ou Pig. Il doit également savoir utiliser les outils MongoDB ou encore Cassandra.

Des compétences en communication écrite et orale

Ces compétences sont précieuses, afin de présenter ses rapports. Il doit également savoir travailler en équipe, et bien souvent être disponible et mobile.

Contexte

Le Big Data étant un secteur en pleine expansion, les entreprises recherchent de plus en plus ce type de profil. Parmi elles, tout type de structures : startups ou grands groupes des secteurs de la finance, des télécommunications, du marketing…

Généralement ce professionnel sera intégré au service R&D, au pôle Data Science ou au sein d’un service dédié Big Data.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un ingénieur Big Data se situe entre 500 et 800€.

Formation de l’Ingénieur Big Data

Pour devenir Ingénieur Big Data, il est nécessaire de disposer d’une formation Bac +5 en Ecole Ingénierie Informatique avec un Master Big Data. Il est également possible d’accéder à ce métier après un Doctorat (Bac +8) avec une spécialité statistiques.

L’ingénieur Big Data peut, après quelques années d’expérience, évoluer vers le poste de Directeur informatique.

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Découvrez notre fiche métier : Ingénieur réseaux Cisco

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ERP & SAP Fiches métiers

Chef de projet E-CRM : Fiche métier

Fiche métier - Chef de projet E-CRM (2)
Chef de projet E-CRM : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le poste de chef de projet e-CRM (electronic customer relationship management) se situe au carrefour des fonctions IT, marketing, et vente. Cette fonction occupe une place importante dans le domaine de la relation client sur le web. Elle assure la mise en œuvre des campagnes digitales pour l’ensemble des plateformes numériques d’une entreprise.
La mission principale va donc être de gérer la relation avec les consommateurs sur les canaux digitaux.

Le métier de Chef de projet e-CRM

Quel type de missions composent ses journées ?

Construire des bases de données pertinentes
Le Chef de projet e-CRM doit être en mesure de cerner et identifier les clients cibles afin d’adapter les actions selon les objectifs fixés. Il doit donc définir les moyens pour recueillir les données pertinentes pour un client donné ; âge, situation familiale, avis sur un produit etc. ; et mettre en place les process.

Développer des programmes pour créer un lien avec les clients
Le Chef de projet e-CRM doit utiliser les bonnes méthodes pour créer du lien avec les clients et les fidéliser. Par exemple en envoyant des campagnes d’emailing. Les objectifs sont de mieux comprendre le consommateur, le fidéliser pour développer les ventes et générer du profit. L’une des priorités du poste est donc d’analyser le comportement des internautes et leurs habitudes de navigation.

Mettre en place des stratégies pour proposer des produits conformes aux attentes des clients
L’objectif du Chef de projet e-CRM est de développer la valeur du client, son potentiel d’achat et de suivre l’évolution de ses goûts. Il définit ainsi la stratégie d’exploitation des données des visiteurs et des clients. Il met en œuvre les solutions e-CRM pour proposer des produits adaptés au profil des contacts concernés. Enfin, met en place des campagnes automatisées avec la création de scénarios et effectue le suivi de ses actions pour en mesurer le ROI.

Vous souhaitez en savoir plus sur la Gestion de projet ? Découvrez notre dossier spécial tout ce que vous devez savoir sur le rôle des chefs de projets, leurs compétences, leurs aptitudes et leurs attentes salariales.

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Compétences requises

Une excellente capacité d’analyse, de synthèse et de gestion de projets
Le chef de projet e-CRM doit pouvoir connaître le client et développer un lien entre lui et l’entreprise. Pour cela, il doit avoir des compétences en traitement de données, des capacités analytiques et une forte appétence pour la gestion de projets.

Une bonne capacité à interpréter les réactions du client
Pour cela, de bonnes compétences relationnelles sont nécessaires. Ce professionnel est en lien direct avec le client et doit disposer de bonnes compétences relationnelles pour pouvoir interpréter les comportements et réactions de l’utilisateur.

Une très bonne connaissance technique des outils numériques
Ce professionnel doit connaître parfaitement les outils numériques de l’entreprise pour pouvoir effectuer les analyses pertinentes et assurer l’implémentation ainsi que le suivi des campagnes. Il doit également maîtriser les outils statistiques.

Contexte

Le métier de chef de projet e-CRM est très prisé depuis quelques années et attire de plus en plus de jeunes diplômés en commerce, informatique ou marketing. Toutefois, les places restent chères et le taux d’embauche relativement faible, en raison d’une grande concurrence.
Ce métier s’est développé dans de nombreux secteurs d’activités : e-commerce, banque, assurance, télécoms…

Salaire

Le taux journalier moyen oscille entre 500 et 900 €.

Formation Chef de projet E-CRM

La plupart des chefs de projet e-CRM ont un BAC +5 (Université ou Ecole de commerce). Des études en sociologie et une formation en webmaster permettent aussi d’accéder à ce genre de poste. Mais il faut savoir qu’une expérience professionnelle antérieure est indispensable avant de devenir chef de projet e-CRM.
En matière d’évolution, après quelques années d’expérience en tant que chef de projet e-CRM, il est possible d’occuper un poste de directeur marketing dans un contexte relativement technique.

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Digital Fiches métiers Project Management

Creative Technologist : Fiche métier

Fiche métier - Creative Technologist
Creative Technologist : métier, missions, salaire, formation, compétences

Lorsqu’il s’agit de créer de nouvelles stratégies marketing, les marques savent qu’elles ont tout intérêt à utiliser les technologies émergentes pour se démarquer de leurs concurrents. Elles sont constamment à la recherche d’expériences digitales mêlant émotion et innovation. C’est dans ce genre de contexte que le recours à un Creative Technologist s’avère judicieux.
Le Creative Technologist joue en effet un grand rôle dans la digitalisation d’une agence ou d’une marque. Sa mission principale est de permettre à une marque d’innover et de se démarquer de ses concurrents, grâce à la technologie et à l’innovation. C’est un métier hybride demandant des compétences en technologie, marketing et design.

Le métier de Creative Technologist

Quel type de missions composent ses journées ?


Exercer une veille technologique pointue
La première mission du Creative Technologist est de se tenir informé des dernières technologies (réseaux sociaux, salons, conférences…). Cela lui permet d’être au fait des dernières tendances et proposer des solutions modernes.
Il se tient informé des innovations, via les médias et les réseaux sociaux, mais aussi en se rendant sur des salons professionnels et conférences d’éditeurs, en Europe et à l’international. De plus il met en place des outils de veille spécifiques.


Comprendre l’organisation et gérer les informations
Le Creative Technologist doit avoir une bonne culture de l’entreprise pour pouvoir répartir les informations utiles aux bons services et apporter sa connaissance au sein de l’entreprise.
Il doit savoir gérer un projet en interne comme en externe. De plus il doit s’assurer que l’information circule toujours correctement entre les différentes équipes.


Inventer, expérimenter et réaliser des prototypes
Le Creative Technologist doit être en mesure de proposer des créations innovantes en allant au-delà des moyens traditionnels. Il doit savoir détecter les nouveautés digitales, et imaginer comment elles pourraient être utilisés par l’entreprise.
Après avoir expérimenté un logiciel, une application ou un service, le Creative Technologist doit réaliser des prototypes (démos) pour les présenter en interne ou à son client.

Compétences requises

Sens de la communication
Le Creative Technologist échange en permanence avec le service marketing et les équipes de développeurs ou de créatifs. Il est également amené à rencontrer de multiples interlocuteurs lors de visites de présentation et d’appels d’offres. Il doit alors être capable de leur présenter une technologie de manière pédagogique et de les convaincre de ses avantages.

Capacité d’anticipation et d’estimation 
Le Creative Technologist doit être en mesure d’estimer les coûts engendrés par les produits et usages digitaux qu’il propose. Avant que le projet ne se concrétise, il doit anticiper toutes les étapes, de la pré-production à la mise en production en passant par l’utilisation, et identifier tous les problèmes pouvant empêcher l’idée ou le projet de fonctionner.

Solide bagage technique 
Le Creative Technologist doit avoir une très bonne connaissance des langages et logiciels informatiques, et maîtriser les techniques de communication digitale. Il doit donc être aussi un codeur et un informaticien.

Vous souhaitez en savoir plus sur la Gestion de projet ? Découvrez notre dossier spécial tout ce que vous devez savoir sur le rôle des chefs de projets, leurs compétences, leurs aptitudes et leurs attentes salariales.

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Contexte

Le métier de Creative Technologist, encore peu répandu en France, est à mi-chemin entre la conception et la recherche, et nécessite une grande polyvalence. Si les Creative Technologists sont encore très peu en France, leur avenir est toutefois très prometteur dans les agences de communication digitales et généralistes. En effet, leur expertise est de plus en plus importante pour répondre aux nouvelles tendances de consommation.

Salaire

Le taux journalier moyen du Creative Technologist se situe entre 800 et 1500€.

Formation et Evolution du Creative Technologist

Il n’existe pas de formation spécifique pour l’instant. Le métier est accessible aux professionnels de l’informatique (chef de projet, développeur…) et de la communication, dotés d’une solide expérience et d’une forte appétence technique et digitale. Toutefois on recommande les formations de niveau BAC+5. Des connaissances pointues en UX (User Expérience), ergonomie, architecture de l’information, développement, graphisme, marketing et communication sont fortement appréciées.
En termes d’évolution de carrière, pas de parcours tout tracé : le creative technologist suit l’évolution des besoins du marché, le mouvement des innovations technologiques et les tendances culturelles du moment tout en anticipant sur le futur.

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Découvrez notre fiche métier Designer UX/UI

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Green IT Consultant : Fiche métier

Fiche métier : Green IT Consultant
Green IT Consultant : métier, missions, salaire, formation, compétences

Comme l’adjectif « Green » le sous-entend, le Green IT Consultant est le spécialiste des énergies renouvelables, dans le domaine de l’informatique durable. Son objectif est d’optimiser les gains d’énergie et les postes de travail, notamment la consommation d’énergie des ordinateurs. Ses missions principales sont d’aider, de conseiller et de convaincre, dans le but de préserver l’environnement.

Aujourd’hui, l’empreinte écologique est fortement impactée par les systèmes d’informations des entreprises, collectivités territoriales et administrations. Pour réduire cette empreinte écologique, le consultant Green IT les aide à adopter des processus écoresponsables en leur procurant méthodologies et outils.

Le métier de Green IT Consultant

Quelles sont ses principales tâches ?

Etablir un diagnostic au sein de l’entreprise
Avant toute chose, le Green IT Consultant doit analyser les méthodes utilisées par l’entreprise pour repérer les failles et les axes d’amélioration. Il peut être amené à revoir l’ensemble de la consommation d’énergie d’une entreprise, à acheter de l’informatique  » responsable  » ou à rationaliser l’usage d’appareils existants.

Proposer plusieurs pistes et préconisations afin d’optimiser la consommation d’énergie
Le Green IT Consultant propose des solutions aux entreprises pour repenser la gestion de leurs parcs informatiques. Cela peut passer par l’installation d’imprimantes sobres et peu énergétivores, par l’incitation des salariés à limiter leurs impressions, ou par l’optimisation des serveurs informatiques…

Décider de la solution la plus adaptée aux objectifs
L’entreprise et le Green IT Consultant décident ensemble de la solution la plus adaptée, et surtout pérenne, pour atteindre les objectifs.

Compétences requises

De la souplesse et de l’adaptabilité
Comme tout consultant, le il doit savoir s’adapter aux besoins de son client. Même si les problématiques environnementales constituent le fondement même de sa mission, les solutions peuvent être très différentes.

Disposer d’une grande force de conviction
Il a pour mission de sensibiliser et de convaincre les entreprises sur les enjeux environnementaux. Ces dernières ont toutefois tendance à limiter le rôle des experts Green IT à la réduction des coûts et de la facture énergétique, sans voir plus loin. Ce dernier doit alors user de son pouvoir de conviction pour faire en sorte d’étendre son action à tous les domaines de l’entreprise.

Des compétences techniques et environnementales
En plus d’une expertise informatique, disposer de connaissances techniques dans le domaine de l’environnement est indispensable pour effectuer ce métier. Il devra cultiver son savoir par une veille permanente et des formations régulières.

Contexte

Le métier de Green IT Consultant est encore assez nouveau et répond parfaitement aux enjeux environnementaux actuels, ce qui le rend de plus en plus attractif. Certaines grandes entreprises cherchent à adopter une démarche de RSE et à contribuer à la protection de l’environnement. Le consultant peut exercer comme indépendant ou être directement intégré à des entreprises spécialisées.

Salaire

Après quelques années d’expérience, le Green IT Consultant peut passer à la direction d’un service. Il peut, par exemple, devenir directeur de la stratégie et du développement durable d’une entreprise ou d’une collectivité. Il peut également choisir de créer son entreprise spécialisée.
Le taux journalier moyen oscille entre 300 et 600 €.

Formation de Green IT Consultant

Il n’existe pas de diplôme spécifique. L’idéal est tout de même de détenir un diplôme de niveau bac + 5 (diplôme d’ingénieur ou master) en informatique avec des compétences en développement durable voire une option Green IT.

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Coach Agile : Fiche métier

Fiche métier - Coach Agile (2)
Coach Agile : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le Coach Agile est un agent du changement pour les entreprises sur le chemin de l’agilité. Il aide les entreprises à se transformer sur le long terme. Le Coach Agile forme et accompagne les différentes parties prenantes de l’entreprise (Product Owner, Scrum Master, analystes, développeurs et testeurs), dans le but de les amener à un objectif commun d’agilité. Il conduit, pilote et anime les projets de transformation d’organisations via les pratiques de pilotages et d’ingénierie agile.

Le Coach Agile accompagne ses interlocuteurs sur les bonnes pratiques de définition des besoins, planification et les pratiques de développement, pair programming, refactoring… Globalement, il assure l’avancement des projets dans toutes les phases du cycle de développement.

Une transformation agile est un projet qui peut s’avérer très complexe pour l’entreprise. Un projet qui peut se solder par un échec pour de multiples raisons : management peu ouvert à l’agile, changement de direction et d’objectifs… Le Coach Agile doit alors savoir faire face aux imprévus et aux déceptions sans perdre son dynamisme, et conduire le changement.

Le métier de Coach Agile

Analyser la situation et proposer une organisation adaptée

Après avoir analysé l’organisation existante, ce professionnel doit faire le choix des méthodes agiles à utiliser et déterminer les rôles au sein des équipes.

Proposer différentes pratiques et différents cadres à l’équipe qui fera ses choix

Il ne doit pas imposer ses idées mais amener les équipes à faire leurs propres choix. Il propose ses méthodes à l’équipe qui sera libre ou non de les appliquer. Le but est d’atteindre les meilleurs résultats possibles, en guidant l’équipe pour qu’elle gagne en autonomie pour la suite.

Accompagner l’ensemble de l’entreprise au changement avec des ateliers ludiques, des formations et une excellente communication

Le Coach Agile peut accompagner les équipes en groupe ou individuellement, avec un véritable rôle de formateur. Il doit rendre les choses ludiques pour que la transformation soit acceptée volontairement par toutes les parties prenantes. Il peut s’agir de de sessions de formation en groupe, de formations sur des postes précis, ou d’ateliers participatifs pour faire assimiler facilement les méthodes agiles à l’équipe.

Découvrez notre fiche métier : Responsable de Datacenter

Compétences requises

Un sens du leadership développé

Le Coach Agile forme les équipes aux méthodes agiles et leur apprend cette nouvelle culture. Il doit devenir mentor des gens qui veulent évoluer pour gagner en performance.

De grandes qualités pédagogiques

Très bon communiquant, il se doit d’être un formateur pédagogue à l’aise dans ses échanges. Il doit savoir s’adapter aux différentes situations rencontrées et aux différents interlocuteurs. Il doit être capable de présenter le projet, de convaincre et de porter l’équipe dans une même direction.

Une bonne maîtrise technique

Le métier de Coach Agile nécessite de connaître les approches de gestion de projet agiles (Scrum, Kaban) & Cycle en V, ainsi que les environnements techniques et frameworks de conception/développement.

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Contexte

Ce professionnel est en règle générale sollicité par les grandes entreprises souhaitant se faire accompagner dans leur transformation agile. Il peut toutefois très bien accompagner une personne, une équipe ou une organisation.

Salaire

Le taux journalier moyen d’un Coach Agile se situe entre 300 et 700€.

Formation du coach Agile

Pour devenir Coach Agile, il faut en général disposer d’un niveau bac +5 en tant qu’Ingénieur d’Etat en Développement informatique ou en management de qualité.
Dans l’idéal, une expérience de développeur, au sein d’une DSI ou en tant que pilote des équipes de production est préférable.

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Solutions Architect : Fiche métier

Fiche métier : Solutions Architect
Solutions Architect : métier, missions, salaire, formation, compétences

Le Solutions Architect ou en français, Architecte Solutions a pour rôle de concevoir, expliquer et mettre en œuvre des solutions adaptées aux problématiques spécifiques de l’entreprise. Il construit des offres complexes et conseille les clients dans la transformation des systèmes d’information. Il doit étudier la faisabilité technique ainsi que ses risques avant de proposer des solutions.

Dans un contexte technologique en perpétuelle évolution, les entreprises doivent veiller à maintenir leurs systèmes d’information à jour afin de répondre à de nouvelles exigences. Cette transformation digitale demande une expertise et des pratiques spécifiques pour maintenir l’entreprise à la pointe de la technologie.

Découvrez dans cette fiche métier, quelles sont les missions en freelance et CDI de l’Architecte Solutions, les compétences requises, le salaire et la formation de ce professionnel de l’IT.

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1. Le métier de Solutions Architect : les tâches à réaliser

1.1. Analyser l’environnement du projet et ses problématiques

Parmi les nombreuses missions de ce travailleur indépendant, le Solutions Architect a pour mission de piloter l’ensemble du projet et de s’occuper du chiffrage des solutions. Il est également amené à manager l’équipe de développement.

1.2. Définir une trajectoire de solutions adaptées à l’entreprise

Généralement, les entreprises ont leurs propres systèmes d’information, un contexte informationnel ainsi que des exigences en matière d’intégration. Le Solutions Architect a alors pour mission de s’assurer que le système qu’il propose correspond aux attentes de l’entreprise.

1.3. Respecter des contraintes

Chaque solution est construite grâce à des outils et une mise en œuvre spécifique qui peuvent engendrer des coûts importants. L’Architecte Solutions doit donc savoir optimiser le budget alloué au projet, en tenant compte des contraintes technologiques et managériales.

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2. Compétences requises du Solutions Architect

2.1. D’excellentes connaissances techniques

Comme pour le consultant SAP FI CO, le Solutions Architect doit posséder d’excellentes connaissances techniques dans son domaine. Afin de proposer la meilleure analyse possible, l’Architecte Solutions doit connaître tout ce qui touche aux systèmes d’exploitation, aux systèmes de gestion des bases de données, ou aux équipements réseaux. Des compétences spécifiques peuvent lui être demandées en portail, CMS, multicanal, BPM, architecture de services (SOA)…

2.2. Des compétences analytiques et une vision systémique des systèmes d’information

Concevoir une solution nécessite de connaître l’articulation des différentes composantes de l’entreprise. L’Architecte Solutions doit donc comprendre la stratégie de l’entreprise et son business model pour assimiler les objectifs. Il doit également analyser le fonctionnement technologique de l’entreprise afin d’identifier les moyens à mettre en œuvre pour mener à bien le projet.

2.3. Une solide capacité à présenter ses idées

Savoir communiquer est une compétence essentielle pour le Solutions Architect. Car il doit négocier avec les différents intervenants de l’entreprise afin de comprendre leurs besoins et analyser les risques. Ce poste implique de travailler conjointement avec les ingénieurs informatique, les analystes d’affaires et les groupes de projets. L’architecte solutions doit donc savoir écouter, conseiller et expliquer.

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3. Contexte

Que ce soit pour accompagner un projet de transformation digitale, trouver une solution adaptée à l’écosystème de l’entreprise ou prévenir contre des risques liés au système d’information, de plus en plus d’entreprises font appel à un Solutions Architect.

Une solution bien pensée aide une équipe à mener un projet en respectant les délais et le budget. Et permet d’assurer une réponse concrète à une problématique.

L’Architecte Solutions pourra travailler en tant que spécialiste d’un domaine dans une grande entreprise. Ou bien exercer en tant que consultant indépendant extérieur, à son compte ou pour une ESN (entreprise de services du numérique).

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4. Salaire du Solutions Architect

Le taux journalier moyen (TJM) pour un architecte de solutions peut varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que l’expérience, les compétences spécialisées, la demande sur le marché, la région géographique, etc. Il n’existe pas de TJM fixe ou standard pour tous les Solutions Architect, car cela dépend des circonstances spécifiques.

Cependant, en général, le taux journalier moyen d’un Solutions Architect se situe entre 500 et 900 € par jour. Ce qui est similaire au tjm d’un Ingénieur stockage et sauvegarde.

Concernant le salaire annuel d’un Solutions Architect en CDI, celui-ci peut varier de 50 000 € à 100 000 € ou plus. Les professionnels ayant une expérience plus étendue, des compétences spécialisées et travaillant dans des entreprises de grande envergure ou dans des secteurs hautement demandés peuvent généralement s’attendre à des salaires plus élevés.

Bien entendu, ces chiffres peuvent varier et certains architectes de solutions très spécialisés et recherchés peuvent demander des tarifs encore plus élevés

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5. Formation du Solutions Architect

Pour devenir Architecte Solutions, la formation la plus courante est un Bac +5 en école d’ingénieur (réseaux et IT). Mais il est aussi possible de réaliser un Master 2 réseaux, télécom et IT.


Le métier de Solutions Architect est accessible pour les cadres expérimentés avec des compétences acquises en conduite de projets. Il est nécessaire d’avoir une expérience professionnelle d’au moins 8 ans dans le domaine de l’informatique pour pouvoir réaliser des missions freelance de Solutions Architect.

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