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Fiches métiers Infra

Analyste d’exploitation : Fiche métier

Dans une grande entreprise, sa présence s’avère indispensable pour résoudre les problèmes que pourraient rencontrer les utilisateurs des systèmes informatiques. En effet, l’analyste d’exploitation assure la mise en place et le bon fonctionnement des moyens de production et des systèmes d’information. Il agit sous la direction du responsable d’exploitation.

Il arrive que l’on retrouve l’analyste d’exploitation sous le nom d’ingénieur d’exploitation. Et plus rarement, sous diverses autres appellations telles qu’ingénieur de production, analyste de production, analyste de réseaux ou encore l’analyste support diffusion maintenance.

Le métier d’Analyste d’exploitation

Son rôle ? Garantir le bon fonctionnement des systèmes d’information. Ses principales missions sont au nombre de trois. Réaliser l’intégration technique d’application, apporter un soutien aux utilisateurs et analyser les rapports techniques.

L’analyste d’exploitation devra donc optimiser les systèmes d’exploitation et les outils de production, grâce à des solutions techniques et méthodologiques. Il participe également à l’étude et à l’analyse des besoins de l’entreprise en matière de système d’exploitation. Cette étape lui permet ensuite d’élaborer et de diffuser des procédures d’exploitation. Il a enfin pour mission de suivre les performances via des tableaux de bord qu’il met souvent lui-même en place.

Compétences requises

Excellent sens de l’organisation
L’analyste d’exploitation doit souvent savoir travailler dans un climat d’urgence permanente, en raison des délais à respecter et des imprévus. Il doit donc faire preuve de rigueur et savoir gérer la pression.

Compétences techniques
Il doit avoir une connaissance experte et globale de l’informatique (applications, matériels, systèmes d’exploitation, logiciels…). Il doit savoir s’adapter aux évolutions techniques et se tenir constamment informé des dernières mises à jour. Ses compétences techniques lui permettent également de savoir quelle solution adopter pour optimiser au mieux les systèmes d’exploitation et les outils de production.

Capacité d’écoute et disponibilité
En recherche permanente de solutions, l’analyste doit avoir une grande capacité d’écoute pour détecter les incidents et mettre en œuvre une résolution. Il doit également être disponible pour pouvoir répondre au mieux aux demandes des différents intervenants ou utilisateurs.

Contexte

L’analyste d’exploitation est le plus souvent recruté par les grandes entreprises et les sociétés d’infogérance (banque, assurance, grande distribution…). Ce professionnel peut toutefois être amené à travailler aussi bien en entreprise que directement chez l’utilisateur.

Carrières et Salaire

Le taux journalier moyen se situe entre 250 et 500€.
Les perspectives d’évolution se font vers des postes d’administrateur système et réseau, ingénieur système et réseau, responsable d’exploitation ou responsable de production.

Formation Analyste d’Exploitation

Pour devenir analyste d’exploitation, il faut posséder à minima un BTS ou un DUT (bac +2) en informatique, en sachant que certains employeurs recherchent davantage des profils présentant un Bac +4 (maîtrise en informatique, IUP informatique, MIAGE…) ou sortant d’une école d’ingénieur. La certification ITIL est un plus pour prétendre au poste d’analyste d’exploitation.
Le poste peut être accessible aux débutants mais il est le plus souvent réservé à des cadres présentant une expérience professionnelle de 2 ou 3 ans.

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Découvrez également la fiche métier : Product Owner

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Décideurs IT Recruter un consultant IT Risques & erreurs à éviter

3 erreurs à éviter lors du recrutement de freelances

Les profils freelances sont de plus en plus en vogue au sein du monde du travail. Et pour cause : ils offrent une main d’œuvre souvent très qualifiée. Notamment dans le cadre d’une recrudescence ponctuelle d’activité dans l’entreprise. Découvrez les 3 erreurs à éviter lors du recrutement de freelances.

Les freelances sont aussi des profils intéressants en termes de coûts et de disponibilité pour l’entreprise recruteuse. Néanmoins, bien que le recrutement des freelances le temps d’une ou plusieurs mission(s) soit intéressant, il est indispensable de ne pas commettre d’impair et d’éviter certains pièges.

1ère erreur : ne pas vérifier en amont les qualifications du freelance

Il peut arriver qu’un freelance s’estime expert dans un domaine qui vous intéresse tout particulièrement, sans pour autant justifier de ses qualifications. Ainsi, la première erreur la plus notable est celle des freelances recrutés pour une compétence particulière dont ils ne disposent pas en réalité, ou peu adaptée à la réalité de votre projet.

Afin de vous prémunir contre cette difficulté qui peut causer du tort ; tant financièrement qu’en termes de réputation ; il est préférable de vous assurer en amont de la véracité des propos du freelance. Il faut donc ainsi évaluer ses compétences techniques.

Lors de votre rencontre, discutez avec lui et n’hésitez pas à poser des questions pointues sur son domaine de compétences. Vous vous rendrez rapidement compte de la réalité de la situation. De même, mieux vaut pouvoir répondre à ces quelques questions avant de vous engager dans un contrat avec un freelance :

  • Le freelance vous a-t-il fait part d’exemples de missions réussies ?
  • Le freelance a-t-il justifié de ses compétences par des documents, de quelque nature que ce soit ?
  • Avez-vous des preuves de l’activité de ce candidat freelance ?
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2ème erreur : recruter un freelance qui ne partage pas les valeurs de votre entreprise

Parfois, il peut arriver que le freelance recruté ne partage pas les valeurs phares de votre structure d’entreprise. Afin d’éviter au maximum les divergences de modes de fonctionnement ; ce qui peut conduire en pratique à des divergences dans le mode de communication et l’entente générale ; il est préférable de choisir un freelance qui saura cerner les valeurs d’entreprise. De manière générale, n’oubliez pas de tester le « savoir-être », en plus du « savoir-faire » du candidat.

Il en va de même concernant l’obligation de confidentialité. Elle concerne certaines entreprises dans le cadre des missions qu’elles confient à leurs prestataires extérieurs. Il convient alors de s’assurer que le freelance conservera pour lui les informations de l’entreprise et ne les divulguera pas.

Bien que ce ne soit pas un élément essentiel aux obligations légales au recrutement d’un freelance, la signature d’un contrat de confidentialité peut-être mise en place. Il permet d’engager le freelance à respecter le caractère confidentiel des informations communiquées. S’il enfreint cette obligation, il engage sa responsabilité.

3 erreurs à éviter lors du recrutement de freelances : fixer une rémunération inadaptée par rapport au marché des freelances

Une troisième erreur commune à de nombreuses entreprises consiste à rémunérer un freelance à un prix supérieur ou inférieur à celui normalement pratiqué dans son domaine de compétences.

Si vous fixez une rétribution journalière trop conséquente, au regard des grilles tarifaires des prestataires dans le même secteur et au même niveau d’expérience, votre collaboration risque de ne pas être pérenne sur le long terme, et cela peut poser des problèmes d’équilibre en interne.

Au contraire, si vous fixez une rémunération trop faibles, vous aurez des difficultés à attirer de bons profils, avec un niveau d’expérience conséquent.

Les entreprises les plus confrontées à cette problématique sont celles qui n’ont pas l’habitude de recruter des freelances, dans un domaine d’activité donné. La collaboration est à envisager sous un angle équilibré et dans un rapport « gagnant – gagnant ». Ce n’est qu’à cette condition que la collaboration sera efficiente sur le long terme.

Vous êtes à la recherche d’un prestataire freelance informatique ? Club Freelance vous propose de nombreux profils différents, compétents dans leurs domaines respectifs, et vous accompagne dans la sélection du candidat qui répond le mieux à vos attentes.

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Développement Fiches métiers

Développeur Front-End : fiche métier

La constitution d’une équipe projet web ou mobile peut varier selon les structures, les besoins et les compétences nécessaires. Dans les équipes suffisamment conséquentes, on retrouve souvent le développeur spécialisé selon le « front-end » (éléments visuels, d’ergonomie) et le « back-end » (la gestion du serveur, de la base de données et de l’application), à la différence du développeur « Full stack » qui assure ces deux fonctions.

Le développeur front-end, anciennement appelé intégrateur, va donc concevoir l’expérience utilisateur d’une page web ou d’une application, incluant tous les éléments visuels avec lesquels on peut interagir (boutons, liens, animations…).

Le métier de Développeur Front-End

Le développeur freelance front-end se doit d’optimiser la navigation et l’ergonomie d’un site ou d’une application sur un maximum de supports comme les différents navigateurs ou les résolutions d’écrans. Si l’équipe comporte des designers, le développeur freelance front-end va se charger de l’intégration des maquettes, c’est-à-dire de programmer les interfaces imaginées par ces derniers. Autrement, c’est lui qui devra se charger de concevoir l’UX (user experience) et l’UI (user interface).

Les développeurs front-end sont évidemment en contact constant avec les développeurs back-end qui vont utiliser les composants graphiques réalisés pour activer les mécanismes de fonctionnement du site ou de l’application. Par exemple, le « développeur front » va coder les éléments d’un formulaires tels que les champs, les couleurs, les interactions en cas d’erreurs. Le « développeur back » va quant à lui coder les fonctions d’enregistrement des valeurs dans la base de données.

Compétences requises

Créativité et programmation d’interfaces
Le développeur front end doit avoir une forte appétence pour le design et maîtriser les langages permettant de rendre les interfaces accessibles. Il doit ainsi maîtriser les langages HTML et CSS pour le web ou XML (android), Objective-C/Swift (IOs) pour le mobile. Il doit également très bien maîtriser le langage de programmation événementiel Javascript et ses différents frameworks comme Angular.JS et Node.JS. Mais encore Vue.JS qui sont d’ailleurs des compétences très demandées par les entreprises.

Portabilité, interopérabilité et accessibilité
Le développeur freelance front doit maîtriser les contraintes des différents appareils. Tels que les points de ruptures pour adapter les interfaces au maximum d’écrans et de résolutions possibles. Il doit également connaître toutes les spécificités des navigateurs, afin de les rendre lisibles par tous ces derniers. Pour rendre le site accessible, il doit enfin respecter les normes du W3C pour lesquelles il faut rester en veille.
Des compétences en référencement et optimisation des performances sont aussi un gros avantage.

Curiosité
L’un des challenges liés à la profession est la rapidité à laquelle les technologies, les outils et bonnes pratiques évoluent. Il est donc primordial d’être curieux et de se tenir sans cesse informé des dernières sorties et mises à jour.

Contexte

Les développeurs freelances front-end sont des spécialistes que l’on retrouve essentiellement dans les entreprises de taille importante ou au sein de projets à forts enjeux d’UX/UI : animations complexes, problématiques importantes de portabilité…

Bien que le métier de développeur fullstack soit de plus en plus en vogue, la parfaite maîtrise de la partie front-end reste un véritable atout dans de nombreux contextes.

Les compétences sur les frameworks Javascripts comme React ou Angular sont aujourd’hui très prisées des entreprises car ces langages permettent de gérer plus rapidement et plus simplement les intégrations tout en offrant de nombreuses possibilités d’interactions.


Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !


Carrières et Salaire

Le salaire est très variable selon les sociétés, les régions et le niveau d’expérience. Les taux journaliers moyens des développeurs freelances front-end oscillent entre 200 et 600€.
Le développeur front-end peut évoluer vers un poste de Lead ou de Chef de Projet.

Formation du Développeur Front-End

Pour devenir développeur front-end, plusieurs chemins sont possibles. Il peut être issu d’une formation informatique (BTS ou DUT), d’une école d’ingénieur ou de webdesign ou encore être autodidacte.

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Découvrez notre fiche métier : Développeur Back-End

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Développer sa carrière : CDI & freelance Freelance informatique / tech

Formation professionnelle des indépendants : tout savoir

Se former quand on est freelance est indispensable. Les travailleurs indépendants cotisent à la formation professionnelle pour indépendants, ce qui explique qu’ils y ont droit. Tour d’horizon de la formation professionnelle qui permet de faire évoluer la carrière des freelances.

La formation professionnelle pour les indépendants

Les personnes qui exercent une activité professionnelle en tant qu’indépendants cotisent toutes à la formation professionnelle. Sur le site officiel des autoentrepreneurs vous pouvez ainsi avoir accès à cette attestation de versement. Peu importe votre chiffre d’affaires, vous aurez le droit au même montant. Qu’est-ce que le droit à la formation professionnelle pour un indépendant et comment peut-il en bénéficier ? On vous dit tout dans cet article.

Un montant annuel pour vous former

Le principe est que tout travailleur indépendant dispose chaque année d’une somme qu’il peut utiliser pour se former. Cette dernière se détermine en prenant en compte votre catégorie d’activité (profession libérale, commerçant, artisan) et votre code APE.

Aujourd’hui, la formation professionnelle est indispensable afin de permettre à votre activité d’évoluer et à votre expertise de devenir encore plus pointue. Cela vous permettra de connaître d’autres techniques et méthodes de travail et de développer des compétences supplémentaires dont vous pourrez vous prévaloir.

La formation professionnelle tout au long de votre vie n’est donc pas l’apanage des salariés, loin s’en faut. Tous les travailleurs indépendants peuvent accéder à cette formation, notamment la formation professionnelle continue . Utilisez votre compte personnel de formation (CPF) désormais directement en euros depuis le début de l’année 2019. Si vous êtes un auto-entrepreneur, vous devez pour cela avoir déclaré un chiffre d’affaires durant les 12 derniers mois.


Découvrez notre dossier spécial : Monter en compétences et faire la différence quand on est freelance, pour tout savoir sur la formation professionnelle des indépendants mais aussi pour découvrir comment développer ses softs skills et quels sont les bons choix à faire pour monter en compétences si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.

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Inconvénients de la formation professionnelle pour les indépendants

En réalité, bien que le CPF soit accessible pour tous les indépendants, les cotisations de formation sont assez faibles. Cela explique que les sommes prises en charge soient aussi limitées. En moyenne, elles sont entre 1 000 € et 2 000 € à l’année. Or, les formations peuvent être assez onéreuses, et certaines journées atteindre les 1 000 € hors taxes.

Ainsi, il peut arriver que certaines demandes de prises en charge soient écartées, l’appréciation étant fonction du niveau de priorité de la formation pour votre activité. Il faut également prendre en compte les heures de formation dans votre activité et ses conséquences sur votre chiffre d’affaires.


Mobilisez vos droits à la formation grâce à notre partenariat avec Mindquest et Avantages Formations !

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Démarches pour la prise en charge de votre formation

Comment faire pour profiter de la prise en charge des frais de formation professionnelle ? Vous devez déposer votre demande de prise en charge auprès du Fonds d’assurance formation dont vous dépendez, au moins 1 mois avant le début prévu de la formation. La prise en charge concerne aussi toutes les formations à distance. Si vous êtes inscrit en tant que professionnel libéral, vous pouvez obtenir le formulaire de demande de prise en charge directement en ligne.

Si vous désirez suivre plusieurs formations, vous devez déposer une demande séparée pour chacune d’elle. A l’issue de votre formation, vous vous verrez remettre une attestation de présence. Cette dernière vous servira pour obtenir le remboursement. Le financement de cette formation se fait par la CFP (contribution à la formation professionnelle) que vous versez chaque mois.

Où trouver la formation professionnelle qui vous convient ?

Afin de trouver la formation professionnelle qui vous convient le mieux, il existe des organismes spécialisés pour votre formation . Ces derniers interviennent pour vous informer et vous guider afin de vous permettre de vous former et de faire évoluer vos compétences dans votre domaine de spécialisation.
Pour trouver la formation souhaitée, il est important de prendre en compte certains éléments comme le niveau de compétences souhaitée, la durée de la formation, le lieu (en ligne ou en présentiel), la périodicité et le coût.


Toutes les raisons sont bonnes de mobiliser ses droits à la formation. Il peut être judicieux de se faire accompagner pour développer sa carrière de consultant informatique : se former quand on est freelance, monter en compétences, se spécialiser, choisir ses missions… avec Mindquest bénéficiez de conseils personnalisés !

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Développement Fiches métiers Project Management

Designer UX/UI : Fiche métier

Le rôle du Designer UX/UI est d’optimiser et de fluidifier les interactions entre un site web ou une application et ses utilisateurs. Il intervient donc sur la conception et le développement de l’expérience utilisateur (UX) à travers l’interface utilisateur (UI).

Il existe des designers UI, uniquement en charge de la conception générale de l’interface et de l’optimisation des parcours, ainsi que des designers UX, qui se concentrent sur les éléments de storytelling et sur la génération d’émotion chez l’utilisateur. Les designers UX/UI cumulent quant à eux ces deux dimensions et présentent un profil à la fois créatif et technique.

Le métier de Designer UX/UI

Comprendre l’utilisateur
Avant toute chose, le designer UX/UI étudie en profondeur le marché de son produit : il réalise des sondages et des entretiens pour cerner au maximum les habitudes, les motivations et les frustrations de l’utilisateur. Il se renseigne également sur les produits concurrents et sur les éventuelles contraintes légales et techniques liées au site internet ou à l’application sur laquelle il travaille.

Organiser l’information
Le designer UX/UI effectue ensuite un travail d’analyse et de réflexion pour définir l’architecture des éléments d’un site. Sa mission : faire en sorte que l’utilisateur accède à l’information ou aux fonctionnalités qu’il recherche, de la manière la plus intuitive possible.

Créer une interface ergonomique
Comme son nom l’indique, le design est au cœur du métier de designer UX/UI ! La recherche de l’esthétisme et de la praticité étant au cœur des enjeux. Le designer est chargé d’agencer les éléments graphiques et le texte, en prenant en compte la navigation tactile, l’interactivité des zones d’action, le tout, en intégrant bien évidemment les enjeux expérience sur mobile.
Il travaille donc sur des prototypes, qu’il fait évoluer jusqu’à obtenir un produit final.

Proposer des solutions aux problèmes des usagers
Le designer doit également résoudre les éventuels problèmes utilisateurs. L’objectif ? Faire en sorte que l’expérience de navigation et que les interactions soient les plus faciles, agréables et intuitives possibles !

Compétences requises

Créativité
Un Designer UX/UI doit savoir faire preuve d’imagination avoir un sens esthétique développé, doublé d’un sens de l’observation poussé.
Beaucoup de designers UX/UI ont également des connaissances en psychologie et sociologie, qui leur permettent de se mettre réellement « dans la peau » de l’utilisateur.

Compétences techniques
Parmi les compétences requises : maîtrise des logiciels de création et des outils de maquettage, connaissance des technologies front-end… Le designer UX/UI doit savoir parler le langage des développeurs pour transmettre les spécificités techniques de son ou ses projets.
Le designer UX/UI doit également présenter une bonne culture web et faire preuve de curiosité car la veille des tendances concernant le graphisme et les interfaces web est indispensable.

Rigueur et méthode
L’un des axes du métier de designer UX/UI est de trouver ce qui ne marche pas et de proposer des solutions pour faire en sorte que le produit soit plus fonctionnel. La rigueur et l’esprit d’analyse sont donc des qualités essentielles pour ce type de profils.

Contexte

Dérivé du métier de webdesigner, le métier de designer UX/UI est relativement nouveau. Beaucoup apprennent la fonction sur le terrain, ou bien se forgent une expérience en travaillant en agence web ou en studio.

Carrières et Salaire

Le parcours d’un designer UX/UI est loin d’être tout tracé, et peut évoluer vers de multiples fonctions. Par exemple sur des postes de directeur de projet web, directeur artistique ou directeur de création.
Le TJM de ce type de profil est compris entre 400 et 500€.

Formation de Designer UX/UI

Il n’existe pas encore réellement de formation type. Pour devenir designer UX/UI, il faut en général être diplômé minimum d’un BAC+3 à BAC+5, dans les domaines du digital, de l’informatique, ou des arts numériques.
Il est possible de compléter son cursus avec une formation artistique ou un master en psychologie ou sociologie.

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Vous souhaitez en savoir plus sur le développement Web ? Découvrez notre dossier spécial sur les différentes spécialisations et métiers du développement Web ainsi que les langages de programmation !


Découvrez également notre fiche métier : Développeur Web

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Freelance informatique / tech Se financer

Compte bancaire pour auto-entrepreneur : quelle banque choisir ?

Tous les auto-entrepreneurs sont tenus d’ouvrir un compte bancaire dédié à leur activité professionnelle. Pour séparer ses finances ou avoir accès au prêt bancaire pour auto-entrepreneur, le choix d’une banque est capital. Compte bancaire pour auto-entrepreneur : quelle banque choisir ? Réponse avec Mindquest.

Quelle banque choisir quand on est auto-entrepreneur ?

Si les auto-entrepreneurs bénéficient d’un statut juridique particulièrement souple, surtout en comparaison de sociétés comme la SARL par exemple, ils doivent néanmoins respecter certaines obligations. Parmi elles, celle d’ouvrir un compte bancaire différent de leur compte personnel habituel et dédié à leur activité professionnelle. Mais en tant que micro-entrepreneurs ce n’est pas obligatoire d’opter pour un compte professionnel, souvent très onéreux. Compte bancaire pour auto-entrepreneur : comment bien choisir votre banque si vous êtes auto-entrepreneur ? Suivez le guide.

compte bancaire pour auto-entrepreneur

Pourquoi ouvrir un compte bancaire dédié pour auto-entrepreneur ?

L’ensemble des auto-entrepreneurs est tenu d’ouvrir un compte bancaire spécialement dédié à l’exercice de leur activité professionnelle et ce, depuis 2015. L’intérêt d’ouvrir un compte pour auto-entrepreneur est de permettre la distinction nette des revenus professionnels et des rentrées d’argent personnelles. Les deux comptes courant doivent donc être séparés pour bien différencier le compte bancaire pour auto-entrepreneurs du compte bancaire personnel.
En la matière, la législation française prévoit que « le micro-entrepreneur est soumis à l’obligation de détenir un compte dédié à l’ensemble des transactions financières liées à son activité professionnelle, dans un établissement de crédit ou un bureau de chèques postaux ».
Cette stricte séparation entre le compte personnel et professionnel permet, en cas de contrôle, de répondre des mouvements d’argent entrant et sortant en lien avec l’exercice de l’activité indépendante. Cela vous permet aussi d’avoir une vision plus fidèle de votre trésorerie grâce à votre compte bancaire pour auto-entrepreneur.


Découvrez notre dossier spécial : Gérer son argent quand on est freelance informatique, pour tout savoir sur les meilleurs moyens de gérer son argent si vous êtes consultant indépendant dans la tech et l’IT.

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Compte bancaire pour auto-entrepreneur : les critères de choix de votre banque

compte bancaire pour auto-entrepreneur

Comment bien choisir une banque pour auto-entrepreneur qui correspond à votre activité ? Les auto-entrepreneurs ont par nature des revenus mensuels fluctuant. Or, nombreuses sont les banques à être frileuses face à ce type de profil. Choisir la bonne banque pour auto-entrepreneur peut donc s’avérer difficile au premier abord.
Dans un premier temps, il convient donc de faire la distinction entre les établissements bancaires acceptant des revenus variables et ceux qui réclament obligatoirement un revenu mensuel fixe minimum.

Si les banques traditionnelles tentent d’évoluer et de proposer des offres avantageuses, les banques en ligne sont particulièrement intéressantes pour les auto-entrepreneurs : elles sont, en règle générale, moins chères et imposent moins de contraintes horaires.

Une bonne banque pour auto-entrepreneur est donc une banque dont les frais sont peu – voire pas – élevés et dont les offres sont adaptées aux besoins de ce mode de travail.


Si votre activité d’auto-entrepreneur vient en supplément d’un poste fixe, vous aurez alors en principe plus de facilité à trouver des avantages dans une banque classique. Il en va différemment si votre activité indépendante compose votre seul revenu.

Le cas des auto-entrepreneurs ayant une activité salariée

Certains auto-entrepreneurs exercent leur activité indépendante en plus d’une activité salariée. Ils bénéficient donc d’un revenu fixe mensuel en plus de leur chiffre d’affaires.
Ceux qui perçoivent au moins 1 000 € chaque mois ont en principe plus de choix que les autres. Les solutions qui leur sont accessibles sont totalement gratuites, ce qui est une économie évidente, notamment en ce qui concerne les frais bancaires.

  • ING Direct : l’ouverture d’un compte peut se faire à partir d’un revenu mensuel fixe de 1 200 € au minimum. Cette banque propose la carte bancaire Gold MasterCard
  • BforBank : cette banque en ligne propose l’ouverture de compte pour les revenus fixes de 1 600 € mensuels minimum et une carte Visa Premier
  • Boursorama Banque : on ne présente plus cette banque en ligne qui propose une carte visa classique entièrement gratuite. Vous devez percevoir au moins 1 000 € de revenus fixes mensuellement pour y ouvrir un compte. Cette banque a également lancé d’autres offres de cartes pour les professionnels.

Le cas des auto-entrepreneurs aux revenus variables

Vous êtes auto-entrepreneur à temps plein et vous percevez des revenus variables de mois en mois ? Pour ce type de profil, il est important de se tourner vers des banques qui comprennent les besoins des auto-entrepreneurs.


Privilégiez une banque pour auto-entrepreneur sans condition, bien plus accessible. La banque Qonto ou le service proposé par Shine ont actuellement le vent en poupe. De plus il est possible de simplifier la gestion de ses finances avec Qonto et Mindquest grâce à notre partenariat. Ces offres bancaires nouvelles sont plus innovantes et comprennent des services de comptabilité intégrés. Pour ouvrir un compte, c’est très simple et il vous suffit souvent seulement de 10 minutes, directement en ligne.

Freelance : découvrez également notre article sur comment gérer ses revenus irréguliers ​de freelance.


Besoin de conseils pour lancer ou développer votre activité de consultant indépendant dans la tech ou l’IT ? Rejoignez Mindquest et faites-vous accompagner par notre équipe d’experts.

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Développement Fiches métiers

Testeur QA : Fiche métier

Le testeur Quality Assurance est le garant du bon fonctionnement des logiciels et des codes développés par les développeurs ; en amont de la commercialisation d’un produit/ service. Le testeur QA doit être capable de détecter les bugs et anomalies ; assurer la qualité ; l’opérationnalité et la pérennité du produit final.

Mais quel est le rôle du Testeur QA ? Découvrez dans cette fiche métier ses missions, ses compétences, sa formation. Mais aussi son salaire en CDI et son tjm de freelance.   

Le métier de Testeur QA

Etablir un plan de test

Afin de détecter toutes les petites anomalies et bugs des différentes fonctionnalités du logiciel précédemment définies dans le cahier des charges, le testeur doit établir un plan de test.
Ce plan de test doit être en mesure de vérifier que chaque interaction souhaitée fonctionne et garantisse la fluidité du parcours de l’utilisateur.

Créer des outils de test

Le testeur QA est amené à créer des outils de test qui détecteront les différents bugs. Cela pourra également permettre d’automatiser les tests par la suite.

Rendre compte des différents bugs présents

Après avoir analysé et repéré les différents dysfonctionnements du logiciel, le tester QA doit reporter ces problèmes aux équipes de développeurs. Il doit également proposer les corrections envisageables.
Il doit veiller à ce que ces corrections respectent le cahier des charges.
Une fois les modifications apportées, le testeur s’assure de mener de nouveau un test complet du logiciel, afin d’obtenir un produit de qualité optimale.


Découvrez aussi nos fiches métiers : Développeur Angular.jsIngénieur système Linux et Consultant en transformation digitale !


Compétences requises

Rigueur

Un testeur QA doit faire preuve de rigueur dans l’analyse du logiciel pour ne passer à côté d’aucun bug. Chaque petite fonctionnalité du logiciel ou de l’application doit être revue minutieusement.

Compétences techniques

Des compétences techniques sont requises pour comprendre les différentes étapes de développement des logiciels. Le testeur doit en effet avoir la capacité de déterminer d’où vient le problème et comment le résoudre.

Relationnel

Afin de bien reporter chaque problème rencontré dans l’analyse du logiciel, le testeur QA doit faire preuve d’un bon relationnel et d’une bonne capacité de communication. Les échanges sont réguliers et nombreux pour améliorer le produit.


Découvrez également la fiche métier : Solutions Architect !


Contexte

Le testeur QA est un profil de plus en plus demandé chez les éditeurs de logiciels, les agences de web et les éditeurs de jeux vidéo.

Carrières et Salaire

En termes d’évolution de carrière, le testeur QA peut ensuite devenir manager d’une équipe technique ou encore directeur technique.
Son TJM est compris entre 400 et 500€.

Formation de Testeur QA

Plusieurs formations et parcours existent pour accéder à ce métier.
Il est possible de passer par une formation de type Bac+2 avec un BTS ou un DUT informatique. Il est également possible d’effectuer une formation Bac + 3 licence pro systèmes informatiques et logiciels. Enfin, il est aussi possible de suivre une formation Bac +5, comme un master en informatique ou un diplôme d’ingénieur en programmation informatique.

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Vous recherchez des opportunités de missions dans l’informatique en freelance ou en CDI ? Mindquest vous accompagne dans la recherche de votre prochaine opportunité de mission IT. Trouver une mission de Testeur QA en consultant nos offres de missions disponibles sur notre plateforme numérique Mindquest :

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Devenir freelance Freelance informatique / tech

Tous les frais à prévoir pour devenir freelance

Devenir freelance : tous les frais à prévoir. Car devenir freelance ne s’improvise pas, il est important de prendre en compte toutes les dépenses avant de vous lancer. Chaque personne prête à se lancer dans cette aventure doit recueillir un maximum d’informations notamment au travers de quelles sont les bonnes questions à se poser avant de se lancer en freelance, suis-je vraiment fait pour être freelance ? ou encore les étapes pour devenir freelance.

Mais comme toute évolution professionnelle, l’aspect financier est un élément à ne pas négliger surtout quand on veut devenir freelance. De nombreuses dépenses sont à prendre en compte dès le début de votre démarche.

Mindquest vous éclaire à ce sujet et vous indique les frais à prévoir pour devenir freelance ou consultant indépendant dans la Tech et l’IT.


Vous souhaitez vous lancer en freelance ? N’hésitez pas à télécharger notre guide pratique de démarrage en freelance pour bien débuter votre activité de consultant indépendant.

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Quels sont les frais à prévoir pour devenir freelance ?

Vous avez décidé de vous lancer dans l’aventure du freelancing et vous vous demandez comment prévoir votre budget ? Quels sont les frais d’un freelance et les dépenses pour être freelance ? Se mettre à son compte n’est pas gratuit. Il convient en effet de prendre en compte certaines dépenses incontournables.

Quels sont les frais à prévoir avant de vous lancer à votre propre compte en tant que consultant indépendant dans l’IT ? Faites le point dans cet article avec Mindquest.

Les frais à prévoir au commencement de votre activité

Contrairement à ce qu’il est courant de penser, créer une entreprise de travailleur indépendant ne va pas de soi. Il est nécessaire de prendre en compte le statut juridique, les frais lors de la création de l’entreprise, le matériel à acheter et les charges futures. En effet le budget associé à votre statut d’indépendant doit être pris en compte dans votre budget freelance.
Afin de créer une micro-entreprise, les démarches sont particulièrement simples et sont gratuites. Il s’agit en réalité du seul statut qui est gratuit, tandis que les autres ont un coût variable entre 200 € et 400 € qui inclue notamment l’immatriculation et le capital social.


Découvrez aussi notre article : Comment maximiser ses chances d’obtenir un crédit bancaire en freelance IT ?


Les frais de matériel pour l’exercice de votre activité de freelance

Cependant, même si vous êtes freelances, vous devrez prévoir des frais liés à l’achat du matériel nécessaire à votre activité. Ces investissements matériels sont en effet indispensables pour vous permettre de démarrer sereinement votre activité. Ils incluent :

  • le matériel informatique, comme les logiciels, l’ordinateur, le téléphone et l’imprimante
  • le matériel de papeterie classique, comme les stylos, papiers, encre, agenda…

Pour certaines activités digitales, les frais de logiciels peuvent être élevés. C’est notamment le cas pour les professionnels du graphisme, de la photo, du référencement naturel ou de la comptabilité par exemple.

Les frais de gestion à prévoir quand on souhaite devenir freelance

Les autres frais annexes à prévoir concernent votre ligne Internet qui sera nécessairement haut débit, le forfait téléphonique, des coûts en électricité, la création d’un compte bancaire, la location d’un local et/ou d’une boîte à lettres par exemple. Ces différentes dépenses doivent s’intégrer naturellement dans le calcul de votre budget de lancement d’activité.
Pour le fonctionnement de votre activité au quotidien et une bonne gestion, certains frais sont donc à prendre en compte :

  • des frais de bureaux : la location d’un espace de « coworking » par exemple vous coûtera aux alentours de 250 € par mois
  • des frais de banque : il s’agit du coût de l’ouverture d’un compte bancaire. Faites jouer la concurrence. Sachez qu’en la matière vous n’êtes pas contraints d’ouvrir un compte bancaire professionnel. Un simple compte courant séparé de votre compte personnel suffit
  • des frais éventuels pour l’intervention d’un expert-comptable : prévoyez environ 1 600 € HT à l’année
  • des frais de nourriture et de transport : prévoyez un budget de 250 € environ par mois si vous résidez en Île-de-France. Ce montant dépend bien évidemment du lieu où vous résidez et où vous avez choisi d’exercer votre activité

Les frais à venir après les premiers mois de freelancing

Nombreux sont les freelances à faire face de revenus irréguliers et à ne pas percevoir un chiffre d’affaires au début de leur activité. Cela n’est pas rare mais vous devez alors trouver une solution pour payer vos factures les premiers mois, sans oublier les impôts et les taxes.


Ainsi, un travailleur indépendant ayant opté pour le statut de la micro entreprise devra s’acquitter de cotisations sociales égales à 21 % de son chiffre d’affaires, mensuellement ou trimestriellement au choix. Ces cotisations sociales sont moins élevées si vous bénéficiez de l’ACCRE (aide aux chômeurs, créateurs et repreneurs d’entreprise).


A cela s’ajoute la cotisation foncière des entreprises (CFE) dont le coût varie en fonction de votre lieu de résidence. Elle est généralement comprise entre 150 € et 900 €.

Pour votre mutuelle, il vous faudra choisir entre les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Une mutuelle freelance coûte environ 50 € chaque mois.

N’oubliez pas également l’assurance de responsabilité civile qui peut être indispensable en cas d’un litige avec un client. Comptez environ 100 € par an pour l’assurance freelance.


N’oubliez pas de prendre ces différents coûts en compte dans la fixation de vos tarifs horaires.


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Data & Business Intelligence Fiches métiers

Data Protection Officer : Fiche métier

Le Data Protection Officer, plus connu sous le nom de DPO, est en charge de la protection des données et informations à caractère personnel.
Sa mission principale est de s’assurer que l’utilisation des données recueillies par l’entreprise respecte le cadre légal.

Depuis le 25 mai 2018, après la mise en place du règlement de la protection des données personnelles (RGPD), de nombreuses entreprises et administrations dont l’activité suscite une quelconque gestion des données personnelles, ainsi que les organismes publics, ont l’obligation de nommer un DPO.

Le métier de Data Protection Officer

S’assurer du respect de la législation concernant les données personnelles
Toute entreprise qui récolte ou utilise des données personnelles doit respecter la loi. Que ces données soient utilisées en interne (pour des recrutements par exemple) ; ou en externe à des fins commerciales (pour une campagne d’emailing par exemple).

Trouver des alternatives d’utilisation des données qui respectent la loi
Pour que l’entreprise puisse maintenir son activité, tout en étant respectueuse de la loi concernant la récolte et le traitement de données personnelles, il est important que le DPO puisse proposer des alternatives et des structures adaptées.

Instaurer le respect des lois au sein de l’entreprise
Pour avertir les différentes entités de l’entreprise sur les enjeux que représente la loi sur la protection des données et l’importance de son respect, le Data Protection Officer doit être en capacité de sensibiliser et former les équipes en interne sur ce sujet.

Compétences requises

Connaissance de l’informatique et maîtrise juridique
Le DPO doit maîtriser la réglementation sur la protection des informations personnelles, les lois sur les TIC ainsi que les différentes méthodes et techniques qui permettent de protéger ces données. Il doit également avoir des connaissances en cyber sécurité.

Polyvalence
Le DPO doit faire preuve de polyvalence face aux différents sujets, que ce soit d’ordre juridique ou informatique. De plus, son métier est transverse au sein d’une entreprise car il est amené à travailler avec des entités diverses et variées telles que le département marketing, commercial, RH… ainsi qu’en externe, avec les partenaires et fournisseurs de l’entreprise.

 

Contexte du métier de Data Protection Officer

Pour de plus en plus d’entreprises, il devient aujourd’hui nécessaire de faire appel à un DPO.
D’une part, car depuis la loi du 25 mai 2018, dans les entreprises et administrations où l’activité suscite une quelconque gestion des données personnelles, ainsi que les organismes publics, il est obligatoire d’avoir un DPO.
D’autre part, les données sont un élément devenu crucial dans les entreprises. Pour en assurer la sécurité et les utiliser de manière légale, les entreprises font également de plus en plus appel à un profil DPO.

Carrières et Salaire

Son TJM varie entre 600-800€.

 

Formation du Data Protection Officer

Pour devenir DPO il existe des formations de BAC+3 à BAC +5. Elles peuvent être exercées en école d’ingénieur ou en cursus universitaire. La profession étant relativement nouvelle, les formations ne sont pas disponibles partout mais en voici quelques exemples :

  • Diplôme universitaire de Paris II Panthéon Assas de Data Protection Officer ;
  • Master de Management en protection des données de l’ISEP ;
  • Master de l’IESIA en sécurité de l’information et système ;
  • Diplôme de DPO/CIL de l’université de Franche-Comté.

Découvrez également notre fiche métier : Coach Agile

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Infographie du freelance IT en France en 2019 : portrait-robot

Club Freelance a compilé à travers une infographie du freelance IT, ses données pour analyser les caractéristiques démographiques, les domaines d’expertise, et les niveaux de TJM de sa communauté de consultants informatique. Les données ont été recueillies à partir d’un échantillon de 5614 profils de consultants indépendants, travaillant dans le monde de la technologie et l’informatique.

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